Les animés de 2007

Répondre
Partager Rechercher
Citation :
Publié par Norika > Toga
Shijou saikyou no deschi kenichi
Sympas, avec des maîtres sur-stylés dont un maître de karaté ressemblant

étrangement a un personnage de manga connu mais malheureusement la série est

terminé
Jushin enbu - Hero tales

Cliquez ce bouton ou survolez le contenu pour afficher le spoiler
Après avoir visonné les 2 premiers épisodes :

-je trouve l'histoire sur-réchauffé

-graphiquement parlant l'anime est pas trop au niveau (si on compare à du Heroic Age,Gundan 00)
J'ai zieuté le premier épisode de Shion no Ou. L'histoire d'une gamine (Shion) qui a assisté au meurtre de ces parents. Le traumatisme l'a rendue muette. L'anime est cadré quelques années plus tard sur Shion qui s'avère être devenue une joueuse talentueuse au Shougi. Il semblerait que le meurtre et ce jeu de stratégie soit un peu lié.
Au premier coup d'oeil, ça me semble pas trop mal. J'attend de voir si le coté thriller est bien foutu.
J'avais dit que j'écrirais quelques synopsis/commentaires sur les nouvelles séries de cette saison, voici donc la première fournée avec 3 séries, se déroulant dans des lycées.

Mais tout d'abord, une petite précision sur mes synopsis. J'écris en évitant tout spoiler lourd. C'est à dire que même si vous lirez des choses que vous apprendriez normalement dans les premiers épisodes, ça ne devrait pas dépasser le niveau de "Light Yagami récupère un carnet tuant ceux dont le nom est écrit dedans", "Ichigo devient un Shinigami" ou encore "Naruto est l'hôte d'un démon". Ce sont donc des texte que vous pouvez donc lire sans grande crainte.
En dehors de ça, désolé s'il y a un peu trop de texte, mais je ne saurais me contenter de 5 lignes pour rendre hommage (ou pas...) à ces séries. Si vous n'en avez vraiment rien à faire de tous ces détails, vous pouvez toujours revenir un peu plus haut sur les présentations éclairs de Simkim qui rempliront très bien leur office.





Bamboo Blade


Genre : comédie, sport (kendo)


Le synopsis :

Ishida Toraji, professeur et entraîneur du club de Kendo de son lycée, a du mal à joindre les deux bouts ; enchaînant jeûne sur jeûne, il est prêt à sauter sur n'importe quel occasion pour pouvoir se remplir efficacement la panse. Imaginez alors sa réaction lorsqu'un de ses anciens sempai, également responsable d'un club de Kendo, lui propose un pari : si Toraji arrive à rassembler 5 demoiselles kendoka et à battre son équipe féminine, il lui offrira un an durant toutes les consommations à son restaurant familial !
Ni une ni deux, le défi est relevé, et les premiers obstacles apparaissent : il va déjà falloir dénicher des candidates prometteuses pour un sport plutôt masculin, les attirer dans un club à moitié mort, sans oublier un entraînement rigoureux pour être à la hauteur... Mais si c'est pour le salut de son estomac, il ne reculera pas devant ces quelques problèmes !



Mes commentaires :

Au programme, bien entendu des demoiselles excentriques : Kirino la droguée du kendo, Tama-chan l'otaku qui se sert du kendo pour faire valoir la justice face aux abus, et d'autres encore à découvrir... Mais le personnel masculin n'est pas ignoré pour autant, j'attend de voir ce que cette alchimie va donner
Au niveau humour, rien de transcendant, on est plutôt dans du classique pour un seinen. On évite les situations absurdes dans tous les sens, au profit de situations, réactions et répliques qui prêtent à sourire. Ca permet à la série d'éviter toute lourdeur de ce coté là. Et pour ce qui est de la partie sport, elle promet de ne pas se faire trop envahissante comparé à ces séries où les matchs durent 10 épisodes... Notons que l'on est encore au début de la série et que c'est encore susceptible de changer, mais je pense que l'histoire se centrera plus sur les personnages eux-mêmes. Après tout, il devrait y avoir de quoi faire de ce coté !
La réalisation ne se défend pas trop mal non plus. Graphiquement, pas grand chose à redire pour ce qui est de l'animation ou les couleursn et le dessin ne s'en sort globalement pas trop mal ; quant à l'audio, la musique se fait assez discrète, mais ça veut au moins dire que ça colle bien à l'ambiance (remarquez, les séries qui vont arrivent à rater le coté musique sont rares ces derniers temps, bien que l'on ait parfois le droit à du lourd).
Conclusion : exactement zéro chance que Bamboo Blade soit une de ces séries cultes. Mais ça ne l'empêche pas de s'annoncer largement prometteur pour autant, en particulier si la série arrive à garder ce côté équilibré qui ne fait nulle part dans l'abus. N'hésitez pas à jeter un oeil ne serait ce qu'à quelques épisodes, de peur de rater quelque chose de bon.


******************************




Da Capo II


Genre : romance, comédie, fantastique

A noter que même si l'histoire se passe à la suite de Da Capo et Da Capo Second Season (D.C. & D.C.S.S.), il y a une séparation d'une cinquantaine d'années. Les références aux premières séries sont peu nombreuses et font plus office de clins d'oeil, ce qui fait que même un nouveau venu peut regarder D.C. II sans rater grand chose.


Le synopsis :

Sakurai Yoshiyuki a de quoi être envié par ses camarades : ce lycéen a priori normal est entouré de toutes parts par des jolies filles, allant des deux filles de la famille où il a grandit, jusqu'à l'idole du lycée, en passant par la timide mais enamourée amie d'enfance... Toutes potentiellement attirées par lui bien entendu.
Notre jeune homme aura donc pas mal de préoccupations, que ce soit sur le plan sentimental, mais aussi vis à vis de ces bizarreries de l'île où il habite : une directrice d'école à l'apparence de gamine d'une quinzaine d'années, un robot décidément bien humain (et féminin bien sûr), et bien d'autres encore.



Mes commentaires :

Un harem avec un peu de magie dans l'air, le tout servi avec un fond d'humour bien classique, en bref rien de nouveau sous le soleil. En particulier pour ceux qui ont vu les autres séries Da Capo, mais aussi pour ceux qui ont regardé Gift, ou encore Happiness... Enfin parmi ces séries, les D.C. s'en sortent pas trop mal, donc on peut s'attendre à quelque chose de respectable, si ce n'est bien.
Sinon, D.C. II étant prévue en 13 épisodes, on devrait en plus éviter une certaine longueur (ce qui était, à mon goût, le gros défaut des deux premières séries). Quant au scénario je crois que l'on peut s'attendre à quelque chose de bon, surtout si je me base sur quelques critiques du jeu dont est tiré cet opus. Enfin la série reste au moins regardable, vu que la réalisation au niveau technique se situe largement dans la moyenne de ce qui se fait de nos jours.
En bref, si vous ne connaissez pas encore ce genre de série, Da Capo II sera peut-être un bon début pour ça. Et si vous le connaissez, vous savez probablement déjà si la série vous plaira ou non.


PS : Et au moins, pas de Nemu en vue !


******************************




Sketchbook ~full color'S~


Genre : comédie, tranche de vie


Le synopsis :

Oubliez les grandes intrigues ou les quêtes pour le salut de je ne sais quoi. Kajiwara Sora est une lycéenne tout à fait normale. Bon, elle est peut-être un peu silencieuse en plus d'être un peu à l'ouest quand elle n'est pas carrément déconnectée du réel ! Membre du club d'arts, elle se spécialise dans les croquis, mais elle a tendance à choisir pour modèles des instants éphémères tel qu'un oiseau luttant contre une bourrasque de vent. Inutile de dire que ça fait beaucoup de croquis inachevés, ou même non commencés!
Et dans la mesure où son entourage ne se laisse pas distancer pour ce qui est de l'excentricité, les journées de Sora risquent bien d'être amusantes à suivre!



Mes commentaires :

Au diable le semblant de neutralité, j'adore ce genre de séries. Les animephile anglais parlent de "slice of life", traduit parfois chez nous par le terme "tranche de vie" que je garderai faute de mieux. Des séries avec un charme certain, sans intrigue, qui retracent juste les moments de personnages parfois un peu à part, le tout avec un humour léger qui ne fait pas dans l'absurde total. Vous avez aimé Hidamari Sketch ou encore Azumanga Daioh? C'est ce genre de série qu'est Sketchbook.
Sora est tout simplement adorable. Je sortirais bien quelques .gif d'elle, mais je préfère vous inviter à regarder directement ne serait-ce que le premier épisode de la série. Quant aux autres personnages, ils arrivent de même à être attachants. Le dessin, faute d'être sublime, est très agréable et niveau son, ça colle comme il faut aux scènes et aux personnages.
Pour moi, c'est une série qui ne peut pas tourner mal. Ca ne sera probablement pas au goût de tout le monde, mais sachez que ça reste une série de qualité, parfaite pour un instant de détente.


******************************






Comment, encore ici au lieu d'être allé récupérer les premiers épisodes de Sketchbook? Enfin, merci d'être parvenu jusque là, c'est terminé pour aujourd'hui. Si vous avez des réactions, des corrections et autres remarques, n'hésitez pas à les faire partager, le fil est là pour ça après tout. Quant aux synopsis des (nombreuses >_<) autres séries, ils arriveront tôt ou tard (pour information, je les écris dans l'ordre de première diffusion des séries). J'espère en avoir aidé certains à découvrir des séries qu'ils aimeront.

Dernière chose : souhaitant apporter un peu de décoration à tout ce texte, si quelqu'un a sous le coude une image ou plusieurs reflétant bien les séries à mettre en face de chaque titre, je suis preneur.
Dennou Coil est quand même méchamment bien foutu au niveau de l'intrigue, des personnages et de l'animation je trouve. Le chara design est franchement à contre-courant de ce qu'on peut voir (on aime ou on aime pas) et la série reste cohérente au niveau de l'animation tout au long de la saison (ce n'est pas -rare- mais passer du premier épisode en qualité film au dernier de la saison à 10 fps ça me saoûle assez souvent). Gros coup de coeur pour moi, je deviens fan de cyberpunk "moderne".
Peut-être que personne n'aura le courage de les lire, mais voici tout de même 5 synopsis en plus, dans l'ordre :
- Blue Drop
- Gakkyo Burai Kaiji (ou Kaiji)
- Majin Tantei Nougami Neuro (ou Nougami Neuro/Neuro)
- Mokke
- Myself; Yourself



Blue Drop


Genre : Science-fiction, drame


Le synopsis :

Seule survivante du tsunami qui a touché son île natale 5 ans auparavant, Wakatake Mari vit avec sa grand-mère. Ou pour être plus exact, vivait. Celle-ci a en effet décidé qu'il était temps pour sa petite fille de s'ouvrir un peu au monde et aux autres, et l'a donc envoyée dans une école pour filles de riches, alors qu'elle ne connaissait jusque là que le tutorat comme cours, et son aïeule comme confidente.
C'est ainsi qu'elle rencontra Senkouji Hagino, une autre élève et résidente de la pension de l'école. Mais pourquoi donc cette élève modèle, idolâtrée de toutes, s'est soudainement mise à étrangler Mari au milieu de salutations pourtant amicales? Comment expliquer cette couleur bleu vif qu'ont alors pris ses yeux? Et où donc se rend elle en secret la nuit?
En cherchant à découvrir qui est vraiment cette mystérieuse camarade, Mari se rendra rapidement compte qu'elle est impliquée dans quelque chose de gros, qui n'est peut-être d'ailleurs pas étranger à la catastrophe de son enfance...



Mes commentaires :

De la science fiction, et un cast quasi-exclusivement féminin, de quoi attirer des foules?
C'est du moins ce qui était attendu avant que la série ne commence, mais les réalisateurs ont jusque là su éviter de sombrer directement dans le fanservice pur à grand coup de yuri. Sinon, d'un point de vue scénaristique, on ne peut guère dire que le début soit très rapide, mais il est au moins agréable.
Mari, notre héroïne, est un personnage très spontané, très vif, auquel on peut facilement s'attacher, et la plupart des autres personnages sont également assez crédibles (à l'exception peut-être du directeur qui a vraiment un style particulier, et éventuellement du professeur principal de Mari). Comparé à pas mal de séries, je n'ai vraiment pas cette impression pesante de vu et rerevu en ce qui concerne les personnages, qui ont pour le coup un peu de profondeur.
C'est une série dont le début a su titiller ma curiosité en plus de bénéficier d'une réalisation honnête, et j'attend d'en voir les développements, les enjeux dans l'intrigue. Encore une fois, ce n'est pas la série qui va faire se lever les foules sur les bancs, mais je crois qu'on peut en tout état de cause en attendre de bons moments.


******************************




Gakkyo Burai Kaiji


Genre : Drame, jeu&paris


Le synopsis :

Itou Kaiji a vraiment la loose. Incapable de trouver un boulot depuis des mois, il passe ses journées à accumuler tellement d'aigreur envers le monde, en particulier les riches, que c'est un miracle s'il n'a pas d'ulcère. Et comme si ça ne suffisait pas, il se retrouve à récupérer la dette d'un ancien co-travailleur, pour lequel il avait accepté de servir de caution dans un moment de difficulté. Et bien sûr, même les intérêts ne sont pas à sa portée.
Mais Kaiji est très chanceux : car les très gentilles personnes à qui il devait l'argent lui proposent un arrangement : sa dette effacée s'il accepte de participer à une mini-croisière au cours de laquelle d'autres personnes dans sa situation s'affronteront dans des paris. S'il gagne, il pourra même repartir enrichi. Et si jamais il lui arrivait par le plus grand des hasards de perdre, il n'aura alors qu'à travailler quelques ans dans un super centre de vacances, où il pourra se recentrer, apprendre la discipline et le respect du travail et tout et tout.
Touché par cette offre d'une seconde chance, Kaiji sauta donc sur cette occasion en or. Mais inutile de dire que le monde n'est pas rose, en particulier dans le merdier dans lequel il s'est plongé.



Mes commentaires :

Désolé pour les références à la Hayate (un peu de pub au passage : série à voir si vous prétendez aimer le comique!) sur les yakuza, mais même ce dernier n'est pas assez crédule pour accepter ce genre de plan...
Ce détail mis de coté, la première chose qui marque dans Kaiji, c'est les graphismes au style si particulier. Presque grossiers, ils collent en fait plutôt bien à l'enfer dans lequel plonge le protagoniste : un monde où personne n'hésite à trahir son voisin, et où la misère, le désespoir le plus total fait couler les plus faibles.
Kaiji est un personnage assez bizarre, mais qui devrait être intéressant à regarder. C'est un looser doublé d'un crédule, mais il semble avoir quand même un minimum de réflexion et semble déterminer à vouloir sortir de la loose... Si seulement il pouvait se débarrasser de sa naïveté. J'ai un peu peur que la série en fasse quelqu'un qui s'en sort avec un maximum de chance pour rattraper les coups de couteau dans le dos, ce qui serait dommage, mais j'attend de voir.
Quant aux paris en eux mêmes, même s'ils sont d'apparence ridicule, ils semblent avoir des règles assez machiavéliques, à l'avantage des GO (Gentils Organisateurs) bien sûr.
Je regarderai tout de même par curiosité de voir quel genre de systèmes tordus peut apparaître, mais niveau scénaristique je n'en attend strictement rien. Sans même parler de ce qui est d'approcher la roxxance des coups tordus du genre Death Note.


******************************




Majin Tantei Nougami Neuro


Genre : Détective, comédie


Le synopsis :

Une lycéenne-détective ayant déjà résolu plusieurs crimes, c'est le genre de personnage qu'on ne trouve que dans les mangas, rien à voir avec la réalité. De toute façon, notre protagoniste Katsuragi Yako est certes lycéenne, mais n'est pas vraiment détective : c'est la partenaire de Neuro, un démon friand d'énigmes venu dans notre monde à la recherche du Mystère Ultime. Cette coopération contre-nature permet à Neuro de contourner la loi démoniaque lui interdisant d'agir ouvertement dans le monde humain : il se fait passer pour un simple assistant de notre héroïne, alors qu'il se tape dans la pratique tout le boulot.
En même temps, quand on est un démon, on a plein d'outils bien pratiques dans le cadre d'enquêtes. En plus, il aime ça : les énigmes lui servent de nourriture, et la gloire qu'il récupère par l'intermédiaire de Yako lui permet de recevoir des enquêtes aux énigmes encore plus savoureuses, et qui sait, peut être l'objet de sa quête l'attend au bout du tunnel...



Mes commentaires :

On dirait bien qu'on est partis pour un shônen classique : une enquête par épisode, de l'humour à base de démon qui martyrise sa pauvre associée à la moindre occasion, le tout avec un but ultime à trouver, qui peut-être à l'autre bout du monde comme à portée de main. Enfin, cela dit, la version papier semble vraiment avoir été appréciée par pas mal de personnes, donc on peut s'attendre à de bonnes surprises, en espérant qu'elle ne mettent pas une éternité à arriver.
Graphiquement, la série ne fait hélas pas fière mine par rapport à la plupart de ses concurrents, la faute au dessin. C'est dommage, mais il reste tout de même regardable, et ça semble rendre correctement le style graphique de la version papier.
Donc voilà, si vous êtes friands de shônen et que vous adorez l'humour bruyant-violent à base de la fille un peu simplette qui se fait carrément mal traiter par un sadique, vous serez amplement servi avec cette série. Et n'oubliez pas de prier pour que la version papier mérite ses compliments, et que ça se retrouve dans la version animée. Quant à moi, je reste en attente d'éventuelles surprises, mais la qualité n'en fait pas partie.


******************************




Mokke


Genre : Supernaturel


Le synopsis :

C'est l'histoire de deux soeurs un peu particulières. Shizuru, l'aînée, peut voir les esprits. Un don à l'ordinaire gênant dans la mesure où la plupart ne causent pas beaucoup de troubles, et qu'il n'y a donc aucun besoin de les voir. Mais dans son cas, ce don lui est bien pratique : sa soeur, Mizuki, a tendance à se faire posséder par le moindre esprit passant par là, qu'il soit bon ou mauvais.
Pour cette raison, elles ont emménagé chez leur grand-père, un ancien prêtre (shintô) qui en connait un rayon lorsqu'il s'agit d'esprits. Elles s'efforcent à présent de vivre une vie normale, quand bien même un esprit aux intentions inconnues peut surgir à chaque coin de rue...



Mes commentaires :

Je commençais à en avoir marre de voir des démons & fantômes agressifs qu'il faut systématiquement exorciser par la manière forte, donc un retour à quelque chose d'un peu plus shintoïste dans l'âme est le bienvenu. Merci à Mokke pour ça.
Rien de bien excitant donc pour cette nouvelle série, juste un petit plongeon dans la mythologie shintoïste, ce qui n'est déjà pas mal du tout. La série semble bel et bien parti pour du "une rencontre par épisode", mais c'était probablement le seul choix possible : il n'y a après tout pas de grand maître démoniaque ici, donc à moins de l'inventer...
Ca n'aura peut-être pas la magie de Totoro, auquel la série est souvent comparée (elle l'est aussi à Mushishi, mais faute de l'avoir vu je ne peux dire si c'est à tort ou pas), mais ça devrait tout de même rester bon, en particulier si l'on est un tant soi peu intéressé par la mythologie japonaise auquel cas la série est un must watch.


******************************




Myself; Yourself


Genre : Romance, comédie


Le synopsis :

Après 5 ans d'absence, Hidaka Sana retourne s'installer seul dans sa ville natale, qu'il avait quitté à l'époque en suivant ses parents. A présent âgé de 16 ans, il a du temps, beaucoup de temps, à rattraper avec les amis qu'il a laissé là.
Ca tombe bien, la fille de ses proprios est justement l'une d'eux : Aoi. Mais ce n'est pas tout pour les coïncidences, car la classe où est il est transféré est celle des jumeaux Wakatsuki : Shuusuke et Shuuri, respectivement son meilleur ami de l'époque, et la soeur de ce dernier. Rajoutez à ça la dernière membre de la bande d'antan, Nanaka, et le tableau commence à se compléter.
De beaux jours s'annoncent donc pour nos amis à nouveau réunis, si on oublie cette fortune que Sana a récupéré au temple, et qui lui annonçait des problèmes avec les filles...



Mes commentaires :

Hop, et voici une autre série de harem lycéen comme on en voit un peu partout. Quoique celle-ci semble être un peu plus solide que les autres de cette saison ne serait ce qu'au niveau de la réalisation : graphiquement c'est plutôt bon, et j'en dirais autant de l'audio à un détail près : la voix d'une des protagonistes qui est... Vraiment gamine/aiguë, et ça a tendance à encore plus porter sur les nerfs quand elle fait ses petits cris hystériques après une gaffe (même doubleur que Chiyo-chan @ Azumanga Daioh, ça rend moins bien pour une fille de 17 ans *bien* développée).
Quant aux personnages en eux mêmes, Sana fait un peu à la masse quand même. Le coup du "je rentre au bercail mais je me donne même pas la peine d'appeler mes potes de toujours pour les prévenir, et après avoir rencontré les premiers je ne demande même pas de nouvelles des autres" ça fait pas très terrible quand même. Sinon, on a le droit à quelques trucs cliché par-ci par-là, enfin le fanservice habituel quoi, ce qui n'est pas forcément un mal!
Le début de la série n'arrive pas à faire autre chose qu'éveiller un peu de curiosité de ma part vis à vis de quelques détails que j'ai relevé. Je ne saurai probablement pas dire avant la fin si c'est une bonne romance ou une simple série anonyme tout juste moyenne, mais en tout cas ça vaut largement la peine de lui laisser une chance si on aime le genre!


******************************




Voilà, c'est tout pour l'instant, n'oubliez pas que si vous voulez vous faire votre propre idée sur les graphismes d'une série avant de la regarder, les openings & endings sont facilement trouvables sur Youtube, ou dans les messages précédents de Simkim.
Autre indication triviale concernant mes mini-pavés : les noms de personnage sont systématiquement écrit dans l'ordre japonais (prénom en second). Pas raiment une précision cruciale, mais j'avais envie d'allonger un peu mon message.
Pour continuer dans la même optique de rallongement de messages : JoLiens, n'hésitez pas à causer ici des séries que vous suivez et qui n'ont pas encore leur fil. Quand bien même ce n'est pas un forum spécialisé dans les anime, vous pouvez tout de même croiser pas mal de personnes qui regardent autre chose que Bleach et Gundam.

Comme d'habitude, j'espère, bien que sans grandes illusions, avoir pu rediriger des gens vers une série qui leur plairait. Dans l'état actuel, une seule personne suffirait pour que mon pavé vaille la peine à mes yeux
Sur ce, bonne nuit à vous et à moi.

Rafa, struggling to spread the anime love...
Citation :
Publié par Nitz
Dennou Coil est quand même méchamment bien foutu au niveau de l'intrigue, des personnages et de l'animation je trouve. Le chara design est franchement à contre-courant de ce qu'on peut voir (on aime ou on aime pas) et la série reste cohérente au niveau de l'animation tout au long de la saison (ce n'est pas -rare- mais passer du premier épisode en qualité film au dernier de la saison à 10 fps ça me saoûle assez souvent). Gros coup de coeur pour moi, je deviens fan de cyberpunk "moderne".
je ne peut qu'approuver ce que tu dis :/ franchement une belle réussites, et pourtant je suis pas super "fan" de ce style :/

Je n'ai pas encore tout vus, mais je suis loin d'être déçu, pour le moment.
Dennou Coil a du charme, c'est certain, même si on peut mieux faire niveau cohérence scénaristique (combien de problèmes auraient été réglé si X enlevait ses lunettes le temps de régler des problèmes qui peuvent se faire physiquement...). Enfin, avec ses moments un peu magiques, c'est un joli représentant de ces séries-contes que l'on voit surgir de temps à autre.


Citation :
Publié par Ganondorf
J'ai voulu tester quelques nouvelles séries mais je me suis grillé beaucoup trop de neurone sur d'énormes daubes. Tu peux continuer à faire le cobaye pour nous
J'ai déjà vu toutes les séries de la saison, sauf celles qui sont clairement pour gamins. Le plus long, c'est de taper un mini-pavé qui rende justice (ou pas) à chacune d'elle

Puisque je parle de ça, voici donc un autre paquet, avec au programme :

- Night Wizard
- Suteki Tantei Labyrinth
- Dragonaut ~the resonance~
- Clannad
- Goshuushou-sama Ninomiya-kun

Et c'est parti !



Night Wizard


Genre : Action, fantasy, comique


Le synopsis :

Le monde que nous connaissons est menacé par les Emulators, des créatures maléfiques insensibles à toute arme que la science a pu créer. Mais il est possible de les combattre en faisant appel à un art tombé dans l'oubli : la magie. Les Night Wizards sont ces magiciens qui combattent les Emulators dans le plus grand des secrets, permettant ainsi aux humains de vivre une vie normale et insouciante. Shiho Elis vient d'être transférée dans un nouvel établissement scolaire, et apprendra rapidement qu'elle a elle aussi le pouvoir des Night Wizards. Avec des nouveaux camarades de son académie, elle va donc prendre les armes et partir à la recherche de 7 joyaux qui permettraient d'apporter une fin définitive au conflit.


Mes commentaires :

Tiens, encore une de ces séries tout droit sorties d'un RPG. Au rendez-vous, des monstres au design assez simple, des combats globalement fades, des grands méchants qui s'amusent et envoient leurs troupes faibles histoire de pas trop malmener les héros, et j'en passe.
Que ce soit volontaire ou non, vous aurez donc compris que la partie action de la série ne présente pas grand intérêt. Par contre, ce dont j'aimerais parler, c'est plutôt l'humour, qui est probablement la seule chose à donner un minimum d'intérêt à la série. Il prend la forme de gags disséminés un peu partout, y compris les scènes d'actions. Ce n'est pas du grand art et c'est trop peu présent pour rattraper entièrement le coup, mais il y a quelques répliques qui méritent probablement d'être entendues au moins une fois.
Regardez donc un ou deux épisodes, ne serait-ce que pour voir la cheftaine des Night Wizards en train de "proposer" une mission. Et si ça vous plaît niveau humour, regardez éventuellement les autres. Mais à votre place je ne me forcerais pas plus que ça, du moins pas sans pop-corn.




******************************




Suteki Tantei Labyrinth


Genre : Détective, fantastique


Le synopsis :

L'action se situe dans Kyuto, surnommée "la ville abandonnée", qui est ce qui reste de Tôkyô après un terrible tremblement de terre 30 ans auparavant. Dans cette zone se produisent de nombreux crimes que la police aurait du mal à résoudre sans l'aide d'un inconnu les contactant par téléphone.
C'est en cherchant ce mystérieux interlocuteur que deux inspecteurs de police rencontrent Mayuki, un jeune garçon prodige en plus d'être héritier d'une riche famille, mais qui reste bien incapable de dire par quel mystère les solutions aux enquêtes menées par la police lui viennent à l'esprit. Pour en rajouter au mystère de sa maisonnée, le majordome de Mayuki a le pouvoir d'invoquer deux combattantes aux capacités surnaturelles qu'il utilise en secret pour combattre d'autres guerrières qui s'en prennent régulièrement à la maisonnée.
Quel est l'origine des crimes fantômes de Kyouta? Quel lien peut-il y avoir avec les capacités de Mayuki ou de son majordome? Telle se présente l'intrigue de cette série, intrigue que le jeune Mayuki se fera un plaisir d'analyser avec le concours de ses contacts de la police et de les amis de sa classe.


Mes commentaires :

Deux séries détective la même saison, c'est pas souvent que ça arrive. Et en plus, y a du combat dans cette série là. Ca pourrait plaire à pas mal de monde.
Ca, c'est ce qu'on se dit sur papier, mais la réalité est autre. Okay, Mayuki permet de montrer à quel point les crimes sont exécutés avec génie lorsqu'il démonte la situation, mais s'il pouvait le faire en plus de 5 secondes, ça pourrait ptêt rendre le tout un peu plus intéressant. Je ne parle même pas des combats entre ces combattantes surnaturelles, car ils ne méritent vraiment pas le titre de "combat" : les adversaires sautent l'un vers l'autre et se croisent comme se croiseraient des chevaliers aux joutes, le tout sans second passage. Ca fait peur, mais c'est donc dans les situations "normales", avec Mayuki et ses camarades de classe, que la série a le plus de qualité. Rien de bien glorieux quoi.
Si j'étais un public un tant soit peu difficile, la série n'aurait pas eu un grand succès avec moi, vu que je ne serais pas allé plus loin que le deuxième épisode dans le meilleur des cas. Peut-être donc que la série rattrapera le coup, mais pour l'instant il n'y a vraiment pas grand chose (rien?) qui mérite le déplacement. Regardez un épisode si vous voulez *vraiment* vous faire une idée par vous même, mais sinon allez faire un tour ailleurs.




******************************




Dragonaut ~ The Resonance


Genre : Action, science-fiction, mécha


Le synopsis :

Thanatos est le nom de astéroïde qui a détruit Pluton 20 ans auparavant, et qui est depuis resté sur l'orbite qu'occupait celle-ci. Mais l'humanité s'inquiète que l'astéroïde finisse par s'écarter de cette trajectoire, pour finir par rencontrer la Terre. C'est pour gérer cette crise que l'ISDA (International Solarsystem Development Agency) a créé le projet-D, dont le but est de détruire Thanatos si besoin est.
Mais l'ISDA cache bien des choses à propos du projet-D. Le D est celui de Dragon, une forme de vie extraterrestre venue de Thanatos, et dont l'ISDA compte bien se servir pour défendre la Terre de Thanatos.
L'histoire est centrée sur Jin, un jeune homme qui ne connait vraiment pas ses meilleurs jours mais qui attire l'intention de l'ISDA, en particulier lorsqu'il rencontre une jeune fille du nom de Toa qui cache une force surhumaine...


Mes commentaires :

La première chose qui me vient à l'esprit, c'est le fanservice qui ne fait vraiment pas dans le subtil : à peu près tous les personnages féminins ont une poitrine démesurée... Dommage, le design n'était pas si mauvais en dehors de ce détail qui casse un peu la ligne.
Sinon, que dire... Un shônen d'action classique en 25 épisodes, le héros qui déprimait récupère une fille qui va le sortir de cet état, et ils vont ensemble sauver la Terre... On sait à peu près où on se dirige.
Je dis ça, mais ça n'empêche nullement une série d'être intéressante. Pas mal de personnages, un minimum de mystères, des graphismes colorés avec une animation plutôt bonne, et potentiellement des combats animés sans parler du fanservice qui n'est pas nécessairement un défaut pour tous : ça devrait être une occupation satisfaisante au cours des prochains 6 mois. On regrettera peut-être les combats de dragons à proprement parler, car les images de synthèse ne donnent pas quelque chose de terrible.
Je ne peut que vous recommander d'y jeter un oeil, malgré l'ombre que Gundam 00 peut causer à côté.




******************************




Clannad


Genre : Drame, Romance, fantastique, comédie


Le synopsis :

Okazaki Tomoya est un élève blasé, en dernière année de lycée. N'ayant aucune activité à laquelle il puisse s'adonner, il passe ses journées à flemmarder et sécher les cours avec son complice, Youhei. Sa situation familiale difficile ne l'aide pas non plus à remonter le moral : il a vraiment tout ce qu'il faut pour détester sa vie.
Cependant, sa rencontre Furukawa Nagisa, une élève du même lycée, va l'aider à changer de vie : en décidant d'aider cette fille timide à s'ouvrir aux autres ainsi que restaurer le club de théâtre, il va pouvoir lui-même retrouver quelque chose dans quoi s'impliquer, ainsi qu'un peu de chaleur humaine en fréquentant d'autres personnes.


Mes commentaires :

Une des séries que j'attendais avec impatience ! Après Air, mais surtout Kanon, voici Clannad (en fait je dis ça, mais j'ai vu que Kanon =)).
A l'image de Kanon, on a beau avoir un harem en place, le personnage ne tombe pas amoureux de tous côtés : s'il fréquente sans trop savoir pourquoi ces filles, on ne le verra pas rougir à n'importe quelle occasion comme un gamin, ou se dire "Waow, qu'elle est belle" avec une bouche prête à gober une dizaine de mouches. Donc j'ai beau parler de "romance" comme genre, ce n'est absolument pas ce à quoi on aurait pu s'attendre.
Encore comme dans Kanon, le personnage principal est naturellement vache avec son entourage, à l'aide de répliques bien pesées ne manquant pas à nous faire sourire.
Les protagonistes sont quant à eux très excentriques, et leurs comportements bizarres seront autant d'autres occasions de sourire. On peut bien entendu attendre de sympathiques histoires en ce qui concerne le passé des personnages principaux.
Graphismes, audio, scénario, autant de choses qui me font sautiller d'impatience après chaque épisode. Si vous avez déjà vu Kanon, vous savez ce que ça vaut. Sinon, n'hésitez pas à regarder ne serait-ce que pour votre culture, c'est vraiment quelque chose à part en comparaison de ce qu'on peut connaître. Si je devais ne choisir que 5, voire même 2 séries de cette saison à regarder, Clannad en ferait partie.




******************************




Goshuushou-sama Ninomiya-kun


Genre : Romance, ecchi, comédie


Le synopsis :

On ne peut pas dire que Ninomiya Shungo vit ses jours en paix. Lycéen pas comme les autres, il fait preuve d'un entraînement physique hyper poussé, au point qu'il pourrait être qualifié de surhomme. Cette force lui est d'ailleurs bien utile : les filles adorent l'harceler, mais monsieur ayant une vision très orthodoxe des relations hommes/femmes fait de son mieux pour échapper aux situations les plus tendues et aucun ligotage ne peut le retenir
bien longtemps.
L'évènement perturbateur (comme si ça ne suffisait pas), c'est quand sa soeur lui apprend qu'il va devoir protéger et aider Tsukimura Mayu, une fille bien particulière : elle est androphobe, mais tous les hommes de son entourage ne peuvent s'empêcher d'être attirés par elle tels des zombis...
Bref, Shungo va devoir l'aider à surpasser son androphobie à l'aide d'entraînements douteux imaginés par sa soeur et le frère de Miyu, à commencer vivre ensemble, et même dormir dans le même lit. Et pour en rajouter, il va également falloir supporter la présence de Hojo Reika, secrètement amoureuse de Shungo depuis longtemps, et qui ne compte pas perdre face à elle!


Mes commentaires :

De loin, très loin, mais vraiment très très loin la série avec le plus de fanservice ecchi pour cette saison.
L'ending (qui s'est d'ailleurs fait attendre) suffit bien pour en juger. Dur de faire original dans ce genre de série, et de toute façon ce n'est pas ce qui est recherché. On a bien le droit au classique gars timide face aux filles mais surhumain pour survivre à ce qui va l'attendre, l'héroïne principale qui est maladroite comme pas possible mais toute pure, ainsi qu'une autre héroïne présidente du conseil des élèves, et tsundere 200% de surcroît!
L'aspect comédie se défend pas mal, si l'on reste réceptif au côté ecchi il y a de quoi se marrer. Ca peut devenir lourd par moment, mais c'est comme ça pour toutes les séries du genre j'imagine.
En bref, si vous n'avez rien contre les comédies ecchi, foncez donc sur le représentant de cette saison!




******************************




C'est tout pour aujourd'hui. Je vais essayer de finir les autres séries en deux fois 6 pavés, donc ça devrait également être bientôt fini (j'espère).
Sinon, je ne compte pas présenter les 2ème saisons & autres suites (D.C. II était une exception, mais comme je l'ai déjà expliqué ce n'est pas tellement une suite), mais je les citerai quand même à titre informatif : Moonlight Mile 2nd, Shakugan no Shana II, I'm gonna arrest you Full Throttle et Genshiken 2.

Accessoirement, on notera que le dictionnaire jol ne connait rien qui touche à l'androphobie, ce qui porte donc à croire qu'on ne peut qu'aimer les hommes.

Et tant que j'y pense, je suis retombé sur le message de Simkim qui parlait de Night Wizard : si jamais tu redescend encore une fois Cardcaptor Sakura au niveau de cette série, je vais me mettre à organiser des rituels vaudou pour te balancer une malédiction te forçant à regarder non stop les feux de l'amour (34 saisons, plus de 3700 épisodes) jusqu'à que mort s'ensuive
Citation :
Publié par K comme Korbier
Petite question bête et hors-sujet : son "vrai" nom c'est Guts ou Gatsu ?

(désolé mais ça me travaille)
Miura utilise Guts comme nom donc je pense que c'est celui là qu'il faut retenir.

------------

Niveau animé la seule chose que j'ai accroché pour le moment c'est Dragonaut (malgré un design assez douteux / voire moche pour les dragons ).
Rafa :

Mais j'aime bien Cardcaptor Sakura. C'est juste que comme beaucoup connaissent (enfin je crois), je m'en sers souvent comme exemple pour donner une idée du genre de certains animés.

Par contre faudra attendre pour les Feux de l'amour, j'ai les Detective Conan à voir (euh... 450+ épisodes ???) et tous les Precure (150+ épisodes ?). Et puis aussi je me suis promis de jeter un oeil à Keroro Gunsou (180+ épisodes ?). C'est pas que je ne veuille pas regarder l'intégrale des Feux de l'amour mais... pas tout de suite...


Pour revenir aux sorties de cette fin d'année, je suis finalement assez déçu. Il y a quelques animés qui me donnaient une pas trop mauvaise impression après un épisode mais j'ai totalement lâché l'affaire au bout de 1 ou 2 épisodes de plus. Heureusement qu'il y a Gundam 00 (ok je ne suis pas objectif) et quelques 2èmes saisons sinon ça ne serait pas terrible...
Bah, justement, le genre est pas du tout le même. Je comprend la comparaison que t'avais faite à l'époque de Nanatsuiro, mais ici les seuls points qu'on peut y trouver en commun c'est que y a de la magie dans les deux, et un peu de collection aussi (mais pas du tout au même niveau). Et pour couronner le tout, Cardcaptor Sakura a un certain charme (enfin ça doit dépendre des personnes), choses dont Night Wizard est carrément dénué.
Enfin de toute façon, j'ai pas encore un niveau suffisant en vaudou pour mettre ma menace à exécution. Entre vouloir et faire, il y a un fossé hélas



Sinon pour ce qui est du nombre peu élevé de bonnes séries qui en valent le détour cet automne, j'imagine que ça dépend du public. Personnellement, je pourrais très bien me passer Gundam dablezero à regarder au pop corn, mais je suis par contre scotché devant Clannad et ef. Et comme je suis vraiment pas un public difficile, je peux quand même regarder la plupart des autres séries pour passer le temps.
Quoiqu'il en soit, même cette été peu de séries en valaient la peine au début : Baccano, Sayonara Zetsubou Sensei et Doujin Works, le reste ça devait être des suites. Et pour ce qui est du printemps, on avait eu le droit de mémoire à une quarantaine de séries, donc forcément plus de séries intéressantes.

Dans tous les cas, j'attend de voir les séries en entier, car si l'on devait se fier aux premiers épisodes seulement on raterait pas mal de choses, ou encore des mauvaises séries deviendraient excellentes.
Citation :
Publié par Ontzlake Browne
Miura utilise Guts comme nom donc je pense que c'est celui là qu'il faut retenir.
Hmm je suis pas sur mais je crois que dans le manga , l'auteur utilise les katakana GA tsu(etouffé) TSU pour ecrire son nom
Donc la traduction romanjis la plus proche serait gattsu ( prononcé : gat.....tsu ).

[Modéré par Dandal : non.]
Plus important encore, votez Hisui&Kohaku, parce que là cette cruche de Mikuru est en train de reprendre du terrain.
Parce que 2 maids, c'est mieux qu'une
Citation :
Publié par lVlusa
Hmm je suis pas sur mais je crois que dans le manga , l'auteur utilise les katakana GA tsu(etouffé) TSU pour ecrire son nom
Donc la traduction romanjis la plus proche serait gattsu ( prononcé : gat.....tsu ).
[/color]
C'est juste qu'en Japonais Guts ca s'écrira "Gatsu". Après techniquement parlant les deux romanisation seraient possible - mais la bonne est Guts vu que l'auteur n'a pas choisi ce mot anglais au hasard pour nommer son héros. Mais bon après souvent les fans ne réfléchissent pas trop quand ils retranscrivent le nom d'un personnages (mention spéciale à Lau Lu Kuruze et Dullindal dans Gundam Seed/Destiny ), et même dans les traductions officielles les restranscription peuvent changer du tout au tout d'un pays à l'autre (dans Escaflowne ou Lodoss doit bien y avoir la moitié des noms qui diffèrent entre la version US et la version VF ). Et c'est vrai que ça peut être particulièrement ridicule quand il y s'agit d'un mot anglais mal retranscrit (Oscar a la version originale de Ring... sortie sous le nom Ringu aux USA )

-Sergorn
Merde, moi aussi je dis Dullindal, la première fois je l'ai vu écris comme ça, et depuis ça m'est resté ^^;
Mais j'avoue, c'est particulièrement ridicule le Ringu
Presque autant que "Dessu Noto" pour Death Note (si si, j'ai vu des gens l'écrire comme ça )

D'ailleurs dans le même genre, je suis bien content que le manga en France ait bien appelé le héros Light.
Parce que Raito, c'est moche

Sur ce, je m'en vais me regarder un épisode de Gandamu dobeul ziro.
Moi la première fois que j'ai vu/entedu "Dullindal" je me suis dit... "Hum... ce serait pas censé être Durandal plutôt ?" et paf j'avais raison

Dans le même genre j'avais aussi vu des animefans qui critiquaient les traduction de Heroic Age parce que selon eux Age aurait dû s'appeler "Eiji"

Après il est vrai que la restranscription n'est pas toujours facile - mais bon parfois y a des erreur énorme dans des produit officiel et là ca fait vraiment pitié

-Sergorn
Citation :
Publié par Val
D'ailleurs dans le même genre, je suis bien content que le manga en France ait bien appelé le héros Light.
Parce que Raito, c'est moche
On est bien d'accord

Sinon je pense que je vais rester sur Guts, d'autant que je connaissais pas la signification anglaise qui est assez parlante... Merci pour vos réponses éclairées !
Oups, on dirait bien que le fil a eu le temps de couler en troisième page. Faut croire qu'en dehors de Gundam et des shônens à rallonge, y a pas grand chose de suivi ces temps-ci. Dommage, il y a quand même quelques bonnes séries en cherchant bien. M'enfin, c'est justement pour ça que je traîne encore dans le coin.
Sans plus tarder, les pavés du jour, avec au menu du jour quelques séries de qualité, d'autres moins, à savoir :

ef - a tale of memories
Mobile suit Gundam 00
Kimikiss pure rouge
Shugo Chara!
Juushin Enbu Hero Tales
Minami-ke

Mais lisez donc et, si besoin est, faites vous votre propre idée en regardant donc les premiers épisodes!




ef - a tale of memories


Genre : Romance


Le synopsis :

Boys meet girls.
Asou Renji, grand lunatique devant l'éternel, fait la connaissance de Shindo Chihiro dans la gare abandonnée où il a l'habitude d'aller lire. Attiré par cette fille au comportement parfois mystérieux, il deviendra rapidement son ami, et fera de son mieux pour l'aider face à ses problèmes.
Hirono Hiro n'a quant à lui pas autant de temps libre. Essayant de faire cohabiter son métier de mangaka et son statut de lycéen, il passe en fait la majorité de son temps à sécher les cours. Le soir de Noël, alors qu'il se rend chez son amie d'enfance Shindo Kei pour y passer le réveillons avec des amis, il tombe sur Miyamura Miyako, une fille très dynamique qui se trouve également être élève à son lycée. Bientôt, il ne peut s'empêcher de passer de plus en plus de temps avec Miyako, éveillant la jalousie de Kei.
N'oublions pas non plus Tsutsumi Kyousuke, véritable tombeur, qui se retrouve lui-même pris au piège de l'amour après avoir aperçu fugacement une jeune fille courant dans la rue, jeune fille qui s'avère être Kei elle-même...
ef - a tale of memories, c'est l'histoire des relations qui vont petit à petit se mettre en place entre ces jeunes gens, et tous les hauts et les bas qui vont avec.


Mes commentaires :

Le dernier bébé de SHAFT (Pani Poni Dash, Negima!?, Hidamari Sketch, Sayonara Zetsubou Sensei...), dont vous-avez peut-être déjà entendu parler pour ces séries comiques aux effets graphiques et scénarios très spéciaux...
Mais avec ef - a tale of memories, SHAFT nous propose une série au scénario un peu moins aléatoire, puisqu'il y a vraiment une histoire derrière tout ça. Quant aux effets graphiques, aux cadrages et autres transitions déstabilisantes, elles restent présentes dans une mesure raisonnable, qu'on les apprécie ou pas.
Ca, c'était pour la réalisation, qui n'étonne guère venant du studio en question. Quant à l'histoire en elle-même, ce sera donc une énième série de romance entre collégiens, mais en gardant un côté un peu original, presque fantastique (le problème dont souffre Chihiro est vraiment pas commun par exemple, mais je n'en dis pas plus). Par contre, les couples semblent à peu près évidents à première vue, ce qui devrait au moins éviter une fin à la School Days (d'ailleurs, référence "nice boat" dans l'épisode 1, alors au boulot les chercheurs de clins d'oeil).
Avec le style graphique qui fait la patte de SHAFT, ef - a tale of memories est donc susceptible d'être relativement rafraîchissant pour une série romance, pour peu qu'on ne soit pas trop désarçonné par ledit style. Mais personnellement, je suis conquis.




******************************




Gundam 00


Genre : Action, méchas


Le synopsis... Ou pas en fait. Ayant la flemme, je vous propose d'aller directement voir le fil dédié, qui non seulement résume l'état initial probablement mieux que je ne le ferais, mais avec en bonus des images et des vidéos streaming.
Si je devais avoir quelque chose à dire sur la série, bah... C'est bien joli tout ça, mais tout ce joli monde de Celestial Being avec leurs airs de comploteurs ne font pas forcément convaincants. En particulier avec leurs répliques qui s'adressent en fait au public plutôt qu'aux autres personnages (cf épisode 4 : "Haha, on sait quoi faire, mais va t'on choisir A ou B? Surprise..." et juste après que l'on connait le résultat : "Haha, de toute façon c'était tout vu que c'était A!").
Je ne parle même pas des Gundams capables de torcher des dizaines d'unités avec un bras dans le dos, et sans se faire toucher une seule fois.
Enfin bon, j'arrête de piétiner sur des détails qui ne sont de toute façon pas si atroces. Enjoy your service time, fanas de Gundam !




******************************




Kimikiss pure rouge


Genre : Romance


Le synopsis :

Une nouvelle année de lycée commence pour Sanada Kouichi et Aihara Kazuki, mais seulement après une nouvelle choc : le retour de Mizusawa Mao, une amie d'enfance qui revient tout juste de France et se retrouve à loger chez Kouichi le plus naturellement du monde.
Quand le jour de la rentrée arrive, retrouvailles et rencontres : Kouichi retrouve Hoshino Yuumi, camarade de classe pendant plusieurs années, et pour laquelle il a le béguin (réciproque qui plus est!), tandis que Kazuki, en plus de subir le tyrannique entrain d'une fille de son club de foot, fait connaissance avec Futami Eriko, la génie du lycée, qui lui propose une expérience pour le moins surprenante.
Avec toutes ces occasions, nos protagonistes, en bons lycéens qu'ils sont, vont donc pouvoir cette année accorder un peu d'attention à la recherche de l'âme soeur, pour le meilleur ou pour le pire.


Mes commentaires :

Ah, la n+unième romance lycéenne de la saison. Remarquez je l'ai déjà dit : après School Days, toutes les occasions sont bonnes pour pouvoir se recentrer
Autant le début du premier épisode fait fortement cliché avec le coup de la fille et du garçon sous le même toit, autant le reste s'annonce largement meilleur : il s'agit de ne pas se laisser berner par les 10 premières minutes. Il y a des filles de tous les côtés, mais pour autant ça ne part pas en harem, ce qui fait des points en plus. En plus, on ne se focalise pas sur un même loser de personnage principal, mais sur Kouichi, Kazuki et Mao, pris chacun plus ou moins séparément et avec ses propres intérêts amoureux.
A titre informatif, le directeur de la série est également derrière Nodame Cantabile et Honey & Clover : on peut donc espérer qu'il ait un minimum d'inspiration pour nous pondre quelque chose d'accrochant. D'autant plus que graphiquement, c'est déjà une réussite.
Au niveau romance pure, c'est probablement la meilleure série de la saison : gourmands du genre, n'hésitez pas, Kimikiss devrait vous charmer !




******************************




Shugo Chara!


Genre : Magical girl, comique


Le synopsis :

La "cool and spicy" Hinamori Amu est connue de tous les jeunes. Les garçons évitent de lui chercher des crasses, et les filles l'admirent. Elle est réputée parfaite, et rien ne lui serait impossible.
Manque de pot, ce n'est pas du tout le vrai caractère d'Amu. Celle-ci est quelqu'un de timide, qui s'est retrouvée avec une telle réputation par erreur : un silence nerveux passe pour un signe rebelle de renfermement, et pour en rajouter sa mère lui achète des vêtements de fashion goth-punk. Et Amu, bien trop timide pour essayer de casser cette réputation non méritée, se retrouve à contre-coeur enfermée dans cette image, y compris en famille.
Un beau soir, elle se mit à souhaiter de tout son coeur de pouvoir trouver le courage pour assumer son véritable caractère, et quel ne fut pas sa surprise quant au petit matin, elle trouva trois oeufs à ses côtés.
Chacun d'eux donnera naissance à un Shugo Chara (Gardien Chara), un compagnon qui permet justement à son détenteur de changer carrément de personnage, et de devenir à titre temporaire quelqu'un d'honnête, ou de doué en sports, etc.
Ce ne sera que le début de ses surprises, quand elle se rendra compte que des oeufs de Shugo Chara se trouvent en chaque enfant, et que des personnes telles qu'elle-même font en sorte que ces oeufs ne tournent pas mal...


Mes commentaires :

Un bon magical-girl des familles ! Amu est un personnage attachant, et même carrément craquant quand on la voit paniquer en ayant peur de montrer son vrai caractère. Et je ne parle même pas de ses réactions face aux interventions non-souhaitées de ses gardiens. Mais les autres personnages n'en sont pas moins sympathiques, avec des personnalités cachées parfois très surprenantes...
C'est coloré, plein de "kawaiiness", un humour agréable, un personnage principal franchement sympa et tiraillé entre 2 comportements... Pour moi, c'est un début de shôjo bien réussi.
Quelques points sur lesquels je suis dubitatif en revanche. C'est une adaptation, et la version papier semble peu avancée (ça doit en être au 5ème volume). Ce qui signifie que la série sera vraisemblablement courte et que des points seront peu développés et d'autres resteront non résolus. Dommage.
Peut également poser des problèmes à certains, c'est le design très shôjo. Je ne parle pas que des gars efféminés, mais aussi des capes très théâtrales qu'ont certains élèves du lycée appartenant à un groupe spécial.
Malgré ça, et si vous n'êtes pas familier avec les shôjo de ce genre (sinon à titre informatif, une série type romance est très rarement un shôjo, merci), n'hésitez pas à prendre Shugo Chara! tant que c'est chaud!




******************************




Juushin Enbu Hero Tales


Genre : Action, fantastique


Le synopsis :

Nous sommes en Chine médiévale, dans une période de conflit.
Taitou, 16 ans, est membre du Seiryutou, un groupe de combattants auquel a été confié en secret un grand trésor.
Ce trésor, c'est le Kenkaranpu, une épée dont la légende veut que seul le futur maître du pays soit capable de pouvoir la dégainer.
Mais le Seiryutou est bientôt attaqué par Keirou, un général de l'Empire qui s'empare alors de l'épée légendaire dans le but de renverser le gouvernement actuel. Il repart avec son précieux butin en laissant un Seiryutou presque entièrement massacré, et un Taitou qui n'a qu'une envie : venger ses camarades.
Mais l'affrontement entre Keirou et Taitou est plus qu'une simple vengeance : c'est une destinée, imposée par une des 7 étoiles légendaires dont ils portent le signe sur leur corps. Ils auront à combattre pour la possession du Kenkaranpu, et le futur de l'empire...


Mes commentaires :

Entre Juushin Enbu et Shugo Chara!, c'est le jour et la nuit. L'un est un shônen classique, l'autre un shôjo classique. L'un ne m'a guère fait d'effet tandis que l'autre a su attirer au moins mon intention.
Enfin bon, je dis ça, mais ce n'est quand même pas opposé à ce point. Dans les deux cas, on a des superpouvoirs (d'ailleurs on s'attendrait presque à voir un kamehameha sortir dans cette série). On a de l'humour aussi : le personnage de la petite soeur du héros qui n'en rate pas une pour foutre une tarte à son "baka-aniki" peut être drôle, voire très drôle par moments, mais comment est-ce qu'on va éviter une répétitivité à l'avenir?
Bon, cela dit l'histoire sera peut-être capable de devenir intéressante, et les combats bourrins à grands coups de décharge d'énergie combative le tout avec plein de veines qui sortent des muscles en raviront plus d'un.
A titre informatif, et c'est encore un point commun avec la série précédente : Juushin Enbu est l'adaptation d'un manga encore bien jeune. Et la série semble avoir pris dès le début un écart non négligeable avec le manga. Quand on sait que l'auteur du manga est la même femme qui a fait Full Metal Alchemist, on commence vraiment à avoir une impression de déjà vu!
Amateurs de shônens aux grosses bastons, voici donc un autre amuse-gueule pour vous!




******************************




Minami-ke


Genre : Comique, tranche de vie


Le synopsis :

Dans la maisonnée Minami vivent trois soeurs. Pas de parents.
Haruka est l'aînée. C'est sur elle que repose la responsabilité vis à vis de ses soeurs, et elle s'en sort plutôt bien. Les travaux ménagers ne lui posent aucun problème ; belle, intelligente et bienveillante, c'est l'image de l'onee-sama par excellence. Même si parfois un certain manque d'épanouissement ne ratent pas de causer une grosse gêne lorsque ses soeurs lui posent les questions que des adolescents se posent.
Kana est le nom de la seconde soeur Minami. Bruyante et hyperactive, elle a bien du mal à faire face à la réalité et se perd bien souvent dans ses délires. La laisser faire la cuisine est une erreur qui peut s'avérer fatal. En fait, il est même presque impossible de lui laisser une quelconque responsabilité et avoir des résultats satisfaisants. En bref, elle agit avant de réfléchir et accessoirement, elle a du mal à se faire accepter en tant que grande soeur par la troisième fille de la maison.
Celle-ci se nomme Chiaki, et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle n'a pas la langue dans sa poche. En dehors d'Haruka, elle ne montre d'affection pour personne, et n'hésite même pas à sortir les mots les plus impitoyables qui soient si on lui en donne l'occasion. Kana en fait d'ailleurs les frais dans la plupart des cas. Qui donc en attendrait autant de la part d'une élève de primaire?
Ensembles, ces trois soeurs donnent une alchimie unique, encore améliorée avec les fréquentations de chacune, donnant ainsi un certain piment à chaque journée qu'elles vivent.


Mes commentaires :

Les premières minutes ont suffit pour savoir que j'adorerai Minami-ke. Les personnages peuvent donner une impression de réchauffé (surtout l'hyperactive Kana en fait), mais la qualité n'en est pas moins au rendez-vous pour ce qui est de l'humour. Et les tentatives des garçons vis à vis des soeurs donnent des résultats à ne pas rater!
Graphiquement, le dessin est plutôt bien, et certains points sont particuliers, tel que les visages avec un air sérieux qui semblent sortis tout droit d'une autre série. Quant au coté audio, les voix font peut-être un peu caricatural pour les trois soeurs, et donnent tout de suite une certaine idée de leur caractère, mais ça reste bien joué. Rien à redire sur la musique.
Avec une dose inévitable de fanservice bien casé, une animation fluide et un panel de personnage relativement étendu pour une série du genre, ça ne peut-être qu'une série à ne pas rater pour tous ceux qui aiment les seinen comiques !




******************************




Bref, contrairement à ce que disait Simkim pour cette saison je pense bien qu'on peut trouver quelques trucs intéressants, tant qu'on cherche autre chose que de l'action à gogo. Sinon, ne laissez pas l'éclipse Gundam faire de l'ombre à toutes les autres séries, vous pourriez le regretter après coup.
Citation :
Thanks for visiting Stage6.

Unfortunately, Stage6 is temporarily
unavailable while we feed the hasmter
that powers the site. We hope to have
the hamster fed and back in his wheel
shortly.

Please check back soon.
Faut croire que le site ne m'aime pas.

De toute façon, jamais vu Macross, donc je n'ai pas trop la rage.


[edit]Ah, on dirait que le hamster a fini de manger. Quant à la vidéo elle-même, j'imagine qu'il y a bien de quoi faire rêver les fans de la salle, c'est joli. Même s'ils savent toujours pas quand ça va sortir.
Citation :
Publié par Rafa
j'imagine qu'il y a bien de quoi faire rêver les fans de la salle, c'est joli. Même s'ils savent toujours pas quand ça va sortir.
Printemps 2008 a priori

-Sergorn
Répondre

Connectés sur ce fil

 
1 connecté (0 membre et 1 invité) Afficher la liste détaillée des connectés