[RP en Groupe] Le Chasseur de Primes.

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[hrp] Vous postez vachement vite les gens x) [/hrp]

Djone, après être descendu du comptoir, s'assit sur une table proche et entreprit de nettoyer sa lame. Il avait pris un nombre de coups important pendant la courte bataille —on voyait encore des flèches dépasser de son mollet droit— mais sa technique très développée du Sla'chsitt lui permit de récupérer sans trop de peine.
Après avoir rangé son arme et entendu les paroles de Sacav' et Archion, il dit d'une voie calme:


- Mes amis, je pense qu'il ne faut pas s'impatienter; si notre débiteur ne nous donne pas plus d'informations, c'est qu'il a sûrement une raison; avouez que jusqu'à présent la difficulté dépassait laborieusement le néant, or il nous a promis une quête dangereuse et lucrative... En revanche je pense que nous avons beaucoup à apprendre de cet écaflip mystérieux !
Iopo regarda d'un air interrogatif le petit Eniripsa monter dans une chambre, regarda Origame, puis de nouveau l'Eni qui ouvrait la porte.
La question de Sacavinasse l'intéressait tout de même... Pourquoi gagnerait-elle de l'argent, si c'est pour une mauvaise cause ?
Les arrivées d'Archion et de Djone fixèrent son choix et elle décida d'aller voir le disciple d'Eniripsa après. Quelle importance, de toute façon... Elle le connaissait à peine, peut être avait-il une tête de déterré chaque fois qu'il atteignait un objectif.
La Iopette alla vers la petite Sadidette et s'assit à côté d'elle, tout en regardant Origame et en écoutant ce qu'il pouvait avoir à dire.
Citation :
Publié par @z'-
- Mes amis, je pense qu'il ne faut pas s'impatienter; si notre débiteur ne nous donne pas plus d'informations, c'est qu'il a sûrement une raison; avouez que jusqu'à présent la difficulté dépassait laborieusement le néant, or il nous a promis une quête dangereuse et lucrative... En revanche je pense que nous avons beaucoup à apprendre de cet écaflip mystérieux !
peut être, mais moi, quand je remplis un contrat je le fais au mieux et pour cela j'ai besoin d'avoir tous les éléments sur mon doigt. raison ou pas de raison, cette explication sera déterminante pour la suite de ma participation à la mission...

J'acquiesse cependant, nous n'avons juste qu'à nous évader... cela ne va pas casser 3 pelles à un coincoin... cela montre pour autant la volonté de coopération de certain dans notre entreprise.
Jiyaa et Kiavu rejoignirent enfin la petite assemblée plus ou moins amochée dans la taverne, et s'installèrent parmi eux. Les boucliers du féca avaient parfaitement fonctionnés et ils étaient indemnes.

Jiyaa appréciait les surprises de ce genre et elle lança un sourire réjoui à Origame, tout en répondant à la phrase de Saca qu'elle avait entendu en entrant:

"Un contrat, un contrat... Que de formalités ! Tu vas l'avoir ton argent vieux grigri, en attendant profite ! Quoi de mieux que se faire prendre en embuscade ? Ca met un peu de vitalité dans ta vieille existence, non ?"

Sans laisser le temps de réagir au maitre énutrof qui n'avait sans doute pas apprécier la réflexion, elle enchaina: "Mais bon, j'avoue qu'il n'est pas très agréable de se faire balader comme ca sans savoir ou on va à long terme.. Même moi qui suis sacrieuse, se faire dominer de cette manière ca ne me plait pas vraiment... N'est ce pas Origame ?"

Derrière elle, Kiavu eut un sourire fugace.
Un récent décret royal avait pourtant interdit l'utilisation des runes de transports, à cause de la pression des producteurs de zaaps, pensait Origame en arrivant de manière fulgurante dans la taverne. Heureusement, il se faisait tard, et à part une serveuse effrayée, personne ne s'y était attardé. L'esprit d'équipe n'avait pas l'air d'être le fort du groupe et Origame en était désolé, et il devait arranger tout ça. Mais pour le moment, il devait certainement des explications à ses compagnons.

-Bien, pendant que tout le monde se soigne, j'ai quelques choses à vous dire. Nos commanditaires sont de riches propriétaires de Sofokia et de Pandala, si ils ne m'ont pas menti. Apparemment, ils craignent pour leurs vies et se sont réfugier dans le village d'Amakna, dans un lieu connus d'eux seuls. Je ne sais pas qui, ni quand, mais je sais qu'un ou plusieurs assassins ont été dépêchés pour les assassiner, pour une sombre affaire d'argent. Ma...Notre mission consiste donc à les trouver, et les mettre hors d'état de nuire. Bien entendu, nos commanditaires sont immensément riches et plus le danger sera grand, plus la récompense sera bonne. Mais le fait est que je n'ai aucune idée de l'endroit où ils sont, si ce n'est que j'ai un contact à Bonta qui semble-t-il a des informations. Nous iront donc mener l'enquête à Bonta dans deux jours...un peu moins maintenant. Mais le plus important est de savoir que ma présence ici étant désormais connue de tous, nous sommes en danger. Et si mon instinct et mon expérience ne me mentent pas, tant que nous n'auront pas accompli notre mission, nous n'auront plus de répit...Je propose donc...

-Tu ne proposeras rien, étranger !

Origame, coupé au milieu de son discours, mis un certain temps avant de se rendre compte que la voix venait de l'entrée de la taverne. Un homme portant fièrement les attributs de Iop sur son armure étincelante était entré dans celle-ci. Il s'agissait d'Irigor Cania, l'arrière-arrière-arrière petit fils du fameux général qui avait donné son nom à la plaine, au Sud de Bonta, qui était aujourd'hui le capitaine de la garde rapprochée du roi.

Au même moment, une dizaine de gardes d'élite armés jusqu'aux dents entrèrent dans la pièce, attachèrent Origame et l'emmenèrent vers la sortie de la taverne, sous les yeux de ses compagnons. Tandis qu'Origame lançait un regard remplit d'incompréhension vers les membres de son groupe, le capitaine Cania reprit la parole :


-Etranger, Nous t'arrêtons pour le meurtre du maire d'Astrub, alliée et amie fidèle du royaume D'Amakna. Tu es condamné à mort. Ta sentence sera exécutée dans deux jours, à l'aube.

Chapitre Premier : fin
Chapitre Deux : l'assassin ?
L'Osamodas était accoudé au bar. Il observait la scène du coin de l'oeil lorsque les gardes arrivèrent. Il se retourna brusquement d'un air inquiet.
C'est là que l'un des gardes prit la parole :

-Etranger, Nous t'arrêtons pour le meurtre du maire d'Astrub, alliée et amie fidèle du royaume D'Amakna. Tu es condamné à mort. Ta sentence sera exécutée dans deux jours, à l'aube.

Il murmura :

- Et zut, ils l'ont eu avant moi ... Hum... j'ai plus qu'à aller le chercher directement à la prison...Mais avant, faut que je prévienne Xemnas ...

Juste après que les gardes quittent la taverne en emmenant Origame, il prit discrètement la direction de la porte.
Le bworky qui le suivait se retourna vers le groupe d'aventurier et passa lentement son doigt sous sa gorge en ricanant.
Archion voulut protester, mais les gardes l'en empêchèrent. Il parvint néanmoint à se dégager en se téléportant à l'autre bout de la pièce.


-Ecoutez, dit il aux gardes, je ne sais pas ce qu'il se passe, mais je suis persuadé que mon employeur est innocent...

-La ferme, vermine!! répondit le iop. Tu tiens tant que ça à le rejoindre?

- Ben puisque vous m'y faites penser...

Il esquiva le garde qui tentait de l'attraper, et après l'avoir rendu moins agressif au moyen d'une flammiche bien placée, traçât un glyphe d'immobilisation sur le sol pour se débarrasser de trois autres gardes et sauta par la fenêtre en criant:

-Ne vous inquiétez pas, je reviendrais!!!!
Désemparée, Iopo regarda avec des yeux ronds le capitaine, puis Origame.
Sans réfléchir, en bonne Iopette, elle prit la Sadidette dans ses bras et fonça chercher Kou.
'-Disciple d'Eniripsa, disciple d'Eniripsa !!! Viens vite !! '
Sans l'attendre, elle dévala les marches, déposa le Sadidette derrière elle et s'adressa aux gardes.
'-Pareille à mon compagnon Féca, je suis persuadée que mon employeur est innocent...
-Et pareille à lui, tu seras exécutée si tu oses te remonter contre le justice Amaknéenne !!'
Elle passa nerveusement la main près de la garde de son épée. Un regard vers Sireldia la dissuada de sortir la lame de son fourreau... La Iopette regarda donc, impuissante, Archion sauter par la fenêtre, attendant l'Eniripsa pour prendre une décision.
Sacavinasse assista à l'arrestation d'Origame. Accoudé au bar qu'il venait de retrouver justement, il fit semblant de ne prêter aucune attention à la scène pour que les gardes d'élite, qu'il ne connaissait que trop bien, ne le reconnaisse pas.

Une fois ceux-ci partis, sacavinasse prit la parole :
- bon et bien, j'ai l'impression que je vais retourner plus vite que prévu dans cette prison. Mais ne vous inquiétez pas, nous avons dressé un plan des couloirs la fois où nous avions libéré Uk. Toutefois, avant de penser à le libérer par la force, essayons de tirer cette affaire au clair. Je propose que nous nous séparions : un groupe ira enquêter à Astrub, un autre, de préférence un citoyen d'Amakna, devra aller voir Origame à la prison, voir s'il a une idée, et éventuellement d'autres ennemis... Je propose que nous fassions également de cette taverne notre lieu de rendez-vous a priori je resterais ici pour centraliser les informations.

reprenant sa chope, Sacavinasse attendit les éventuelles suggestions des aventuriers encore dans la pièce.
Notre paladin préféré n'avait observé que le chef des miliciens pendant toute "l'arrestation", et après qu'ils furent parti il ramassa ses affaires et se leva. Mais en entendant les paroles de Saca, il fronçât les sourcils et prit la parole:

- Attends attends, tu comptes faire quoi là? Dans l'hypothèse ou le maire serai mort, comme ces hommes le prétendent, tu comptes t'attaquer à la loi et monter un plan d'évasion pour un homme que tu connais depuis une heure et dont tu ignores la destination? T'es un roublard ou quoi? Enfin la question ne se pose pas; ceci est forcément une mise en scène. Je reviens d'Astrub –il y a 3 heures, en zaap– et le maire était bel et bien en vie; pour preuve il m'a confié une lettre que je doit porter à son neveu... Bref, je doute qu'Origame ai pu réellement assassiner un homme aussi important, aussi discrètement, et après venir à la taverne d'amakna nous proposer un contrat mystérieux en si peu de temps: tout cela est illogique et absurdement louche...
Je propose donc de rattraper ces pseudo-miliciens, les mettre hors d'état de nuire et torturer leur chef afin d'avoir des informations rapidement. Ce qui en sont me suivent tout de suite; si mes craintes sont confirmés le temps nous est compté...


Sur ces mots, il décrocha son épée, attacha son bouclier à son bras gauche et se dirigeât vers la sortie à grands pas.
Jiyaa réagit aussitot en attrapant le sacrieur par le bras.

"Hep hep hep 2 minutes toi ! Tu peux vouloir aller te mettre dans le pétrin, mais ne nous y entraine pas tous ! Les gardes ont bien vu que tu étais avec nous, si tu te fais tuer on va tous se retrouver au trou."

Jiyaa continua sur sa lancée:

"Alors avant de jouer les héros téméraires pour plaire aux dames, tu vas attendre bien sagement ici que d'autres se décident à venir avec toi, histoire d'être surs de gagner."

"Enfin à vrai dire tu as peut être raison, et ces gardes n'en sont pas. Mais plutot que de les massacrer je propose de les suivre discrètement et d'en apprendre un peu plus sur leur compte. On ne peut jamais être surs que leur chef dira tout, ils ont le crâne dur ces miliciens et il n'en sait pas forcèment plus que nous."

Elle ajouta avec un sourire :"Un peu de finesse que diable !"
Pendant ce temps là, l'Osamodas que personne n'avait réellement remarqué pour l'instant, ce qui l'arrangeait plutôt, se dirigeait vers Madrestam. Après 10 petites minutes de marche, il arriva près du port. Devant lui se dressait une petit bâtisse usée par le temps, dont les volets délabrés claquaient au vent. Il s'approcha de la porte et frappa trois coups. Un vieux pandawa vint ouvrir la porte, et sans même le regarder le fit entrer dans la bâtisse.

- Assieds-toi, Mekna.

L'Osamodas s'assit sur un vieux tabouret en frêne.

- Xemnas, les sbires de Kratos l'ont attrapé.

- Kratos..grmbl...tu es sûr ?

- Sûr, non, mais je ne vois pas qui d'autre aurait pu faire cela.

- Pas mal de monde veut sa peau, tu sais. Certains pour l'argent, d'autres pour l'honneur d'attraper le célèbre Origame, mais encore quelques-uns pour notre cause...

- Vous avez un plan maintenant ?

- Nous devons d'abord nous débarrasser de ses acolytes, ils vont tenter de le retrouver, c'est certain. A toi tout seul, tu ne pourras tous les éliminer. Je vais te chercher une équipe, et d'ici demain soir, plus aucun de ses amis ne respirera...

- Bien ...

Mekna se leva du tabouret et lentement monta les escaliers spiraux qui menait à un étage quasiment vide, où seule un lit et une étagère était placés. Il s'allongea sur le lit, et ferma les yeux ...
Appuyant les dires de Jiyaa de hochements de tête, Kiavu ne semblait apparemment pas pressé de mettre sa vie en jeu pour un étranger.
S'adressant au sacrieur il lui dit:
"c'est bien beau de vouloir nous entraîner là dedans, mais si il s'avère que tu te trompes et que ces gardes en soient vraiment, nous n'aurons plus jamais l'occasion de remettre les pieds ici, et nous aurons je ne sais combien de sérianes et autres chasseurs de tête aux fesses.
D'ailleurs cette prime était elle vraiment intéressante pour risquer une telle bévue? Le mieux serait effectivement de les suivre, discrétement"
- Je n'crait pas les sérianes. Vous en avez peur? Restez donc au chaud dans la taverne, je ne désire pas m'entourer de lâches. Ces hommes de sont pas des représentants de la lois, ça saute aux yeux! Je n'ai pas envie de voir cet étranger mourir pour la seule raison que vous voulez faire une commission d'enquête avant de partir...
Après un temps, il ajouta
- Je pense que nous pouvons gagner facilement à deux; ne venez pas j'aurai une plus belle prime, huhu.

Et sur ces mots il dégageât son bras de l'étreinte de Jiyaa et franchi le seuil de la porte.
Kou', qui était resté en haut, n'avait rien vu de la scène, et en descendant, il ne s'attendait pas a trouver la taverne vide.

-Et c'est quoi encore que ce foutoir ?!

Puis il remarqua Iopo, qui lui raconta toute l'histoire, et Kou' comprit aussi tôt. Il avait beau être jeune, le nom d'Origame ne lui était pas inconnu, et il savait que lorsqu'il parlait de gains, il y en avait beaucoup.

L'argent attire les faibles et fait grandir leur colère, c'était probable qu'il soit attaqué.

Il sortit de la taverne et se mit a courir derrière les gardes, demandant a Iopo de le retrouver a la banque d'amakna dans deux jours, après quoi ils chercheraient les autres.

-Il fait chier d'être aussi connu quoi. :/ Pensa Kou'
Sireldia n'avait pas tout suivis des scènes qui venait de se dérouler devant ses yeux, mais elle avait compris une chose, et ceci était bien clair pour elle : Origame était en danger. Pendant que les "vieux", comme elle les appelait, bavassait à savoir ce qui fallait faire elle sortis de la taverne et suivis les gardes discrétement, elle n'était encore qu'une enfant et les gardes ne l'avaient pas remarquer.

La petite sadidette chercha dans sa sacoche quelque chose et y sortis une petite poupée, elle la déposa par terre et lui dit :

- Rapproche toi d'eux mais shttt
Portant un doigt à sa bouche elle poursuivis :

- Tu seras mes oreilles et seule moi pourra entendre le son de ce que tu me feras parvenir, alors sois prudente et je compte sur toi !

Sur cette dernière parole la poupée courra jusqu'au gardes mais resta à un pied d'eux, histoire d'entendre ce qu'ils disaient mais sans se faire remarquer

un des gardes : - héhé on l'a eu ! ses compagnons n'ont portés aucune résistance (rire), quels nigaud !

s'adressant à Origame : - Tu les as mal choisis mon vieux ! et dans deux jours tu mourras ! (rire à nouveau)
Kou' était sur le toit, et observait les gardes, ses ailes d'eni étaient repliés sur lui, et ses ailes d'anges étaient quand a elles, dépliées.
Peut-être était-il le seul eni d'amakna a posséder deux paires d'ailes, dont une disparaissant a volonté?
Il avait assisté a a la scène avec Sireldia.

-La piote s'y met aussi alors? Murmurat-il.

Il rendit la poupée invisible, et envoya un message mental a Sireldia.

-N'aie pas peur, c'est Kou', et c'est moi qui ai fait disparaître ta poupée. La petite baston dont je t'ai sortie tout a l'heure m'a fait du bien, et j'ai retrouvé mes ailes blanches, ainsi que mon pouvoir de télépathie. Reste cachée la, quand ils seront partis, ta poupée les suivra, et je te rejoindrais, tu est prête a risquer ta vie pour sortir un bandit très célèbre dans Amakna, et passer pour complice, alors que tu ne le connais -et pas entièrement- depuis quelques temps seulement ?
Si oui, prépare toi a devenir une ennemie public, et a risquer beaucoup de choses.
HRP/ oula sva vite^^ /HRP

Sacavinasse avait obtenu l'effet souhaité. Les autres sortis de la taverne, il pouvait en paix être libre de les observer. Il fit le récapitulatif des choses à faire, déjà, observer les autres et enchanter discrètement des parchemins avec leurs auras, et puis, cela ne ferait pas de mal d'en savoir plus sur ce pseudo assassinat... enfin, il allait avoir besoin d'aide pour tirer son commanditaire des griffes de la garde... un petit tour pour recruter dans sa cité serait assez opportune...

Tout le monde était sorti, Sacavinasse finit d'un trait sa bière, sortit un parchemin de son sac, et l'ouvrant, disparut comme par enchantement. à la sortie de la taverne, il observa le petit manège de la sadida, invisible et vis sa poupée disparaître. Il enchanta un parchemin de son aura.
Sacavinasse commença la liste de ses tâches par rendre visite à sa cité. là-bas, il se rendit à la milice voir Oto Mustam, l'instructeur des jeunes recrues brakmariennes.

- Salut Oto !
- Maljour Sacavinasse. Que puis-je faire pour toi ? Comment va Brumaire ? ça fait longtemps que je ne l'ai pas vu, dit-il avec un ton sardonique.
- Oh tu sais on ne le voit pas des masses ce vieux Brumaire d'ailleurs ça fait un moment qu'il aurait dû me donner du gallon, être de ton grade aussi longtemps finalement ce n'est que bon pour toi...
- Je vois que tu n'as pas perdu ta langue de vipère Pocheàgnole (merci à Farmerus pour ce trait d'humour^^) que veux-tu ? plus vite je t'aurais renseigné, plus vite tu seras parti.
- J'ai une affaire importante, je cherche Orsa. tu sais où est ton boss ?
- t'as de la chance, il est à la cuisine. va-y c'est ouvert.

Sacavinasse descendit à la cuisine et il y trouva Orsa en train d'ajouter des ingrédients peut recommandable dans un pot qui bullait sur le feu.

- Malsoir Orsa.
- Malsoir Sacavinasse. quel vent t'amènes ?
- Hum, j'ai besoin d'un service Orsa. Actuellement, je suis me suis fait embaucher au service d'Origame avec la promesse d'une récompense. cela dit, il vient de se faire embarquer par la garde d'Amakna sous prétexte d'un meurtre qu'il n'a sûrement pas pu commettre.
- Ah, le meurtre du maire d'Astrub. cette vieille balance a eu son compte.
- C'est toi qui a fait faire ça ?
- Non, non, enfin tu sais bien que je t'en dirais rien si je le savais. D'ailleurs, c'est quoi ce service ?
- Ah, j'ai besoin de main d'oeuvre pour libérer ce gars. ben ouais, logique si ya plus de gars ya plus de récompense... Tu pourrais me préter quelques Chaffer d'Elites s'il te plait ? Je pense qu'en échange, enfin tu connais mes talents... je suis sûr que je pourrais te rendre un petit service. Normalement, il est prévu que j'aille à Bonta dans 2 jours, si on sauve le type, je peux peut être t'y être utile... pour cette fois.
- Ok, marché conclut. J'ai un espion en poste à Bonta... je crains qu'il n'ai eu la langue trop pendue. tu l'exécuteras.
- ça va te coûter cher l'élimination d'un garde bontarien Orsa.
- Oui bon ... bon...
*voyant la mine de Sacavinasse résolut à ne pas tout faire contre l'échange d'un détachement de Chaffer d'Elite*
- Ok
*fouillant dans la poche de son pardessus*
- tiens voilà un parchemin, bref, tu l'ouvres, tu le lis et pouf, des Chaffers d'Elite...
- Merci Orsa. Et pour le traître ?
*Orsa donna un deuxième parchemin à Saca*
- Tout est marqué la dedans.
- Je prendrais connaissance de cela et te ferais signe lorsque je l'aurais réalisé. D'ici là, malsoir à toi.

Sacavinasse s'en alla par les landes de sidimiote vers Astrub...
Kou' descendit au pres de Sireldia.

-J'ai regardé dans la taverne, le vieux n'est plus là.. va rejoindre Iopo.. je la sens mal cette libération.

Puis il se dirigea vers la prison d'Astrub, là ou Origame était censé être enfermé.

-Et merde, comment je le sors de là.. va falloir taper le gardien..

Et kou' entra calmement dans la prison, et adressa un rapide clin d'oeil a Origame avant d'être interpellé par le gardien :

-Hep, petit, tu fais quoi là ?!
-D'une, je ne suis pas petit, de deux, je suis pas certain de devoir avoir une médaille plus lourde que moi, qui me pendrait autour du cou pour entrer.
-Et tu te prends pour qui, hein, petit?

La main de Kou' se mit a rayonner du même bleu que lors de l'affaire avec l'ecaflip.
Il plaqua la main sur le plastron du garde, et hurla, ce qui fit littéralement exploser l'armure argentée.
Kou' pensait avoir réglé son compte au gardien, qui s'en sorti finalement avec une simple brûlure au torse. Il était coriace, très coriace.

-Tu est mal, petit.. très mal..
-Reves toujours !

Lanca Kou', juste avant de faire glisser une baguette hors de sa manche, et la pointa vers le gardien, et un éclair de feu jaillit, pour aller brûler vif le garde.

-Creeeve !

Le garde se jeta sur Kou', et ce dernier n'eut que le temps de se préparer à recevoir un coup surpuissant.
Le petit eni décolla littéralement, avant de s'écraser sur le mur de la prison, le garde, alors fier de son acte, s'approcha de Kou'.
Il n'aurait jamais du.
La douleur avait donné naissance a une colère énorme, et l'eni cria.
Un lame d'un bleu turquoise, presque transparente était apparue au creux de sa main, et s'était plantée dans le torse du gardien.

-Allez je te sors de là.

Et kou' s'effondra.
Un garde a l'extérieur avait entendu les cris, et était entré.
Il avait assommé Kou', et l'enferma dans la cellule voisine a celle d'origame.

-Désolé ori.. je crois que Sacavinasse va venir.. il te libérera probablement pour la prime, quand a moi, je suis bontarien, et je doute qu'il se conduise en gentleman.
En bon brakmarii, il ne refusera sûrement pas une proie enchaînée comme moi..
Sireldia avait écouté ce que lui avait dis Kou' l'eni, mais elle ne voulait pas rejoindre Iopo ! c'est pas parce qu'elle avait 12 ans qu'il fallait forcément être au coté d'autre gens pour la protéger, elle se disait que c'était pas nécessaire, qu'elle avait déjà vécu seule et dans des milieux hostiles

Elle fredonna pour elle seule : désolée mais je compte observer un peu tout ça avant de faire quoique ce soit d'autre.

Elle suivis Kou' jusqu'à l'entrée de la prison mais n'y entra pas, elle appela sa poupée et à nouveau celle ci fus ses oreilles, elle comprit bien vite que Kou' avait échoué, tristement elle fis une grimace qui semblait vouloir dire qu'elle était déçue. Puis elle hocha les épaules, sortis de son sac un tissu qui semblait contenir quelque chose et le donna à sa poupée qui alla immédiatement le donner à Origame
Après être sorti de la taverne, Djone suivi l'escorte d'Origame jusqu'au pont de la prison, ou il patienta quelques instants. Après avoir attendu plusieurs minutes, un garde se détacha enfin du groupe, puis disparu l'instant d'après. Les autres miliciens ne le remarquèrent pas.

Le sacrieur, après avoir lancé une attirance et une punition sur sa victime, la réveilla à grands coups de claques pour la questionner sur son identité. Il appris qu'il s'agissait bien de miliciens d'Amakna, et qu'il comptaient le transporter en "zone sûre" le lendemain. Après l'avoir dépecé et absorbé tout son sang, il enfila l'armure et le casque du garde, puis fît d'étranges signes avec ses mains. Une forme squelettique sortie de l'ombre juste à côté de lui, à laquelle il murmura:
Tue le prochain et disparaît...

Un oeil avisé aurait vu des bandes rouges autour de l'un des gardes du groupe, assimilables au sort coopération, mais aucun des miliciens ne regardait vers les maisons alentours, trop occupés à récupérer les objets d'Origame et à l'enchaîner. Le-dit garde se rapprocha des autres et s'affaira innocemment avec sa Halebarde. Quand les miliciens se décidèrent enfin à traverser le passage vers la prison pour livrer leur captif, ce fut lui qui resta à l'extérieur.

Ce fut aussi lui qui assomma Kou par la suite, après quoi il mis le garde survivant sur son épaule et l'entraîna dans un coin reculé de la prison. La lueur d'une folie sanguinaire luisit sur le thorax de la malheureuse victime. Djone retourna ensuite au poste de l'autre milicien, et s'adossa au mur devant la cage de Kou, lui faisant face.


L'éniripsa, après s'être lamenté sur son sort de bontarien, se rendit compte qu'il avait une feuille de papier coincée dans son col. Il la récupéra en faisant une moue étonnée et y lit:


Citation :
-Ne t'inquiètes pas, je pense que les autres arrivent. J'en ai tué 3, il doit en rester une vingtaine. je suis juste devant toi. Désolé pour le reste.
Djo'
Arrivant vers Astrub, Sacavinasse savait que ces concitoyens n'étaient pas forcément les bienvenus dans le village. les combats entre ennemis et mercenaires faisaient rage. Il utilisa donc un parchemin de camouflage car il ne voulait pas faire de remous.

Il se mit ensuite en quête de Sireldia, la petite sadidette était, par son aura, le seul moyen dont il disposait pour retrouver les autres. Il se dirigea donc vers la prison en suivant les indications du parchemin. Il la trouva à l'entrée en train de fouiller dans son sac puis d'en sortir une poupée en chiffon qui se rendit dans la prison. C'était donc là que se trouvait certainement Origame. Il décida d'entrer discrètement afin de ne pas alerter les gardes. Après tout, il était en guerre contre les bontariens et même si égorger un ou deux astrubiens n'allait pas contre ses principes... cela prenait du temps, et le temps comme chacun sait, c'est des kamas.

Evitant les 2 gardes de l'entrée qui roupillait malgré tous le vacarme à l'intérieur et qui ne voyait pas la poupée passer entre leur jambe, ça ressemblait à si méprendre à quelques mots de silence ou autre maladresse de masse, Sacavinasse entra dans la pièce au moment où Kou parlait à Origame.

Citation :
Publié par Kou'|Jiva
- Désolé ori.. je crois que Sacavinasse va venir.. il te libérera probablement pour la prime, quand a moi, je suis bontarien, et je doute qu'il se conduise en gentleman.
Il pensa, "héhé tu croies pas si bien dire. cependant, tu te surestimes. tu vaux pas des clopinettes sur le marché des primes brakmariennes... je croie que tu pourras habilement me servir à récupérer cette prime... et puis si elle n'est pas à la hauteur de mes attentes peut être que doublerais la mise en te livrant à Orsa. Ma prime, ta prime, la prime sur ta tronche... voilà qui serait intéressant. mais d'ici, là, il faut délivrer Origame, aller à bonta,... Un énipirisa sera plus que nécessaire."

Quelque chose l'intriguait. Il semble que Kou' venait de trouver un message dans son col. A cet endroit, il semblait donc que quelqu'un avait placé ce message... Quelqu'un d'autre que la sadidette devait oeuvrer pour les libérer... Profitant de son invisibilité, il enchanta des parchemins des auras d'Origame et de Kou', puis alla fouiller les recoins de la prison. Dans un coin sombre, il trouva un garde, probablement vidé de son sang. Il le fouilla et trouva une clé. (HRP/ AHAHAHA toujours fouiller les gardes, ils ont toujours la clé ces cons^^ /HRP)

C'était à n'en pas douter la clé de la prison. Vérifiant que de nouveaux gardes n'arrivait pas, il alla ouvrir les portes de la cellule d'Origame, ce qui eu pour conséquence de le rendre visible. Elle s'ouvrit sans difficulté. Le pauvre semblait évanouit dans sa cellule, les bras enchaînés et son corps pendant... Ne possédant pas de talents de soigneurs et voulant faire le moins de bruit possible, il ouvrit discrètement la porte pour aller ôter les chaînes... malheureusement, cette clé n'était pas la bonne. Il la tendit dont promptement à Kou' tout étonné de voir le brakmariens apparaître en ouvrant simplement la porte avec une clé :
- tiens, délivres-toi et vient vite soigner Origame. Comme tu le vois il en a besoin...

Sacavinassa attendit que Kou' s'exécute...

'-CA VA CHIER !!!'

La Iopette bondit dans le cellule, chargeant. Elle manqua de peu le nez de Sireldia et perdit l'équilibre en voulant arrêter son geste. Le nez dans la poussière, elle poussa un profond soupir et se releva d'un bond.

'-Je vois que vous avez été plus rapide que moi... J'aurais essayé !!'

Elle épousseta ses vêtements. On pouvait remarquer de profondes entailles sur son corps, de plus, sa tunique était déchirée. Elle sourit et s'effondra, couverte de sang.
Jiyaa, sacrèment vexée par la décision de Djone, sortit à sa suite avec l'intention de lui donner une bonne leçon quant à la galanterie sacrieuse, mais Kiavu la retint par quelques mots bien placés. (HRP: Tu parles )

Après un court conciliabule, ils décidèrent de se rendre à Bonta, car ils se doutaient bien qu'entre Djone et les autres, ils finiraient bien par libérer Origame. Autant prendre de l'avance sur la suite, et aller d'une à la bibliothèque pour enfin se renseigner sur le plus-pour-longtemps prisonnier, et de deux attendre leurs compagnons pour tenter de mener une action un peu plus claire et coordonnée que jusqu'à présent.

En effet Jiyaa commencait à comprendre que l'aventure était plus sérieuse qu'à première vue, et qu'elle s'était peut être embarqués dans quelquechose de trop dangeureux pour des individus isolés. Et si il y avait bien une chose qu'elle voulait éviter, c'était mettre en péril la vie de Kiavu, car c'était elle qui l'avait entrainé à sa suite. Elle le savait plus puissant qu'elle, mais un homme n'est jamais infaillible.

Ils voyagèrent en une seule journée, préférant utiliser tous les deux la dinde de Kiavu, car les zaaps étaient surveillés par les autorités d'Amakna, à cause des nombreux hors la loi recherchés, et ils préféraient qu'on n'enregistre pas leur petite visite dans la cité mère. Arrivés là bas, ils ne prirent pas le temps de passer chez eux pour s'empresser de vérifier quelques informations à la bilbiothèque. Néanmoins avant de partir, Jiyaa laissa à la taverne un message à l'adresse de Kou, qui lui paraissait le plus dégourdi de ceux qu'elles avaient rencontrés jusque là, et en qui elle avait un minimum confiance. Même si la taille comptait.

Elle pris dans le fourreau de son épée une grande plume rouge vif, qui vu son état avait depuis longtemps quitté le derrière du corbac malade à qui on l'avait arraché, et se la plantant tranquillement dans le bras, commença à écrire de son sang un mot rapide à l'adresse de l'éni.

Citation :
Les choses avancent, nous les devancons. Retrouvez nous dans la cité blanche, je pense que tu sauras nous joindre le moment venu. Pour le brakmarien, j'espère pour lui qu'il a quelques dons d'espion.

Jiyaa
Elle scella rapidement le parchemin par un chatiment de force, qui repousserait quiconque autre que Kou s'approcherait du message. Elle espérait qu'après avoir délivré Origame, les autres repasseraient par la taverne. Au pire, elle tenterait de contacter l'éni chaque jour, sachant qu'elle ne pourrait lui parler qu'une fois qu'il serait arrivé à bonta.
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