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Je suis en train de lire "Flash, ou le grand voyage"de Charles Duchaussois.
Ce n'est pas un écrivain, il n'a écrit que ce livre autobiographique, mais c'est intéressant et ça se lit bien, surtout si on aime l'univers psychédélique des 60's, les histoires de voyages en Orient et jusqu'à Katmandou, la mecque des hippies et des junkies à l'époque... Un témoignage qui nous emmène et nous fait voyager dans cet univers et cette époque à jamais révolus, le temps de sa lecture.

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4ème de couv :
De Marseille au Liban, d'Istanbul à Bagdad, de Bombay à Bénarès, en bateau, à pied, en voiture, Charles peu à peu se rapproche de Katmandou, le haut lieu de la drogue et des hippies. Sa route est jalonnée d'aventures extraordinaires. A Beyrouth, il s'associe à des trafiquants d'armes, il participe dans les montagnes du Liban à la récolte du haschich. A Koweït, il dirige un night-club. Au Népal, il devient pendant quelque temps le médecin et le chirurgien des paysans des contreforts de l'Himalaya. C'est enfin l'épisode de Katmandou et l'évocation saisissante de l'univers des drogués : l'opium et le haschich qui font "planer", le "flash" de la première piqûre, le "grand voyage" du L.S.D.
Jamais peut-être un homme, sauvé in extremis, n'était allé aussi loin et avait pu retourner pour dire ce qui se passe tout là-bas.
Citation :
Publié par Siam
Je suis en train de lire "Flash, ou le grand voyage"de Charles Duchaussois.
Ce n'est pas un écrivain, il n'a écrit que ce livre autobiographique, mais c'est intéressant et ça se lit bien, surtout si on aime l'univers psychédélique des 60's, les histoires de voyages en Orient et jusqu'à Katmandou, la mecque des hippies et des junkies à l'époque... Un témoignage qui nous emmène et nous fait voyager dans cet univers et cette époque à jamais révolus, le temps de sa lecture.

9782253000143-G.jpg

4ème de couv :
De Marseille au Liban, d'Istanbul à Bagdad, de Bombay à Bénarès, en bateau, à pied, en voiture, Charles peu à peu se rapproche de Katmandou, le haut lieu de la drogue et des hippies. Sa route est jalonnée d'aventures extraordinaires. A Beyrouth, il s'associe à des trafiquants d'armes, il participe dans les montagnes du Liban à la récolte du haschich. A Koweït, il dirige un night-club. Au Népal, il devient pendant quelque temps le médecin et le chirurgien des paysans des contreforts de l'Himalaya. C'est enfin l'épisode de Katmandou et l'évocation saisissante de l'univers des drogués : l'opium et le haschich qui font "planer", le "flash" de la première piqûre, le "grand voyage" du L.S.D.
Jamais peut-être un homme, sauvé in extremis, n'était allé aussi loin et avait pu retourner pour dire ce qui se passe tout là-bas.

Un très très très bon bouquin, un de ceux qui m'a le plus marqué dans ma jeunesse.
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Ecoute, j'ai été enfant de choeur, militant socialiste, et bistrot. C'est dire si j'en ai entendu des conneries...


Michel Audiard

J'ai fini le 13eme tome de l'Assassin Royal :'(

J'arrive pas a me rentrer dans le crane que c'est fini.
Qu'on ne suivra plus l'histoire de Fitz :'(

Ca me fou les boules.
Citation :
Publié par Arty
J'ai fini le 13eme tome de l'Assassin Royal
Il y a un 13ème volet ? J'ai les 10, 11 et 12 chez moi que je n'ai pas encore lus, mais je n'avais pas vu de 13. Tu es sur que tu ne t'es pas arrêté sur le 12 ? Il termine "définitivement" l'histoire de Fitz ?

En ce moment, lecture facile et rapide pour se détendre de la guerre de la Reine Araignée, dans les Royaumes Oubliés, dernière sexalogie parue. Nan, ça parle pas de sexe avec les Araignées, promis . Ensuite, j'attaquerai Ilium de Dan Simmons, remake de l'Iliade d'Homère version Simmons, ça promet .
Hexalogie.


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Aujourd'hui, je vais faire dans le jeune, le contemporain.

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Avec tout d'abord, une sorte de petit coup de coeur, parce que c'est jeune, un peu nouveau, qu'un ami y a participé, en somme parce que cela m'est hautement sympathique avant d'être littérairement intéressant.
C'est un recueil de nouvelles d'auteurs différents, sorte de variation sur un même thème : une femme, une fille, Daisy Nepsy. Le recueil s'intitule En attendant l'or, et c'est aux éditions du Cygne.
Je ne prétends pas que tout dedans soit excellent ou étonnant, mais l'ensemble vaut le coup d'oeil, car il ne relève pas de l'amateurisme. Le recueil est en lui-même organisé, offrant une certaine progression malgré la singularité des éléments qui le constitue.
Les auteurs sont jeunes, le personnage central aussi, autant dire que le thème fondamental est la jeunesse, comme éclairé par la lumière crue d'un néon. La chose n'est donc pas nécessairement très gaie, même si elle est parfois teintée de poésie.







Ensuite, un des grands succès de la rentrée, aux éditions Allia : Pâle sang bleu, d'Alizée Meurisse.
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L'auteur est photographe des Babyshambles, ce qui cadre assez bien avec le roman. Tout y est jeune, un peu déglingué, instable. A commencer par le style, qui saute de façon assez déroutante d'une instance d'énonciation à l'autre, qui alterne des trouvailles de comparaison, de poésie, avec parfois une certaine pesanteur, une maladresse, qui, étirée, confine parfois à l'ennui. Déglingué parce que le texte est, quant à sa construction, désarticulé, enchaînement de chapitres courts quasiment autonomes.
J'ai un problème, je ne veux pas être méchant avec ce roman qui raconte l'histoire de deux jeunes amants éperdus et au final malheureux, Manon et Johnny. Le problème, c'est que l'auteur se penche sur cette adorable histoire d'amour avec un brin d'étrangeté : il semble coller à ce roman comme un impératif d'actualité, de volonté d'être "dans le coup" ; alors on ajoute à l'histoire de base, assez sommaire, le pathos de l'enfance, des excursus théoriques parfois un peu ennuyeux, une misère - matérielle et humaine - dont l'auteur semble disserter (elle ne la relate plus, ne la décrit plus).
Au final, le roman qui me plaisait beaucoup au départ, en est venu à être plaisant, piquant, pour ainsi dire mondain et branché. Le style, que je considérais comme une trouvaille, apparaît alors comme un exercice un peu tarabiscoté (et sous ce jour, il m'a agacé). Mais je le répète, cela reste plaisant.
Citation :
Publié par Kelem Khâl La'Ri
Il y a un 13ème volet ? J'ai les 10, 11 et 12 chez moi que je n'ai pas encore lus, mais je n'avais pas vu de 13. Tu es sur que tu ne t'es pas arrêté sur le 12 ? Il termine "définitivement" l'histoire de Fitz ?

[...]


Vivi tome 13 en format poche, sortis en début du mois.
"Adieux et retrouvailles"


Le dernier des derniers pour Fitz :'(
Je lis Hypérion tome 2, j'en suis au début.
Tien j'ai une question.
Cliquez ce bouton ou survolez le contenu pour afficher le spoiler
Martin Silenus parle de sa muse qui est le gritche mais est ce que ça a été toujours le Gritche sa muse lorsqu'il était sur l'ancienne Terre et sur Heaven Gate?
Est ce qu'il connaissait le Gritche avant d'aller sur Hypérion à la façon du colonel Kassad?
Citation :
Publié par Weïg
La horde du contrevent écrit par Alain Damasio. Prix de l'imaginaire 2006

Un style, un scénario, un genre, plein d'originalités.
Je le pluss-que-recommande.
10ans que je n'avais pas ouvert un bouquin et comme j'ai du temps à tuer (jviens d'etre muté comme veilleur de nuit) j'ai voulu m'y remettre. J'ai donc commencer par le Da Vinci Code.. assez plaisant, facile a lire.. bref motivé pour enchainer.

Je suis donc prit La horde du contrevent. Et ptin, là c'est plus le meme niveau.. j'ai eu beaucoup de mal a certains moments, au tous début je me suis demandé si j'allais vraiment reussir a le finir et en fin de compte je ne regrette pas. Meme si j'ai trouvé des passages plutot indigeste (pour moi hein) Il reste magnifique. (haaaa.. Caracole et ses tirades memorable ou encore l'etonnant ou le detonnant Golgoth.. ).
Un livre que j'aurai grand plaisir a ressortir un de ces quatre.. quand j'aurai ma maitrise en linguistique et en philo :x

Là je suis sur La Huitieme couleur de Pratchett.. un pote ma passé les deux premiers, c'est plaisant, j'en suis à la moitié du premier mais apres La horde.. c'est presque fade (pas tapper les fans! j'en suis qu'au debut).

Voilà, jvé parcourir un peu ce post pour peut-etre trouver mon prochain.
Pour avoir reçu un email d'Alain Damasio, on peut dire que l'auteur a beaucoup de points communs avec Caracole.
Très bon livre même si parfois il y a des passages assez dur à suivre.
Je trouve Oroshi plus complexe que Caracole.
J'ai découvert récemment Jonathan Coe, auteur anglais, et... so British!

J'ai commencé avec La maison du sommeil (édition folio, sorti en poche) roman ayant pour thème central les troubles du sommeil.
C'est à la fois, une enquête, une description minutieuse de deux époques (je ne vous en dirait pas plus!), tout ça écrit avec classe, et dont la construction narrative m'a laissé en haleine jusqu'au bout.

Même si le dernier chapitre m'a un peu laissé sur ma faim, je conseille vivement!

Et ensuite j'ai enchaîné sur Bienvenue au club (folio, sortit en poche aussi), toujours du même auteur.

Je vous quote la quatrième de couverture pour vous mettre en appétit:
Citation :
Imaginez! l'Angleterre des années soixante-dix, si pittoresque, si lointaine, avec ses syndicats prospères et sa mode baba cool. Une image bon enfant que viennent lézarder de sourdes menaces: tensions sociales, montées de l'extrême-droite, et une guerre en Irlande du Nord qui ne veut pas dire son nom.
Mais dans ces années où l'Etat-providence laisse place au tatchérisme, Benjamin, Philip, Doug et leurs amis ont autres chose en tête: s'intégrer aux clubs de leur lycée, oser parler aux filles, monter un groupe de musique, s'échapper de Birmingham l'endormie pour des aventures londoniennes... Trop innocents pour saisir les enjeux et les intrigues qui préoccupent leurs parents. Jusqu'à ce que le monde les rattrape. [...]
Un livre quelque part entre les films de Ken Loach, Virgin suicide et The 70's show!

Un pur régal! (Meuh non je travaille pas pour Madame Figaro )

Une suite est sortie à celui là, Le cercle fermé, qui reprend apparemment les même personnages une décennie plus tard.
Je viens vous en dire le plus grand bien (ou pas) dés que je l'aurais lu!


EDIT: A propos de Flash, de Duchaussois.
Citation :
Un très très très bon bouquin, un de ceux qui m'a le plus marqué dans ma jeunesse.
Pareil quelle claque d'adolescente!
Je viens de finir ça :

http://www.scifi-universe.com/upload/medias/romans/poussiereLune.jpg

Citation :
Publié par La quatrième de couverture
Henry Meacher, géologue, travaille pour la Nasa. Ecarté des feux de la rampe par des collègues aux projets moins audacieux, il se rend à Edimbourg à reculons, où il est chargé d'étudier des échantillons de pierre lunaire. Quelques semaines après son arrivée, l'Ecosse connaît une activité sismique tout à fait inédite et qui prend peu à peu des proportions inquiétantes. Lorsque Henry découvre ce qui est à l'origine des bouleversements qui secouent bientôt toute la planète, c'est le début d'une course contre la montre : il lui reste à peine quelques semaines pour convaincre les gouvernements que la solution au cancer qui ronge la Terre se trouve... sur la Lune.

L'ensemble est sympathique. Ca commence comme un film catastrophe, et ça dérive ensuite gentiment sur la SF. Y a des bouts de science pas toujours digestes dedans (vu l'auteur, c'était prévisible), mais ça reste dans les limites du raisonnable et, surtout, du lisible. L'intrigue n'est pas trop mal menée, malgré quelques longueurs.
Malvil de Robert Merle

Citation :
La qualification de science-fiction peut être considérée comme réductrice, concernant ce roman, puisque seule la situation de départ (la destruction de la civilisation humaine par une explosion d'origine inconnue) rejoint le thème post-apocalyptique, alors très populaire en science-fiction. Tout le reste du roman raconte comment un groupe de survivants miraculés relève le défi de la reconstruction d'une société humaine.

Cette remarque peut s'appliquer à plusieurs romans de Robert Merle qui a su intégrer librement la science-fiction dans son œuvre sans en faire la source unique de sa production littéraire. On rattache ainsi souvent de tels romans au genre de la fiction spéculative, ou de romans d'anticipation.

De nombreux thèmes sont abordés dans ce roman : la religion, la politique, la place des femmes dans la société, le monde rural, le rôle du chef, certes sous l'angle d'une mini-communauté mais qui renvoient à notre société©wiki
arton126.jpg
Citation :
Publié par Rhivin
Je lis Hypérion tome 2, j'en suis au début.
Tien j'ai une question.
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Martin Silenus parle de sa muse qui est le gritche mais est ce que ça a été toujours le Gritche sa muse lorsqu'il était sur l'ancienne Terre et sur Heaven Gate?
Est ce qu'il connaissait le Gritche avant d'aller sur Hypérion à la façon du colonel Kassad?

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Non il ne connaissait pas le Gritche avant Après sur ce qu'est réellement sa muse avant son arrivée sur Hypérion avec Billy le triste, je ne me rappelle pas grand chose désolé



Sinon j'attaque ce soir avec un plaisir non feint le dernier Pennac
Oki merci de ta réponse
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Sinon le gritche c'est un sacré boucher.
Je comprend pas comment on peut aller volontairementvoir un être qui peut vous désosser vivant pour des motifs que l'humanité ignore.
Je viens de finir Le K, recueil de nouvelles de Dino Buzzati, et "de même" pour Une Vie de Maupassant.


Le K, c'est un bon recueil.
Il se lit bien, vite, le style d'écriture n'est en soit pas fantastique, mais ce n'est pas lourd.
Par contre, il ne faut pas le lire dans l'espoir de se remonter le morale avec une nouvelle joyeuse, ou je ne sais quoi d'autre... Buzzati arrive assez facilement à faire comprendre que la mort, les histoires d'amour qui finissent mal et les temps de guerre froide où il vivait, c'est son sujet.


Après, Maupassant.
Je suis grand fan de ses nouvelles. Elles ne sont pas toutes géniales, mais il y en a tout de même des qui valent VRAIMENT le coup.

Alors, aimant ses nouvelles, je me suis dit que j'allais tenter ses romans. Avec l'appui de ma prof. de litté, le choix est donc tombé sur... Une Vie.

Je vais faire bref : Les trois premières pages m'ont été indigestes. Les trois dernières molles.
Et celles du milieu... Je les ai survolé au point de ne plus m'en rappeler du moindre mot trois jours après.


Résultat : Les nouvelles de Maupassant, c'est bon, mangez-en.
Ses romans... Vous pouvez peut-être aimer - Si vous êtes professeur de langue -, mais personnellement, je suis loin de conseiller.
Et les nouvelles de Buzzati... Pour des "novices" en littérature, ça passe plutôt bien.
Hop je viens de termine La Raison dans l'Histoire de Hegel...
Et c'est vraiment fantastique (je voudrais pouvoir avoir une telle pensée )!

Alors si vous vous sentez le courage de le lire prenez l'édition 10/18 dont la préface, à elle seule, vaut le coup. C'est très bien fait après on peut se repérer facilement et surtout on a une vue globale (d'ailleurs dans son introduction Hegel lui-même dira qu'on ne comprendra pas totalement ou du moins qu'on ne verra pas sur quoi se fonde l'oeuvre avant d'en avoir eu une vision d'ensemble).

Si vous voulez lire de la philo je vous le conseille. Persévérez vous verrez à quel point c'est gratifiant!


Bah sinon personne n'a lu le goncourt pour dire si c'est bon ou mauvais (parce que bon certaines fois je me demande comment ils attribuent le prix ) ?
La Naissance de la Tragédie, de Nietzsche.

Je regrette de ne pas l'avoir lu plus tôt, ça bouscule quelque peu ma vision de la tragédie antique et par extension ma vision de l'art musical, et l'art en général.
Citation :
Publié par Saint Angel
La Naissance de la Tragédie, de Nietzsche.

Je regrette de ne pas l'avoir lu plus tôt, ça bouscule quelque peu ma vision de la tragédie antique et par extension ma vision de l'art musical, et l'art en général.
Si tu veux vraiment approfondir sur la tragédie, il y a un ouvrage qui fait vraiment autorité dans la mesure où il reste considéré comme le plus abouti à ce sujet:
La tragédie grecque de Jacqueline de Romilly

Je trouve que ça complète bien le travail de Nietzsche sur le sujet. J'ai passé un bon mois et demi sur la tragédie et je te promet que ça change totalement la vision sur le genre.


Ps: Ma tragédie préférée reste Médée (Euripide ou Sénèque) car je trouve que c'est celle qui va le plus loin et qui brise -oui je m'emporte un peu- la Poétique d'Aristote (non seulement on n'est pas dans le juste milieu mais dans l'extrême...).
en ce moment je lis l'Echiquier du Mal de Dan Simmons. Ca a du surement etre mentionné plein de fois dans ce thread , mais comme c'est de la balle , on le recite une fois encore

Un synospis pecho sur un site :
Citation :
Ils ont le Talent. Il n'en nait qu'une douzaine par siècle, ce sont des hommes capables de contôler leur prochain par la pensée...
Malheureusement, ce sont aussi des psychopathes...
Citation :
Tout commence à Charleston, un après-midi de Décembre 1980. Deux dignes vieilles dames et un vieux monsieur tout aussi respectable prennent le thé...
Que les apparences sont trompeuses ! Ces trois-là ont le Talent, cette faculté de prendre le contrôle de l'esprit des autres... Leur jeu favori ? Influencer des individus lambda pour leur faire tuer le plus de gens possible. Chaque mort amène un certain nombre de point, selon l'élégance du procédé, la difficulté ou le carnage effectué... Sans ce genre de personnes, Kennedy n'aurait pas été assassiné, et l'horreur des camps d'extermination n'aurait peut-être pas existé...
Tout se gâte le lendemain, quand Nina Drayton, l'une des vieilles femmes, décide de tuer Melanie Fuller, l'autre vieille dame. Melanie reussit à s'en tirer et à éliminer Nina... au mépris de tous les innocents en travers de son chemin. Parmi eux, le père de Natalie Preston, jeune photographe.
C'est alors qu'apparait Saul Laski. Rescapé des camps de concentration, il a recherché toute sa vie le vieil homme, l'Oberst, qui avait pris le contrôle de son esprit un soir dans le camp. Il raconte à Natalie et au shérif Rob Gentri sa théorie sur ce que sont ces monstres...
Mais comment éliminer des gens qui peuvent vous forcer à retourner votre arme contre vous ?
Je suis entrain de lire la cartographie des nuages de David Mitchell
Citation :

Les personnages ? Ewing, un homme de loi américain quittant la Nouvelle-Zélande à bord d'une goélette, au milieu du XIXe siècle ; un jeune compositeur, Frobisher, qui séduit la femme du musicien génial dont il est le secrétaire particulier (nous sommes en 1931) ; Luisa Rey, une journaliste d'investigation sur la piste d'un complot nucléaire, dans la Californie des années 1970 ; un androïde condamné à mort par un Etat situé dans le futur, etc. Sans le savoir, tous ces êtres sont liés par une destinée commune tissée par le temps, et dont le dessein n'apparaît que progressivement. Chacune de ces vies est l'écho d'une autre et revient telle une phrase musicale répétée au fil d'innombrables variations. Le sujet ? On pourrait le résumer par la fameuse réplique de Joyce à propos d''Ulysse' : 'L' Histoire est un cauchemar dont j'essaie de m'éveiller.'

Heu Harry potter et les reliques de la mort
Autrement je lis L'épée de vérité :
http://img155.imageshack.us/img155/669/wizardsfirstruleig5.jpg
Alabama Song de Gille Leroy Prix Goncourt
http://ecx.images-amazon.com/images/I/41lHkul5y%2BL._SS500_.jpg
Citation :
Montgomery, Alabama, 1918. Quand Zelda, "Belle du Sud", rencontre le lieutenant Scott Fitzgerald, sa vie prend un tournant décisif. Lui s'est juré de devenir écrivain : le succès retentissant de son premier roman lui donne raison. Le couple devient la coqueluche du Tout-New York. Mais Scott et Zelda ne sont encore que des enfants : propulsés dans le feu de la vie mondaine, ils ne tardent pas à se brûler les ailes... Gilles Leroy s'est glissé dans la peau de Zelda, au plus près de ses joies et de ses peines. Pour peindre avec une sensibilité rare le destin de celle qui, cannibalisée par son mari écrivain, dut lutter corps et âme pour exister... Mêlant avec brio éléments biographiques et imaginaires, Gilles Leroy signe ici son grand "roman américain".
Ce livre est vraiment génial, très bien écrit! Il raconte la vie de Zelda Fitzgerald d'une manière incroyable; on ne s'ennuie à aucun moment.
Si vous ne savez pas quoi lire lisez-le.
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