[Broc] [Nostalgie] Brocéliande à ses débuts.

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methatruck :x

DRUNKEN naab
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War
AL : Dmx furie 30 RR 2X / Dimix Sorcier 40 RR 5X < SoW >
KN : Dimiix Sorcier 40 RR 6X < GDV >
KA: Diimix Lion blanc 10 RR 1X / Dmxette pdr 25 RR 2X
Excellent les screens de Ginet, deja a l'epoque la grosse Salomée trainait dans ce jeu

Citation :
Publié par rianis
est ce que les personnages furtifs étais groupés ?
Pendant un certain temps on voyait souvent un sicaire dans le groupe BK... hmm par contre j'ai un doute sur le nom, Nefelim ?

< pas taper si je me trompes >
Citation :
Publié par OnK / Ciladric
Excellent les screens de Ginet, deja a l'epoque la grosse Salomée trainait dans ce jeu



Pendant un certain temps on voyait souvent un sicaire dans le groupe BK... hmm par contre j'ai un doute sur le nom, Nefelim ?

< pas taper si je me trompes >
Latuvu !
et me souvient également du "CC Fufu" de la prise rk, quelques seconde après l'impact alb/mid, on a pu voir apparaître 10 à 20 sicaires dans leur dos. Bref c'était super beau....

oui je men souviens aussi j'aitais ptetre 41 lol ^^ mais c t le plus beau combat pour moi

mais bon les plus belle années pour moi était Tempest , Division Rune , War Legend

Emah , Bernold , Hulck

que du bon après ca c dégrader méchant ..
Je me rappelle mes premiers pas le soir de la release euro, avec mon MA à poil et les 30-aines d'autres MA / paloufs à poil (pop à Prydwen je crois) qui tapaient en boucle les fourmis géantes (fear). De m'être fait démonter par un coupe-gorge (pnj avec un skin humain) et m'être écrié devant mon écran ("tain de pk c'est pas possible au sein du royaume pourtant" ou un truc approchant ).

Les plaines de salis aussi, le nombre de rip sur ces fuc.ing basiliques et pseudo-basiliques

Keltoi, pour sa salle Meurig buggée mais surtout les lyonesse et les pygmées avec les spots squattés par 7-8 groupes et les super pulls de pygs qui aggrotaient tous les groupes sur le passage. Les logs de pygs à Lyo n'avaient rien à envier au logs rvr moc-freeze-pbaoe (c).

Les premières prises de fort, le rvr masse vs masse dans les supers groupes opti 5MA 1 PAL 2 THAUMAS à taper tout ce qui bougeait. Le RvR ping pong sur emain le samedi soir: Hib TpA, la masse alb charge, repousse hib jusqu'à crim, puis se reprend la masse ainsi de suite. Oui à l'époque tout le monde bussait et on se posait pas de questions.

Je ne sais pas si on peut dire que c'était mieux avant, mais les souvenirs sont là.
Il fut un temps où prendre une relique demandait une vrai coordination entre guildes, où on attendait le jour prévu avec impatience.
Rappelez-vous...

Une pensée spéciale à toutes les personnes citées et qui ont stop daoc et particulièrement à ma petite Mystery(alias adelinael, eternelleflamme).



Prémices d’une longue guerre







Il pleuvait.

Je terminai de mettre par écrit les chroniques des dernières batailles qui avaient ravagé les marches de notre royaume.

Albion accusait le coup porté par les forces hiberniennes sur nos puissantes Tour Sentinelles (Caer Benowyc, Caer Hurbury, …) et l’assaut féroce qui avait souillé le sacro saint Temple du Pouvoir, que d’aucuns nommait le sanctuaire de Haute Sorcellerie, d’autre encore la Tour Gardienne, ou plus couramment Château Myrddin. Les Portes d’Airains avaient cédé sous la détermination et les terribles machines de guerre de l’armée du Royaume d’Emeraude. Les Gardiens du Temple n’avait pu contenir suffisamment longtemps la marée de Firbolgs, d’Elfes et autres démons du Vert Pays qui s’était déversée sur eux. Le pire arriva : l’une des deux reliques sacrés d’Albion, le Bâton de Merlin, quitta la terre bénite de notre royaume.

Je rangeai soigneusement le parchemin sur lequel j’avais relaté ces tristes événements et quittai mon pupitre, pas mécontent de pouvoir me dégourdir un peu les jambes. J’avais travaillé toute la nuit à la lueur de quelques bougies et je n’éprouvais pourtant pas le désir de m’abandonner aux doux plaisirs du sommeil. Au contraire, je ressentis comme le besoin de respirer l’air frais de la Verte Emain. Je rabattis ma capuche et quittai ma salle de travail. Quelques marches plus bas, j’ouvris la porte qui permettait d’accéder aux larges murailles de Château-Gris, l’une des plus puissantes forteresses que nous possédions en territoire ennemi. Le jour se levait et je restai dans la pénombre que me procurait l’entrebâillement de la porte. Emmitouflé dans ma cape, j’observais la silhouette qui, une quinzaine de mettre plus loin, semblait scruter l’horizon. Je reconnu aussitôt l’homme en question au blason de sa cape, bleu et or, et à l’effrayant cimeterre à deux mains qui pendait le long de son dos. Son nom était connu d’un bout à l’autre du royaume, des terres septentrionales de Snowdonia jusqu’aux lointaines plaines stériles de Lyonesses : Tonka Min, Grand Maître de la Division Rune. Il avait le regard absent de ceux qui ruminent de tristes pensées. Il était parfois plus difficile de remporter un combat contre soi-même que contre une horde de Midgardiens assoiffés de sang. Je me désolais, quant à moi, de le voir si discret dans la préparation des événements à venir, lui qui avait si sauvent mené les armées d’Albion à la victoire. Il était à mes yeux l’un des plus grand chef de guerre que nous ayons jamais eu et j’espérais en mon for intérieur qu’il prendrait place au grand dessein qui se tramait en ce moment même en la belle ville de Camelot.

Un garde accouru auprès de Tonka, le salua et se mit à lui faire son rapport. Quelques instants plus tard, ils descendaient ensembles vers la gigantesque cour de Château-Gris.

Château-Sauvage continuait à nous ravitailler en hommes et en vivres. Bientôt la formidable armée d’Albion serait prête à se mettre en marche pour aller frapper au cœur même du territoire ennemi et faire payer au peuple d’Hibernia leur félonie.

On attendait, aujourd’hui même, l’arrivée de deux imminentes personnalités, tous deux membres de l’Eglise d’Albion, que la couronne avait sollicité pour prendre part aux évènements en cours. Il s’agissait de Gendan, probablement accompagné d’un grand nombre de ses Chevaliers Noirs, et de Barul, maître incontesté des Dragons d’Argents. Ces deux hommes, aussi différents physiquement que la lune l’est du soleil, n’en étaient pas moins deux des plus grand stratège d’Albion. Ils ne s’aimaient guère, c’était de notoriété public, mais ils avaient néanmoins l’un pour l’autre un certain respect qui laissait à penser qu’ils laisseraient de coté leurs querelles personnelles pour le bien du royaume. Le Conseil de Guerre, composés des maîtres des différentes guildes albionnaises qui avaient accepté de participer à cette grande croisade, ne devait se réunir que dans deux jours, mais les rumeurs laissaient croire que Gendan serait élu Grand Commandeur avec une large majorité. Les Dragons d’Argent avaient, en effet, perdu une grande partie de leur influence sur Albion suite à de nombreux démêlés avec d’autres grandes guildes. Barul avait vu le nombre de ses adversaires augmenté de manière considérable depuis le mystérieux départ du meilleur de ses capitaines : l’invincible Khaledor, le chevalier à l’armure d’émeraude, le dragon d’Albion. Ses exploits font malheureusement partie du passé, son nom n’est plus qu’un souvenir et si certains parlent de trahison en clamant haut et fort qu’il aurait rejoint les rangs de nos ennemis, d’autres, et j’en fais partie, continue à espérer secrètement son retour.

Je délaissai momentanément Tonka, parti se préparer à accueillir les nouveaux arrivants, pour m’aventurer sur le chemin de ronde rendu glissant par la pluie qui s’était peu à peu transformée en une légère bruine. Je saluai d’un petit mouvement de tête les quelques sentinelles que je croisai avant de m’arrêter un peu plus loin pour contempler le prodigieux spectacle du levé du soleil sur les collines verdoyantes d’Emain. Je restai là pendant de longues minutes, émerveillé par tant de beauté. Il était difficile de croire que ce paysage féerique avait été le lieu d’innombrables combats.

L’agitation naissante, dans les divers campements qui avaient été installés ces derniers jours aux pieds de la forteresse, me fit sortir de ma méditation. Les premiers rayons du soleil venaient de mettre un terme à l’état léthargique de la grande armée d’Albion. Déjà on s’activait à diverses tâches afin que tout soit prêt pour le jour du grand départ. Et tandis que l’ombre cédait la place à la lumière du jour, les campements se mirent à rayonner d’une myriade de couleurs vives et chatoyantes par le biais des nombreuses bannières, étendards et autres oriflammes que le vent animait de petits mouvements sporadiques. Je reconnu les couleurs du clan Colymar, des Chevaliers de la Marche, des Cœurs Braves, des Miles Christi, de l’Ordre du Sang et de bien d’autres guildes encore inféodées pour la plupart à l’une des trois guildes dirigeantes d’Albion. A elles seules, ces trois grandes alliances rassemblaient 80% des forces armées albionnaises.

Cette fois ci ce fut le son d’un cor, provenant du nord-ouest, qui attira mon attention. Je tournai machinalement la tête dans la direction d’où m’était parvenu ce son afin d’essayer d’identifier ceux qui annonçaient ainsi leur retour à Château-Gris. Je distinguai bientôt les silhouettes d’un petit détachement d’hommes aux armures sombres. Je dus attendre qu’ils se rapprochent d’avantages pour pouvoir identifier leur blason que je reconnu comme étant celui des Dragon Slayers, une guilde mercenaire, n’ayant prêté serment d’allégeance à aucune des grandes guildes dirigeantes, une force armée indépendante de ce système d’alliances qui était à la base de la structure politique et militaire du royaume d’Albion. Je n’étonnerai personne en disant que les guildes mercenaires avaient mauvaises réputations et celle des Dragon Slayers plus encore. On la disait constituées d’être vils et méprisants qui ne prenaient part aux actions du royaume que lorsqu’ils pouvaient en tirer un bénéfice personnel.

Le petit détachement de Dragon Slayers rejoignit son campement que j’apercevais sur ma droite, un peu à l’écart des autres. Il était inutile d’être à leur côté pour deviner leurs traits tirés par la fatigue et leurs armes et armures encore maculées du sang de leurs victimes. Quand une guilde mercenaire quittait la protection des puissantes murailles de Château-Gris c’était rarement pour une mission de routine. Les hommes se séparèrent assez rapidement pour rejoindre leur couche et s’accorder le repos qu’ils méritaient après toute une nuit de patrouille en territoire ennemi, à l’exception d’un seul, que je vis quitter le campement, d’un pas nonchalant, pour aller partager la solitude d’un petit rocher isolé sur lequel il aimait venir s’asseoir que ce fût pour réfléchir ou pour retrouver son calme après l’un de ses légendaires coup de colère. A cette distance, je ne pouvais pas voir son visage couturé de cicatrices témoignant d’une longue expérience au métier des armes, mais personne n’aurait pu se tromper sur son identité tant la monstrueuse fourche de guerre dont il avait fait son arme de prédilection était devenu le symbole de celui qu’on prétendait être le meilleur maître d’armes de tout Albion. Taciturne et laconique, Sigfried n’était pas d’une compagnie des plus agréable et son tempérament impulsif et colérique ne le rendait guère plus sympathique aux yeux de ses semblables. Du coup, beaucoup le haïssait, peu le tolérait et rares étaient ceux qui l’appréciaient.

Mystery faisait partie de cette dernière catégorie et lorsque je l’aperçu, longeant la muraille de sa démarche féline, je me surpris à la suivre du regard. Elle était belle comme l’aurore mais derrière son petit sourire charmeur se cachait une redoutable combattante. Elle semblait ignorer la peur et c’était toujours avec une extrême férocité qu’on la voyait se jeter dans la bataille. Je la vis faire un petit signe de la main à son vieil ami Arkhos qui s’apprêtait à rejoindre ses hommes pour une mission de reconnaissance. On le voyait de plus en plus sauvent prendre le commandement de troupes alliées depuis que son clan s’était plus au moins éteint. Au grand dam d’Albion, le clan Agartha avait cessé de semer la terreur parmi les rangs ennemis.

Mystery fini par rejoindre Sigfried à son havre de paix. Je lançai discrètement un petit sortilège de clairaudience. A aucun moment je n’ai eu le sentiment de mal agir. Mon intention n’était pas de les espionner, j’avais juste envie d’entendre le son de sa voix. Peut être tout simplement parce que moi aussi, comme tous les hommes du royaume, j’en étais secrètement amoureux.

― C’est une heure bien tardive pour rentrer à Château-Gris, non ? dit-elle sur un petit ton de reproche.

― Je trouve au contraire qu’il est encore bien tôt, répondit-il d’un petit air narquois. Après tout, le soleil vient à peine de se lever.

Devant l’expression contrariée de Mystery, il poursuivit :

― Nous avons passé la nuit à traquer une bande de Trolls qui avaient tué deux de nos éclaireurs près de la vieille tour, de l’autre côté du Mur. Nous avons fini par les retrouvés non loin du grand lac, au nord de Dun Crauchon, où ils avaient rejoint certains de leurs amis. Apparemment, Midgard aussi s’intéresse à ce que nous préparons ici, et eux aussi sont plus nombreux que l’on ne le croit.

― Vous avez réussit à passer le Mur de Midgard et à vous approcher de leur avant poste ? s’enquit-elle.

― Non, répondit-il laconiquement.

― Vous avez mis Tonka au courant ?

― Non plus. Mais vu le nombre de sicaires, dépêchés par la Fraternité des Ombres, que nous avons entraperçu en traversant le Mur, cela m’étonnerait qu’il n’ait pas encore reçu un rapport détaillé sur les forces ennemies présentes à Emain.

― Fatigué ? demanda t’elle d’un air malicieux.

― Non…

Avant que Sigfried n’ait eu le temps de terminer sa phrase, Mystery le frappa d’une série de coups rapides qu’il ne parvint à parer que de justesse. La hache d’arme de Mystery décrivit alors un large demi cercle avant de s’abattre sur la fourche de guerre de son adversaire. Le contact des deux armes produisit un bruit fracassant. Sigfried, sous la violence de l’impact, dus faire quelques pas en arrière. Puis, aussi soudainement qu’elles avaient commencé, les attaques de Mystery cessèrent.

― Même le meilleur d’entre nous a parfois besoin de prendre un peu de repos, dit-elle tranquillement comme si rien ne s’était passé. Si j’étais toi, j’irais dormir un peu. Dans quelques jours, le sommeil deviendra un luxe dont nous devrons nous passer.

― Tu as raison comme toujours, dit-il en la gratifiant d’un large sourire. J’y vais de ce pas maman, continua t’il d’un ton taquin, avant de s’en retourner vers le campement.

― Une dernière chose, dit-elle.

― Oui ?

― Prends un bain, tu sens mauvais !

Le gong de la Tour d’Almin résonna alors d’un bruit assourdissant, j’en perdis ma concentration et mon sortilège fut brisé. Je mis quelques secondes à retrouver mes esprits, déployant un effort considérable pour ne pas perdre mon équilibre. Bientôt, je pus faire face à la cour pour assister au prodigieux miracle qu’allaient réaliser, bien loin de ces terres hostiles, dans la cour de Château-Sauvage, Visur et ses apprentis. Je vis alors apparaître, sur la vaste plaque de téléportation, Barul entouré de ses Dragons d’Argent ainsi que Gendan et ses Chevaliers Noirs. Tonka s’avança vers ses deux confrères, les salua, et c’est ensembles qu’ils gravirent les marches des hautes murailles de la forteresse pour aller au devant de leurs hommes qui déjà les acclamaient en scandant leur nom. Ils se donnèrent la main avant de lever les bras au ciel pour saluer ceux qui avaient répondu à leur appel. De la foule en liesse monta alors un bruit tonitruant qu’on entendit paraît-il jusqu’au delà du Mur. La grande armée d’Albion acclamait ses chefs et réclamait vengeance.




Merci pour les vieux screens, ça fait toujours plaisir
Pour le reste, pas grand chose à ajouter, mais c'est vrai que les évolutions du jeu ont eut raison de mon faible temps de jeu ^^
ca me manque les sequences pex avec salom, spé agro et baffage

Nolliferd je crois fut le 1er Empathe 50 de Broc, l'avait saoulé de questions une fois en le considérant comme un guide (alors que maintenant, qq soit son perso, quand je le lis, c'est limite du mékilékon mais je l'estime toujours autant)

ca me manque TRRROPPPP les screens de flood Emain quand un gus pullait les gardes TP ultra violet qui atomisaient tout un bus en 3shootant tout le monde jusqu'au delà de AMG (et Galy tres douée pour faire pull les gardes )
^_^ aaaaaaaaaaah le passé.... j'en aurais des choses à dire:

- ma premiere armure de maille, dropper à la sueur de mon front à mithra "l'armure du desespéré"

- la chasse au bazilik dans les plaines de salisbury ou on se reposait dos à dos pour voir venir l'ennemi (et kan ca tournait mal on courait à barrow)

- les mephites du vent à l'epoque ct des gros trucs laids......

- le campage des murailles en RvR packe ct obligé de passer par la

- ma premiere participation à une prise de relik avec un fufu nommé marsupilami dans le camp hib

- mon vieux pote glandor avec ki j'allais explorer, naivement du haut de mes 7 petits lvl, la vaste albion

- le jour ou dartmoor à été rajouté

- la guilde chrysalides ki essayait de recruter tout les hauts lvl de l'epok

- l'epok ou la division rune etait dirigé par Tonka et son blason etait jaune et bleu....

- la toute première fois ou j'ai enfilé une armure de plate (avec encore le vieux skin des cask tout stylé)....


ke d'émotions.... ca me mank....
Les prises RK qui nécessitaient et fédéraient tout un royaume du lvl 1 au lvl 50 sans distinction...

Le Rvr avaient vraiment fière allure... entre les WL, les HoM, les Tempest, la GN, la DR, les BK, etc...

Le porte-avions alb qui faisait demi tour a peine sorti du tp alb d 'emain quand on annonçait les WL sur le cc...

Les capes jaunes et bleus qui partaient à l'assaut des forts et rk ennemis avec à leurs têtes Tonka, Bustak et Deeper...

Les role playeurs qui nous réprimandaient parce que l'on martyrisait les poneys de dartmoor...

c'était il y a une éternité... sur un autre DAOC...
Citation :
Publié par Eorill
ahh la bonne époque :x

allez trouver 3 MA hast sur si peu de m² maintenant ^^

http://eoril.lautre.net/daoc/tranchelfes.jpg

(merci khal pour le screen )
OMG ce screen d'un autre monde il devient quoi s'te caractére de cochon de Khal ?

Citation :
Publié par OnK / Ciladric
c'est clair que ca a largement modifié l'ambiance, d'ou la nostalgie des débuts.

Tient un exemple trés révélateur, ce soir je suis allé tenter ma chance à la Tombola, j'ai donc relog papi, je suis allé a Camelot et une fois arrivé je lance un "Bonsoir Camelot"

......................

Silence de mort , j'en ai même entendu certains pensé "TG stop flood"

Seul Lyli une Clerc de la LF que je connaissait pas à répondu, super sympa d'ailleurs on a donné a manger a Gribouille .

Je me rappelle d'une époque ou un "Salut Camelot" était une sourde de flood de bonjour en retour .....
La bonne époque ou on jouait en Gu sans se prendre la tête stuffé comme un neuneu à aller recup bled up a 10 y'a 10 min et repris 5 min après par 100 alb =)

C'est l'ajout des nouvelles classes qui a completement pourri le rvr selon les periodes avec le magnifique desequilibre pve qui a fini par couler mid
enfin bref , l'ancien temps avec le os fufu , les archers bien fumé , les premiers groupes fixes afk timer up midgard la magnifique ou comment expliquer son mage et pour autant on te groupe pas ( oua la bt sa sert a rien regarde j'ai tout stoppe tout seul !) mais bon étant peu courant ca passait mais maintenant c'est groupe opti ou creve donc bon =)

Enfin en tout cas bon jeux pour ceux qui continue à y jouer mais pour moi il ne reste que le passé dorénavant =)
Meilleurs souvenirs,

Les virées matinales (heures metropolitaine genre 4h du mat) avec les mecs de ma guilde et souvent Liluu où on se fritait souvent avec Falckor et cie.

OF me manque...
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