Générateur de poème

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Citation :
Stéphanie, ma Méditerrannée

Viens dans mes rêves, mon amour
Admire ce bleu, cette peinture,
Nage derrière la dauphine douce,
Et de tes perçants yeux bleus souffle sur
Le premier aigle qui passe
Fais flotter tes cheveux blonds
Dans l'écume belle d'un banc de poissons rouges...
Et de tes seins de Vénus constellés, chouchou,
Eblouis mon âme qui hurle en silence...

K-Lagan koi !!
Voila, désormais ce site est mon ami !!!
j'avoue ça raukse !

Entends-tu, je perds mon sang froid!
La vie sans toi peut me tuer
Elis-moi pour dix septennats!
Marions nos sourires nacrés
Mais quelle est donc cette attirance?
Artistes en pleine création
Crions et rions en cadence
Il faut prendre une décision!
Lis bien ce poème, Elemmacil, il a été fait exprès pour toi!

Trint
Citation :
Publié par Trint
j'avoue ça raukse !

Entends-tu, je perds mon sang froid!
La vie sans toi peut me tuer
Elis-moi pour dix septennats!
Marions nos sourires nacrés
Mais quelle est donc cette attirance?
Artistes en pleine création
Crions et rions en cadence
Il faut prendre une décision!
Lis bien ce poème, Elemmacil, il a été fait exprès pour toi!

Trint

J'en aurais pas demandé tant
Qui se dévoue pour faire une ôde a JOL ?
Tin jme suis dit, je vais pouvoir faire mon poète... . Bah c'est bien ce que je pensais, même avec une générateur, on dirait Bush qui fait un discours! Enfin bon jugez-en par vous même :

Louise à la Réunion

Les parfums chauds et marrons de ces îles mirifiques
Me rappellent tes yeux et leur belle tendresse
Les éclairs fascinants, le tonnerre qui réplique,
Dessinent tes cheveux châtains avec délicatesse.
Je pose mon oreille contre un beau coquillage
J'entends ta voix , merveilleuse, aérienne...
Un aigle bleu s'enfuit dans les nuages,
Mais c'est avec toi, ma belle, que je me promène...

Jean, rêveur de tes yeux...

[EDIT]... y'a peu être une part de tort au générateur quand même, je viens de tester autre chose !!!
Citation :
La muse aux mots doux

Je rêvais sous mon arbre d'un bleu mûr
Mais une fille, codée, me rendit soudain blême,
Des yeux dorés, défiant toute nature,
Des cheveux dorés aussi, presque un diadème,
Vinrent sans ménagement m'ébahir
Me faisant même pousser des ailes,
Tel un troll, un oiseau-lyre,
Sifflant un songe presque réel.
Cet oiseau fou, JOLe, c'est moi.
Et cette floodée muse, fille de clarté,
Tu sais, forumette, c'est toi...
Dans tes yeux, mon coeur est tombé.

Sylf', petit comique au grand coeur
Euh ouais, c'est cool.
génial ce truc !

Sourire d'ange

Je volais sur ce nuage au noir fluo si pur
Lorsqu'une jambe, moche, vint troubler mes poèmes,
Deux yeux oranges, dignes d'une peinture,
Des cheveux violet, comme je les aime,
Vinrent tous ensembles m'éblouir
Me montrant la voie du soleil,
Comme un vautour dans son sourire
Sifflant un songe presque réel.
Cet oiseau là, Gilberte, c'est moi.
Et cette nunuche déesse, qui épouse la beauté,
Tu sais, Ponay, c'est toi...
C'est chez toi que mon coeur a frappé.

Trint, petit comique au grand coeur
Mon amour et les 12 travaux

Tu as éclairé mes heures
Tu as détourné mon destin
Montré le chemin du bonheur
Mis tes yeux marrons dans mes refrains
Embrasé 20 hivers
Entouré ma vie de cristal
Mis ton impétueux parfum jusque dans l'air
Suspendu chaque point final
Teinté de bleu ma nuit obscure
Allumé un feu dans le brouillard
Des fils châtains dans l'azur
Et ton ''oui'' sera une victoire.
Ces 12 travaux terminés,
Tu peux cueillir, enfin,
Une orchidée, c'est moi, une petite orchidée qui a poussé,
Et lui donner juste un baiser, un baiser beau et cristallin.

ta femme, nymphe de tes automnes
Les yeux de déesse

J'errais sous le ciel Vert et azur
Quand une belle main vint m'émouvoir à l'extrême,
Deux yeux bleus, d'une beauté sans mesure,
Des cheveux bruns, comme je les aime,
Vinrent tous ensembles m'éblouir
Me transformant en étincelle,
Moi, corbeau dont le coeur chavire,
Sifflant un songe presque réel.
Cet oiseau fou, Charlène, c'est moi.
Et cette jolie déesse, qui épouse la beauté,
Ecoute-moi, pitou, car c'est toi.
Dis moi que pour toujours je puis t'aimer.

Cyril, ton ami et plus que ça...


Elle ce reconnaîtra
trop trop classe ce site!!!

Citation :
Cunégonde à Bora-Bora

Les échos rose-fluo des plages des tropiques
M'évoquent tes beaux yeux et leur pantagruellique caresse
Les rayons du soleil, brûlants et magnifiques,
Sont les cheveux multicolor de ton front de déesse.
J'écoute la pluie se noyer dans l'orage
J'entends ta voix , mérovingiènne, aérienne...
Un heron cendré noir fait frémir les branchages,
Et c'est ta main, dulcinée, que le vent me ramène...

Cherry's, explorateur du bonheur...
Citation :
Attention, ce texte reste la propriété exclusive de l'auteur et propriétaire du site unpeudamour.com, et ne peut en aucun cas être reproduit sur tout autre site internet ou autre support. Seule l'utilisation dans un cadre strictement privé est autorisée. Pour tout renseignement, contactez le propriétaire du site unpeudamour.com
- ah zut.

Tes jambes sont encore dans mes yeux

J'errais sous le ciel Jaune et azur
Lorsqu'une jambe, conne, vint m'émouvoir à l'extrême,
Deux yeux Rouges, dignes d'une peinture,
Des cheveux verts, une auréole, même,
Vinrent sans prévenir m'attendrir
Me faisant même toucher le ciel,
Tel un mouche volant vers l'avenir,
Partant rejoindre les hirondelles.
Et cet oiseau, Robert, c'est moi.
Et cette moche nymphe, incarnant la liberté,
Tu sais, Bebert, c'est toi...
Dans ta main je veux m'embraser.

Lolo, aux yeux amoureux
Mon cher Laurent

J'espère que vous allez bien. Je voulais vous dire que je pense souvent à vous. Savez-vous pourquoi? Parce que je me dis qu'un homme si Gentil mérite qu'on pense tout le temps à lui. L'autre jour, je voyais Steven Seagal à la télévision. Je me suis d'abord dit qu'il était Intelligent, puis mes yeux sont tombés sur votre photo... et je me suis dit que j'étais bête, et qu'il ne vous arrivait pas à la cheville! Je dis la vérité! Vous pouvez penser que j'exagère, mais moi, je ne le crois pas. Non, vraiment... je ne connais personne comme vous. Je ne connais personne qui soit... aussi... sensible! A vrai dire, je pense même être en dessous de la réalité: car il n'y a pas de mots! Je pourrais vous comparer à un dieu, un ange, ou à Kirk Hammet, (je plaisante), je n'arriverais pas à être dans le vrai. Je dois vous quitter, et ça m'arrache le coeur à chaque fois. Mais je me réjouis à l'idée de vous revoir! A bientôt!

Mère Theresa

Petite jonquille et grand chevalier

En des temps lointains
Vivait une princesse,
Elle attendait patiemment son chevalier,
Rêvant chaque nuit à ce jour si pognant,
Et cultivant une jonquille en secret.
''Ses pétales un peu Vert fluo iront avec tes yeux...
Et je la glisserai dans tes cheveux Vert fluo.''
Un beau jour vint JeuxOnline, le chevalier parfait.
''Comment depuis 10 ans, ne l'ai-je jamais vu?''
Pensai-je alors...
Oui, mon chevalier, tu l'as compris.
C'est moi qui t'admire comme cela.
C'est pour toi qu'a poussé cette jonquille,
Prends-en soin, sois son roxxant soleil
Et sois mon magicien,
Celle qui emprisonne les coeurs dans un songe Beige.




Waaa, ça transpire la roxxance ce site
Citation :
roberte en Polynésie

Les yeux ensanglantés des vahinés magiques
M'évoquent tes beaux yeux et leur grosse caresse
L'écume des vagues, les rouleaux dans les criques
Comme tes cheveux en paille, m'emplissent d'allégresse.
J'écoute le vent qui souffle sur la plage,
Et j'entends ton souffle, stupide sirène...
Un piaf caca d'oie entame son voyage,
Mais c'est de toi, poney, que mes yeux se souviennent...

jean henry, explorateur du bonheur...
lol
Unhappy
Queneau avait fait cent mille milliards de poèmes, il a en quelque sorte fabriqué une machine à poème, il a automatisé l'acte poétique. Vraiment ?

Citation :
Cent mille milliards de poèmes est le titre du premier ouvrage oulipien, dû à R.Q. Il le présente ainsi : “ J’ai conçu – et réalisé – ce petit ouvrage qui permet à tout un chacun de composer à volonté cent mille milliards de sonnets... ”

Il y a pour commencer dix sonnets. Chacun a quatorze vers. Pour composer un sonnet nouveau (un des cent mille milliards) on prend n’importe quel premier vers d’un des dix sonnets de base. On le fait suivre de n ‘importe quel second vers, puis de n’importe quel troisième ; et ainsi de suite. Il y a dix choix indépendants pour un premier vers. Pour chacun d’eux, dix choix indépendants de second vers ; ce qui donne dix fois dix (100) possibilités. Avec le troisième vers, on a 1000 choix possibles ; ensuite 10 000, 100 0000, enfin cent mille milliards en choisissant le quatorzième et dernier vers.

Bien entendu, les rimes et les structures syntaxiques sont compatibles.

La contrainte cmmp (‘Cent mille milliards )‘ a été expérimentée par l’Oulipo sur : rondeaux, ballades, chant-royaux, pantoums, etc ; dizains ; cartes postales ; recettes de cuisine ; menus de restaurant, ….
http://www.oulipo.net/oulipiens/document13302.html


En ligne, ça donne ceci >> http://www.x42.com/active/queneau.html



Citation :
Je pense très souvent à toi, tu sais. Sais-tu pourquoi? Parce que je me dis qu'un homme si charmant mérite qu'on pense tout le temps à lui. L'autre jour, je voyais John Malkovitch à la télévision. Je me suis d'abord dit qu'il était pertinent, puis mes yeux sont tombés sur ta photo... et je me suis dit que j'étais bête, et qu'il ne t'arrivait pas à la cheville! Je ne mens pas, tu sais! Même si tu crois que j'exagère! Tu es tout ce dont on peut rêver. Tu es si fort... si fort face au monde. Tu es plus imposant qu'un rocher, rien ne peut t'atteindre. Enfin, c'est l'impression qu'on a, car moi qui te connais je sais que tu caches un coeur d'oiseau: tu es si fort et si fragile à la fois! Je sais que tu me diras le contraire, parce qu'en plus de toutes tes qualités, tu es modeste. Même Bono, qui a la réputation d'être d'une humilité irréprochable, ne fait pas le poids à côté de toi. Bref, tout ça pour te dire que tu es la personne la plus fantastique au monde, Thomas. J'espère que tu m'honoreras bientôt de ta présence!

Jessie James
Citation :
Tes jambes sont encore dans mes yeux

J'errais sous le ciel caca et azur
Mais une fille, avaleuse, vint troubler mes poèmes,
Deux yeux Pistou, dignes d'une peinture,
Des cheveux Jambon, presque un diadème,
Vinrent contre mes rêves se blottir
Me faisant même pousser des ailes,
Tel un obsédé, un oiseau-lyre,
Sifflant un songe presque réel.
Cet oiseau-là n'est autre que moi.
Et cette droguée fée, qui dompte la vérité,
Ecoute-moi, catin, car c'est toi.
C'est chez toi que mon coeur a frappé.

Sardou, petit comique au grand coeur
Ok.
Ton image, cherie², aussi belle que les vagues rugissantes,
M'accompagne au sein des tsunamis verts
Déchirant ton regard
Et me fait glisser vers des sommets châtains
Comme un connard que tu tiens dans la main...
Puis l'aurore...
Mon rêve se noie dans les limbes de mon esprit
Ô merveilleuse étoile, ne meurs pas toi aussi.

Ray

pas convaincant.
Citation :
Sourire d'ange

J'errais sous le ciel bleu et azur
Quand une soumise main me rendit soudain blême,
Deux yeux magnifiques, dignes d'une peinture,
Des cheveux superbes, une auréole, même,
Vinrent tous ensembles m'éblouir
Me montrant la voie du soleil,
Tel un aigle volant vers l'avenir,
Partant rejoindre les hirondelles.
Et cet oiseau, Ambrae, c'est moi.
Et cette affective fée, qui dompte la vérité,
Tu sais, Esclave, c'est toi...
Dans tes yeux, mon coeur est tombé.

Lumen, aux yeux amoureux
Fun
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