Background des TPH (rp pouvant choquer)

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Je coulais des jours paisibles dans un campement situé près d’Ascalon. Mes parents étaient plus ou moins mages, et m’ont appris les rudiments de cet art. Ma mère était en fait une élémentaliste et mon père envoûteur. J’étais pratiquement fils unique, ma mère ayant accouché d’un enfant mort-né 2 ans après moi. Le loisir préféré de mes parents étaient la pêche. En effet, ils criaient souvent « TRUITE » après être partis pendant quelques heures vers le lac situé à quelques kilomètres du camp. Ce lac s’appelait le Lac des Truites Féodales.

Peu après que j’ai eu 15 ans, une troupe de paladin s’avança vers le campement en chargeant, armes pointées droit devant eux. Mes parents furent très étonnées de se spectacle, mais ils ne se méfièrent pas. Ils auraient dû pourtant. Les paladins étaient là pour tuer mes parents. Ce qu’ils ont fait. Sous mes yeux.
Croyant que les paladins allaient passer à côté du campement, mon père sortit à découvert.

Il fût aussitôt décapité par la longue lame, qui trancha net le cou. Après cela, les paladins, qui étaient au nombre de 3 mirent pied à terre. Ils se dirigèrent vers ma mère, qui était terrifiée.

Ils l’ont en fait violée chacun leur tour. Mais lorsque se fût le tour du troisième, je me suis approché des deux qui regardaient et j’ai subtilisé une de leurs épées, avant d’employer mes pouvoirs de domination pour les soumettre à ma volonté. J’en ai tout d’abord décapité un avant d’obliger l’autre à tuer celui qui était en train de violer ma mère.
En fait, il a également tuer ma mère en même temps, car il soulevé son épée au dessus d’eux, et l’a enfoncée dans leur corps, faisant gicler leur sang partout. Il y en avait à plusieurs mètres à la ronde… J’ai alors reçu une giclée de sang sur le visage. Ensuite je me souviens plus de rien. Mais en sortant de ma torpeur, autour de moi, il y avait 5 cadavres, j’étais couvert de sang et j’ai plongé ma bouche vers une des plaies qui saignaient encore, afin d’éprouver cette ivresse que l’on a en buvant du sang. J’ai lêché mes lèvres. Puis j’ai brûlé le camp après avoir emporté tout ce qui pouvait me servir ( vêtements, armes, nourriture). Ensuite, je suis parti vers d’autres contrées.

Depuis ce jour, une profonde haine de la vie est ancrée en moi. Cette haine se manifeste surtout en présence de gens qui se disent « bons ». Une forte pulsion me prend quand je vois un corps encore chaud. Je ne peux résister à l’envie de prendre un peu de sang dans ma main et de la lècher.

Je me suis également mis en quête d’une guilde partageant cette haine et cette envie de destruction ainsi qu’une vie sexuelle complètement dépravée.

C’est pratiquement 5 ans jour pour jour après cet événement joyeux que je fis la connaissance des HATE, cette guilde atypique guidée par la vengeance, la haine, et un passé tragique plus lourd que le fardeau d’une vie.
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Background de Domina Truite
Domina Truite naît dans un village de campagne, d'une mère violée à plusieurs reprises par des élémentaires de pierre, et d'un père alcoolique et cancéreux, qu'elle verra copuler bruyamment à toute heure. Elevée comme une souillon, elle passera une enfance difficile, entre les coups de fouets et les chaises lancées à la figure. Vendue à un marchand d'esclaves pour un tonneau de bière, elle est violentée quotidiennement. Elle perd de vue ses idéaux de jeune fille et s'enferme dans un silence douloureux.

Elle est achetée par un riche marchand, qui l'humiliera pendant 3 longues années. Elle sent la rage monter en elle, au fil des jours. Un beau matin d'automne, où il tente d'abuser d'elle une nouvelle fois, elle se saisit d'un candélabre et lui fracasse le crâne. Elle s'enfuit ensuite, et trouve refuge dans un tombeau, ou une nécromante la recueille et lui enseigne la magie du sang, ainsi que le maniement du marteau, dans la plus stricte tradition, leur seule nourriture était les truites qu'elles pêchaient en hurlant "TRUIIIITE§".

Après 5 années de pénitence, elle part sur les chemins de l'aventure. Elle y rencontrera Bobbin Threadbare, un homme avec qui elle s'associa pour "massacrer du monstre". Elle en tombe éperdument amoureuse. Un soir, lors d'un raid sur un repaire de bandits, elle récupère une mallette contenant assez d'or pour refaire sa vie. Une heure plus tard, elle reprend connaissance, une douleur infâme lui vrillant le dos, entre les omoplates. Elle retire avec peine la dague empoisonnée qui lui mord les chairs. Elle sent une autre douleur, profondément enfouie en elle. Bobbin l'a violée. Elle commence à sombrer dans le néant, agonisante, quand elle voit un vol de corbeaux. Elle aspire avec peine la substance vitale d'un des volatiles. Elle ne mourra pas ce soir. Elle essuie le sang qui constelle sa tunique et l'intérieur de ses cuisses. Elle chemine vers une ville, dépossédant tous les animaux qu'elle rencontre de leur substance vitale pour trouver la force de résister au poison. Elle s'effondre devant l'abbaye d'Ashford, ou on la soignera. Elle récupère lentement son corps, ses esprits, mais l'humiliation et la violence la marquent désormais profondément. Elle repart à l'aventure, désormais seule. Elle revient 2 ans plus tard dans son village et massacre ses parents : elle noie son père dans un tonneau de bière et étouffe sa mère avec son propre sang.

Au cours de son cheminement, elle entend parler d'une association de combattants: les HATE et d'un des leurs : Bobbin. Tiraillée par son coeur et partagée entre la haine et l'amour, elle les rejoint. Bobbin l'accueille comme si de rien n'était. Elle se dit qu'un jour, elle aura sa vengeance... Ou peut-être pas.

C'est une femme blessée qui se tient devant vous, une femme rongée par la peine, mais qui écrasera implacablement ses ennemis. Elle est sans pitié, assoiffée de sang. Elle ne vaut plus guère mieux que les cadavres de grawl qu'elle piétine rageusement. Seule sa soif de dépravation égale sa soif de sang.

On notera qu'elle est capable d'humour, quand elle lance entre deux éclats d'un rire rauque : "TDR§"
Message roleplay
On dit toujours qu'une enfance paisible donnera lieu à une vie paisible.
Mais on dit aussi que parfois il est des exeptions...
L'exception qui va suivre est le résultat bestial de la haine incarnée.


Bobbin, étant jeune bambin, suivait paisiblement la voie de son père avec ferveur et passion, la voie de la couture. Fier du modèste métier de son paternel, il ne revendiquait que de reprendre l'affaire familiale. Hélas, trois fois hélas, la vie ne sourit pas toujours aux plus méritants.

Lorsque Bobbin entreprit de suivre des études de magie, il avait pour simple but de conférer des pouvoirs magiques aux créations de son paternel...

Or, ce soir là, il faisait nuit, Bobbin et son père regagnaient Ashford après une journée prospère à Ascalon. La rumeur courait au sujet d'une bande de pillards, mais qui se soucierait d'un vieux commercant miteux ?
Peut être cet homme là, qui fouinait à gauche à droite, sans rien acheter, à voir qui possédait le plus de clients, combien étaient grosses les bourses des vendeurs.

Voler à Ascalon ?
Impossible ! La garde veille au grain.

Des ombres filent dans la nuit,
Ce sont des pillards qui s'enfuient,
Et comme des démons ils sourient,
Une fois leur crime accompli.

C'est alors que Bobbin surgit,
Déchirant la nuit par son cri.
Une étincelle de feu réagit,
Pas de justice par ici.

Dans la froideur de la nuit,
Le mal ne restera pas impuni.


Les pillards avaient sectionné les deux mains du vieil homme qui se vidait de son sang, un soir de pleine lune sur une route de campagne.
Et Bobbin restait là, figé, admirant le macabre spéctacle d'un corps dont la vie s'envolait, sans qu'il ne put réagir.
Il vint alors une idée à Bobbin: cautériser les plaies de son pauvre père par le feu. Il incanta alors d'une voix incertaine, ainsi une flamme jaillit dans ses mains. Il saisit fermement l'avant bras gauche de son père, l'approcha doucement de la flamme, mais ce dernier eut une réaction énergique, et en un instant se retrouva transformé en torche humaine.
Bobbin, désemparé, piétinait le corps de son père pour éteindre les flammes, mais c'était trop tard.

Cette nuit là, les images fusèrent à toute vitesse dans la petite tête de Bobbin.
La joie et l'innocence de l'enfance laissa place à la Haine de la bête, l'instinct meurtrier qui vous pousse a vouloir la mort de votre voisin parce qu'il vous nuit.

Le lendemain, de retour dans son doux foyer, Bobbin commit des actes atroces, avant de quitter le village, son paquetage fait.

Plus tard, il fit la connaissance des HATE, cette guilde atypique guidée par la vengeance, la haine, et un passé tragique plus lourd que le fardeau d'une vie.
Message roleplay
Il était une fois, dans les contrées de Tirya, dans le petit village d'askalon, un enfant. Fils d'un mage très réputé dans la région, et d'une mère plus modeste, poissonnière, dont Edouard était très fier, qui aurait très bien pu s'arrêter de travailler lors du mariage forcé avec son père, mais qui par modestie, était restée une simple poissonnière. Il aimait aussi beaucoup son père, qui était l'homme le plus intelligent qu'il connaisse ( à tel point qu'ils se vouvoyaient entre eux ).

Fils unique, il s'ennuyait souvent. Il consacrait la plupart de son temps à la lecture de revues et de parchemins magiques offerts par son père. Il rêvait de devenir un grand moine, et comptait donc beaucoup sur ces parchemins.

Son Père était un bon père, qui battait sa femme quand elle n'obéissait pas, mais qui savait aussi la récompenser quand elle le méritait, et Edouard pouvait discuter de tout avec lui, pour peu que le sujet soit sérieux. C'etait un exemple pour Edouard.

D'un autre coté, sa mère était fort joviale. Sentant toujours la mer, la moule mal lavée, elle inspirait la sympathie de tout le voisinage. Son commerce marchait fort bien, ne serait-ce que pour la sonnette enchantée qu'elle avait fait installer, qui criait "TRUITE §" dès qu'un client rentrait dans la poissonnerie.

Mais un jour, alors que notre Heros rentrait plus tôt de l'Abbaye d'Askalon, il surpris sur le buffet de la cuisine sa mère en pleine relation avec Grubnatz, un ami du voisinage. Il resta pétrifié pendant plusieurs secondes, sans que le couple ne le remarque, jusqu'à ce qu'il sentit une présence terrifiante dans son dos. Il se retourna et il aperçut son père. Le couple les aperçut, et avant qu'il ne puisse faire quoi que ce soit, le père claqua des doigts et la tête du malheureux Grubnatz vola en éclat a travers la salle a manger, changeant l'odeur de poisson en odeur de sang.
La mère était terrifiée. Et sous les yeux d'Edouard, le père s'avança, et d'un coup sec sur la nuque, il tua la mère. Il revint vers son fils, chez qui la terreur se transforma en colère, et le serra dans ses bras, en murmurant des phrases incompréhensibles. Le colère d'Edouard se transforma en haine alors qu'il avait sous ses yeux le cadavre nu de sa mère tant aimée.
Tout en invoquant une formule qu'il avait appris la veille, Edouard serrait son père de plus en plus fort, et sans même que celui-ci s'en rende compte, à l'apogée de la formule, Edouard tua son père en lui brisant les os.
Il était heureux, sans savoir pourquoi. Il s'allongea ensuite sur le cadavre de son père, et s'endormit.

Edouard mit plusieurs jours à comprendre, à se comprendre. Il n'était pas fait pour la vie de jeune homme au foyer. Il lui fallait du sang, du viol, de la mort.
Il devint la terreur d'askalon. Le coté obscure était fort, depuis qu'il était devenu mauvais, Edouard était craint de tous, même ses anciens maîtres. Il violait les pucelles, il égorgeait les clochards.

Mais la faiblesse d'Edouard était son passé, il le savait. Sans le vouloir, avant chaque meurtre, il ne pouvait s'empêcher de hurler "TRUITE §", ou d'autres expressions utilisées par sa mère dont il n'avait jamais connu le sens, comme "TDR §§".

Et c'est ainsi que dans sa marche vers d'autres territoires, il rencontra une "Guilde", qui préférait se nommer "Bande de Kopains kikoulol", dont les membres pour différents motifs étaient tous aussi dépravés et violents que lui. Il se lia alors d'amitié pour eux, jusqu'à intégrer leur groupe. Cette bande se nommait HATE, et c'est avec eux qu'il décida de passer quelques temps à vivre.
Citation :
Publié par charlyb
Il était une fois, dans les contrées de Tirya.
Tyria pas Tirya ^^

et je suis pas d'accord pour mon role dans ce BG !!! , ça correspond pas au rp de mon perso, en train d'egorger ta mere je veux bien mais pas en relation...
Citation :
Publié par Shiroken Asgard
et je suis pas d'accord pour mon role dans ce BG !!! , ça correspond pas au rp de mon perso, en train d'egorger ta mere je veux bien mais pas en relation...
L'un n'empêche pas l'autre.

Tu peux l'égorger avant ou après relation
Citation :
Publié par Shiroken Asgard
oui mais .... non

je vais vous attaquer pour diffamation moi ça va pas faire un plis !!
Ou se situe le baro de Lion Arch?
Sous sa ceinture ?

Ahah... ah... hem.
C'est bien morbide tout ça !

Mais en même temps ça change des "Rôdeurs-qui-tuent-tout-plein-de-charrs-à-la-tombée-de-la-nuit-à-Ascalon", et un peu d'originalité en RP ne peut pas faire de mal, au moins on prend plaisir à lire quelque chose d'innovant, c'est agréable !

Des RPistes qui ne se prennent pas excessivement au sérieux(leur perso n'est pas le plus fort le plus beau il fait peur à tout le monde et ne craint personne >_<), j'ai bien aimé, c'est violent mais drôle...

(Et il y a très peu de fautes d'orthographe, ce qui en rend la lecture d'autant plus plaisante...)
Citation :
Publié par Vampigarou
C'est bien morbide tout ça !
Nous avons censuré une bonne partie pour être en accord pour la charte ainsi que la loi. Sinon bien joué dommage pour moi que je ne puisse partager le mien.
Je trouve ca vraiment malsain !!

(Vous êtes sûrs de pas être hors charte?

Extrait de la charte de JOL

Citation :
I - Vous vous engagez à NE PAS PUBLIER DE CONTENU :

A CARACTERE EROTIQUE OU DEGRADANT

Personellement je trouve vraiment dégradant. Enfin je laisse les modos en juger...)
__________________
<<< * Nous avons voté. Et à 7 voix contre 5, nous avons décrété que nous ne sommes pas schizophrene. * >>>

http://guildwars.arnapou.net/titres/titre_amaranthaeauglamyr.png
Unhappy
Ah oui effectivement j'aurais mieux fait de fermer ma grande g***** avant d'en faire une éloge...-_-

+1 pour Amaranthae, je n'avais pas tenu compte de l'aspect "conformité à l'éthique de la Charte", mais plutôt de l'originalité des récits.
Je pense que la lecture de bambi est à proscrire au profit d'un livre post apocalyptique.

L'empire des rats de Herbert.

Les propos ne sont pas plus violents que ce qu'on peut trouver dans la presse actuelle.

Edit: James Herbert, pas Franck Herbert, l'un fait des romans noirs, l'autre a fait la saga de dune (entre autres).
Menzo tu devrais éditer le titre et mettre une recommandation pour les majeurs tout de même

@ux fans : ne vous inquiétez pas, si les autres membres ne veulent pas faire le BG de leur perso, on donnera suite a ces histoires quand le jeu sera sorti.
Citation :
Publié par charlyb
Menzo tu devrais éditer le titre et mettre une recommandation pour les majeurs tout de même

C'est fait.
Mais recommandation pour les majeurs c'est pas une bonne idée puisque Vampigarou et Amaranthae le sont.
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