Je ne me permettrais pas de critiquer les forces de l'ordre, il en faut. Par contre je pense que beaucoup perdent de vue que comme dans tout métiers, il y a de bon et de mauvais policiers. Il y a aussi des policiers motivés et des démotivés. Il faut prendre en compte aussi, que ces gens font un métier dans lequel peut de moment de joie/rire doivent survenir, il traitent quotidiennement avec ce que nous refusons tous de voir : La lie ou les égarés de notre société.
Une sage femme a le réconfort de pouvoir mettre un enfant au monde un policier a la douleur de constater sa mort.
Loin de telles considérations morbides, le regard d'une majorité de la population, surtout jeune, est à changer vis a vis de la police. Ce ne sont pas d'affreux méchants prets a tout pour vous emmerder. Ils sont la pour faire respecter l'ordre et bien sur, si des gens ne le respectent pas ils se trouvent en conflit avec eux. Un climat de méfiance voire de violence amènera surement la violence, bien que de grands efforts est été faits sur la communicatione et la gestion de conflits.
Je reviens sur mon introduction, il faut vraiment comprendre que le policier est sujet à une erreur humaine. Je me dresse contre ces gens bien pensants qui ne peuvent comprendre que la justice "zéro défaut" n'existe pas. La justice traite avec des affaires humaines, toutes aussi complexes, morcelés que les autres, rien d'étonnant à ce que des dérapages aient lieu.
Autre question de dérapages, les bavures qui peuvent parfois etre mortelles. La aussi, le risque zéro ne peut exister. A entendre la foule, un policier qui se fait foncer dessus par une voiture n'a le droit que de rester au milieu de son chemin. Quant au fait de savoir si des tirs sont justifiés ou non, c'est le fait dela justice.
Je range au meme rang les intolérants du risque du métiers de policiers, et ceux qui ne peuvent accepter dans le milieu médicale que des erreurs soient commises. Personne n'est infaillible. On peut bien sur tendre vers un point zéro, mais en aucun cas on ne peut y rester.
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