Faire ses etudes a new york ?

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Citation :
Provient du message de Le Méchant Cesarac
Mes raisons :
4) la personne que j aime se trouve ici

J ai besoin de d'autre raison...
Je vais pas faire ca sur un coup de tete / car ca va changer radicalement tout mon future
Je ne veux pas etre méchante mais tu connais ta copine depuis quoi...48hrs? et tu sais que tu l'aime déjà?
Je crois que tu dois prendre le temps de mûrir un peu plus avant de décider d'aller vivre a l'étranger.
Lien direct vers le message - Vieux 27/08/2003, 00h53
Citation :
Provient du message de Le Méchant Cesarac
Bon ok (merci lucy knight =) )
Mes raisons :
1) j ai de la famille ici
2) j apprecie le melange culturelle de NY qui en fait une ville unique
3) on trouve tout ici
4) la personne que j aime se trouve ici

J ai besoin de d'autre raison...
Je vais pas faire ca sur un coup de tete / car ca va changer radicalement tout mon future

=============

Edit + Exactement Zorg ou Blorg !

Bon, je vais faire l'effort de traduire les messages de Cesarac :

Merci lucy knight, heuresement que tu es là pour remettre mon voile dans les yeux et ainsi, continuer de dreamer.
Mes raisons pitoyables:


[edit]T'a raison Znog, je vais suivre ton conseil[/Edit]
Lien direct vers le message - Vieux 27/08/2003, 00h54
Citation :
Provient du message de Le Méchant Cesarac

Quelqun a dis ouais ta redouble 2 fois laisse tomber . une fois le CE1 pour abseiteisme et la 5eme pour les meme raison..
Absenteisme en CE 1 !!!!!!!!
C'est la première que j entends ca et c assez risible.
Lien direct vers le message - Vieux 27/08/2003, 01h09
Juan je trouve que tu pousses le bouchon un peu loin et que personne n'a rien à gagner à ce genre de blastage ... à mon avis reconsidérer ta position et éditer ton message ne peut qu'améliorer les choses.



"Let it be" qwa "wisper words of wisdom" et tout le toutim "quand le vin est tiré ca ne sert à rien de le tirer par les cheveux" .
Lien direct vers le message - Vieux 27/08/2003, 01h10
tant qu'on est et pour ceux qui ont bien voulu répondre à Cesarac....


je vous propose de profiter de l'occasion pour faire une post-évaluation de votre réaction.

Pour cela, il suffit de relire la manière dont vous avez répondu à sa demande en utilisant la grille de Porter

... et de vous demander à quelle « attitude » de Porter elle correspondait :

- décision, conseil (penser à la place de l'autre)
- jugement (positif ou négatif)
- soutien, réconfort, dédramatisation
- interprétation, explication
- enquête, questions, investigation
- compréhension, empathie
________________________________________


Citation :
Qu'est-ce que communiquer ?


La communication se structure autour de quatre démarches:
- Ecouter
- Entendre
- Dire
- Ne pas dire

Ecouter autrui impose un renoncement à parler, à se justifier, à convaincre, à répondre. Car l'enjeu fondamental de l'écoute est d'accueillir ce qui s'exprime.

Entendre l'autre demande d'abord de comprendre et de décoder chez lui divers langages; celui des mots et de leurs signification, mais aussi le langage corporel. Il est également important de distinguer les différents niveaux d'expression: celui des faits, celui des symboles et celui de l'imaginaire du locuteur.

Dire: Il est également important d'être capable de faire partager son propre vécu et sa perception de la réalité. Le dire se fait souvent avec des mots codés qui ont un sens et une valeur de référence pour le locuteur.
Mais dire, c'est aussi poser des questions. Nous parlerons des questions dans le chapitre suivant.

Ne pas dire est, paradoxalement, une forme de communication. Soit parce que certaines choses que l'on ne souhaite pas partager sont tues, soit parce qu'on doit différer l'expression de certains éléments pour un moment plus opportun, soit encore parce que lorsqu'une bonne compréhension est atteinte, les mots ne sont plus nécessaires. On parle alors d'empathie.

Les conditions de base de la communication sont au nombre de cinq:
- La disponibilité est la première condition. Elle peut être notamment mise en échec par la saturation de l'auditeur ou son besoin d'être lui-même entendu.
- Savoir se définir comme écoutant, dans ses demandes, ses attentes, ses limites ou ses contraintes.
- Une alternance de l'écoute. Il n'y a pas communication simultanée, seulement une communication alternée. Cette alternance est aussi celle des positions d'influence; Si c'est toujours la même personne qui influence, il y aura déséquilibre.
- Lors de l'échange, on peut ne pas être d'accord avec son interlocuteur. Il est alors important de créer l'apposition plutôt que l'opposition: On met son point de vue à coté de celui de l'autre plutôt que contre le sien. Etre entendu ne signifie pas être approuvé (d'ailleurs il y a souvent confusion entre "s'entendre" et "être d'accord" comme si communiquer signifiait "être d'accord")
- Il faut également être capable d'entendre avec suffisamment d'écho et de reformulation pour permettre à celui qui parle d'écouter ce qu'il dit.



Les questions


Consciemment ou inconsciemment, nous entrons le plus fréquemment en relation avec les autres par des questions. En principe, une question vise à améliorer l'information et la compréhension d'un problème, mais en fait le questionnement a de nombreux autres usages.


Les questions peuvent être:

- Des questions fermées: ces questions appellent des réponses courtes, positives ou négatives. Elles font progresser l'entretien par à-coups. Si ce type de questionnement est répétitif, l'entretien devient un interrogatoire. Les questions fermées tendent donc à réduire l'échange.

- Des question ouvertes: La fonction de ces questions est de laisser l'autre libre de donner sa réponse et éventuellement de la développer à son rythme et dans le sens qu'il souhaite. Les questions ouvertes stimulent et élargissent l'échange.

- Des questions manipulatrices: Elles visent à faire dire à l'autre ce que l'on souhaite qu'il réponde, par exemple "Ce film était formidable, n'est-ce pas ?". Elles disent indirectement ce qu'on n'ose pas énoncer: "Est-ce que quelqu'un aurait une envie folle de fumer ?"

- Les question-fuites ou défensives que sont les changements de sujet ou de niveau servent d'écrans pour éviter un sujet délicat et détourner la conversation.

- Les questions indirectes comme "que pensez-vous de monsieur X ? " servent "d'appel du pied" pour tester le terrain. Elles sont une variante affaiblie des questions manipulatrices car elles sont plus ouvertes.

- La question pourquoi est la plus mauvaise des questions, car elle entraîne une justification et met souvent l'interlocuteur mal à l'aise: "Pourquoi vous êtes-vous marié avec elle ? ".

- Les questions auto-réfléxives ou projectives parlent plus de celui qui les pose qu'a celui auquel elle s'adresse: "Vous auriez épousé, vous, un homme alcoolique ?"


Le rythme des questions est également important. Si l'investigation devient trop rapidement personnelle, elle peut provoquer un blocage susceptible de handicaper la relation future.

La réponse aux questions que l'on reçoit doit aussi être réfléchie. Répondre trop vite à une question, c'est prendre le risque de ne pas comprendre de quel sens elle était porteuse. Autrement dit, c'est éviter l'écoute de la demande dont la question était le véhicule.

La reformulation, l'amplification, la redondance sont des outils efficaces pour permettre l'émergence d'un message plus essentiel à celui qui parle. Soulignons aussi l'importance d'une reformulation positive.
Par exemple:
- "Tu ne me fait pas confiance"
- "Ce serait important pour toi que je te fasse confiance ? "



L'écoute


L'écoute est bien souvent la partie la plus négligée de la communication car remplir les silences, "tenir" la conversation, répondre, questionner semblent être la préocupation majeure de la conversation. Pourtant affiner son attention, multiplier son écoute en essayant d'entendre mieux les paroles de l'autre constitue 80% d'un échange.

Cette partie de l'échange, qui consiste à se décentrer, sortir de soi pour se centrer sur l'autre, est la plus difficile à réaliser et la plus mal connue.

Les difficultés de l'écoute

Ecouter signifie non seulement être capable de recueillir ce que l'autre veut nous dire intentionnellement, mais aussi d'entendre ce qu'il a du mal à dire et qu'il veut peut-être voiler ou retenir. C'est aussi être capable de reprendre et de résumer ce que l'autre vient de dire afin de lui permettre de se comprendre mieux lui-même. Une écoute compréhensive portera attention non seulement à la signification intellectuelle de ce qui est dit, mais aussi aux sentiments éprouvés dans la situation. On cherche à percevoir ce qui est vécu par l'autre en évitant d'y projeter ses propres peurs et ses désirs.

Cela voudra dire:

* Accepter de laisser l'autre parler, et donc se taire soi-même et renoncer à se justifier, à expliquer, à convaincre ou à répondre.

* Stimuler si nécessaire: " Peux-tu en dire plus ? "

* Relancer en quittant le niveau de la généralisation pour celui de la personnalisation, du témoignage vécu. "Où, quand, comment, avec qui?"

* Amplifier ce qui est dit (par la redondance ou la reformulation) et relier les éléments de la conversation entre eux.

* Etre sensible aux sentiments et aux émotions réveillés par cette écoute.

* Clarifier, réactualiser faire à intervalles réguliers la synthèse de ce qui a été dit.

Il est important d'être à l'écoute des signification et des échos venant de sa propre personnalité et ses propres expériences. Pour mieux comprendre celui que s'exprime, bien sûr, mais aussi pour réfléchir sur notre façon de ressentir son message et éviter de nous laisser aveugler par notre propre façon de ressentir.



Les différents niveaux d'écoute

Il existe trois niveaux d'expression possible:

- Le niveau des faits porte sur une simple relation d'un événement tel qu'on l'a vu ou qu'on y a participé. "En ouvrant un tiroir j'ai découvert cette lettre", "Je lui ai dit bonjour et il est parti en criant".

- Le niveau du ressenti reflète la façon dont une situation a été vécue et ce qu'on a éprouvé. "J'en ai eu marre", "je l'ai très mal pris". Ce niveau peut aussi être présent dans l'utilisation de langages parallèles: "J'en ai eu la nausée", "je suis parti en claquant la porte".

- Le retentissement est constitué de tous ce à quoi un événement renvoie dans l'histoire personnelle d'un individu, dans le registre de la célèbre madeleine de Proust. "J'ai eu la même sensation quand mon frère a cassé ma poupée préférée".

Une bonne communication est celle où l'échange circule dans chacun de ces trois registres.



Les attitudes

L'attitude adoptée par l'écoutant au cours de la relation va également jouer un rôle en favorisant la relation ou en lui étant néfaste. Ces attitudes sont au nombre de sept. On peut les classer en deux catégories: les attitudes d'influence et celle de non-influence.

Les attitudes d'influence sont
- l'ordre
- le conseil
- l'évaluation
- le support
- l'interprétation

Les attitudes de non-influence sont au nombre de trois
- l'enquête
- l'information
- la compréhension

L'attitude d'autorité consiste à indiquer à un auditeur ce qu'il doit faire et de le pousser dans une direction qu'on croit bonne pour lui. Il arrive que l'interlocuteur soit demandant et pousse l'autre à développer cette attitude.



Le conseil consiste à se substituer à l'interlocuteur pour lui suggérer ce qu'il doit faire. Autrement dit, on souhaite qu'il choisisse ce que l'on choisirait soi-même dans la même position. L'attitude de conseil est aussi une attitude de soutien.

L'évaluation peut porter sur les actes ou les opinions de l'interlocuteur, soit sur le terrain de la logique soit sur le plan moral. Dans tous les cas, il s'agit de porter un jugement de valeur sur l'autre.

Dans une attitude de support, on rassure l'interlocuteur et on lui apporte un encouragement en le confirmant dans ses ressources et ses réussites. Mais d'une manière ou d'une autre, le support implique que ce qu'il ressent n'est pas totalement justifié: Soit que le problème n'existe pas, soit qu'il ne soit pas aussi sérieux qu'il le paraisse.

L'interprétation explique et traduit les actes et les idées de l'autre. On lui indique quelles sont les raisons de ce qu'il a exprimé par rapport à nos grilles de références propres. Mais bien qu'on essaie d'apporter une réponse à ces problèmes, il est possible de faire des erreurs. La meilleure chose à faire lors d'une interprétation est de se contenter de proposer des hypothèses de compréhension en laissant l'autre en disposer.

Le but de l'attitude d'enquête est simplement d'en savoir davantage. En permettant à l'autre d'en dire plus, on cherche à relier les éléments, les faits, les comportements pour améliorer leur compréhension.

La compréhension peut être atteinte en s'efforcant de percevoir et de ressentir comme l'interlocuteur, puis en le lui rééxprimant de façon authentique et claire. Une telle attitude permet à l'autre de s'exprimer davantage, puisqu'il a la preuve qu'on l'écoute autrement.
http://www.ig2i.fr/rb/recherche/L_ec...let_Ecoute.pdf

c'est le genre de choses qui sont à la fois extrémement importantes et qu'on oublie tout le temps
Lien direct vers le message - Vieux 27/08/2003, 01h28
Citation :
Provient du message de Pitit Flo -TMP
(...) mais... c'est quoi un Bachelor ? Le nom US pour une 5eme année ?
Didiou il est tôt pour répondre.

Bachelor (-Sc = of Science(s), -A = of Art, pas forcément artistique d'ailleurs*), c'est plutôt l'équivalent du DEUG/license (suivant si c'est en 2 ou 3 ans, avec ou sans Honours**), au vu du niveau demandé à l'entrée (qui est post-bac pour un français) et du niveau observé à la sortie.
Pour simplifier, ceux en sciences (physique, biologie et tutti quanti) sont l'équivalent des DUT/DUP correspondants.
Bref, faire un Bachelor après une maîtrise, c'est descendre d'un cran (voire 2) dans l'échelle universitaire (undergraduate).
Après le Bachelor, il y a le master('s) (of Sciences, of Art, of Law), équivalent maîtrise et/ou diplôme d'ingénieur dans certaines matières et cas (les cursus incluant une partie recherche notamment). Un ou deux ans suivant le cursus et l'université (post-graduate).

Certaines universités offrent des cursus complémentaires post maîtrise/master's, qui consistent en des apprentissages rapides et une mise en situation (stage, recherche, mémoire), souvent en semestre.
D'autres permettent dans certains cas de suivre des cours sélectionnés dans un ou des cursus, qui donne accès après examen(s) à un certificate (pour enseigner une langue par exemple).

Après le master's, c'est le PhD (Philosophiae doctor), qui va du diplôme doctorant (thèse incluse bien entendu) au truc qui fait beau sur le mur suivant ce qu'il contient en terme de cours et de recherche. De un à trois ans, payant, souvent subventionné par l'université ou une entreprise privé ou publique, parfois payé s'il donne droit à une place d'enseignant assistant (ah le plaisir de saigner d'enseigner ...).

Xarius pourra certainement apporté ses lumières, vu qu'il est au USA, le bougre.

*Dénomination anglo-latine des diplômes, ça doit remonter au 18ème siècle tout ça. Il y a des Bachelor of Laws et of Letters si je ne m'abuse. Certaines universités appliquent encore différents pré-requis scolaires pour différencier les BA des BSc (notamment sur les langues ... le latin par exemple ... bon ok c'est Princeton).
**Un beau bordel que tout ça. Honours, c'est, au choix de l'université, une année en plus (3 ans au lieu de 2) ou une mention sur le diplôme.
Lien direct vers le message - Vieux 27/08/2003, 01h28
Citation :
c'est quoi un Bachelor ?
C'est un mec avec un bouquet de rose enfermé dans une villa avec 30 demoiselle et qui va se marier avec l'une d'entre elles a la fin

comment ca je sors?


Citation :
4) la personne que j aime se trouve ici

Mais alors ca c'est monstrueux
a donf le lol quoi
mort de rire

Mais franchement, reviens mûrir, prendre de la maturité, devenir un grand avant de penser à aller vivre tout seul
Faut arreter de regarder beverly hills et friends quoi...
redescend sur terre...............
Tu sais ce que ca veux dire "aimer quelqu'un"?

et pi franchement bon pour avoir des parents capables de laisser leur fils faire de l'absentéisme au ce1 (c'est 8 ans ca nan?)
ils sont un peu taré s'ils t'envoi dans la jungle americaine comme ca 8 ans plus tard près a se ruiner la tronche pour ton université


Franchement tu viens nous etaler ta vie en publique, a chaque post tu tombes un peu plus dans le ridicule
et tu voudrais qu'on ne soit pas aussi "réaliste"?



J'espere que le compte cesarac est un hoax
Parce que la ca fait peur...

Znog, je repondrais d'une manière plus encouragante si le posteur ne faisait pas tout pour faire croire à une blague
Je suis desolé, je suis un habitué de ce genre depost "debalage de vie ridicule et absolument pas crédible" parce que c'est pas chose rare sur JeuxOnline
Et Nof à bien repondu, on est pas la pour dire "ouais t'es super coool"
l'hypocrisie très peu pour moi.
Lien direct vers le message - Vieux 27/08/2003, 01h30
Citation :
Provient du message de Le Méchant Cesarac
(merci lucy knight =) )
Lucy Knight = Korny.

Znog, certes, nous n'avons pas été des monstres de diplomatie. Mais je t'assure qu'après un an à subit ses lubies (Cesarac webmestre, Cesarac acteur, Cesarac et ses 20Go de DivX pornos, Cesarac et Lucie, Cesarac et Irc, etc.), la lassitude gagne, et cela se ressent dans nos réponses .

PS: tiens, j'en avais oublié des excellentes, telles que Cesarac et le soleil.
Du coup, je pense que je vais me retaper l'intégrale des 6 derniers mois, il y a des trucs phénoménaux la dedans.
Lien direct vers le message - Vieux 27/08/2003, 01h50
Je pense, voir même sur que notre petit cesarac a une image "ado" et insouciante( autrement dit positif) des Etats-Unis. Il doit avoir dans sa tête les clichés habituels des USA, comme les buildings, casino, Las Vegas, Statue de la Liberté, Empire state Building, les belles nanas de Floride et de la Californie, la Sun Belt, le fric à gogo, bill gates...m'enfin vision typique gamin.
Mais Cesarac, ces images ne sont qu'anguille sous roche. Faut arrêter de matter les feux de l'amour avec les PDG, Newmann Entreprise et tout ça, pour y arriver dans la vie, y a pas de secret, faut bosser, et quand je dis bosser, surtout si tu veux entrer dans une université "upper", c'est-à-dire, ne pas réviser pendant 1 heure et après Playstation ou les "faut que je termine d'abord ma mission ou je dois enmener une prostitué dans un coin de la ville à Vice City et après je taf, ça marche pas comme ça, C'est bosser tout le temps, prendre des gélules pour mieux se concentrer quand t'as des coups de pompes, sortir de tes bouquins juste pour aller aux toilettes et manger, et dès que t'a un moment de répit, c'est lire, que ce soit des romans de littérature, ou des journaux, c'est le boulot qui est primordiale, et la copine et les sorties de boite avec les amis loin derrière.

Si tu veux vraiment entrer dans une université aux E-U, je te conseille dès MAINTENANT de murir, et d'enlever ces visions de gamins par rapport aux U.S.A, car je te dit, quand tu rates ta vie là-bas, on te laisser crouler dans la merde, la merde que tu as crée toi-même, eh oui mon cher, là-bas, , y a pas d'aide social, ni de RMI, que dal, soit tu réussis et t'a la belle vie que tout le monde rêve, ou soit tu t'effondres et y'aura personne pour te repêcher, eh oui toi qui dit que la France, c'est pourri par rapport aux States, sur le plan social, je pense que c'est plut^t le contraire.. Je te conseille de bosser DUR pas l'an prochain ni dans 2 ans, mais maintenant, si tu veux, ne serait-ce qu'une chanc ehyper minime de pouvoir rentrer.
Lien direct vers le message - Vieux 27/08/2003, 01h51
Citation :
Provient du message de Juan Elber Vicario
Si tu veux vraiment entrer dans une université aux E-U, je te conseille dès MAINTENANT de murir, et d'enlever ces visions de gamins par rapport aux U.S.A, car je te dit, quand tu rates ta vie là-bas, on te laisser crouler dans la merde, la merde que tu as crée toi-même, eh oui mon cher, là-bas, , y a pas d'aide social, ni de RMI, que dal, soit tu réussis et t'a la belle vie que tout le monde rêve, ou soit tu t'effondres et y'aura personne pour te repêcher, eh oui toi qui dit que la France, c'est pourri par rapport aux States, sur le plan social, je pense que c'est plut^t le contraire.. Je te conseille de bosser DUR pas l'an prochain ni dans 2 ans, mais maintenant, si tu veux, ne serait-ce qu'une chanc ehyper minime de pouvoir rentrer.
En effet, on ne peut nier que les Etats-Unis sont le pays le plus riche, puissant économiquement, militairement, conneriequement (erf, je m'égare) du monde; c'est aussi un pays très endetté, très pauvre, je n'ai plus les chiffres, et je n'ai pas le courage de les chercher, mais énormément d'américains vivent sous le seuil de pauvreté, et rien n'est fait pour les aider...
Lien direct vers le message - Vieux 27/08/2003, 02h07
Tu n'as pas le profil pour les études à l'étranger, cesarac.

C'est plutôt bourgeois intelligent aux reins solides ou gars de classe moyenne aux reins solides qui n'en veut (bah oui 30 000 $ par an, ton salaire d'un an ne te paiera pas une année d'études).
Lien direct vers le message - Vieux 27/08/2003, 02h15
Citation :
Provient du message de Fingo SARCASME Rakar
Tu n'as pas le profil pour les études à l'étranger, cesarac.

C'est plutôt bourgeois intelligent aux reins solides ou gars de classe moyenne aux reins solides qui n'en veut (bah oui 30 000 $ par an, ton salaire d'un an ne te paiera pas une année d'études).
Meme si je n'en veut beaucoup ?
je peux demander une bourse ?
je peux faire 2 boulot a mi temps ?
Je peux vendre mon pc pour un i mac ?

arggg
Lien direct vers le message - Vieux 27/08/2003, 02h21
De toute façons avant de penser à ton futur cesarac tu devrais deja apprendre à parler anglais convenablement et lire pas mal de livres de littérature anglo-saxonne parce que sans ca tu ne pourrais même pas passer le moindre test ( et ne pense pas savoir parler anglais parce que tu as fais quelques voyages ou parce que tu as réussis à trouver une copine )
Lien direct vers le message - Vieux 27/08/2003, 02h24
Citation :
Provient du message de Le Méchant Cesarac
Je suis le seul du forum a avoir fait un casting ?:doute:
Certainement pas, mais le seul a t'être vanté que tu nous claquerais bien la boite a camembert quand tu aurais ta paie, ta limousine, ton chateau, ta Lucie, ton Virgin Mega.. ah non pas ça...

Enfin bon bref :))))))))))))))))))))))))))))))))))
Lien direct vers le message - Vieux 27/08/2003, 02h30
Citation :
Provient du message de Le Méchant Cesarac
Meme si je n'en veut beaucoup ?
je peux demander une bourse ?
je peux faire 2 boulot a mi temps ?
Je peux vendre mon pc pour un i mac ?

arggg
Bon ben si tu n'en veux, VA AU CANADA.

C'est la même chose, les points négatifs en moins

[propagande]
Les gens sont globalement moins cons, plus sympa, y'a l'aide sociale, la couverture médicale gratuite universelle, les études coûtent moins cher (le plus haut c'est médecine dentaire en Ontario, 11000$CAN, environ euh 8000 US, sinon dans les 3000/année gros max au Qc). Les filles sont aussi jolies et y'a autant de punks à MTL qu'à NY, mais moins de clodos.

Et puis du point de vue de l'insécurité/violence, suffit de regarder Bowling for Columbine (pub inside) pour se faire une idée.
[/propagande]

Edit : en parlant de l'anglais, dans bcp d'institutions ils font un genre d'immersion accompagnée... bref plus facile pour apprendre la langue.
Lien direct vers le message - Vieux 27/08/2003, 02h31
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