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L'affaire de Bétharram
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Le fait de minimiser les choses en disant qu'il n'a pas été amputé, c'est précisément le problème. Citation :
C'est dans la droite ligne du premier ministre Bayrou qui quand il a été confronté à ce témoignage hier a répondu que c'était des méthodes un peu rudes. Et là encore c'est le Bayrou de 2025 qui considère que foutre un gamin dehors à poil au point qu'il subit des engelures et risque d'être amputé, c'est juste des méthodes un peu rudes. Dernière modification par Aedean ; 15/05/2025 à 15h23. |
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Dernière modification par Tonton Jack ; 15/05/2025 à 17h07. |
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cyber clochard |
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Après libre à toi de vouloir le défendre, mais ne reproche pas à d'autres de continuer à dénoncer les propos de Bayrou et les tiens par la même. Bayrou est le responsable politique actuelle concerné qui est celui qui exerce la plus haute responsabilité politique (premier ministre) et qui est aussi le plus lié à l'affaire par ses multiples mandats : administrateur, président du département, ministre de l'éducation nationale, mari d'une enseignante de catéchisme dans l'école, parent d'élèves, élu local, ... D'autres ont été auditionnés en commission : Guigou, Vallaud-Belkacem, Bertrand. Mais 1/ ils ne sont pas autant liés à cette affaire que Bayrou et 2/ Ils ne sont pas dans une stratégie de mensonges à changer leurs versions à plusieurs reprises tout en accusant les lanceurs d'alertes d'être des menteurs. Que Bayrou soit plus particulièrement ciblé parce qu'il est premier ministre, c'est évident. Mais ce n'est pas que çà qui l'explique. Par contre, qu'il soit autant défendu par toi ou par d'autres, c'est bien parce qu'il est premier ministre. S'il était juste commissaire au plan ou retraité de la vie publique, je doute qu'ils aient autant été défendus. Et vu que tu ne viens sur ce fil que pour défendre Bayrou à longueur de journée à coup de whataboutism, je pense que l'accusation est mal placée ![]() Citation :
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Que dit la loi que tu cites ? ![]() Elle précise dans son article 1 que « L'autorité parentale s'exerce sans violences physiques ou psychologiques. ». Cela n'est pas donc une interdiction à l'école. Elle dispose dans son article 2 : Au deuxième alinéa de l'article L. 421-14 du code de l'action sociale et des familles, après le mot : « secourisme », sont insérés les mots : «, à la prévention des violences éducatives ordinaires ». Cela ne concerne donc pas le code de l'éducation mais bien celui des familles. L'article 3 ne dit pas plus interdire les violences éducatives à l'école, mais juste faire un état des lieux pour évaluer les besoins dans les familles et pour les professionnels concernés. Il s'agit, pour les professionnels, de les former à mieux accompagner les parents et aussi pour mieux détecter les signes et violences et savoir alerter. Le rapport sorti sur le sujet est très clair : Citation :
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Alors oui, ça n'a pas empêché qu'il y ait des violences commises. On a par exemple 15% des instituteurs en 1985 qui explique pratiquer la fessée, ce qui est pourtant interdit depuis plus d'un siècle. L'école républicaine aura mis du temps à mettre fin aux châtiments corporels, personne ne le nie. Ni que ça ait été probablement encore plus compliqué dans les écoles catholiques. Par contre, c'était déjà une prise de conscience dès les années 70 et 80. Ce qui explique notamment pourquoi des circulaires ont été prises en 1991 et en 2000 sur le sujet. Dernière modification par Aedean ; 15/05/2025 à 20h50. |
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Edit : on a même l'explication sur le site gouvernemental : Citation :
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