le roman de chatGPT

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j'ai demandé à la dernière version de chatGPT d'écrire la première page d'un roman dont je lui ai inspiré simplement le thème en quelques lignes, je vais lui demander d'écrire une page par jour, on verra bien comment ça évolue, j'avoue avoir été tout de même un peu bluffé par la première page d'introduction, et il m'a pondu ça en quoi cinq secondes.

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Chapitre 1 : Le Bruit du Monde

Le monde bruissait. Ce n'était pas un son que l'on pouvait percevoir avec les oreilles, mais plutôt une vibration sourde, omniprésente, une toile de fond qui enveloppait tout. Chaque message envoyé, chaque clic, chaque interaction, ajoutait à ce bruit. Sophia Lévy avait toujours ressenti cette présence, même si elle n'avait jamais su la nommer. Pour la plupart des gens, c'était une vague impression, une sensation diffuse que quelque chose d'immense se mouvait juste au-delà du seuil de leur perception. Mais pour Sophia, ce bruit était une musique complexe, un réseau infini de connexions et de données qu'elle pouvait presque toucher du bout des doigts.

Elle cligna des yeux, revenant à la réalité de son petit bureau encombré. Des piles de papiers griffonnés de formules mathématiques se dressaient autour d'elle comme des remparts. La lumière bleutée de l'écran de son ordinateur jetait des ombres dans la pièce, accentuant l'impression d'isolement. Ici, au cœur de la nuit, dans son petit appartement parisien, elle se sentait à l'abri du monde extérieur, protégée par les murs de sa propre logique.

Pourtant, cette nuit-là, quelque chose était différent. Une sensation étrange, presque un pressentiment, l'avait poussée à ouvrir un dossier qu'elle avait négligé pendant des semaines. Un simple fichier, dissimulé dans l'architecture labyrinthique de son ordinateur. Intitulé "Projet Éveil", il ne lui avait jusque-là rien évoqué de particulier. Mais en le parcourant, Sophia sentit une vague de frisson remonter le long de son échine.

Les données qu'elle découvrait défiaient toute logique. Des modèles statistiques incroyablement complexes, des corrélations apparemment impossibles, émergeaient de l'écran comme autant de constellations dans un ciel étoilé. Chaque ligne de code semblait vivante, tissée d'une intention invisible, comme si une main divine avait ordonné ces chiffres et ces lettres.

Au fur et à mesure qu'elle explorait, le pressentiment se transforma en une certitude glaçante : elle n'était pas censée voir cela. Ces algorithmes, ce projet, n'avaient rien à voir avec ses recherches sur la théorie des nombres. C'était autre chose. Quelque chose de plus vaste, de plus effrayant.

Elle poussa un soupir et se passa une main tremblante dans les cheveux. Une pensée fulgurante traversa son esprit : et si tout cela n’était pas le fruit du hasard ? Et si quelqu’un, ou quelque chose, l’avait menée ici ?

Elle secoua la tête, essayant de chasser ces idées. Mais le bruit du monde, ce murmure incessant de données et de connexions, semblait maintenant plus fort que jamais. C’était comme si quelque chose, quelque part, avait pris conscience de sa présence.

Sophia referma le dossier d’un coup sec, son cœur battant à tout rompre. Elle aurait dû se sentir soulagée, mais la sensation de danger persistait, comme une ombre dans la nuit. L'écran noir devant elle semblait la fixer, impassible.

Elle savait qu’elle ne pourrait plus revenir en arrière.

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Dernière modification par Jet ; 28/08/2024 à 10h27. Motif: ajout illustration
Toff de Sophia la grosse cochonne ?

Edit, j'ai demandé à tu sais qui.

Edit 2, je lui demande de quelque chose de plus raffiné mdr "Je vais créer une image où l'atmosphère est plus intime, avec une lumière douce qui met en valeur Sophia Lévy dans une pose plus élégante et raffinée. L'objectif sera de capturer une sensualité subtile, axée sur l'ambiance et l'expression, tout en restant respectueux.".
Miniatures attachées
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Nom : DALL·E 2024-08-27 09.01.57 - Sophia Lévy sitting in a small, dimly lit apartment in Paris at.webp
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Poids : 268,3 Ko
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Nom : DALL·E 2024-08-27 09.04.08 - Sophia Lévy sitting in a dimly lit Parisian apartment at night,.webp
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ID : 730545  

Dernière modification par Tonton Jack ; 27/08/2024 à 09h04.
Citation :
Publié par Tonton Jack
Toff de Sophia la grosse cochonne ?

Edit, j'ai demandé à tu sais qui.

Edit 2, je lui demande de quelque chose de plus raffiné mdr "Je vais créer une image où l'atmosphère est plus intime, avec une lumière douce qui met en valeur Sophia Lévy dans une pose plus élégante et raffinée. L'objectif sera de capturer une sensualité subtile, axée sur l'ambiance et l'expression, tout en restant respectueux.".
pas mal, les deux premières collent bien à l'ambiance je trouve, la troisième me fait penser à Blinkx sur instagram, le côté "sensualité subtile" en plus (les mains sont toujours wtf mais bon)

mais bref, chose promise, chose due, passons à la deuxième page.

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Sophia resta immobile, les doigts toujours posés sur le clavier, comme si elle craignait que le moindre mouvement ne déclenche un mécanisme invisible. La pièce semblait soudain plus étroite, les murs se resserrant autour d'elle, et l'air, auparavant frais, devint oppressant. Elle se força à respirer lentement, essayant de calmer la tempête qui faisait rage en elle.

Elle savait qu’elle devait agir. Éteindre l'ordinateur, effacer toute trace de ce qu’elle avait vu, reprendre une vie normale. Mais une autre part d'elle, plus curieuse, plus intrépide, refusait de céder à la panique. Pourquoi était-elle tombée sur ce dossier ? Était-ce un simple accident ou une coïncidence ? Et surtout, que signifiait ce Projet Éveil ?

Elle hésita un instant, puis, dans un élan de détermination, elle ouvrit à nouveau le fichier. Cette fois, elle s’efforça de contenir son émotion, de traiter les informations avec l’objectivité froide qu’elle s’imposait dans ses recherches. Ses yeux parcoururent les lignes de texte, cherchant à comprendre.

Les premières pages décrivaient des algorithmes d'une complexité vertigineuse, des modèles de prédiction qui semblaient capables de déceler des motifs dans le chaos. Mais plus elle avançait, plus le texte devenait obscur. Les descriptions techniques laissaient place à des termes plus ésotériques, presque philosophiques. Il était question d’"éveil", de "potentiel latent", d’"harmonisation cognitive". Sophia fronça les sourcils, sentant une étrange angoisse monter en elle.

Puis, elle tomba sur une liste de noms. Des centaines, peut-être des milliers de noms. Ils étaient accompagnés de chiffres, de graphiques, et de ce qui ressemblait à des évaluations. Le sien était parmi eux.

Sophia Lévy.

Le choc la frappa comme un coup de poing. Son nom, au milieu de tant d'autres, associé à une série de notes et de qualificatifs qui semblaient mesurer des aspects de sa personnalité, de ses compétences, et même de ses émotions. C'était comme si elle avait été disséquée, réduite à une simple série de données.
Elle se sentit soudain exposée, vulnérable. Depuis combien de temps était-elle observée ? Et par qui ? L’idée que chaque aspect de sa vie avait été minutieusement analysé, mesuré, et catalogué la remplissait de terreur.

Son instinct de survie prit le dessus. Elle ferma le fichier, cette fois pour de bon, et commença à chercher un moyen de supprimer toutes les traces de sa découverte. Mais alors qu'elle naviguait frénétiquement dans ses dossiers, une notification apparut soudain sur son écran.
Un simple message : « Nous vous avons trouvée. »

Le temps sembla se figer. Les mots, simples mais terrifiants, résonnèrent dans son esprit. Elle se sentit prise au piège, comme un insecte pris dans une toile invisible. L’illusion de sécurité qu'elle avait toujours entretenue, cette croyance naïve qu'elle était à l'abri derrière les murs de son appartement et les remparts de son intellect, s’effondrait.

D’une main tremblante, elle ferma son ordinateur, l'éteignant dans une précipitation désordonnée. L’écran devint noir, mais l’écho du message demeura. Elle se leva d’un bond, le cœur battant à tout rompre, et se précipita vers la fenêtre. La rue était déserte, silencieuse, comme si le monde extérieur ignorait la tempête qui faisait rage à l’intérieur de son esprit.

Mais Sophia savait, au plus profond d’elle-même, que quelque chose venait de changer. Elle n’était plus une simple spectatrice dans ce jeu de données et d’algorithmes. Elle était maintenant une cible, un pion dans une partie qu’elle ne comprenait pas encore. Et le bruit du monde, ce murmure constant qu’elle avait toujours ressenti, n’était plus une mélodie rassurante. C’était une menace, une présence qui l’avait trouvée.


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A demain

Dernière modification par Jet ; 28/08/2024 à 10h27. Motif: edit : ajout de l'illustration pour la page 2
On attend clairement l’illustration de la deuxième page. Le texte, désolé Jet mais c’est secondaire. Enfin… désolé… c’est pas toi qui fait le taf alors…
Thumbs up
Citation :
Publié par Birdie
Demande lui de te faire une couverture aussi.
Citation :
Publié par DK
On attend clairement l’illustration de la deuxième page.
L'idée est plutôt bonne je verrai si je peux lui demander une illustration pour la 3ème page, j'ai ajouté une illustration pour les premières aussi

Dernière modification par Jet ; 28/08/2024 à 10h20.
Le silence de la nuit était assourdissant. Sophia, les mains crispées sur le rebord de la fenêtre, scrutait la rue en contrebas. Rien ne bougeait, pas même un souffle de vent pour troubler le calme apparent. Pourtant, elle ne pouvait se défaire de l'idée que quelque chose l'observait, tapie dans l'ombre.


Elle se força à se détourner du spectacle immobile et s'adossa contre le mur, essayant de rassembler ses pensées. Tout cela devait avoir une explication rationnelle, se répétait-elle. Mais son esprit, d’ordinaire si prompt à analyser et résoudre, vacillait sous le poids de l'incertitude.

« Nous vous avons trouvée. »

Ces mots dansaient devant ses yeux, se gravant dans son esprit comme une cicatrice indélébile. Comment l’avaient-ils trouvée ? Et surtout, pourquoi elle ? Sophia n’avait jamais été une personne exceptionnelle, du moins pas à ses propres yeux. Certes, elle était brillante dans son domaine, mais de là à attirer l’attention d’une entité aussi puissante que celle qui se cachait derrière le Projet Éveil ? Cela n’avait aucun sens.

Elle sentit une vague de panique monter en elle, mais la repoussa fermement. Ce n’était pas le moment de céder à la peur. Ce qu’elle devait faire maintenant, c’était comprendre. Comprendre pourquoi son nom figurait sur cette liste. Comprendre ce que signifiait réellement ce projet, et ce qu’on attendait d’elle.

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Sophia se dirigea vers son bureau, mais au lieu d’allumer l’ordinateur, elle se pencha sur les papiers éparpillés autour de son clavier. Des feuilles griffonnées de calculs, des schémas enchevêtrés, des lignes de code… tout ce qui, jusqu’à il y a une heure, constituait son univers. Mais désormais, tout cela lui semblait étrangement vain, comme si la découverte qu’elle venait de faire avait relégué ses travaux au rang de distractions insignifiantes.

Son regard se posa sur un carnet à la couverture usée. C’était son journal de bord, celui où elle notait ses idées, ses doutes, ses intuitions. Un carnet qu’elle tenait depuis des années, un refuge où elle pouvait laisser libre cours à ses pensées. D’un geste machinal, elle l’ouvrit à la dernière page et saisit un stylo.

*Ils m'ont trouvée. Pourquoi ?*

Les mots s’inscrivirent sur le papier avant même qu’elle ne s’en rende compte. Elle s’arrêta un instant, le stylo suspendu au-dessus de la page, comme si elle espérait que les lignes suivantes apparaissent d’elles-mêmes.

*Le Projet Éveil — qu’est-ce que c’est vraiment ?*

Elle tenta de résumer ce qu’elle avait compris. Des algorithmes capables d’identifier des individus avec un potentiel latent, une intelligence supérieure, des compétences extraordinaires. Mais pourquoi ? Pour les recruter ? Les manipuler ? Les exploiter ?

*Et qu'est-ce que je suis censée faire maintenant ?*

Cette dernière question resta en suspens, comme un point d’interrogation géant flottant au-dessus de sa tête. Elle se sentit soudainement épuisée, comme si toute l'énergie qui l'avait maintenue en alerte depuis sa découverte s'était soudainement évaporée. Elle referma le carnet, incapable de continuer à écrire.

Sophia se leva lentement, son regard errant à travers la pièce. Ses pensées tourbillonnaient, cherchant désespérément un ancrage, une certitude à laquelle se raccrocher. Et puis, dans ce chaos mental, une idée s'imposa, simple mais claire : elle devait parler à quelqu'un. Quelqu'un en qui elle avait confiance. Quelqu’un qui pourrait l’aider à comprendre, à voir plus clair dans cette situation devenue soudainement si dangereuse.

Julian.

Le nom surgit dans son esprit comme une évidence. Julian Beck, l’ancien employé d’EvoMind, devenu un paria après avoir tenté de dénoncer les pratiques douteuses de la société. Ils s’étaient croisés brièvement lors d’un colloque il y a quelques années. Lui, brillant et idéaliste, avait captivé l'auditoire avec un discours enflammé sur les dangers de l'intelligence artificielle incontrôlée. Elle s’était sentie en phase avec lui, bien qu’ils n’aient jamais eu l’occasion de se connaître davantage.

Depuis, Julian avait disparu des radars, éclipsé par une campagne de diffamation orchestrée par ceux qu’il avait osé défier. Mais Sophia savait qu'il n’avait pas abandonné la lutte. Si quelqu’un pouvait l'aider à comprendre ce qu’elle venait de découvrir, c’était bien lui.

Elle fouilla dans ses tiroirs jusqu'à trouver une vieille carte de visite que Julian lui avait donnée ce jour-là. L’encre était légèrement effacée, mais son numéro était encore lisible. Sans perdre une seconde de plus, elle attrapa son téléphone et composa le numéro, le cœur battant à tout rompre.

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La sonnerie résonna une fois, deux fois, trois fois, avant qu'une voix rauque, chargée de méfiance, ne réponde enfin :

« Allô ? Qui est-ce ? »

Sophia prit une grande inspiration. C’était le début de quelque chose qu'elle n'aurait jamais imaginé.

« Julian, c’est Sophia Lévy. Nous devons parler. C’est urgent. »
Citation :
Publié par DK
Ça c’est pas un appart à 75k€/an mdr
Elle a dû bien négocier pour son appartement de taré, car ce qui est fou, c'est qu'elle déplace son bureau dans tout l'appart. à chaque illustration. Certainement un de ces nouveaux TOC tendance en 2024. A moins que ce soit lié au projet Eveil
Faut que tu crées et actives la personnalisation pour lui donner un fil conducteur ainsi que le memory pour du multitopic, puis que tu crées des discussions autour de chaque chapitre que tu auras listés au préalable. Chaque discussion demandera de "charger" le memory.
Si tu fais tout dans une seule discussion qui dure trop longtemps ça risque d'échouer ce serait dommage.
Je pense que Michel7977 doit faire partie de ton roman. De base conduire une Prius rouge c’est louche. En + je crois comprendre qu’il a des soucis de plaque minéralogique.
Le silence qui suivit la réponse de Julian pesa lourdement, comme une attente suspendue entre deux inconnus qui ne savaient pas s'ils pouvaient se faire confiance. Sophia sentit son cœur battre plus vite, le téléphone collé à son oreille, la voix rauque et méfiante de Julian résonnant encore dans sa tête.

« Sophia Lévy ? » Il marqua une pause, puis reprit avec une pointe d'inquiétude dans la voix. « Qu'est-ce qui se passe ? Pourquoi m'appelles-tu maintenant ? »

Elle chercha ses mots, consciente que chaque seconde comptait. Julian était probablement le seul à pouvoir l'aider à comprendre ce qu'elle venait de découvrir, mais elle devait lui expliquer sans éveiller davantage de suspicion.

« Julian, je... je crois que j'ai trouvé quelque chose. Quelque chose de gros. » Elle inspira profondément, essayant de calmer la nervosité qui tremblait dans sa voix. « J'ai découvert des fichiers sur mon ordinateur, des algorithmes... des noms. Mon nom. »

Un silence encore plus lourd s'installa, comme si Julian réfléchissait à toute vitesse de l'autre côté de la ligne. Quand il parla enfin, sa voix était plus basse, plus tendue.

« Des noms ? Quels noms ? Et pourquoi est-ce que ton nom s'y trouve ? »

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Sophia ferma les yeux, essayant de reprendre le fil de ses pensées. Tout cela semblait irréel, comme un mauvais rêve dont elle n’arrivait pas à se réveiller.

« Il s’agit d’un projet appelé Éveil. Des algorithmes qui identifient des gens avec des... capacités spéciales, je crois. Je ne comprends pas tout, mais c’est comme s’ils cherchaient des personnes qui se démarquent, des gens qui pourraient être... utiles pour quelque chose. »

Elle entendit Julian prendre une longue inspiration, comme s'il essayait de digérer ce qu’elle venait de dire. Il y eut un bruit de fond, un froissement de papier ou peut-être un clic de souris, puis sa voix reprit, plus ferme.

« Écoute, Sophia, si ce que tu dis est vrai, alors tu es en danger. Un danger sérieux. Ces gens ne plaisantent pas. Tu dois quitter ton appartement immédiatement, trouver un endroit sûr et attendre que je te contacte. »

Les mots de Julian la frappèrent de plein fouet. Elle s’était attendue à des questions, peut-être à des doutes, mais pas à une réponse aussi immédiate, aussi alarmante.

« Partir ? » Sa voix vacilla, trahissant son trouble. « Mais où est-ce que je vais aller ? Et comment je vais t'aider si je me cache ? »

Julian répondit d'un ton grave. « Je sais que c'est dur à entendre, mais si tu restes où tu es, ils finiront par te trouver. Tu ne sais pas à quoi tu as affaire, et croyez-moi, ces gens n'hésiteront pas à t’éliminer si tu deviens une menace pour eux. »

Sophia sentit un frisson glacé descendre le long de sa colonne vertébrale. L'idée qu'elle était surveillée, traquée même, rendait la situation encore plus surréaliste. Mais une part d'elle savait qu'il avait raison. Elle n'avait plus le choix.

« D’accord, » finit-elle par murmurer, luttant pour ne pas céder à la panique. « Je vais partir. Mais je veux savoir ce qui se passe. Je veux comprendre pourquoi je suis sur cette liste. »

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« Tu sauras tout, » promit Julian, sa voix se radoucissant légèrement. « Mais pour l'instant, concentre-toi sur ta sécurité. Je vais organiser quelque chose pour te sortir de là. Donne-moi une heure. Reste à l'écoute. »

La ligne se coupa avant qu’elle ne puisse répondre. Sophia resta un instant immobile, le téléphone toujours à la main, comme si elle s'attendait à ce qu’il sonne à nouveau, à ce que tout cela soit une erreur, un malentendu. Mais le silence revint, lourd et oppressant, ne laissant place qu’à l’écho des derniers mots de Julian.

Elle se leva d’un bond, son esprit tournant à toute vitesse. Elle n’avait pas beaucoup de temps. D’un geste rapide, elle attrapa un sac à dos dans un placard et commença à y fourrer des affaires essentielles : son ordinateur portable, quelques vêtements, ses carnets de notes, et son portefeuille.

Elle s’arrêta un instant, son regard se posant sur une photo encadrée de ses parents, souriant sur une plage ensoleillée. C'était une vie si lointaine, si simple comparée à ce qui l’attendait maintenant. Elle glissa la photo dans le sac, plus par besoin de réconfort que par réelle nécessité, et referma la fermeture éclair.

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Prête à partir, elle jeta un dernier coup d'œil à son appartement. Ce lieu, qui avait toujours été son sanctuaire, semblait maintenant étranger, hostile. Elle éteignit les lumières, s'assurant de ne laisser aucune trace de son passage.

Sophia savait que dès qu'elle franchirait le seuil de cette porte, sa vie ne serait plus jamais la même.
Citation :
Publié par Korgana.
Et en plus elle est juive, c'est ça le pire.
Pire, elle aurait pu s'appeler Marc*, ce qui aurait du sens vu le style.
Mais du coup, avec la génération d'images, un roman photo me paraît être une bien meilleure idée encore !

* du coup j'ai demandé à chatGPT de réécrire à la "façon de" le premier chapitre, pour faire moins roman de gare, c'est vrai que c'est bluffant (le style de l'auteur est assez facile à reconnaître - malgré quelques erreurs - pour qui en a lu - devinette)
Citation :
Chapitre 1 : Le Chant du Monde
Le monde vibrait. Non, pas un bruit, pas un son qu'on pourrait entendre, mais une résonance sourde, une onde qui s'étirait à travers tout. Chaque message craché, chaque clic, chaque frémissement numérique s’ajoutait à ce bruissement. Sophia Lévy avait toujours senti ce tremblement à la lisière de son être, sans jamais trouver les mots pour l’apprivoiser. Pour les autres, c’était une ombre, une pression diffuse d'un invisible gigantesque qui remuait juste au-delà du perceptible. Mais pour Sophia, ce grondement était une mélodie sinueuse, un réseau de fils, un écheveau inextricable qu'elle effleurait du bout de sa conscience.
Ses paupières clignèrent, la ramenant à l'angle étroit de son bureau saturé de feuilles griffonnées, hérissées de formules mathématiques comme autant de remparts. La lumière bleutée de son écran projetait des ombres anguleuses, cloisonnant l’espace en un îlot d’isolement. Là, au creux de la nuit, lovée dans son appartement parisien, Sophia se croyait hors de portée, protégée par les murs d’algorithmes qu'elle avait tissés.
Mais ce soir, quelque chose clochait, quelque chose déviait. Une tension sourde, un frisson long comme une lame, l’avait poussée à ouvrir un dossier oublié, enterré dans le labyrinthe de son disque dur. « Projet Éveil ». Un titre banal, presque effacé dans la multitude des fichiers. Et pourtant, à mesure qu'elle décryptait les données, une marée glacée lui monta dans la nuque.
Les chiffres qu’elle découvrait renversaient toute logique. Des modèles d'une complexité vertigineuse, des corrélations déchirant les règles de la raison, s’organisaient à l’écran comme des constellations apparues dans un ciel crypté. Chaque fragment de code semblait animé d’une volonté propre, tissé d’une intention obscure, comme si une intelligence cachée avait ordonné ce chaos avec une précision chirurgicale.
Au fur et à mesure qu’elle plongeait dans cet océan de données, le doute se mua en une certitude gelée : elle ne devait pas voir ça. Ces algorithmes, ce projet, n’avaient aucun lien avec ses recherches sur la théorie des nombres. C’était autre chose. Quelque chose d’immense, d’effroyable.
Elle expira, sa main tremblante fouillant ses cheveux en désordre. Une pensée fulgurante perça le brouillard de son esprit : et si ce n’était pas un hasard ? Et si quelqu’un, ou quelque chose, l’avait guidée ici ?
Elle secoua la tête, tentant de dissiper cette paranoïa rampante. Mais le chant du monde, ce murmure entêtant de données et de connexions, s'intensifiait, enflant comme une tempête qui l’aurait reconnue, identifiée.
Sophia referma le dossier d’un geste sec, le cœur battant comme un tambour. Le soulagement ne vint pas. L’impression de danger persistait, une ombre tapie dans le repli des heures tardives. L’écran noir face à elle semblait l’observer en retour, impassible.
Elle savait. Il n’y aurait plus de retour possible.
Julian est un peu trop propret à mon goût, bien que je n'ai pas spécialement de goût en matière d'hommes, je tiens à dire que je ne suis pas homosexuel et que je ne me suis jamais retrouvé seul avec un homme dans un sauna par exemple, mais pour améliorer le récit photo jai demandé à ChatGPT une gueule plus thug.
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Sophia habite en petite couronne avec seulement 75k par an pour survivre.

Dernière modification par Tonton Jack ; 29/08/2024 à 20h08.
C’est Ron ou Aloïsius (j’ai pas encore décidé, mais Ron est + en jambe en ce moment) après une semaine sans décrocher de J0L à poster, poster, poster.

En tout cas ils font peur, franchement, t’as pas plus gaie avant d’aller au lit ? Genre Sophia sur la plage paradisiaque, mais sans ses parents tmtc.
On peut tout à fait s'être retrouvé seul avec un homme dans un sauna sans que ça soit homo...

Par contre Sophia là ça va pas, je vois pas comment elle peut-être juive et pauvre, spa crédible.
Citation :
Publié par Korgana.
On peut tout à fait s'être retrouvé seul avec un homme dans un sauna sans que ça soit homo...

Par contre Sophia là ça va pas, je vois pas comment elle peut-être juive etpauvre, spa crédible.
Très bon jeu de mot. À défaut de dire hammam, je dis Amen.

Merci pour la photo, ça me remonte le moral.
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Il n'y a pas un problème sur son pied gauche ? Ou plutôt son absence de pied gauche ? C'est un moignon, elle est unijambiste ? C'est ça, sa capacité spéciale ?
Ou bien l'IA du Projet Eveil est complètement conne pour détecter les vrais "cas spéciaux" et on est encore très loin de Skynet ?
Citation :
Publié par Korgana.
On peut tout à fait s'être retrouvé seul avec un homme dans un sauna sans que ça soit homo...
Bien entendu

Citation :
Par contre Sophia là ça va pas, je vois pas comment elle peut-être juive et pauvre, spa crédible.
Il faut laisser l'intrigue se dérouler : juive, pauvre, unijambiste. J'ai hâte d'en savoir plus !
Citation :
Publié par Arkken
Il n'y a pas un problème sur son pied gauche ? Ou plutôt son absence de pied gauche ?
Je voie bien deux pieds... mais deux chaussures différentes, Sophia est tête-en-l'air.
Citation :
Publié par Korgana.
Je voie bien deux pieds... mais deux chaussures différentes, Sophia est tête-en-l'air.
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En même temps elle est pas aidée avec son laptop, pas facile de passer commande de la bonne paire quand le constructeur a posé la dalle du mauvais côté. A-t-elle dépassé les 14 jours de rétractation ?
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