Je pense simplement que je n'ai pas à cracher et à juger, vous remplissez fort bien ce rôle pour moi. Inutile que j'en rajoute une couche, enfin... je peux le faire si ça te fait plaisir.
Ha oui, la fameuse supériorité qui pousse à ... l'inactivité. Ne pas prendre parti, c'est déjà prendre parti, mec.
Bah rien, sauf que moi j'ai rien dis à ce sujet, contrairement à toi et tes propos très nettement péremptoire. T'a quand même fais une analyse sur un forum quoi, excuse moi du peu. Les psy belges c'est pas ceux qui exercent avec l'équivalent de nos licences françaises ?
Je n'ai pas à tolérer ou non les autres. Je me vois bien sortir à un parent pendant une séance de mise au point avec une institution (quand ils viennent, ce qui devient de plus en plus rare) : "Monsieur vous m'êtes intolérable".
Sauf que l'OP n'est pas ton patient, et que ça ne t'empêche pas de juger du comportement de ceux qui, justement, ont une opinion, et l'expriment. Assez ouvertement. Au final, du donne de la réserve pour le père de l'OP, mais pas pour ceux qui prennent parti - cherche le bug.
Je ne tiens pas à quitter mon père (enfin j'ai ma mère mais bon), le quitter ce serait ce soumettre à sa femme et l'enfant de sa femme, sérieusement je m'en fou complètement que les deux me fassent chier, ce que je m'en fou ces que ça joue sur mon père, le seul truc que je veux c'est qu'il arrête de se faire influencer
Là j'ai 18 ans et demi je suis en train de "préparer mon avenir" et je compte sur mon père.
Et ceux qui pense que mon père aime plus I et E que moi se plante, il est tous simplement influencé.
Imho tu prends tout à l'envers là.
Déjà, si c'est possible (et je sais que dans certaines familles c'est impossible, mais bon), réunis tes deux parents. Sans beau-père (si il y a, je ne sais pas), sans belle-mère.
Tu a un avenirs à préparer ? C'est très bien. Tu leurs présente ton projet. Ecole, université, formation, peu importe. Tu leur explique de quelles ressources tu a besoin, sur combien de temps (logement, argent, transports, etc.), et tu les mets face à la question : comment compte-t-ils s'arranger pour que tu ne manque pas pendant les quelques années à venir.
Tu ne leur demande pas s'ils veulent bien. Ils le le doivent. Tu leurs demande comment ils comptent faire. Si en plus tu avance d'une participation personnelle (par exemple en bossant si ton projet le permet), tu feras d'autant mieux passer la pilule.
Au final, si tu peux trouver un arrangement avec tes deux parents, au calme, t'en ressortira grandi, et eux aussi. Et si tu te penses endetté à leur égard, t'auras toute liberté de rendre plus tard.
Pour ton père, ne t'en mêle plus, et accepte l'état de fait. Peu importe qu'il soit soumit ou qu'il ne t'aimes plus, ou que sais-je, ça va être à lui de faire ce constat. Plus tu forceras dans un sens ou dans l'autre, et plus les choses vont s'aggraver. Si vraiment ta belle-mère et son môme sont les merdes que tu décris, soit il est de toutes façons trop faible pour t'aimer comme il le devrait, soit il s'en rendra compte bien assez tôt, et vous pourrez recoller les morceaux en temps et en heure.
Pour l'instant, sécurise ton avenirs avec tes parents, pour les crises de cœur t'a toute la fin de leur vie pour pardonner - ou non.
Ha, et, Undercover Bear : t'es une grosse merde. Comme dit plus haut, vivement que tu commences à pondre des chiards qui iront grossir les rangs des psys si t'a de l'argent, et des services sociaux si tu n'en a pas. Mais t'a raison, les responsabilités, c'est pour la nouvelle génération précaire, pas pour les ascendants bien installés, hein !
Nos sociétés de petits philosophes confortables partent complètement en banane.