#7870 |
Aller à la page... |
Un geste pour préserver la nature. Oui, mais lequel ?
Suivre Répondre |
|
Partager | Rechercher |
|
|
![]() |
|
|
|
![]() |
|
|
Tu n'as aucunes idées de ce qu'est l'industrie agro-alimentaire toi.
Les animaux n'ont pas plus d'espace qu'il en occupe (22 poulets au m², soit 44kg (si on prendre 2kg par poulet)). Si tu veux j'ai chercher des chiffres. Un poulet mange 1,4 k pour donner 1k de poids vif (cf p16). Mais son alimentation n'est qu'à 50% de céréales (cf)... et il ne faut que 45 jours de maturité. Alors c'est pas parfait et on ne peut pas évalué juste comme ça, c'est juste pour dire que le ratio bouffe/temps/prix/énergie/besoin céréalier/place n'est pas aussi simple que certains semblent le penser. |
![]() |
|
|
J'ai pas le temps, juste pour dire que j'ai fait pleins de fautes sur mes messages parce que je suis bien crevé. Aucunes idées n'existent pas. Je répondrais demain.
|
![]() |
|
|
Citation :
après forcement c'est des habitudes qu'on a depuis le début des hommes mais ca n'a fait qu'empirer au point d'en être a arriver a ce stade (ca m'empêche pas de manger un peu de viande quand même!) |
![]() |
|
|
Citation :
Comme tu le dis, la viande de boeuf a un impact nettement plus négatif que le poulet. Je n'ai plus les chiffres exacts, mais il me semble que c'était de l'ordre de 7 protéines d'origine végétale pour obtenir une protéine de poulet, et dans le cas du boeuf on dépasse joyeusement les 20. De nouveau, je peux me tromper sur les chiffres mais l'idée est là. Plus de production végétale, ça veut dire plus d'usage de machinerie (agricole pour la production en elle-même, le traitement, ... puis le transport), et donc plus de pollution. L'habitude occidentale de manger de la viande chaque jour, voire deux fois par jour est absurde, on n'en a absolument pas besoin. J'adore la viande, mais je me limite à de la viande une ou deux fois par semaines. Du coup, je choisis la viande avec plus d'attention, et je me retrouve avec de la viande de meilleure qualité que si j'en prenais chaque jour à des prix plus bas. Article trouvé rapidement avec une recherche à ce sujet, à prendre bien sûr avec les réserves d'usage, je ne connais pas le site et je ne sais pas s'il est fiable, mais de mémoire ça correspond plus ou moins avec ce que j'ai pu voir dans mes cours (j'étudie l'agronomie :] ). Reste que si on veut vraiment "manger écolo", y'a pas 36 solutions : il faut manger local. Trouver des producteurs locaux, manger des fruits et légumes de saison (non, des fraises bio en hiver c'est pas écolo) et ne pas manger un steak à chaque repas. |
![]() |
|
|
Citation :
|
![]() |
|
|
Citation :
Ca n'explique rien, c'est une utilisation d'un stéréotype, c'est construit sur deux variables qui ne sont pas indépendante (liée), parmi une multitude. Tout cela dit quoi ? Qu'on n'a pas nécessairement besoin de connaître tout les mécanismes, mais que l'on peut sauter des cases d'un raisonnement tant qu'on comprendre où, pourquoi (pourquoi on le fait, pas pourquoi ca marche), et avec quelle efficacité. Pour en revenir non pas tout a fait au sujet, mais à notre aparté, personnellement je ne discutais pas tant de l'efficience de l'élevage que de l'inefficacité de la conversion en terme de "calorie". Efficience qui se fait selon toi à deux échelons, la valorisation des déchets végétaux, la valorisation et la valeur ajoutée aux terres arables voir à l'économie, en gros, si j'ai bien compris.(je ne le retrouve plus, je l'ai peut être rêvé, je laisse le paragraphe dans le doute, ayant trop bu pour relire !) D'un point de vue politique, je suis de toutes façons pour une valorisation (largage d'aide) des industries et de la paysannerie non pas dans une finalité productiviste, mais dans une finalité d'aménagement du territoire (genre les haies pour éviter les glissement de terrains ou le contrôle de la propreté des nappes phréatiques, des rivières, des fôrets, 'carbone', culture du terroir etc...). Mais là aussi, ce n'est qu'une fenêtre ouverte sur une douce utopie indiscutable ici en l'état. Pour ma part, la paysannerie est importante quand elle aide à l'aménagement du territoire et à la qualité de vie intérieure, mais l'exportation à base d'aide est une connerie sans nom. En plus de tout ça, j'ai bien du mal à justifier la déforestation amazonienne pour planter du soja aux fins de l'élevage européen (pour caricaturer et reprendre un argument à la sauce greenpeace), donc je ne vois pas la carnivorisation -histoire de néologiser un peu- des pays émergents comme une bonne chose. Sinon il y a quand même un 'continent' entier, le continent indien, qui marche presque autrement et qui contente quelques centaines de millions à base de yaourt, d'épice et de légume. Je vois mal, vu les problèmes de sur-pêche et de déforestation, le monde continuer sur un modèle texan plutôt qu'un modèle indien par nécessité même si les cultures unicellulaires lisseront sans doute quelques courbes. A titre perso, je suis un carnivore qui a réduit ses parts de viandes et changer ses habitudes alimentaires par coût, pour la santé, ou simplement par conviction (non pas une forme de végétalisme, juste que je préfère économiser pour manger une vache qui a gambadé qu'un poulet élevé dans une cage de 20cm). Moins de viande, mais dès que je remonte sur Paris, je vais toujours me faire une tite levrette 'argentine' au Blackdog (carte : Carte du resto ![]() Une attitude est-elle critiquable si l'on se fourvoie sur les causes du moment qu'on choisit la bonne -par instinct, ou bon entourage panurgisme- ? |
![]() |
|
|
Un geste pour préserver la nature. Oui, mais lequel ?
Faut baiser, mes amis :
Citation :
|
![]() |
|
#6546 |
Suivre Répondre |
Fil d'ariane
Connectés sur ce fil1 connecté (0 membre et 1 invité)
Afficher la liste détaillée des connectés
|