Petites rencontres au clair de lune...

 
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Reikland 00h00
Assis sur mon brave sanglier, Gnarla,(c.f.: L.A. peaux vertes p.33, desolé de ce petit post mais pas envie d'étre poursuivi en jusitice par warhammer xD), je chevauche, enfin je cahute. Oui parce que evidemment quand je l'ai acheté je me suis fait rouler. D'ailleurs le vendeur a reçu mon kikoup dans la gueule mais c'est une autre histoire....
Donc bon je m'envais vers les gars du soleil sanglant et les ordreux à taper. Au loin, soleil couchant magnifique, les cloches d'un lointain temple résonnent(oui un orque à la fibre artistique ça existe(ou pas ;p). 1er coup? L'horizon est calme, 2éme coup, j'appercois une mouette planer...3éme coup...j'ai faim. 4éme coup.Le pont apparait enfin, 5éme coup, avec ces lanternes qui rendent, 6éme coup,trouble le milieu du pont. 7éme coup. Trouble?...8éme coup. Là, le 6éme sens , trés aiguisé chez un peaux verte si,si, 9éme coup, se met en eveil.
10éme coup. J'arréte Gnarla net, juste avant le pont. 11éme coup. Je m'empare de mes kikoups et fixe l'air qui remue devant moi. 12éme coup. Le canon magnifiquement ouvragé du répurgateur se distingue entre mes deux yeux. 13éme coup... Hein? comment ça, 13éme coup? Méme si je suis un orque je sais compter.... Ah c'est la détonation du pistolet. ai-je le temps de penser avant de m'affaler aux pieds du chasseur de sorciére. Son nom, Rhude, il se nome Erhude. Bienvenue en T4 a l'air t'il de dire... /reset.

Voici mon 1er petit recit. J'en posterais d'autres sur les joueurs de Brionne qui m'ont marqués. A vos critiques je pourrais améliorer les suivants. Et si quelqu'un veut lui aussi en poster ce sujet lui est grand ouvert.

Bon allez je retourne bosser.
Dressage d'un Lion... C'est pas gagné!
Bonsoir,

Sorti depuis peu de l'académie de Chrace, avec mon très cher et puissant Lion Blanc, je pouvais enfin parcourir le vaste monde dans les contrées épiques avant de parfaire mon expérience de combats héroïques.
Néanmoins, il me restait un pas à franchir, le dressage de mon Lion afin qu'il acquiert sa plus haute technique qui en langage elfe se dit : "Vah shersh é" ou plus communément appelé le Grappin.
Nous errions mon Lion et moi dans les rue de Praag, quand soudain des bruits de passes d'armes se firent entendre en direction de la place des martyres.
Là, se trouvaient 6 valeureux représentants de l'Ordre en train de combattre cette engeance de vermine de la destruction (ils étaient 6 aussi ; NDLA : Oui je sais c'est pas possible, on est sur Brionne mais je rappel à nos lecteurs, que ce n'est qu'une fiction).
A la vue de cette bataille, je me souvint alors des préceptes de mon maître :"Le Shaman, en premier, occire tu dois". Ces mots résonnèrent dans mon esprit comme une révélation. Un peu crispé par l'appréhension du premier combats j'appelais mon Lion.
- "Ecoute Newoz, c'est notre grand jour. Tu vois le Shaman, là bas?"
- "Rooaaarrr"
- "Et bien tu vas aller le chercher et tu me le ramènes compris?"
- "Rooaaarrr"
- "Va Chercher!"
Lors des 2 premières secondes tout ce passa bien, le Lion suivait une trajectoire rectiligne en direction de sa proie. Puis tout d'un coup, le Lion bifurqua pour aller se précipiter sur un énorme kouptou non loin de là.
- "Non!!!! Pas le gros, c'est le petit que je veux!!!!" Hurlais-je en vain
Quelques centièmes de secondes plus tard, l'énorme peau verte se retrouvait à mes pieds, ramené par mon Lion, les yeux pleins de fiertés du travail accompli.
"MoiPaGro" sont à peu près les derniers mots que j'ai du entendre juste avant le choc violent d'un objet contondant sur ma boîte crânienne.
Quand je rouvris les yeux, nous étions au bivouac mon Lion et moi.
- "Bon Newoz, c'est assez encourageant pour un début... Mais c'est pas gagné!!"

A+ IG

Zowen
La soirée avait été tardive, la horde des peaux vertes et autres races, engeances du chaos, avait déferlée sur les contrées du Reikland. Toutes les forces avaient été mobilisées, des troupes armées d'Altdorf, jusqu'aux jeunes des campagnes pour défendre nos citadelles, derniers remparts avant d'atteindre notre bien aimée capitale. Les combats étaient âpres, le sang avait coulé en quantité rarement atteinte, celui de nos amis, mais encore plus celui de nos ennemis.

La plaine teintée de rouge, laissant désormais place aux morts et aux blessés, qu'aucun des deux camps ne prendrait le temps d'enterrer avant que l'aube se lève.

Bien que l'épuisement des affrontements menaçait leurs corps, les répurgateurs devaient veiller à ce que la vermine ne vienne profaner les cadavres de leurs frères et soeurs, tombés sous les lames ennemies. Ces veilles se poursuivaient jusqu'à l'aube, les hommes sans capes se relayant pour que les âmes des vaincus puissent trouver la paix une fois leur corps ensevelis.

C'est lors d'une de ces longues nuits d'attente qu'un orc de 3 mètres, chevauchant dans les contrées impériales, à dos de sanglier, semblait se délecter de l'odeur des combats s'étant ainsi déroulés. Esseulé, le regard fuyant, l'opportunité apparu trop belle de terasser cet ennemi qui avait tant fait souffrir notre peuple. Bien que sa taille paru un désavantage flagrant, son poid fut ma délivrance, car à peine eut-il le temps de se retourner pour voir qui l'avait ainsi désenfourché que le bougre était à l'agonnie.
La nuit plane depuis quelques heures déjà sur la Vallée de Kadrin. Les Forces de l'Ordre (sic ) sont présentes en force sur la région, déjà maîtresses des forts ainsi que des points de défense stratégiques.
Dans les rangs de la Destruction, c'est la débandade. Dans cette armée qui n'a jamais connu de vraie cohésion l'instinct reprend le dessus, la peur pousse tout le monde à regagner la sécurité du bivouac, et tout cela dans la plus grande confusion. De toutes parts accourent des Orques et des Gobelins, les premiers écrasant régulièrement les seconds, à leur grand désarroi (et Darwin se marre). Quelques Druuchis qui essayent de sauvegarder leur reste de dignité l'abandonnent finalement au détour d'un fourré, profitant alors d'un gain de vitesse non négligeable (c'est mal foutu aussi ces robes, ça s'prend dans les jambes et tout...).

Un peu à l'écart de ce désordre, se trouve une improbable paire* : un Chamane et un Elu de Tzeentch. Ces derniers ont décidé de profiter de la confusion pour amasser quelques trophées, comptant sur la discrétion que leur assurait leur nombre. C'était sans compter sur la vigilance des éclaireurs de l'Ordre.

Ils arrivent en vue du Tumulus funéraire de Dolgrund. Là se trouve déjà une forte concentration d'adversaires.

Elu - "Bon voilà le plan. Nous, on fonce ! et eux, on les défonce ! "

Chamane <pensif**> - "J'sais pu si c'est Gork, ou Mork, mais yana un qui dit "Si t'as assez d'doigts pour kompter tes potes, et k't'en a pas assez pour kompter les truks à tuer, akkroch toi à ton frok". Vu k'nous on est k'ça <montre deux doigts>, et ke eux ils sont tout ça <balance les bras en secouant les mains au dessus de sa tête>, j'propose k'on essaye d'en attirer kek'z'un, en s'montrant de loin."

E - "Mwé... ça s'tient. Va pour ton plan Chamane. Même si ça ne rime pas, on peut peut-être au moins s'en sortir vivants avec ça."

Choisissant une colline en vue, les deux compagnons d'un soir se montrent prudemment au sommet. A l'instant où leurs têtes dépassent***, une flèche se plante dans le sol, rapidement suivie par une dizaine d'autres. Déjà, des flammes s'élèvent au loin, dénonçant la présence de Sorciers Flamboyants sur le pied de guerre, commençant certainement à incanter des sorts dévastateurs.


E - "Qu'est-ce qu'ils disent dans des cas comme ça Gork et Mork ?"

C - "Tais-toi et kours !"

E - "Mais ce sont des Dieux peau-vertes ! je ne peux pas imaginer qu'ils soient d'accords avec ce genre de..."

C <déjà parti> - "Fais komme tu veux, moi je m'tire"


Faisant effectuer une volte-face à sa monture, le gros rouge suit rapidement le petit vert sur la route du bivouac, mais il est déjà trop tard. Rapidement démontés, entourés d'une force disciplinée et travaillant en équipe, ils essayent péniblement de continuer leur route.

Sur le côté, l'un des combattants de l'Ordre ne se bat pas. Il s'agit d'une Prêtresse-Guerrière, de celles qui ont voué leur vie à Sigmar. Elle se tient droite, fière, et observe la progression des deux infâmes créatures.

Peu à peu, ils s'aperçoivent qu'ils sont bien plus à mêmes de s'appuyer l'un sur l'autre qu'ils n'auraient pu le croire. Le gros protégeant le petit, le petit soignant le gros, c'est une symbiose qui s'installe au fur et à mesure entre les deux combattants (ehwé, le p'tit protège le gros, avec ça Darwin peut aller se rhabiller ).

La Prêtresse de guerre se penche sur sa selle. Elle a l'air troublée de voir ces deux abominations de la nature se battre ensemble, en parfaite entente. Malgré tout, ils perdent de la vitesse.

L'Elu commence à avoir toutes les difficultés du monde à reprendre son souffle. Avancer dans cette foule grandissante l'épuise, et ses forces le quittent. Même les soins du Chamane ne suffisent plus à lui rendre la vitalité nécessaire à continuer sa route. De son côté, le Chamane est de moins en moins vif, il n'arrive plus à esquiver des attaques qui lui semblent venir de partout.

Soudain, franchissant le barrage fait par le corps massif de l'Elu, un lion bondit et saisit le Chamane à la gorge. Il l'emporte loin de son protecteur, lui promettant une fin rapide. Après une dernière passe désespérée, l'Elu tombe à terre dans un râle agonisant.

Sur la colline, une larme coule sur la joue de la Prêtresse de guerre.









Voilà, ma participation à un post que je trouve sympa.
J'en profite pour féliciter tout l'Ordre de la mobilisation dont vous avez fait preuve ce soir, c'était un plaisir.
J'anticipe aussi au cas où, ça m'étonnerait mais on sait jamais avec JoL : oui on peut voir dans mon post un "ouin on était que deux vous êtiez un busl" subliminal. Mais bon faudrait l'vouloir hein


*Comme dit Arthur, ça donne un genre de mettre l'adjectif avant le nom. C'est une licence poétique quoi.
** L'auteur souhaitait employer la licence poétique <l'oeil vide, limite vitreux>. Faisant souvent équipe avec des Chamanes, et afin de ne pas mourir plus que de raison, il a décidé de passer sous silence une partie de la vérité sur cette incroyable classe.
*** Techniquement, la tête de l'Elu a certainement dépassé la première. Dans un soucis de simplicité, ainsi que pour ne pas froisser la sensibilité des Chamanes déjà bien malmenée par leurs propres frères d'armes, alors que c'est une profession Ô combien respectable, à l'utilité indiscutable, au talent inénarrable, à l'odeur inégal... enfin bref, l'auteur a décidé de ne pas aborder le sujet. CQFD.


P-S : /kiss Rozy
Avant tout début, je me dois de vous éclairer sur un point. Un nouveau personnage au nom, O combien ridicule de Felh, va apparaître dans le récit. HG, j'aime bien le chambrer donc pour la suite à bon entendeur, salut.


Felh: « Bon on go vers sanctu, les gars, y a de l'ordreux. »
Moi: «Déjà dis pas les gars on est tous seuls... Et puis je le sens pas. Si c'est pour ce prendre Straika ou Zowen dans la gueule, autant que je me foute le kikoup dans la gueule direct. »
Felh: «Mais non, t'inquiète, et puis si ça tourne mal tu couvrira mes arrières... »
Moi: « Hum, j'aime pas trop ton plan là... »
Et nous voilà partis gaiment à sanctu... j'ai faim....
Felh: « Sanctu en vue... Et il y a un l'ordreu en déf. »
Moi: « Oula, ça fait beaucoup je trouve. »
Felh: « Chargezzz!! »
Moi: « Waagh..euh felh.. c'est Kurt. »
Felh: « Hum bon viens voir j'ai un plan...tu lui fonce dessus et je lui passe dans le dos puis je l''enc....oups y arrivent à lire... »
Moi: « Ok, go. »
Nous tirons une page sur cette scène de violence, pour parler de la reproduction,etc,etc...
Après avoir reset:
Moi: « Bon ton plan était pas si mal,si,si, mais tu as pas pris en compte le nom du PG !!!!»
Felh: « ... »
Moi: « Bah ouais, garde ça marche pas quand le tank est MORT, ce qui a du arriver au 3éme coup je crois... »
Felh: « Tank pourri aussi... »
Bang!!
Moi: « Et tu la senti mon bouclier, là, maraudeur incompétent! »
Nous tirons une page sur....

Bon j'espére qu'il y a un peu plus de rythme que dans mon 1er.... Et que la lecture vous a plu.



Merci à Shaitan,Xperience et Zowen aussi,pour leurs récits.



Zowen tu seras la prochaine cible de mon récit. Je le posterais demain.


P.S: Me volez pas la vedette quand même avec vos récits 'achement mieux redigés
C'est clair qu'il y'en a des très bien rédigés, et les références sont sympathiques.

J'aime beaucoup! et peut-être à temps perdu j'me laisserai tenter
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Citation :
C'est clair qu'il y'en a des très bien rédigés
Arg venant d'un ordreu ça veut dire: "tu rédige comme une merde bouseux de destru VIVE les ordreux écrivains!!!
Du sable et des grosses pointures
Bonjour,

Voici la suite du récit :

- "Ok, Newoz, je sais, tu ne supportes pas les voyages aériens, mais de là à aller vomir sur le seul archimage qui était prêt à nous suivre en Terre des Morts, tu y es allé un peu fort non?"
- "Miaou" (NDLA : rugissement d'un Lion se sentant fautif)
- "Bon et bien sur, il est parti, c'est pas grave de toute façon, nous allons là bas pour nous entraîner sur la faune locale, normalement, il ne devrait pas y avoir d'immonde fange de la destruction sur place."

Le dirigeable se posa donc au bivouac. Les voyageurs sortirent de l'engin dans un cliquetis d'arme, de bruissement de robe et d'armures. Comment décrire la première arrivée dans la Terre des Morts. Tout d'abord cette chaleur qui, dès la sortie de l'engin, pèse sur nous comme un Orc Noir après une nuit de ripaille. Puis ce vent chaud emportant avec lui ces nuages de sable cinglant le visage par intermittence. Puis finalement nous éloignant du bivouac, ce silence, tout juste interrompu par le cri lointain des charognards virevoltant, ainsi que le bruits des mandibules de certains scarabées prompts à nous engager.

- "Bon, Newoz, tu vois le scorpion, on y va"
- "Rooaaarr"
Après un bref et intense combat rythmé par les bruits de mâchoires et de haches, le scorpion ne se résumais plus que par quelques morceaux de chitine disséminés par-ci par-là.

Tout d'un coup le Lion se figea regardant devant lui en grognant. Devant nous se tenait à distance raisonnable deux engeance du chaos un cultiste et un maraudeur. Aucun doutes ils avançaient vers nous.
Le Lion se recula pour aller se cacher derrière son maître.

- "Ecoute Newoz, on va y aller à l'intox; tu passes devant, et on va leur faire croire que nous sommes du courant dissident des Lions Blancs adepte de la secte Bamako, normalement ça devrait les faire réfléchir à deux fois."

Le Lion passa devant et se mit à rugir de toute ses tripes fendant le silence de mort de la Terre du même nom.

L'effet fut immédiat, le cultiste et le maraudeur s'enfuirent sans demander leur reste.

- "On les a bien eu" dis-je en me retournant.

La dernière chose ayant marqué ma mémoire avant de succomber est le chiffre 345. En effet, c'était celui de la pointure du pied du seigneur itinérant qui venait juste de m'écraser sans ménagement.

Nous reprimes nos esprits Newoz et moi au bivouac.

- "Tu vois Newoz... Ben c'est pas gagné!!!"

A+ IG

Zowen
Sthyrkarr et Rozy étaient dos à dos, explosant les crânes, brisant les colonnes vertébrales au rythme de prières ferventes. Cryse faisait s'abattre la fureur vengeresse de ses auras sur les gobelins grotesques, marmonnant des incantations anciennes. Ehrhuude déchargea son dernier mousquet, et se lança dans la mêlée. L'eau bénite brûlait les hérétiques, les marteaux brisaient les corps avec fracas, et le sol calciné martelé par les coups de bâton de Lhai et Straika fut bientôt jonché de cadavres frémissants, palpitants encore. Certains rampaient tentant de s’échapper. Ils étaient étouffés par de lourdes flammes, tranchés par des lames ruisselantes de sang visqueux. Une quinzaine de corps gisaient à terre.

- Et l'orc qui s’enfuit? demanda Rozy.

Ehrhuude balaya la place des Martyres du regard, tremblant de fureur non contenue. Il s'arrêta sur des traces de pas, imprimés dans une poussière qui progressaient le long d'une ruelle plongée dans les ténèbres.

- Vérifions s'il n'est pas au sol, les…, lança Straika.

Elle n'eut pas le temps de terminer sa phrase. Un bras noueux et pourri, terminé par d’épaisses griffes s'abattit et ricocha sur sa fine épaulette en tissu, lacérant son épaule. C’était lui, dans une charge d’agonie (atteint d’un cancer du prépuce qu’il devait maintenir au chaud, à l’humidité et frotter régulièrement avec une muqueuse saine). La puissance du coup fit ployer ses genoux. Mais le mutant était lourd et puant. Ehrhuude bondit. Un miroitement décrivit un arc de cercle. Il trancha le corps difforme en deux d'un puissant coup de sa lame, et jeta son adversaire encore debout au sol d'un coup de pied.

Le mal que dégageait ce lieu transpirait la corruption de la chair et de l’âme mais Straika était toujours vierge !

Les combats n'étaient pas finis, la dernière épreuve leur coûterait plus cher que leur vie.




Petite photo des pentagonistes:

http://img412.imageshack.us/img412/1355/groupec.jpg







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Vaelth regarda autour d'elle. Elle essuya son visage qui dégoulinait de pâte et de crème pas fraiche, le regard noir qui balayait le groupe rassemblé derrière elle. Bien évidement, le gobelin avait encore disparu, probablement très fier de sa blague... Et la furie n'avait même pas un bout de tissu sur elle pour s'éponger correctement. Elle regarda en direction de Malefika, sorcière respectable, et sourit à l'idée d'user de ses robes alambiquées.

<Malefika> N'y pense même pas, catin !

Quelques instants et histoires de chiffons plus tard, le groupe partait à la rencontre "des zoms ki kogne des bosses" que le chamane avait repérés en direction du chemin de fer. Arrivé sur place, le petit groupe ne vit rien de particulier, si ce n'est quelques cadavres frais et fumant de peaux vertes apparemment trop vindicatifs.
Le chamane descendit du loup géant qu'il avait miraculeusement réussit à apprivoiser et se pencha avec un air méthique sur les corps étalés là.

<Kopi> Hum...
<Vae> Oui ?
<Mouhahahaha> y rest' dé truk à grailler dessu ? ouskellé la bouffe ? t'avais dit k'yaura d'la bouff l'chamtruk !
<Malefika> Je sens...
<Kopi> Mauvais !! les zelf à noreilles y sentent bizzar !
<Vae> Bon dis nous ce que t'as à dire au lieu de baragouiner, chamane.
<Kopi> Sont tout kanés !
<le groupe> ...
<Kopi, tout fier, caressant son bâton> Heureusement k'suis là !
<Mouhahahaha> Ca veut dire k'on peu lé bouffer ?

Puis une vague gigantesque d'une puissance bénéfique vertigineuse (et j'ai plus d'adjectifs) s'abattit sur le groupe entier, les figeant dans une torpeur totale. Les montures prirent la fuite sans demander leur reste.
Le groupe eu juste le temps d'apercevoir un nom. Furya. Et tout s'embrasa.

De retour au bivouac,

<Kopi> Ah c'tait chouette ! on y r'tourne les kostos ! et les zelf aussi hein !
<Mouhahahaha> J'vais l'becter !
<Malefika> Pff, avec 4 sorcières, 3 chamanes et 5 élus on ferait pareil !
<Vaelth pense à Mégarde>
<Shaitan, haussant les épaules> Quand je suis avec les miens ca se passe pas comme ca...
<Mouhahahaha> J'vais l'becter !
<Vaelth> Bon, sont où les renegade ?
Ouaw une nouvelle monde c'est lancé. Bon j'ecrirais quand je reprendrais le roam solo plus intensément.
Merci pour ces récits, c'est top, et merci pour mon apparition avec le/cry, je me souviens trop bien de l'action en +
Citation :
Publié par Kàrl-Azytzeen
<Shaitan, haussant les épaules> Quand je suis avec les miens ça se passe pas comme ça...
Si seulement...

Bravo à tous pour ces super récits, si l'inspiration me prend j'y ajouterai ma touche...
Pique nique à Lost Valléy
je vous en met un aussi, en vers
sinon ce serait pas drôle, d'un épisode de Lost Vallée.


C'était un soir amis je m'en souviens.
La gloire toucha de sa grâce les héros,
qui dans la vallée restaurèrent le bien.
je vais ici vous en faire le propos

Emmenés par Arganor le vaillant
Siroliver, Brisingre, Salvati,
Loute et Eldaras l'accompagnant
mirent fin aux agissements ennemis

D'abord ce fût le tour de l'araignée
Horrible créature, monstre cannibale,
qui ses enfants se met à ingérer,
afin qu’aux héros, elle fasse plus mal,

Tout le monde pense fort et réfléchit
A la façon de tuer l’ennemie
On décide enfin que Siroliver,
Tankera cette bête carnassière.

Tout le monde se met ici a zoner
Et la bête de ne cesse pas de Bumper
Afin d’elle les héros éloigner
Et sa descendance pouvoir absorber

Mais nous avons fort bien prévu le coup
Nous agitons bien souvent nos torches
Et lardons tant et bien son ventre mou
Que bientôt la victoire se fait proche

Un dernier coup terrasse cette bête
Elle a enfin cessé de tenir tête
Les compagnons qui sont tout réjouis
se congratulent de tapes et de cris

Mais il faut vite penser au suivant.
Car cette bête n’est pas le seul enfant,
Des monstres honnies de la destruction.
Du boucher il faut prêter attention.

Son aide il faut taper modérément
Et l’amener près du seuil de la mort
Puis courir autour de son campement
Cette mission éxécute Arganor.

Ce qui permet aux autres compagnons,
Au boucher de refiler pleins de gnons.
Ses coups ne tueraient plus une mouche.
Brisingre et Eldaras de loin le touchent.

Mais elles doivent rester bien vigilantes.
Car est atteinte facilement la pente,
Qui mène les tanks bien vite à la mort.
Les soins doivent leur éviter ce sort.

C’est ici que la Loute et Salvati,
Mettent en œuvre leurs talents réunis.
Heals, boucliers et bons soins de groupe,
Maintiennent à la vie toute la troupe.

Le Boucher d’un dernier coup s’écroule.
Arganor de son Marathon déboule,
Pour mettre terme à la misérable vie,
Du gnoblar assistant, créature pervertie.
Du grand art siroliver
Tu devrais mettre Wendell Homes comme nom (poète anglais)
Je posterai aussi mais quand j'aurai du temps pour poser un pavé
Bravo à tous! J'aime bien ce sujet, à conserver!
__________________
~Qu'a ri gueux, et lu n'a hit laure de air air sang
Bonjour,

Allez! Je me lance sur l'exercice difficile qu'a initié magnifiquement Sir Oliver.

Nous n'étions qu'une poignée, à défendre le fort,
A l'affût de tout signe, nous indiquant certaine
L'arrivée de l'engeance, cette engeance païenne,
L'arrivée du chaos, nous condamnant à mort.

Le bruit se fit entendre. Au loin sonnaient des cors,
Nous savions que bientôt la fureur et la haine,
Allaient sonner le glas des rêveries sereines,
Que nous faisions alors. Je sais, nous avions tort!

Tout a coup l'horizon, de part tous ses abords,
Devint noir de monde, se déployant en chaîne
Compacte et très solide, nous comptions avec peine
Le nombre d'ennemis, il en venait encore.

Et puis ce fut l'assaut, les cris et puis les corps,
Couchés sur la muraille, certains frappés à l'aine,
D'autre au cou, d'autre au front. Quelle effroyable scène
Quel horrible spectacle, ô quel funeste sort.

Et enfin le silence, le calme et ses trésors,
La fin de la bataille, de l'horreur inhumaine.
Les monstres allèrent ailleurs, ressemer cette graine
De chaos destructeur, de tristesse et de mort.

A+ IG

Zowen
 

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