Allez, je mets aussi une pièce dans la machine !
D'un certain point de vue, c'est un point godwin mais pour moi, c'est une bonne illustration de ce que le croisement de bases de données donne une fois utilisées par certaines mains. Vous noterez que l'utilisation s'est étalée sur une vingtaine d'années sur un nb limité d'individus mais c'était avant l'ordinateur et dépendait du zèle/conscience pro/sociale des différents intervenants.
Les contres-exemples existent également sur des enquêtes ou des assassins et autres auraient pu être confondus simplement en croisant des fichiers ou que des représentants des services concernés (police et justice) communiquent factuellement. Malheureusement, je trouve qu'ils servent juste de mauvaises excuses et confirment la règle. Le renseignement dépend de ce que l'on en fait...
Actuellement, nous n'avons pas les capacités d'analyse pour traiter tous le renseignement amassé (cf 11 septembre et d'autres) mais avec l'usage de l'informatique et l'expérience menée par des dictatures (Chine) ou des régimes autoritaires pratiquant l'apartheid (Israël) rien n'est moins sur.
Je ne fais aucune confiance dans l'époque pour que cela soit utile, l'usage de la vidéosurveillance n'a fait que déplacer les pbs comme la multiplication des patrouilles dans les années 2000 (j'ai vécu cela en banlieue parisienne où les bandes allaient mettre le dawa à la campagne pour ne pas être entravées par les flics).
Ceci pour dire que ce n'est pas en remplaçant l'homme par la machine et en multipliant les fichiers que l'on va améliorer les résultats, c'est en changeant de paradigme. Pour certains intervenants ces fichiers ne prêtent pas à attention et leur utilisation dangereuse parait totalement fantasmée. Cela à déjà été fait dans des moments de crises, cela reviendra clairement dans d'autres moments de crise, c'est parfait, nous sommes en contexte de crise.
Dernière modification par buckaro banzai ; 07/04/2021 à 21h49.
Motif: ortho...
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