J'ai 2 réveils à la con qui me reviennent là.
Le premier est pas dingue, mais comme il est arrivé 2 semaines avant le deuxième, jle raconte. Je rentrais pas mal allumé ( mais loin d'être vraiment bourré hein ) d'une soirée. Il devait être genre minuit, je prends la ligne 8 pour rentrer ( j'habite vers Saint-Lazare ). Je sens que je commence à m'endormir dans le métro, je lève la tête et vois que je suis à la station Grands Boulevards. Jme dis, bon j'en ai pour 20 min à pieds, vaut mieux que je sorte maintenant plutôt que de me réveiller à Balard sans métro. Je sors du métro, mais étant vraiment fatigué je me dis que jvais faire une tite pause sur un siège sur le quai avant de repartir ... Bon bah forcément jm'endors. Vers 2h30-3h, un type de la RATP vient me réveiller en m'expliquant que je ne peux pas rester là parce qu'il va fermer la station. Je crois qu'il m'a pris pour un clodo un peu bourré.
Le deuxième, je rentrais à nouveau de soirée, sauf que là j'étais avec un pote ( lui était quasi sobre ) et que j'étais clairement déchiré à pas mal de trucs. On prend la ligne 3 pour rentrer ( on est à Oberkampf et on s'arrête à Europe ). Arrivés à République, mon pote me fait :
-Ptin j'ai vraiment trop envie de pisser, je descends pour sortir pisser et je te rejoins chez toi.
-Ok pas de pb, essaie de pas trop trainer sinon je m'endors avant que t'arrives.
Et là ... blackout.
Je me réveille à la station Europe, dans le métro, avec mon pote à côté de moi qui est mort de rire et me fait : Lève toi vieille loque t'es à Europe.
En fait, je me suis endormi dès qu'il est sorti à République. Lui à pris le métro suivant, est arrivé à Europe, est allé jusque chez moi. Simplement, moi j'étais encore dans le métro endormi, donc il a sonné à l'interphone pendant quelques minutes et comme ça ne répondait pas il s'est dit : Bon bah tant pis ça soule jvais rentrer chez moi. Il retourne à Europe pour prendre le métro ( dans l'autre sens cette fois ), vois un métro arriver et, lorsqu'il ouvre la porte, découvre une loque endormie sur un strapontin : moi. J'avais fait le tour de la ligne.
La grosse chatte n'empêche en y repensant.
Voilà c'est tout ce que j'ai en mémoire pour l'instant.
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