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Héros / Héroïne
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Lancés dans une course à l'armement, les quatre empires se sont mis à construire des vaisseaux toujours plus imposants. Mais aussi toujours plus vulnérables aux attaques perpétrées par des vaisseaux agiles et rapides. Ce sont les Amarr qui le premiers constituèrent des escadrilles d'appareils traditionnels, pilotés par des disciples fanatisés. Les Minmatar se devaient de réagir, et formèrent le corps des Einherjar.
Selon une légende qui se perd dans la nuit des temps, les Einherjar sont des guerriers tombés au combat et choisis par les Valkyries pour suivre la voie d'Odiin. Tous les matins, ils se rendent sur un champ de bataille pour s'y entraîner, et les morts sont ressuscités. Le temps venu, ce seront eux qui accompagneront Odiin à la bataille de Ragnarökr, et y disparaîtront tous après avoir accompli leur devoir de guerrier : mourir pour permettre l'arrivée d'un nouveau monde. La réalité est nettement plus prosaïque, puisque comme les Templar, les pilotes Einherjar sont des fanatiques voués à une seule chose : la défense de leur vaisseau-mère. Le plus souvent orphelins et enfants d'équipages de vaisseaux de guerre, les futurs Einherjar sont choisis vers l'âge de 12 ans pour subir un entraînement spécial dans une école située dans un système solaire dont les coordonnées sont tenues secrètes.  Les Einherjar sont sélectionnés de manière rigoureuse. Le cursus comprend aussi un passage dans l'Infanterie Mobile. Vue l'importance de ces appareils, le Ministère de la guerre a ordonné une étude en bonne et due forme d'un vaisseau de combat léger, rapide mais résistant susceptible d'accueillir un pilote hors pod, en lui garantissant des chances de survie décentes. Il a fallu fait un nombre de concessions importantes, dont l'absence de capsule de survie, partiellement compensée par un blindage composite très efficace. En alliage de Praséodyme, ses 15 centimètres présentent une épaisseur équivalent acier de 3.250 centimètres. Cette résistance proprement impressionnante se paye malheureusement au prix fort : les plaques de Praséodyme valent une petite fortune, et sont réservées exclusivement à la fabrication des appareils Einherjar. Le générateur de champ de déflexion est lui aussi une petite merveille de miniaturisation, avec 2.750 Gigajoules de capacité. Certaines rumeurs font état d'une collaboration étroite mais non-officielle entre le laboratoire de recherche de Duvolle. Il est vrai que malgré des différences significatives, les inverseurs d'axes Minmatar et Gallente sont très voisins de conception. Il n'y a pas à proprement parler de "réacteur" sur les Einherjar, puisque l'alimentation en énergie se fait grâce à des chambres à choc qu'il faut périodiquement remplacer. Voilà pourquoi leur rayon d'action est limité. Leur générateur warp est à changer tous les 40 sauts environ, à comparer aux 15.000 sauts qu'une frégate est capable de réaliser avant la première révision du système, qui se traduit très rarement par autre chose qu'un remplacement des initiateurs.  Les chambres à choc sont très fiables, mais demandent en contrepartie une maintenance régulière. Les Einherjar sont dépourvus de système de traque : l'acquisition des cibles se fait en visuel, grâce à un système couplé aux yeux des pilotes. Une technique maîtrisée depuis longtemps, mais pourtant interdites aux pilotes de pod pour cause d'imperméabilité de la capsule aux radiations directes, sécurité oblige. L'armement est confié à des tourelles jumelées à courte portée mais à cadence de tir élevée. Pour limiter le poids, il s'agit de Gatling tritubes, aux lieu des hexatubes que l'on trouve communément sur les frégates et croiseurs. Les casiers à munitions, placées dans les ailes, offrent plus de 2 minutes de tir en continu pour chaque tourelle. Les obus explosifs sont de type traditionnels, sans étui, et auto-stabilisés.  Les tourelles sont étroitement intégrées à la coque, ne laissant dépasser que les canons. Ce souci d'allègement maximum est payant : un Einherji avec son pilote ne pèse que 12 tonnes en ordre de vol. Les deux propulseurs dorsaux ont ainsi fort peu de poussée à fournir, assistés dans la manoeuvre par deux petites tuyères à gaz placées sur les ailes. L'observateur attentif aura reconnu dans les moteurs principaux des modèles très voisins de ceux équipant les navettes de transport Starglider. Historique : Les rencontres avec les premières escadrilles de Templar ont été de très mauvaises surprises pour les autres Flottes, et en particulier la flotte Minmatar qui y a laissé un nombre impressionnant de vaisseaux de ligne. Leur premier réflexe a été de lancer contre eux des essaims de frégates, mais en pure perte : trop résistants, trop rapides, les Templar décimaient littéralement des formations de Breacher et de Slasher. L'engagement à courte portée étant exclu, la marine a fini par se résoudre à faire systématiquement escorter ses vaisseaux de lignes par des croiseurs de bataille chargés d'éliminer les Templar lors de leur phase d'approche, où ils sont les plus vulnérables. En engageant à 50 kilomètres de portée, les Hurricane et Cyclone avaient généralement de bonnes chance de détruire les Templar avant que ceux-ci arrivent à moins de 25 kilomètres de leur cible. Lorsque les Templar arrivant à franchir l'écran des croiseurs, les commandants de navires de ligne n'avaient plus qu'une seul solution : rompre la formation et utiliser leurs générateurs à impulsion, en priant pour que les dommages collatéraux restent limités. Avec ses frégates, croiseurs et même croiseurs de bataille à la merci d'une simple squadriglia de Templar, la Flotte a lancé un véritable appel au secours auprès des fabricants. Il fallait trouver au plus vite une riposte. Certains préconisèrent l'emploi de navettes téléguidées remplies d'explosifs. D'autres proposèrent , dans le même esprit, des générateurs à impulsion mobiles. Certains stratèges, très pragmatiques, avancèrent que le meilleur moyen de se débarrasser des Templar était soit de les attirer dans des pièges, soit tout simplement de détruire leur vaisseau-mère et les abandonner à leur triste sort dans l'espace.  Le système de visée, intégré au casque. Il s'agit ici d'un ancien modèle, les plus récents étant couverts par le secret défense. Peu convaincue, l'Amirauté décida plus sagement de lancer son propre projet de chasseur habité léger. L'appel à proposition, paradoxalement, fut boudé par les chantiers navals, peu enclins à se lancer dans un projet où ils devaient partir d'une feuille blanche. C'est finalement Small Arms Inc. qui proposa le projet jugé le plus viable, avec un appareil extrapolé d'un vaisseau de chasse atmosphérique. La phase de mise au point fut assez longue, principalement à cause de la laborieuse mise au point du générateur de déflexion, qui utilisaient des absorbants Hyfral, beaucoup trop lourds et peu efficaces à courte distance. Une fois l'appareil au point, il a fallu trouver des pilotes pour ces drôles d'engins. Il était hors de question d'employer des pilotes de pod, bien trop précieux, et qui auraient probablement refusé. L'Amirauté a donc recruté parmi les escadrilles de chasse atmosphérique, et plus particulièrement celles évoluant en milieu hostile sur des planètes à atmosphère irrespirable. Les tout premiers Einherjar furent déployés non pas depuis des vaisseaux-mères (les appareils de classe Hel étaient à l'époque encore en phase de conception) mais depuis des navires de ligne aux baies modifiées. Les engagements initiaux ont fait apparaître une efficacité nettement plus satisfaisante que les essaims de frégates, mais moins impressionnante que l'écran de croiseurs de bataille, la faute revenant sûrement à des pilotes certes aguerris, mais encore incapables de tirer le maximum de leur appareil. Ces derniers soufraient aussi d'une fiabilité aléatoire de leurs propulseurs, sensibles à la surchauffe, et à des problèmes d'enrayement de leurs armes à cause d'une mauvaise protection thermique des casiers à munitions.  On peut encore trouver des Gatling hexatubes sur certains modèles de chasseurs, mais la plupart ont été remplacées. Tous ces défauts de jeunesse furent assez vite résolus, mais les escadrilles n'ont vraiment commencé à briller que lorsque sortirent des écoles de pilotage les premiers "vrais" Einherjar, formés uniquement sur cet appareil. Leurs écoles, désormais situées dans un système classifié, ont une réputation sinistre. Les Einherjar ne se mélangent pas aux autres membres d'équipages, disposent de leurs propres carrés d'habitation et de leurs propres équipes de maintenance, généralement composées d'élèves-pilote qui ont échoué au concours final ou trop grièvement blessés pendant l'instruction pour piloter.  La maintenance des équipements fait appel à des Einherjar qui ont échoué à leur examen final. Ici, l'entretien d'un compensateur d'inertie. Fanatisés à l'extrême, l'Einherji ne vit que pour défendre son vaisseau-mère et prêter assistance aux autres vaisseaux de la flotte. D'une patience inhumaine, capable de rester en vol plusieurs jours d'affiliée malgré l'absence de tout confort à bord, limite suicidaires, les Einherjar n'ont rien à envier à la triste notoriété des Templar. au point que certaines tribus au Parlement ont protesté notamment contre les conditions de vie dans les écoles. Mais les Einherjar sont trop précieux pour que la Flotte puisse se permettre de baisser sa garde, surtout maintenant que les "hommes-foudre" Gallente ont eux aussi fait leur apparition. Le fanatisme et Einherjar s'explique entre autres par la promesse qui leur est faite d'intégrer un pod après 10 ans de service. Mais il ne faut pas se leurrer : avec 8 mois de temps de survie en moyenne au front, très rares sont ceux qui un jour seront câblés à une capsule. Déploiement : Du fait de leurs caractéristiques, les Einherjar ne s'éloignent pas de leur vaisseau-mère. Leur présence dans un système signifie qu'il y a un de ces monstres dans les parages.  Les fameuses Gatling tritubes, introduites récemment, ont pu faire la preuve de leur efficacité dévastatrice à courte portée. Evoluant parfois de concert avec d'autres éléments de la flotte, ils jouent alors le rôle d'appui-feu aux appareil présents sur la ligne de front, pendant que le vaisseau-mère se tient à distance et servir de ligne arrière comme base de réapprovisionnement mobile. Résistants, agiles, bien armés, les Einherjar comme leur équivalent dans les autres flottes sont des ennemis redoutables, et bien des pilotes de pod l'ont appris à leur dépends. Jusqu'à présent, les succès enregistrés sur le terrain ont permis de calmer les esprits quant aux conditions très particulières de leur formation, mais il n'est pas dit qu'il en soit toujours ainsi. |
25/01/2008, 17h13
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Einherjar : mourir pour le vaisseau-mère
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Héros / Héroïne
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Toujours aussi bon... Merci
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25/01/2008, 17h39
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Héros
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BRAVO et RESPECT
 Très bien écrit et illustré magistralement, j'en redemande. |
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25/01/2008, 17h49
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Alpha & Oméga
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Toujours aussi excellent
 Je suis juste un peu surpris que tu fasses d'un drone un vaisseau avec pilote, mais pourquoi pas, ça prouve à qui en doutais ton imagination débordante
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25/01/2008, 19h11
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[LCD]
Alpha & Oméga
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Citation :
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25/01/2008, 19h24
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Alpha & Oméga
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On voit même les pilotes
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25/01/2008, 19h34
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[ELYR]
Héroïne
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Bien que classés dans la même catégorie que les drones, les fighters sont bien des appareils pilotés par des pilotes de chair et de sang contrairement aux drones...
Edit : double-grilled... 
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25/01/2008, 19h48
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Alpha & Oméga
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Méa culpa alors, je me suis uniquement fié au "show info" (j'en suis même pas au BC, donc jamais vu de Fighters et j'ai encore le temps
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26/01/2008, 14h20
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[FED]
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Julie je kiff ta prose.
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26/01/2008, 16h52
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Alpha & Oméga
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sublime, bravo
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26/01/2008, 19h28
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Alpha & Oméga
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Tout pareil, je suis totalement fan ! Quelle imagination débordante
Par contre, en ce qui concerne le background des équipages, j'ai toujours pensé que la technologie des pod avait en partie été conçue dans le but d'éviter de dépendre d'un équipage justement. En l'occurrence, j'étais persuadé que quelque soit le type de vaisseau piloté, nous étions les seuls maîtres à bord. Si vous confirmez que dans le background officiel, on a bien un pilote de pod plus un équipage plus ou moins dense selon la taille du ship, je me verrai dans l'obligation de faire une prière à la mémoire des centaines de pauvres êtres humanoïdes que j'aurai laissé crever pendant que je warpais out tranquillement avec mon pod. Ca me parait un peu immoral cette affaire 
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26/01/2008, 19h51
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Alpha & Oméga
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En réalité, le pod n'est là que pour remplacer le commandement d'un vaisseau.
Les frégates en général comptent un pilote de pod, et éventuellement quelques membres d'équipage. Mais un croiseur en compte plusieurs centaines, et un battleship plusieurs milliers. De tête il y a The Jovian Wetgrave ou Hands of a Killer qui parlent de ça, mais il doit y avoir d'autres allusions un peu partout dans les chroniques et histoires sur le site officiel. Il y a également de vieux concept arts de plusieurs vaisseaux de différents types où on voit l'équipage embarqué, un Megathron par exemple c'est quelque chose commme 5000 personnes. |
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26/01/2008, 19h54
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Alpha & Oméga
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Citation :
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26/01/2008, 20h00
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[XIII]
Légende
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Sacré nouille toujours aussi douée
Et oué, chaque fois que vous perdez un BS c'est mechoui time (et je parle pas des MS qui ont plutôt tendance à poper vite ces derniers temps)
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26/01/2008, 20h01
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Alpha & Oméga
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Je confirme ce qu'à dit Orravan, le POD permet de remplacer une 10 aine de personnes, principalement des officiers du pont de commandement.
En plus du POD, les équipages se compte en unités pour les frégates, en dizaines pour les indus, en centaines pour les croiseurs et en milliers pour les BS. Citation :
Cherches un peut, tu trouveras sans difficultés sur le site off, ou traduite sur MP. |
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26/01/2008, 20h09
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Alpha & Oméga
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Citation :
Hands of a killer Quelques fiches techniques : Incursus - équipage : 1 Rifter - équipage : 1 Punisher - équipage : 3 Thorax - équipage : 660 Megathron - équipage : 6900 Tempest - équipage : 6500 Raven - équipage : 7400 Pour le reste, je sais pour avoir lu les chroniques et les histoires qu'ils en parlent ailleurs, mais je saurais plus dire où exactement. Il faut bien garder en tête que tout ça, ce ne sont pas de petits vaisseaux spatiaux, ce sont des navires gigantesques, comme on peut se permettre d'en construire en microgravité ; on se représente souvent les frégates de la taille d'un X-Wing, mais c'est pas vraiment ça, ce sont vraiment l'équivalent de frégates maritimes ou de sous-marins, voire plus grand, c'est d'ailleurs ce qui explique le style de combat "lent" d'Eve. ^^ Je vous laisse comparer la taille de la Tour Effeil, tout en bas à gauche, à la taille des vaisseaux, sur cette chart. Tessen > je ne crois pas que le site héberge encore ces fiches techniques, je me souviens les y avoir cherché dans les galeries il y a quelques mois, sans les trouver. /edit: effectivement, faut dire que je fréquente pas énormement MP ^^ -> galerie de MP |
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26/01/2008, 20h12
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Alpha & Oméga
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Citation :
Le lien vers la galerie MP est dispo dans la FAQ, 3m post. Les screens qui donnent les équipages (mais aussi les dimensions) sont sur fond rouge, les bleu ne montrent que les modèles en version "wired" sans les caractéristiques. EDIT : Gallerie Gallente exemple "wired" rouge exemple "wired" bleu Note : seuls les vaisseaux disponible au tout début de Eve lors de la sortie de "the second genesis" existent sous ces formats dit "wired", innutile de chercher les autre genres BC, Destroyer ou T2. Pour vous donner une idée, un Mega fait presque 1km de long et un Titan dans les 20-25km. |
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26/01/2008, 20h33
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[LCD]
Alpha & Oméga
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Les frégates dans EvE sont... des frégates, c'est à dire le plus petit des navires de ligne. Si l'on veut piloter l'équivalent d'un W-Wing ce n'est pas possible car il s'agit ni plus ni moins que des "fighters" qui sont gérés comme des drones.
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27/01/2008, 00h48
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Alpha & Oméga
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Sinon ça se vois ig aussi (surtout avec les graphismes trinity): regardes bien les vaisseaux et tu verras pleins de fenêtres partout dessus (très facilement visible sur les Minmatars).
Etant donné que t'es enfermé dans ton pod, ces fenêtres servent forcément à d'autres personnes: donc un équipage (et rien que sur le Hoarder y'en a un paquet ! )
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27/01/2008, 01h38
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Alpha & Oméga
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J'me suis amusé à faire une petite comparaison des taille entre les classes actuelles et dans Eve.
Attention, il faut quand même penser que si une Frégate actuelle peut paraitre plus grosse (longue) qu'une frégate dans Eve, les volumes ne sont pas comparable : Une frégate actuelle va faire 125x10x15m alors qu'une frégate dans Eve va faire 100x45x50 par exemple. Cuirassé (= Battleship) de la seconde guerre mondiale : 200-250m Croiseur de la seconde guerre mondiale : 150-200m environ Porte Avion actuel (Nimitz) : 330m Super tanker actuel : 330m Croiseur actuel (Ticonderoga) : 173 m Frégate actuelle (La Fayette) : 125m Titan : 20-25 km Dread Eve : 3-5km (*) BS Eve : 800-1000m Indus Eve : 300-1000m Croiseur Eve : 200-400m Frégate Eve : 50-100m (*) à savoir que l'appellation Dreadnought, date des années 1900 : ce fut le premier Cuirassé et mesurait dans les 150m. La classe Dreadnought n'a jamais existé : c'était juste le nom d'un navire qui a son époque a marqué les esprits tellement il était puissant. Par la suite, les vaisseaux de cette classe furent appelés Cuirassés. Oui, je sais, je suis cinglé Amirauté et Harpoon (les Wargame) FTW |
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27/01/2008, 02h15
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Héros / Héroïne
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Dans WC, on va libérer l'équipage d'une frégate et ils sont 20 personnes. Je pense aussi que globalement, les équipages des frégates ont été sous estimés pour une raison simple : Faut bien qu'ils pioncent de temps en temps. Ce sont des vaisseaux ayant une grande autonomie spatiale après tout.
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27/01/2008, 03h08
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Alpha & Oméga
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Citation :
Comme dit plus haut, le POD remplace une partie de l'équipage d'un vaisseau. Il ne faut pas perdre de vu que le POD est réservé à une élite (les joueurs). Les flottes classique des empires ne sont pas toutes équipées de vaisseaux avec un POD. C'est par exemple sous entendu dans La Bataille de Vak’Atioh : les commandants et les équipages Amarrs se battent jusqu'à la mort. Fuir est une honte sanctionnée par la mort et l'esclavage. Pour vous donnez une image, il faut imaginer le pont d'un Apoc un peut comme celui d'un destroyer impérial dans Star War ou l'Enterprise de Star Trek. Dans le même Apoc adapté pour un POD, tout l'espace, sièges, officiers et consoles sont remplacés par la capsule. Tout le reste de l'équipage dans le reste du vaisseau ne change pas. (genre aux oubliettes, spok, solo et kirk mais scoty lui reste à son poste.) C'est du moins comme cela que je vois les choses. |
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27/01/2008, 15h58
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Héros / Héroïne
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C'est aussi comme ça que je vois les choses.
Il n'empêche que le pod ne remplace sûrement pas les 20 personnes dans le sens où ils ne sont sûrement pas tous sur la passerelle à commander ou transmettre les ordres du cap. Donc 10 personnes dans une frégate avancée, ça me semble honnête. |
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28/01/2008, 03h10
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Alpha & Oméga
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J'ai lu une nouvelle où justement il est explicitement décrit que dans les Frégates, il n'y a pas d'équipage, mais juste un POD.
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28/01/2008, 09h30
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[LCD]
Légende
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tout a fait c est ce que montre orravan dans son post
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28/01/2008, 09h36
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