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Un truc dans ce genre-là?
Les écoles les mieux cotées sont toutes sur concours et se prennent dès le bac+2, même l'entrée journalisme de Sciences po (et la filière journalisme de Sciences po est la plus contraignante au niveau des examens parce que c'est la plus demandée). Au niveau des programmes des cours durant la scolarité en elle-même, la majorité du parcours est un mix entre techniques diverses et stages. |
25/06/2007, 20h24 |
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Dimanche 17 Juin, 150 à 300 personnes s'affrontent à Cergy. Nous ne l'apprenons pas.
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Sonic the hedgehog |
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#117140 |
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[Modéré par Karl Hungus : les discussions sur la modération se font en mp, dernier avertissement ]
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26/06/2007, 00h49 |
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Sonic the hedgehog |
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26/06/2007, 00h54 |
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Je crois que c'est en effet un problème de fond, à défaut d'être le fond du problème (oh yeah ! je roxx, j'ai fait un jeu de mot là ! )
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26/06/2007, 01h22 |
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Bagnard
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Citation :
Et que en effet, il n'existe aucune revendication clair et nette, si ce n'est une liste de doléances, le GTB a ainsi établi le "Livre Blanc de la Banlieue" Mais tant qu'il n'y aura pas d'unification, une sorte d'assemblée et tant que les banlieues s'affronteront sur le macabre décompte du nombre de véhicules brûlés dans la nuit, il n'y aura aucun dialogue à établir ..... |
26/06/2007, 07h52 |
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#22540 |
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Citation :
Mais ce n'est pas du tout les mêmes personnes qui posent les revendications, et celles qui font les émeutes. Ensuite tu parles de "a posteriori" pour les revendications, comme s'il n'y en avait pas avant. Les gens qui font de la prévention, les policiers, les associations, les gens qui vivent dans les banlieues, ça fait longtemps qu'ils parlent du problème des banlieues, ou du moins, en ont connaissance. Les élus locaux le font régulièrement remonter (les élus locaux étant un peu des représentants démocratiques des habitants du coin). Il suffit de voir le % de l'argent public consacré aux banlieues, et celui, par exemple, consacré à la Corse. D'ailleurs au passage, l'Etat donne bien plus de fonds publics à la Corse qu'il n'en reçoit. Pour autant, personne ne va dire "c'est mal, arrêtons de donner de l'argent à la Corse et séparons-nous des régions déficitaires" (bon, peut-être que certains vont dire arrêtons de financer la mafia locale via l'argent public détourné, mais c'est encore autre chose ). Ensuite il y a eu des revendications et des doléances. C'est juste que L'Etat a abandonné les banlieues depuis des décennies, et depuis, des zones entières ont simplement décidé de ne plus avoir confiance en l'Etat. Que ce soit pour des motifs criminels ou simplement la réalité de tout les jours. Ton point de vue est très intéressant. Il y a un problème dont l'Etat connaît depuis longtemps les causes, mais parce que (et c'est faux) personne n'a su poser les revendications correctement, aucun politique ne va s'y intéresser pour le résoudre ? Peut-être que dès le départ, aucun politique ne s'y intéressait. D'ailleurs, la seule intervention des banlieues dans la campagne présidentielle de la part des candidats (non parce que des associations ont tenté de dire qu'il fallait s'en occuper mot vaguement relayé par les médias, mais les candidats étaient trop occupés à discuter d'identité nationale), c'était Royal qui parlait de possibles émeutes si Sarkozy était élu. C'est un peu comme les problèmes de budget de la justice ou les moyens des hôpitaux. Selon le même mode de raisonnement que le tien, je peux aisément affirmer que les avocats et juges n'ont jamais demandé plus de moyen pour la Justice, et que personne, absolument personne, n'est au courant des problèmes de la justice (surcharge des tribunaux, non application d'une grande partie des peines,...). Ou, autre exemple, ce serait comme dire que les harkis ayant combattu pour la France n'ont jamais réclamé leur dû, et que c'est donc normal qu'il ai fallu attendre Indigènes pour qu'ils reçoivent une pension militaire, parce qu'ils ont été incapable de le demander correctement avant. Enfin, je terminerais sans doute par ça, totalement absurde, de cold case : "Mais tant qu'il n'y aura pas d'unification, une sorte d'assemblée et tant que les banlieues s'affronteront sur le macabre décompte du nombre de véhicules brûlés dans la nuit, il n'y aura aucun dialogue à établir .....". Apparamment, il s'agit de négocier avec des terroristes ou un état dissident (il y a d'ailleurs eu une "unification" de différentes associations et autres via un collectif). Mais les choses sont assez simples. Soit l'Etat français cherche à rétablir l'Etat de droit dans les banlieues et à faire quelque chose, soit il ne fait rien. Un indice, la première solution n'est pas celle qui a été choisie après les émeutes de Clichy Pourtant, il m'aurait semblé que la fin d'une crise est un excellent moment pour prendre des mesures. Une chose est sûre, avec votre manière de voir les choses, on n'a pas fini de voir des milliers de voiture brûler. |
26/06/2007, 10h13 |
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Bon et donc qu'est-ce qui a changé depuis novembre 2005 ? Pas grand chose j'ai l'impression.
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26/06/2007, 11h29 |
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26/06/2007, 11h39 |
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Non mais je ne comprends pas le raisonnement de El Cle. Il y a eu des doléances préalables, mais pas de la part des émeutiers. Et je n'avais jamais eu l'impression jusqu'ici que quelqu'un souhaitait discuter avec les émeutiers. J'avais l'impression qu'il s'agissait de les jeter en prison. Donc si je reprends tes propos Citation :
Citation :
En fait si je résume, vous demandez aux habitants des banlieues un élan démocratique (qui existe déjà de manière visible et officielle via les associations et élus locaux) dont les français eux-mêmes seraient totalement incapables comme le montre le taux de grève et de syndicalisation dans le privé alors que cela fait 30-40 ans que l'Etat ignore et refuse de s'occuper d'un problème dont il a parfaitement connaissance. (" Mais tant qu'il n'y aura pas d'unification, une sorte d'assemblée et tant que les banlieues s'affronteront sur le macabre décompte du nombre de véhicules brûlés dans la nuit, il n'y aura aucun dialogue à établir ....."). |
26/06/2007, 12h26 |
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26/06/2007, 12h30 |
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Bagnard
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Citation :
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26/06/2007, 12h34 |
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Bagnard
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26/06/2007, 13h55 |
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26/06/2007, 14h23 |
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