Vous lisez quoi en ce moment (béta test) (#2)

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Les bûchers de Bocanegra de Arturo Pérez-Reverte

Il s'agit du second tome des aventures du capitaine Alatriste. Cette fois-ci le capitaine, ou plutôt son page Iñigo, devra faire face à l'Inquisition. En voulant rendre service à son ami, Alatriste tombe dans le piège que lui à tendu Bocanegra, membre éminent de l'Eglise, et l'assassin italien.


Ce que j'apprécie c'est que l'on reste dans la lignée du premier tome, on continue dans la même ambiance. Les personnages, autant ceux du côté du héros que ces ennemis, sont encore présents et sont plus développés. La ville et l'époque historique sont toujours aussi bien rendu à travers les descriptions du page de Alatriste.
Une chose étonnante avec Pérez-Reverte est qu'il arrive à écrire trois cents pages avec une histoire relativement simple sans pour autant donner une seule fois envie de lâcher le livre. Les flashback, les anecdotes historiques et même les histoires des personnes n'ayant aucun rapport avec l'histoire donnent du corps au récit.
Par contre une chose qui fait redescendre mon plaisiromètre, c'est la présence d'une page qui résume l'intrigue dès le début du livre. Mais comme c'est au début on s'attend plus à un résumé des aventures précédente. Si seulement une entête pouvait mettre en garde, je ne l'aurai pas lu.
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Je suis une légende de Richard Matheson

Voilà le début de la quatrième de couverture:
Citation :
Chaque jour, il doit organiser son existence solitaire dans une cité à l'abandon, vidée de ses habitants par...
Ce survivant a vu sa famille, ses voisins, tout son monde mourir... et revenir. Il est le dernier sang frais d'un monde de vampires et compte bien ne pas devenir leur dernier festin.
Partant d'une routine permettant à notre héros de survivre, on y trouve une description du désarrois, de la solitude et des réflexions sur la morale et la société.
Un savoureux livre parlant de vampires mais de manière originale malgré son âge, une référence du genre à avoir lu.

Il fût adapter deux fois en film. L'un italien: The last Man on Earth et l'autre américain d'adaptation plus libre The Omega Man (Le Survivant dans sa version française) avec Charton Heston.
En ce moment je suis sur Tales of The City, Armistead Maupin, alias Les chroniques de SF en français.
Ca raconte les histoires d'une foulitude de personnage dans la fin des années 70 il me semble. On voit bien l'avance qu'ils ont sur nous au niveau de leurs moeurs (enfin SF a une réputation de ville assez folle aussi). Tous les personnages vivent de façon assez libres.
Je suis en train de lire la bio d'Ardisson. Le type est assez complexe, j'aime beaucoup. C'est impossible à dire quelle est la part de mytho là-dedans vu que tout le monde a tendance à enjoliver sa jeunesse mais entre ces histoires d'enfant pauvre qui rêve de limousine et de champagne, ses débuts fructueux dans la pub ("quand c'est trop, c'est Tropico", "Kiri, le fromage des gastronomes en culotte courte", etc), le business de la télé dans les années 80, la traversée du désert qui s'en suit jusqu'à nos jours et le succès qu'on lui connait, il y a de quoi raconter une belle histoire.
Après avoir enchainé les trois gros volumes de la Citadelle des Ombres de Robin Hobb (très bonne série, faudrait juste que le héros arrête de suxxer et de se mettre dans la merde comme un con), et relu le Cycle d'Ambre de Zelazny (énorme, génial, fantastique), je continue dans la série "découvrons les classiques de la littérature medfan/HF" en suivant les bons conseils de la Biblio Idéale (Fantasy) en entamant le premier volume du Trone de Fer de G.R.R. Martin.

L'histoire se passe dans le royaume des Sept Couronnes, où 15 ans plus tôt eu lieu une révolution, lors de laquelle l'actuel roi Robert a détroné l'ancien roi fou Aerys Targaryen, dont la lignée occupait le Trone de Fer depuis des lustres, en compagnie de son meilleur ami Eddard Stark, dont la famille protège les Sept Couronnes au Nord, à la limite du monde connu, et de Jaime Lannister dont la famille règne à l'Ouest.
Un jour, Eddard apprend que la Main du Roi, le conseiller royal, qui fut son mentor à lui et Robert, est décédé, et que Robert a pris le chemin de sa cité, certainement pour lui demander de devenir la nouvelle Main du Roi...

Intrigues politiques, meutres, "accidents regrettables", tout est bon pour chambouler la maigre paix des Sept Couronnes, pour notre plus grand plaisir (du moins le mien pour l'instant). Martin nous bombarde de personnages, de lieux, de faits des les premières pages et on se retrouve vite perdu, ce qui rend la lecture difficile dans un premier temps. Toutefois, au fur et à mesure, on commence à connaitre les personnages, et de comprendre leur personnalité, chacun ayant été très bien développé par l'auteur. Au final le tout semble cohérent, et on peut enfin se plonger dans l'intrigue sans avoir à se reporter à la page récapitulative des personnages tous les deux paragraphes.
Le monde pourrait se rapprocher d'un classique de Donjon et Dragons, où les gens parlent de loup garou, de tarrasques, dragons et compagnie sans s'étonner, en y mélangeant un aspect très sympathique du jdr L5R, les Sept Couronnes ayant au nord une frontière sous forme de mur par dela laquelle il n'y a que terres dévastées, forêts fantomatiques et infranchissables, et créatures mystérieuses.
J'imagine qu'à un moment ou à un autre il y aura une invasion de la part des monstuosités venues du nord, donc j'attend ca avec impatience

Bref, Le Trone de Fer, c'est du bon, c'est de l'intrigue et du fantastique, même si c'est réellement difficile à lire au début, sans compter l'adaptation bizarroide de mon édition (chez J'ai Lu), avec des espace manquants et des mots dont j'avais jamais entendu parler et que je sais toujours pas ce que c'est.
J'en suis qu'au premier tome, mais je sens déja que je vais lire la série complète à terme, mais apres avoir lu les premiers volumes de Elric le Nécromantien, et de la Belgariade, mes dernières acquisitions.
Les Chroniques de Narnia, Le fauteuil d'argent

Je m'achemine tout doucement vers la fin de cette magnifique saga, bien que le tome 7 soit totalement introuvable dans l'édition que j'ai dans les librairies de chez moi

Ensuite je commence le cycle des sorcières d'Anne Rice, enfin si j'ai le temps avec tout les bouquins que les profs nous filent à lire
Le Souffle des Dieux, le deuxième opus de la trilogie du cycle des Dieux de Bernard Werber. Comme je m'y attendait, je l'ai trouvé extra, super bien écrit : Un juste dosage de suspens, d'émotions, d'action... Un bon cocktail très agréable à lire (je l'ai littéralement dévoré !!)
Carbone modifié de Richard Morgan
Citation :
Publié par Bragelonne
Au 26e siècle, l’humanité s’est répandue à travers la galaxie, emportant ses religions et ses conflits raciaux dans la froide arène de l’espace. Tandis que ces tensions font rage et que de sales petites guerres éclatent tous les quatre matins, le Protectorat des Nations unies maintient une poigne de fer sur les nouveaux mondes, avec l’aide de ses troupes de choc d’élite : les Corps Diplomatiques.
En outre, la technologie a apporté ce que la religion ne pouvait garantir ; quand votre conscience peut être stockée dans une pile corticale et téléchargée dans un nouveau corps, même la mort n’est plus qu’un dérangement mineur. Tant que vous pouvez vous offrir un nouveau corps…
L’ex-Corps Diplomatique Takeshi Kovacs avait déjà été tué, avant ; c’étaient les risques du métier, mais sa dernière mort en date a été particulièrement brutale. Injecté à travers des années-lumières, réenveloppé dans un corps à San Francisco, sur la Vieille Terre, et balancé au centre d’une conspiration vicieuse (même selon les critères d’une société qui a oublié la valeur d’une vie humaine), il réalise bientôt que la cartouche qui a troué sa poitrine sur Harlan n’était que le début de ses problèmes…
Un riche magnat demande à Takeshi de l’aider à élucider sa propre mort. La police a conclu à un suicide. Mais pourquoi se serait-il suicidé alors qu’il sauvegardait son esprit tous les jours, certain de revenir parmi les vivants ?
Ce livre est tout simplement génial. Vous prenez du cyberpunk avec des technologies vraiment innovantes et vous décrivez tout cela avec soin et noirceur.
L'auteur fait un travail génial pour faire plonger le lecteur dans son univers sans le noyer sous des explications techniques, ce qui est généralement le cas dans le cyberpunk. En plus l'univers est décrit depuis le point de vue de plusieurs personnages qui n'ont pas du tout la même place dans le société, ce qui permet de vraiment s'imprégner.
Je vous parlais de technologie et bien avec la pile nous sommes servis. On peut stocker l'esprit, les souvenirs et les habitudes d'une personne comme des données informatiques. Si on ajoute le fait que l'on peut les insérer dans une enveloppe humaine, améliorée ou synthétique on obtient quelques chose de fort. Mais l'auteur l'intègre si bien dans l'univers et d'une manière logique que ça en devient génial !
Ensuite l'auteur rajoute une histoire pas piquée des hannetons avec de l'action, de l'enquête, de la traîtrise et des histoires comme des poupées russes. Le personnage principal n'est pas un boy-scout c'est même une raclure selon des critères normaux. En plus il n'est pas foncièrement sympathique mais s'y attache au fur et à mesure. Et comme il n'a sa place nulle part, on s'attache un peu plus.
Par contre c'est un livre à ne pas mettre dans toutes les mains tellement il est noir et réaliste.
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Anticipation catastrophique de l'après World Trade Center, après l'effondrement économique de notre vieux continent.
Dans un futur proche... L'Europe est devenue un bastion du fanatisme religieux chrétien - la bible et l'archange Michel sont les guides de vie d'une population affligée par les guerres de religions. Les femmes sont redevenues des sous-humains, les enfants sont éduqués à la baguette chrétienne, les préceptes bibliques sont lois. Les marginaux deviennent ceux qui ne sont pas mariés, les sans-abris déracinés par les bombes, qui s'organisent en "caillera" (clans de survivants-pilleurs) ou groupes de "zombies", les artistes qu'on pourchasse s'ils ne cèdent pas à la censure, et les "oussamas" - tout ce qui a cheveux crépu ou prénom d'origine arabe - tous ceux là sont chassés, exterminés, retirés dans des camps de concentration, éduqués, rectifiés.
Nous découvrons ce monde plausible en compagnie de deux adolescents, unis par la survie et l'affection - Pibe et Fesse - qui décident de partir à la recherche de l'archange Michel, et vont tenter de faire évoluer ce monde qu'on leur a laissé en héritage (leur regard ?).
On peut croiser des soldats génétiquement modifiés, des légionnaires fanatiques, de simples internautes, obligés de se terrer dans une cave pour continuer à surfer sur le réseau - agonisant - et qui ont une vision croustillante et assez réaliste de nos comportements d'internautes à l'égo décuplés - on y croise de jeunes soldats en partance pour le front de l'est, des femmes résistantes... ou de simples quidam qui se transforment en monstres pour survivre.
Ce monde peut être le notre dans quelques décennies.


Extrait
Entretien avec Bordage
Arrow
Je rebondis sur "l'Ange de l'abîme" bong

Un bouquin d'une sensibilité rare, qui expose des tranches de vie dans un futur proche malade, avec sa galerie de personnages perdus, survivants, à l'âme et au corps brisé - le chapitre du vétéran manchot inspire la nausée - aux espoirs en apparence prisonniers d'un monde condamné, où les interdits sont une façade aux vices. Y'a des chapitres qui m'ont fichus le bourdon. Et puis il y a la trame principale, l'innocence de Pibe, la présence rassurante de Fesse. Bien écrit, comme toujours avec Bordage, ce maître conteur.

A lire.
La foire aux illuminés de Pierre-André Taguieff
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Essai de 600 pages sur le thème des théories du complot et de leurs récupérations ésotérique et/ou extrémiste.
On y retrouve l'historique des théorie du complots, des sociétés secrètes devenues fantasme de sociétés encore plus secrètes, les différents auteurs qui ont contribué à l'expansion de la thèse du complot. On y suit l'évolution de ces théories jusqu'à nos jours en voyant comment ce genre de chose est devenu quasiment un élément banal de notre culture de par sa récupération dans les média de fictions et l'utilisation de média de masse donnant une plus grande audience à ces théories.
Doté d'une grande bibliographie, l'auteur a fait un travail de synthèse de ce qui a pu être dit, tout en y saupoudrant son analyse.

Essai intéressant, donnant un éclairage parfois amusant sur des discours qu'on peut voir fleurir de temps à autre.
la bulle cassée de Philip K.Dick
Histoire de l'art de A. Gombrich
méditation sur un cheval de bois de A. Gombrich
sur la route de Jack Kerouac
le sexe et l'effroi de P. Quignard.

aucun ne me prend intégralement si ce n'est le K. Dick mais je sais pour ou je l'ai foutue donc j'erre de livre en livre.
Citation :
Publié par Kuldar
La foire aux illuminés de Pierre-André Taguieff
2842059255.08.MZZZZZZZ.jpg

Essai de 600 pages sur le thème des théories du complot et de leurs récupérations ésotérique et/ou extrémiste.
On y retrouve l'historique des théorie du complots, des sociétés secrètes devenues fantasme de sociétés encore plus secrètes, les différents auteurs qui ont contribué à l'expansion de la thèse du complot. On y suit l'évolution de ces théories jusqu'à nos jours en voyant comment ce genre de chose est devenu quasiment un élément banal de notre culture de par sa récupération dans les média de fictions et l'utilisation de média de masse donnant une plus grande audience à ces théories.
Doté d'une grande bibliographie, l'auteur a fait un travail de synthèse de ce qui a pu être dit, tout en y saupoudrant son analyse.

Essai intéressant, donnant un éclairage parfois amusant sur des discours qu'on peut voir fleurir de temps à autre.

Hmm... fais gaffe quand même, taguieff est hyper marqué politiquement - bien réac pour tout dire. Mis peut être que je ne t'apprend rien


Sinon en ce moment, je lis le Festin nu (the naked lunch), de burroughs... un livre délirant, schizophrène, qui part en couille toutes les trois lignes, plein d'inventions, un feu d'artifice déviant. J'aime beaucoup, surtout les passages sur la drogue qui sont extrêmement fins (j'ai jamais consommé d'héro donc je peux pas trop juger de l'exactitude des observations mais le rendu est génial...)
Citation :
Publié par Zaffo
Je viens de finir American Psycho, et outre l'impression d'avoir été transporté dans un autre monde pendant 500 pages, je dois prendre quelques jours pour le relire et y repenser.

http://www.ugglan.educ.goteborg.se/american_psycho.gif
En parlant de ce livre, je viens de le finir et de regarder son adaptation au cinéma et j'ai vraiment beaucoup aimé. Les descriptions vestimentaires du bouquin sont assez terribles et l'ambiance assez indéfinissable me fait l'effet d'un mélange entre The Great Gatsby de Fitzgerald, The Catcher in the Rye de Salinger et les films "perchés" comme Trainspotting et Petit Meurtre entre ami. Bref un mélange assez space.

Par contre certains passages restent assez obscurs...

Citation :
Publié par Azélie
Le Souffle des Dieux, le deuxième opus de la trilogie du cycle des Dieux de Bernard Werber. Comme je m'y attendait, je l'ai trouvé extra, super bien écrit : Un juste dosage de suspens, d'émotions, d'action... Un bon cocktail très agréable à lire (je l'ai littéralement dévoré !!)
Je l'ai lu aussi après Noêl et personnellement je trouveWerber lassant. Autant j'avais adoré sa trilogie des fourmis et les Thanatonautes, autant je trouve que depuis l'Empire des Anges (L'Ultime Secret, les livres sur les dieux, l'Arbre des Possibles...) il s'épuise. Son style transpire le déjà-vu par rapport à ses autres bouquins et l'intrigue s'effiloche tellement on connait son schéma narratif... : découverte d'un nouveau plan de conscience, initiation, phislophie, et à la fin découverte d'un plan d'existence supérieur avec cliffhanger... Bref déçu...
Je viens de finir
"Quand j'avais 5 ans je m'ai tué".

C'est écrit par un médecin spécialisé dans l'autisme.
Tout est à la première personne, et l'auteur se met dans la peau d'un enfant de 8 ans qui est suivi de manière inadaptée dans un hopital psychiatrique pour ce qu'il a fait à une gamine de son age (mais quoi donc ?? et bien ca reste l intrigue du livre voyons !!).

Il est rare que je n'aime pas un livre et bien celui là en fait partie !! Outre le style (tout est écrit dans la facon "quand j'avais 5 ans je m'ai tué") assez difficile à supporter tout le long d'un livre, le 4eme de couv en reflete pas du tout la teneur du roman : sois disant un enfant livré aux mains d'un systeme hospitalier inadapté.
Je n'ai pas aimé le gamin, j'ai aimé le medecin soit disant tortionnaire ... à voir donc
Citation :
Publié par Nilrem
Je l'ai lu aussi après Noêl et personnellement je trouveWerber lassant. Autant j'avais adoré sa trilogie des fourmis et les Thanatonautes, autant je trouve que depuis l'Empire des Anges (L'Ultime Secret, les livres sur les dieux, l'Arbre des Possibles...) il s'épuise. Son style transpire le déjà-vu par rapport à ses autres bouquins et l'intrigue s'effiloche tellement on connait son schéma narratif... : découverte d'un nouveau plan de conscience, initiation, phislophie, et à la fin découverte d'un plan d'existence supérieur avec cliffhanger... Bref déçu...
C'est pas faux, j'ai moi aussi noté une redondance de style et un certain essoufflement, cependant il intrigue encore et je trouve qu'il a rondement bien mené son affaire.
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La découverte de la grande montagne, révélant du coup qu'il existait encore quelqu'un au dessus de Zeus... Whoua


J'ai hâte de connaître le fin mot de l'histoire !
Le Dieu venu du Centaure, du grand Philip K. Dick.

Citation :
Publié par Murmure
Je viens de finir
"Quand j'avais 5 ans je m'ai tué".

C'est écrit par un médecin spécialisé dans l'autisme.
Tout est à la première personne, et l'auteur se met dans la peau d'un enfant de 8 ans qui est suivi de manière inadaptée dans un hopital psychiatrique pour ce qu'il a fait à une gamine de son age (mais quoi donc ?? et bien ca reste l intrigue du livre voyons !!).

Il est rare que je n'aime pas un livre et bien celui là en fait partie !! Outre le style (tout est écrit dans la facon "quand j'avais 5 ans je m'ai tué") assez difficile à supporter tout le long d'un livre, le 4eme de couv en reflete pas du tout la teneur du roman : sois disant un enfant livré aux mains d'un systeme hospitalier inadapté.
Je n'ai pas aimé le gamin, j'ai aimé le medecin soit disant tortionnaire ... à voir donc
Je me permet de faire contrepoids, j'ai moi-même adoré ce livre et je l'ai lu entièrement en une après-midi. Chose assez rare pour être signalée. Pas eu de problèmes avec le style, perso. Et assez émouvant.
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