[Murmure]

Citation :

Publié par Yawn

Le Dieu venu du Centaure, du grand Philip K. Dick.

Je me permet de faire contrepoids, j'ai moi-même adoré ce livre et je l'ai lu entièrement en une après-midi. Chose assez rare pour être signalée. Pas eu de problèmes avec le style, perso. Et assez émouvant.

et pourquoi as tu aimé ?
Le gamin t'a t il vraiment semblé victime du système hospitalier ?
Je le trouve complètement barré (le gamin), sur une planète à part et en effet violent et agressif de nature (et pas uniquement après le traitement du médecin)
En fait je n'en veux pas tant à l'auteur qu'au 4eme de couverture de la version de poche qui m'avait promis un livre chargé de sentiments alors que je n'ai trouvé qu'un délire d'un gamin de 8 ans.
Mais bon ca arrive parfois de ne pas être sur la bonne longueur d'onde

Tome 14 de La compagnie des glaces de J.P Arnaud (auteur français).
Romans fleuves de s.f.
L'histoire d'un mondes qui peine à survivre durant une Aire glaciaire prolongé. C'est sympa mais faut l'entrecouper avec d'autre lectures.

Citation :

Publié par Murmure

et pourquoi as tu aimé ?

Comme dans la plupart des bouquins on y trouve aussi ce qu'on y apporte.

Citation :

Le gamin t'a t il vraiment semblé victime du système hospitalier ?

Par la force des choses, oui. Il n'y a pas pour autant le désir pour l'auteur de faire porter le poids de la culpabilité au système hospitalier, du moins je ne l'ai pas lu comme ça. Juste de pointer du doigt certains disfonctionnements du "système" dans la prise en charge des individus comme le personnage principal du livre. Enfin, je crois.

Citation :

Je le trouve complètement barré (le gamin), sur une planète à part et en effet violent et agressif de nature

Comme plus ou moins tous les gamins, j'en suis intimement persuadé, il me suffit de me rappeler ma propre expérience.

Au cas où tu ne connaitrais pas, tu peux aussi lire Sa Majesté des Mouches de William Golding, l'histoire d'une bande de gamins anglais (éducation rigide comprise) qui s'échouent sur une île déserte pendant la seconde guerre mondiale et qui, débarassés du poids des règles de la société des adultes, ne vont pas mettre très longtemps à s'entretuer joyeusement.

Citation :

Mais bon ca arrive parfois de ne pas être sur la bonne longueur d'onde

Tout à fait.

[Nilrem]

Citation :

Publié par Azélie

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La découverte de la grande montagne, révélant du coup qu'il existait encore quelqu'un au dessus de Zeus... Whoua

Personnellement sachant qu'il restait encore un tome à paraître, j'étais certain que ça finirait comme ça. Comme les Thanatonautes et comme l'Empire des Anges en fait et même plus ou moins comme le premier tome de la série des dieux.

Ce qui va sérieusement m'énerver c'est s'il finit le dernier tome avec une fin de ce genre.

[maleducata]

Le locataire chimérique.
Et j'ai envie de cracher à la figure de l'humanité, après ça.


Four Roses for Lucienne.
Et je me dis que Topor aurait dû m'épouser. Je suis son portrait craché.

Lisez Topor, ça fait du bien à l'humeur, ça donne des envies de meurtre et d'obscène, de méchanceté et de vengeance. D'ailleurs toi qui lit ce message, je te merdre, que tu sois petite perdrix superficielle qui ne vit que pour écraser l'autre, ou toi mâle à la queue toute puissante. Couper ta tête continuera à te faire marcher, boussolé par ta quête (quête)
Egotistes frimeurs.

Toujours le même lien panique

[Darkmore]

Sartre - Les mots

Chuis pas le plus grand fan de son existentialisme (enfin surtout le pendant moral/ontologique en fait) mais j'aime bien ses écrits...
J'aime vraiment son style d'écriture assez sec, rapide... à la fois agressif et désabusé, drôle et déprimant, détaché et viscéral etc etc ... ça fuse dans tout les coin on passe d'une vanne sur son grand père à des pures coup de rasoir du genre "cinquante ans plus tard en regardant un album photo elle se rendit compte qu'elle avait été belle"
J'irais même jusqu'à dire que ça rappel Buckowski en moins putride

J'ai aussi le bien nommé "La nausée" en attente (le coup de la racine est fichtrement traumatisant) bref j'aime bien lire sartre entre deux films de steven seagal.

Citation :

Publié par po__e__e

Lisez Topor, ça fait du bien à l'humeur, ça donne des envies de meurtre et d'obscène, de méchanceté et de vengeance.

Mais alors c'est comme le maythol ?

[maleducata]

Citation :

Publié par Darkmore

Mais alors c'est comme le maythol ?

Ouais tu m'causes pas chuis pas d'humeur.

...

Je continue à taper dans le Topor, avec Jachère party
C'est un homme qui vieillit. Toute ressemblance avec l'auteur est peut-être volontaire... il n'arrive pas à se débarrasser de son "vide", de son impuissance de produire. Il observe ses pensées et nous les fait partager, dans ce premier chapitre. La suite c'est vous qui la lirez si jamais un jour vous vous dites pourquoi pas.
Extrait :

Citation :

Chez les jeunes gens, la révolte se traduit par des vomissements. Ils refusent de digérer, sinon d’avaler. Le système digestif, révulsé par l’aspect peu appétissant de la réalité nauséabonde qu’on lui destine, se met spontanément en grève et les force à régurgiter. Alors que les vieux, en revanche, disposent d’un pouvoir amoindri de rébellion. Rejeter le réel brut est au-dessus de leurs forces, ils s’en vont infectés. Bon gré mal gré, ils doivent s’en nourrir, sans renoncer à l’espoir d’éliminer en chiant les toxines les plus nocives. La révolte se transforme en colique.

Tout ça pour dire que je suis tombée sur un site plutôt fourni - en photographies et en peintures - mais qui parle aussi de Topor. Hélas, il ne fonctionne pas toujours bien, et c'est fort dommage car le créateur proposait quantité de mp3 en libre accès. Vous auriez pu entendre le rire d'orfraie rouillée de Topor. S'il y a des gens volontaires pour l'aider... on ne sait jamais, peut-être que des gentils se baladent sur ce forum.
Le blog en question

...

Après y a aussi Michel Tournier, qui m'avait bien plus avec son Roi des Aulnes, et qui continue à bien passer avec un recueil de "mémoires" intitulé petites proses (sans majuscules, oui). A lire après Topor, c'est savoureux comme contraste.
Extrait :

Citation :

... il y a un signe infaillible auquel on reconnaît qu'on aime quelqu'un d'amour, c'est quand son visage vous inspire plus de désir physique qu'aucune autre partie de son corps

(que c'est romantique n'est-ce pas)

...


Puis on continue avec Marée montante, de Mark Lynas, qui est une enquête (récit de voyage ? reportage ? projection ?) sur le réchauffement climatique. A ne pas lire après Topor, mais peut-être après Tournier. On peut reprocher beaucoup de choses à l'auteur, mais il faut s'accrocher et tenter de le lire jusqu'au bout (pour l'instant je m'accroche ) car ses visions apocalyptiques s'estompent peu à peu pour laisser place à des éléments plus concrets, pragmatiques - bien plus effrayants que les prophéties.
Mark Lynas point org (en anglais)


...


Enfin, pour travailler ma peur de la noyade volontaire, j'ai emprunté Les vagues de Virginia Woolf. A lire après Marée montante of course.
(pas sure d'accrocher pour l'instant)

[Nutopia]

William Gibson - Neuromancien

Et dire que j'en étais resté à "Gravé sur chrome".
Le bouquin de naissance du cyberpunk (écrit en 1984) où on retrouve les piliers du genre: cyberspace et monde virtuel, monde déshumanisé accro à la technologie et toutes les drogues possibles, capitalisme fou et criminalité omniprésente, une atmosphère glacée, des sentiments noyés dans la dépendance, le désespoir, la résignation...vous l'aurez deviné, c'est pas youpi tralala.

J'ai entendu beaucoup de mal sur le style de Gibson (manque de talent ou traduction approximative ?). Que dalle oui, c'est de la balle. Il plonge le lecteur dans cet univers artificiel, sans espoir d'y réchapper. C'est sans doute un peu ardu pour le néophyte, la narration se mélange peut-être les pinceaux câbles au risque de rebuter le lecteur...

[kerloken]

J'ai toujours eu du mal. Pour ce roman, fondateur du mouvement, j'ai essayé, réessayé et encore essayé, j'essaie toujours de temps en temps, je ne dépasse jamais le premier tiers. Il y a dans son écriture quelque chose qui m'ennuie profondément, je ne sais pas quoi exactement (je soupçonne sa profusion de descriptions Bladerunnerienne)
Par contre j'ai adoré tout ce que j'ai pu lire de son complice à la tête du cyberpunk, Bruce Sterling (La schismatrice, La baleine des sables, Gros temps,..) que j'ai trouvé beaucoup plus inventif, mais peut être moins cyberpunk.
Il avaient fait une excellente nouvelle à eux deux, "Etoile rouge, Orbite gelée", que je recommande vivement en tout cas

[Nutopia]

Citation :

(je soupçonne sa profusion de descriptions Bladerunnerienne)

Le roman en déborde, c'est vrai. C'est ce que j'aime, les "lueur du ciel télévision" et autres "bleu égéen éclaboussé d'idéogrammes fuselés".
Je reconnais que le style est assez lourd, d'où mon interrogation sur le manque de talent d'écriture du bonhomme ou sur une traduction pataude, qui ne rend pas honneur à ce bouquin visionnaire.
Dans mon lointain souvenir de "Gravé sur chrome", je ne me souviens pas d'une indigestion.

Citation :

Par contre j'ai adoré tout ce que j'ai pu lire de son complice à la tête du cyberpunk, Bruce Sterling (La schismatrice, La baleine des sables, Gros temps,..) que j'ai trouvé beaucoup plus inventif, mais peut être moins cyberpunk.

Il est sur ma liste, avec Walter Jon Williams, l'auteur de "Cablé" (qui est dispo dans une grosse réédition "Cablé +", avec quelques nouvelles en relation avec le roman).

J'vais bouffer du cyberpunk quelques temps.

[pnvoqjvhoughvkvbiqyv]

Hannah Arendt, La Crise de la Culture.

Martin Heidegger, Chemin qui mènent nulle-part.



Mais bon, période de partiel.

[_Morbide_]

La crise de la culture c'est un excellent livre, du moins si l'on ne s'attarde pas sur la façon dont Arent écrit, qui est assez difficile à suivre au début.
Quant a moi, je viens de terminer La Chute de Camus, qui était très intéressant, et porte à réflexion

[fOurreux]

Le guide du voyageur galactique T.1
ici
Je suis pas fan de SF en tant normal mais là c'est du grand n'importe quoi, ça part dans tous les sens sans respecter aucune règle mais celle qui est bien respecté par contre c'est de donner du plaisir au lecteur !

[Caritas (Gyz)]

Le monde de Narnia, le tome 4 de Cendres, et j'attend le tome 13 de la Citadelle des Ombres ^^

[Ghislain]

Un monde magique de Jack Vance

C'est le premier ouvrage permettant de découvrir le monde de Dying Earth. La terre est inhospitalière et le soleil va mourir, la technologie est rare et incompréhensible tandis qu'une forme de magie est présente.
Ce livre raconte l'histoire de plusieurs personnes qui tentent de vivre dans ce monde. Elles se rencontrent parfois et pas toujours dans les meilleures conditions. D'ailleurs le livre est découpé en autant de partie que de personnes.

Chose étonnante, la traduction du titre original ( Dying Earth ) en Monde magique... Passons. J'avais déjà lu les deux livres permettant de suivre les aventures de Cugel et j'avais été enchanté. Et bien ce premier tome est aussi enchanteur que les suivants ( chronologiquement ). Certaines histoires font même penser à des mythes antique tellement ils sont "fatalistes".
Il ne me reste plus que Rhialto le merveilleux pour avoir fait le tour de la Terre mourante.

[Saskia Willer]

Sur le seuil de Patrick Sénécal

[Ghislain]

Pour quelques deniers de cuivre de Glen Cook

Citation :

Publié par Présentation de l'éditeur

Qui l'eût cru ? Tonnefaire a un problème de foi. Les reliques de saint Terrell ont disparu. Garrett est en vacances, mais notre détective au pays des elfes, centaures et compagnie accepte d'aider une courtisane au passé trouble. Et le voici dans le collimateur du grand inquisiteur en personne ! Or un culte peut en cacher un autre. Une secte d'illuminés croit son heure arrivée : leur Grand Dévastateur vient prendre possession du monde. Aidé par Maya et les Sœurs de l'Infortune, Garrett ne veut pas finir en victime expiatoire. Troisième livre de la série, Pour quelques deniers de cuivre nous promène dans une intrigue politico-religieuse picaresque où l'univers imaginé par Glen Cook rappelle étrangement le nôtre.

Troisième livre de la série Garrett, détective privé et Glen Cook réussit toujours à faire prendre la sauce. Les 50-70 premières pages sont un peu longues mais le reste passe tout seul. Pour vous donner une idée il m'a fallu 1 semaines pour le lire ( 5 jours pour 70 pages et 2 jours pour les 230 restantes ).
Garrett est un personnage attachant car il essai de garder son côté humain et son indépendance dans un milieu où tout le pousse à faire le contraire. En plus il a des problèmes avec certaines notions comme tout le monde et n'y trouve pas toujours de solution, chose qui le rend encore plus vivant.
Si en plus on rajoute un univers tout en ton de gris très bien décrit, on obtient un livre vraiment intéressant.
Il s'agit du troisième tome, comme je l'ai déjà dit, mais on explore une nouvelle partie de l'univers et on découvre de nouvelles choses sur Garrett et ses "amis".

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D'ailleurs j'attends la suite avec impatiente, pour savoir ce que va devenir Maya et quel rôle elle jouera...

[kerloken]

On a parlé de l'auteur un peu plus haut, je viens de finir "Les furies déchaînées", le dernier tome de la série de romans SF consacrés à Takeshi Kovacs. Paradoxalement c'est le seul que j'ai lu pour le moment de cette série, ce qui n'est pas dérangeant car ce n'est pas une intrigue étalée sur plusieurs volumes, mais un personnage central et un univers précis, même s'il y a quelques rappels aux deux volumes précédents (Sanction IV, sa visite sur la Terre), ce n'est pas dans le cadre de l'aventure concernée ici. J'aime beaucoup les auteurs qui font des séries très courtes composées de romans quasiment indépendant
Ici J'ai eu un peu de mal au début tout de même, surtout par la profusion de termes liés à la technologie de son époque (il ne prend pas le temps des les expliquer avec raison, après tout on n'explique pas tous les jours ce qu'est un grille pain ). Le reste de l'aventure est très riche avec un sentiment étonnant de claustrophobie parfois alors que l'histoire est planétaire. Quelques passages dont je me pose encore la question de leur intérêt (celles de sexe, très crues par exemple) mais ne gâche pas la lecture, qui laisse découvrir au fur et à mesure la complexité de l'intrigue et les indices que Morgan nous a dispersés tout le long de l'histoire en prenant soin de les cacher astucieusement. Bref c'est assez gros, j'ai mis du temps pour le lire, mais j'ai beaucoup apprécié. En fait il est assez que je n'apprécie pas de la SF (bizarrement l'héroïc fantasy dans les différentes déclinaisons variées que j'ai connu m'a toujours ennuyé).

Mais le plus important est celui que j'ai commencé aujourd'hui, un petit document très court qui ne devrait pas tenir plus d'une semaine de lecture, Dernière conversation avant les étoiles.
Il s'agit de la retranscription apparemment mot pour mot de six entretiens enregistrés de P.K. Dick en 1981 (ou 1982 je n'ai pas vérifié de suite) quelques mois avant sa disparition. On y parle surtout de Blade Runner en post production à ce moment, Dick avait eu plusieurs invitations du studio pour voir l'avancement de cette adaptation, de son nouveau roman qu'il n'aura jamais le temps de finir et évidement de son épisode "mystique" de 1974, ainsi que les conséquences sur sa vie future (l'exégèse et sa Trilogie Divine). J'avais déjà lu deux biographies de P.K. Dick, une de Emmanuel Carrère, avec une très libre description de sa vie, quasiment adaptée sous forme de roman, et la plus reconnue de toutes, celle de Lawrence Suttin, très précise. Elles donnaient la vision d'un homme complexe, tourmenté, parfois manipulateur, presque toxicomane. Ici la parole est à l'auteur de sa vie lui même, et il montre un visage sincère et passionné, pour le peu que j'en ai lu pour le moment, je n'ai pas encore abordé la partie critique de sa vie (l'expérience "mystique"). On ressent dans le texte l'énergie et le débit de parole qu'il devait mettre dans ses conversations. Il donne l'impression d'avoir été insatiable quand il discute avec quelqu'un. Pour moi un petit moment de bonheur pour tous les fans de l'homme autant que l'oeuvre qui sont si étroitement liés

[Murmure]

Je rejoins l'avis de Ghislain.
J'ai longtemps hésité à me lancer dans cette série après avoir adoré la Compagnie Noire.

Mais je ne regrette pas !!!!
C'est vraiment l'ambiance Philip Marlow mais dans un univers Fantasy.
Le bon point je trouve, c'est la quasi absente de sorts et de magiciens. Ce sont vraiment des personnages si haut placés que le pecus vulgus ne les croise que rarement voire jamais

Seules certaines potions qu'utilise Garrett donnent au récit un coté "magie / sortilège".
Vivement la suite donc !

[Dandal]

Je termine La 8e Couleur, le premier tome du Discworld de Terry Pratchett.

Moi qui n'ai pratiquement jamais lu de fantasy (je n'assume pas mon geekisme), j'ai trouvé ça assez agréable, sympathique sans être désopilant, mais, malgré de grosses lenteurs au départ, bien rythmé et suffisamment décalé pour m'accrocher. Je compte lire la suite dès que possible.

Mais avant j'aurai enfin lu le H2G2 de Douglas Adams, depuis le temps qu'on me bassine avec...

[Darkmore]

En attendant de me procurer La nausée hier soir j'ai tenté pour la 10èmes fois de lire La condition humaine de Malraux.
Mais moi qui décidément n'assume pas mon l33tisme ( ) j'ai du éteindre les lumières après une dizaine de pages.
Bon ben j'accroche toujours pas mais je vais quand même essayer de pousser jusqu'au milieu ... ou pas.
C'est marrant c'est l'inverse de Poulou j'aime bien ses essais (parce que Le musée imaginaire roxx quand même son Benjamin un soir d'été ) mais pas ses romans (oui c'est marrant hein )

[abbadon]

J'suis en train de terminer "Tempete Rouge" de Tom Clancy... Un vieux livre mais je le trouve vraiment prenant.

[Kleitus Lazar]

La grande aventure des atomistes français - Les savants au pouvoir
de Spencer Weart (US) sur les relations entre politique-industrie-recherche en France et les aspects internationaux, du début du XXième siècle aux années 50-60. Trouvé au Musée Curie à Paris.

[Lorie JTM !]

Ursula Le Guin - Cycle d'Ekumen comprenant (entre autres) :

• La main gauche de la nuit (Prix Nébula 1969, Prix Hugo 1970)

• Le nom du monde est forêt (Prix Hugo 1973)

• Les Dépossédés (Prix Nébula 1974, Prix Hugo 1975, Prix Locus 1975)

• Le Dit d'Aka (Prix Locus 2001)

Approche anthropologique de la SF, style unique, du très bon. Le Guin c'est bien !

[leoneves]

Impératrice de Shan Sa.