Un choix peut être forcé, par son inconscient ou sa culture, c'est le mieux que je puisse accepter. Car si l'on est pas
aware des autres options on ne peut aller à leur encontre. Virtuellement tu as le choix, mais si dans ton questionnaire il n'y a qu'une seule case à cocher et un peux de blanc dessous le choix n'existe plus.
Après si t'as utilisé du bon gros tippex massif, là on peut avoir des doutes et soupçonner l'existence d'autre chose.
OK, c'est des maths, çà a jamais été mon truc. Le grand désespoir paternel...
Pourtant il me semblait qu'au début de se fort long, éprouvant, frustrant, énervant, jouissif dialogue tu mettais les deux sentiments sur le même plan, les assimilant quasiment l'un à l'autre. Chose que finalement je fais également.
Je me permet d'évaluer ces deux sentiments, de par mon vécu. Ce sont deux sentiments/émotions, donc de la même catégorie, donc comparable et ayant beaucoup de chose en commun. Là on n'est pas d'accord.
J'estime que l'amour est plus fort que l'amitié, c'est probablement de l'idéalisation (idéalisme ouille ouille) de ce sentiment, mais comparé à se que je ressent pour mes amis il n'y a pas photo. Je compare les effets et je juge sur pièce, bien sur la conclusion est la même (pas d'amis? Objection!). Peut être un autre moyen de comparer, qui verra nos vues converger? Ou pas.
Une comparaison d'intensité peut être?
Je peux comparer l'amitié sincère que j'éprouve pour mon amie fille-mère avec celle que j'éprouve pour mon amie lesbienne, mais pas avec l'amour que j'ai éprouvé pour mon ex-futur mari ou le sentiment qui me lie à ma soeur, parce que ce n'est simplement pas la même chose.
Here it is, I was right! Y'see! Y'see! Maman j'avais raison!

. Je suis désolé quand même... (là il faut mettre la réplique du partenaire de l'agent Preston dans Equilibrium, juste après les vers de Yeats, cela ajouterai un peu de piquant à la remarque).
//Bar// Je crois que t'avais suggéré un truc une fois, je me permet la même chose avec ton amie homosexuelle.
Mais bon le concept d'amitié sincère est au delà de ma compréhension, de même que l'amour "familial" on va dire. J'en resterai à la franche camaraderie issue de la cour d'école...
Maintenant, tu pars du principe que la fameuse dépendance aristotélicienne qui différencie l'amour de l'amitié en fait un sentiment plus fort qui génèrerait entre autres une complicité plus grande. Et je dis simplement non, ça n'est pas vrai.
Si c'est vlai! (c'était pas une pub à une époque çà?)
Cette dépendance te rend extatique, te porte à des sommet de jouissance à la fois intellectuelle et physique (pas que dans le lit, pervers). J'ai peine à trouver l'équivalent dans l'amitié. Bon je suis peut être pas représentatif là.
J'irai parler de ta théorie à ma clope, pendant ce temps, je te conseille d'aller parler de la mienne à un random cocu.
Je sais pas pour ta clope, mais mon chat, mort depuis quelques années se sent offensé par ta remarque.
(d'ailleurs, la cigarette c'est une très mauvaise habitude, très mauvaise dit il en regardant tristement son briquet et la dernière clope chinoise restante - c'est un souvenir, j'ai arrêté)
ehoh, c'est pas l'agora ici

Ben quoi t'es pas content non plus? On se détend comme on peux mon cher!
Bon et maintenant qu'il fait à peu près nuit. Rendant ainsi hommage à ton pseudo Twilights, on a pas mieux de toute façon.
J'espère en tout cas avoir montré que je ne suis qu'un
poseur (mais pas toré).
//Ding Dong//
La Miss Idéaliste, tu ne me liras pas mais on sait jamais:
<Reviens dans le Grand Nord, je craque sans toi ici!>
//Ceci était un message à caractère privé, informatif et désespéré, veuillez n'en tenir aucun compte et poursuivre votre discussion - Ding Dong//
Bonne nuit, ou du moins ce qu'il en reste.