Non. Parce que le jour où tu vas lui sauter au cou ben ça sera pas le moment...par contre quand tu le fais pas elle te le fais remarquer pour ensuite t'avouer que de toute façon elle t'aurais rejeté
Ah, nous touchons du doigt un point un peu particulier, celui de la contradiction. Qui concerne également les cas où elles se jugent elles même, de dire qu'elles sont laides ou pas cultivée pour un sou, par exemple. C'est juste une manière de se protéger, voyez. On prêche le vrai ou faux, pour se défendre des appréciations et se servir du "ah oui, tu vois, je te l'avais bien dis que j'étais moche/bête/timide etc" cela évite de souffrir du jugement d'autrui, lorsqu'il n'est pas louanges.
Mais revenons au cas qui nous intéresse précisément. Une fille, c'est une sac de contradictions. Mais pas de panique, il existe une solution toute simple que je m'en vais vous exposer. Et parce que la clef réside bien souvent dans la compréhension de l'autre, on débute par une apnée en profondeur dans l'esprit féminin. Une fille, ça demande à être cajolé mais ça rêve d'indépendance et de liberté. Parce qui leur faut bien évidement coller le moins possible à l'image ringarde qu'on colle sur les schémas classiques. Elles veulent des attentions, mais pas n'importe comment ! le secret, c'est que ce ne sera jamais comme il faut et quand il faut, héhé. Les filles, ça jouera toujours la carte de l'insatisfaction. C'est "trop" de câlins ou "pas assez" de câlins, pas comme ça, pas maintenant, dans le but tout simple de se donner l'impression d'être libres au travers d'une insatisfaction chronique.
Alors, comment faire craquer une fille alors que ce n'est jamais le bon moment ?
Rien de plus facile et pour ce faire, voici ce que l'on considérera comme le deuxième commandement :
Afficher une indifférence totale à toutes ces minauderies. Elle refuse vos câlins ? changez d'occupation. Elle se plaint de ne pas être l'objet de vos attentions ? changez de pièce. Chaque fois qu'une fille tente la carte de l'insatisfaction, prenez votre imperméable sans dire un mot et allez vous en tout de suite, si vous êtes au téléphone, raccrochez immédiatement. Ignorez-les, fuyez-les, snobez-les, voir même frappez-les si vous êtes de ces courageux. Le mot d'ordre, les déstabiliser et surtout, leur donner de véritables raisons de se plaindre (sachez que les filles craquent pour les engueulades et créent bien souvent les conflits juste pour le plaisir de chouiner et d'être consolés, ou, je vous le rappel, se donner l'impression d'être libres et encore indomptées) et surtout ! lorsque vous avez envie de leur sauter au cou, ce n'est pas parce les filles se plaignent qu'elles vous disent non ! insistez, vous verrez que chaque fois, elles finissent par se cambrer et par transformer leurs "non" de comédiennes en gloussements gourmands.
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