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Alpha & Oméga
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Là - tout de suite - rien mais...
Un peu souvent ces derniers temps, pour partager avec ceux qui aiment le rock, les cris de sirène de Polly Jean, et les improvisations délurées de musiciens aussi talentueux (que bruyants par moments) - j'voulais vous présenter le collectif des Desert Sessions.
Lien officiel : http://www.desertsessions.com/ C'est une structure variable de musiciens, formée au début des années 80, sur l'impulsion de Josh Home, des Queen Of The Stone Age & plus vieux, Kyuss. Vous pourrez apprécier la sélection éclectique des invitations du bonhomme : Citation :
![]() Le principe est simple, s'isoler dans un studio paumé dans le désert, improviser, composer et enregistrer un album en une semaine seulement. Ce qui nous vaut des albums en dent de scie, avec du très bon comme du très mauvais, selon vos goûts. Adeptes du minimaliste, du rock lourd, stoner (et autres adjectifs dont je ne comprends la signification), jetez une oreille sur ces disques. 10 volumes sont sortis, et l'expérience devrait s'arrêter à la 12ème édition (Chiffre mystique par excellence ?). Il y a comme un petit goût de nostalgie dans ces albums, peut-être parce qu'on sent affleurer à l'écoute, ce côté du 'on vient de le créer il y a un jour' - vous savez, comme lorsqu'en répétition, on dégage un thème autour duquel le groupe découvre un nouveau morceau inédit. L'osmose de la création aboutie qui sort de la séance d'improvisation... P't'être que des fois même, on y comprend rien à leurs morceaux. Un peu comme ces privates jokes dont on aimerait être les invités, et qui ne riment à rien une fois qu'on nous les a expliquées. ps > Même que quelqu'un pourrait créer un sujet sur les groupes à géométrie variable, ou autres collectifs de musiciens autour d'un projet commun - ce serait chouette. |
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Kathandro Jourgensen |
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Locke / Rezard |
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Aaaaah la Norvège... pays des fjords, des blondes sexuelles, des élans, du black métal, ... oui mais et s'il y avait autre chose ? Bien sur, car la scène electro norvégienne se développe de plus en plus, on va presque finir par croire qu'ils ont l'électricité chez eux.
On connait Röyksopp, Jaga Jazzist, Jori Hulkkonen, mais connait-on Xploding Plastix ? Ce duo à fort potentiel roxxatif torturre l'acid-jazz depuis bientot 10 ans, écumant les clubs et les scènes enfumées des bars d'Oslo. Croisement hybride entre les mélodies organiques de Four Tet et les percussions frénétiques de LTJ Bukem, les albums d'Xploding Plastix sont riches, complexes, mais accessibles. Sorte de free-jazz electro, l'influence électronique se fait discrète et on a souvent l'impression d'écouter un vrai groupe. Après une série d'EP variés et réussis, le premier LP Amateur Girlfriends Go Proskirt Agents sort en 2001, et les jumeaux The Benevolent Volume Lurkings et The Donca Matic Singalongs en 2003. Depuis lors, les EP fleurissent régulièrement, aggrémentés de divers remixes et inédits, en attendant le nouvel album. Plus d'une vingtaine de morceaux en écoute bonne qualité sur le site officiel : http://www.xplodingplastix.com/ ![]() ![]() ![]() Xploding Plastix - Joy Comes In The Morning Xploding Plastix - Funnybones & Lazylegs (unofficial video) |
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je l'avais entendu en fond sonore a la tv y a quelques jours, et je l'est retrouver sur youtube
Oxmo Puccino - l'enfant seul (2001 je crois mais pas sur, ça remonte^^) |
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Alpha & Oméga
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J'écoute le nouvel album de Wir Sind Helden très très souvent, mais bon, comme apparement, ça n'avait pas trop plus la première fois, je vais vous épargner la recopie de mon super sujet bidesque.
Mais bon, le lien quand même au cas ou des curieux qui l'auraient raté voudraient regarder les quelques vidéos qui trainent dessus : Hop c'est par là. J'insiste quand même sur le fait que malgré l'aspect "langue allemande", ça change vraiment de ce à quoi on pourrait s'attendre. Tiens, Interpol j'avais juste écouter d'une oreille distraite, j'aimais beaucoup Length of love sur Antics, mais en fait c'est vachement bien ! |
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Alpha & Oméga
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Fatboy Slim - That Old Pair of Jeans
Chacun de leur clip est brillant. Passant de Joker à Right here, Right now ou Push the tempo. J'y ai passé ma soirée, excellent. ![]() |
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? Fatboy Slim est Norman Cook, un seul bonhomme ^^
--- Aïe, il pleut dehors, les filles sont loin de porter des jupettes, les serveurs de WoW sont plantés, tu sais pas quoi faire ? Dude, ce qu'il te faut c'est du hip-hop rayonnant qui te mettra du baume au coeur ! What ? Oh je vois... t'as rien à te mettre sous la dent ? MTV te rend impuissant ? Tes cds des Puppetmastaz sont trop usés ? Le dernier DJ Shadow a joué moins de 3 fois dans ton lecteur ? Il te faut un nouvel héros, vite allume le "beatsignal" dans le ciel de la nuit nuageux et il arrive pour sauver le clubber et l'orphelin, c'est DJ Format. Matt Ford, de son vrai nom, aurait pu devenir un british rocker parmi les centaines qui assènent les ondes et les scènes de leur riffs calibrés. Mais baigné dans le funk et la soul par ses parents et attiré par le hip-hop qu'il voit à la télé (Beastie Boys, Grandmaster Flash, Sugarhill Gang), il finira par dévaliser les magasins de vynils et à la écouter sur ses platines, avant d'y mettre la main à la pâte. Après différentes mixtapes perdues et des concerts de turntablism éculés, DJ Format gagne en notoriété et rassemble une poignée de MC's dans un studio pour pondre son premier long en 2003, Music for the Mature B-Boy fort de la présence des Jurassic 5 et d'Abdominal. Accompagnée de clips décalés et teinte d'autodérision, la musique de DJ Format sonne comme de l'anti-gangsta rap et revient à un petit coté old-school qui fait du bien à un hip-hop légèrement englué. Pas fatigué de son succès, le ch'ti sort un mix album l'année suivante Dj Format Presents a Rightful Ear, Vol. 1 et son deuxième album de compos persos If You Can't Join 'Em, Beat 'Em en 2005. L'an dernier, il signe un opus de la célèbre série de mix Fabriclive, rejoignant ainsi The Herbaliser, Howie B ou Scratch Perverts. ![]() ![]() ![]() Quelques morceaux à écouter sur son site perso ou les clips sur le tube. DJ Format & Jurassic 5 - We Know Something You Don't Know DJ Format & Abdominal - Vicious Battle Raps DJ Format & Abdominal - The Hit Song DJ Format & Abdominal & D-Sisive - 3 Feet Deep DJ Format & Abdominal & D-Sisive - Separated At Birth |
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Isidore Malcrasse |
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En ce moment, j'écoute la compilation de Savoy (Savoy Songbook vol.1) qui reprend sur un premier CD des nouvelles versions de titres de leurs anciens albums + 3 inédits et sur un deuxième CD une compilation d'anciens titres. Album assez rock qui reprend donc leurs singles depuis 1994, une bonne manière de découvrir ce groupe norvégien assez méconnu en dehors de la Norvège formé par le principal compositeur du groupe A-ha et de sa femme. Mais les titres sont beaucoup plus rock par rapport à a-ha.
Pour vous faire découvrir ce groupe, petite vidéo d'une de leur chanson qui provient de l'album baptisé SAVOY qui ne figure pas dans la compilation mais qui est l'une de mes préférée. |
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Heaven Opensky |
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Alpha & Oméga
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[Modéré par Dandal : +1.]
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Stoi la face d'Oni, Dienekès
![]() ![]() Bon petit message pour présenter une ch'tit groupe de Manchester qui fait du rock [insérez ici l'adjectif qui vous conviendra le plus parmi planant/progressif/indé/tout court]. Alors si on devait faire des comparaisons, je dirais que c'est un croisement entre Radiohead (ou Pink Floyd) et Tool (ou Jane's Addiction) avec une petite dose de folie à la Patton de temps à autres (pour ça faudra écouter les albums ou me croire sur parole) bref ils jouent des trucs enjouées en somme. Ah tiens j'ai toujours pas dis leur nom, le groupe s'appelle Oceansize. Il y a un morceau de ce groupe que les français connaissent bien puisqu'il a été utilisé pour une pub d'Orange (le poisson dans le bocal qui plonge dans l'océan ça vous dit quelque chose ?) dont le titre original est Music for A Nurse... mais si vous voyez... bon c'est cette pub : Ils n'ont que deux albums à leur actif Effloresce (2003) et Everyone Into Position (2006) et ils préparent un nouvel album qui doit sortir si j'ai bien tout compris à l'automne 2007. ![]() ![]() Un morceau du premier album One day all this could be your : et un du second Heaven Alive Sinon le machin Myspace avec des morceaux dessus ici. Bonne écoute. PS: Et puis un groupe qui met Black Sabbath dans ses références ne peut pas être mauvais. |
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@ patatoïde: ton baiser me va droit au sphincter, heureux que Tunde t'ait également converti
![]() Ce soir, je viens mener un combat que je défends depuis pfouuu pratiquement 10 ans. Une injustice totale et profonde sévit dans le monde de la musique depuis 1996, et personne ne s'en préoccupe. En Avril 1996 sort aux Etats-Unis le 2e album des Rage Against The Machine, intitulé Evil Empire. Pour les ceusses qui connaissent pas l'histoire, l'expression "Evil Empire" vient d'un discours prononcé par Ronald Reagan, désignant par là l'empire soviétique. ![]() L'injustice n'a rien à voir avec Ronald Reagan je vous rassure. L'injustice tient au fait qu'après le monumental album éponyme sorti par RATM en 1992, sorte de chef d'oeuvre musical classé un peu partout comme l'un des plus grands albums de l'histoire (Rolling Stone etc.), Evil Empire souffre la plupart du temps d'une certaine déconsidération, voire d'un dédain de la part des critiques comme des afficionados du groupe. Moins fort, moins lourd, moins grand, moins hymnique... Moins bien quoi. A sa sortie, pour beaucoup, Evil Empire est une déception. Ah ça, évidemment, il est très différent du premier album. Les structures des morceaux sont très différentes. RATM est à ce titre un poil monolithique si j'ose dire, puisque la plupart des morceaux sont calés selon un schéma (intro-couplet-refrain-break) et un rythme relativement proches, ce qui explique des durées plutôt similaires, entre 5 et 6 mins par morceau. Evil Empire n'est rien de tout cela. Evil Empire pousse le projet musical de RATM plus loin. On est vraiment dans le crossover hip-hop/metal, quand RATM était surtout du metal et un rappeur. Le morceau d'ouverture, "People of the Sun", est même un pied-de-nez au passé, puisque tout le morceau se base sur un seul "riff" de guitare. Enfin, un riff. Plutôt Tom Morello qui tripote ses 6-cordes. Le morceau est sec, métallique, nerveux. La batterie de Brad Wilk claque plus sèchement que jamais, chaque coup de caisse claire, une déflagration en bout de mesure. La rage est toujours là, mais la violence du son est moins diffuse, plus sourde, presque... confinée. Zach de la Rocha est plus volubile, plus nerveux aussi, parfois plus gouailleur. Deuxième surprise: "People of the Sun" est court. 2 min 30 emballées rapidement sans fioritures. Pas d'intro ni break à base de longue montée en puissance sur 8 mesures. Pas de repos. On va droit au but, on gueule, on cogne, on se défoule. Point. Puis vient "Bulls On Parade". Le riff de Morello est peut-être l'un de ses plus indentifiables... L'intro présente le motif de basse, puis vient un break où Morello ne fait que jouer un accord modifié par sa wah-wah. Ce break reviendra plus tard, pour ouvrir le solo légendaire de "Bulls On Parade": Morello s'amuse à transformer une guitare en platine de DJ ! Outre cette créativité sonique, le morceau est carré, efficace, bastonne sévère quoi. Vient alors ce qui est pour moi le grand moment de l'album. "Vietnow". Là encore, Tom Morello joue avec les sonorités. Brad Wilk balance un beat proche du rap. De la Rocha provoque toujours, Tim Commerford soutient le tout de son riff solide. Rien de spécial ? Et pourtant. Tout passe à la perfection. Pour arriver à ce break monumental où, reprenant en partie les anciens schémas du premier album, une montée en puissance s'opère pour amener au final chaotique... Une tuerie décuplée en live, comme l'illustre cette vidéo La suite? Un peu comme sur le premier, quelques perles, des morceaux excellents, et de rares moments dispensables. En vrac, un "Revolver" déchaîné à l'intro limite du psyché, "Snakecharmer" presque hypnotique, un "Tire Me" dévastateur et sans répit (ou presque), "Down Rodéo" qui offre un peu de largeur sonore après plusieurs morceaux à ne pas faire écouter à un claustrophobe, "Without a Face" qui montre à quel point Brad Wilk claque du beat hip-hop à la perfection, "Wind Below" et son riff un poil trop complexe mais un break divin, "Roll Right" splendeur de groove, et pour finir, "Year of tha Boomerang" qui parfois m'éclate, parfois me donne l'impression d'être le morceau en trop. Conclusion : un album complet et homogène, qui voit le rap, les lignes de basses et les beats groovy prendre le pas sur les riffs metal héroïques du premier album, sans pour autant perdre le moindre degré de colère. D'ailleurs, les lyrics sont toujours du même accabit, mais est-ce bien une surprise? Le son y est plus brut, les compos plus simples que les autres albums (The Battle Of Los Angeles sera le retour de schémas de morceaux plus prévisibles et d'un son plus travaillé). Alors pourquoi a-t-il tant déçu ? Parce qu'il ne faisait pas l'histoire. Quand Rage Against The Machine choquait le monde entier, Evil Empire n'était "que" la deuxième vague. Evidemment, RATM n'allait pas révolutionner les années 90 une nouvelle fois. Mais il reste, au final, un grand album, fabuleux, jouissif, qui, j'ose, a tendance à défouler plus efficacement que le 1er. Rage Against The Machine a pour moi, réussi une discographie parfaite ![]() |
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Alpha & Oméga
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For those about to bleuaaaaargh
En attendant leur prochain album à venir chez Southernlord records (qu'on ne présente plus) et qui devrais tomber dans ma boite aux lettres dans les jours à venir ... en attendant disais-je, je révise un peu de Weedeater.
![]() Pochette signé Arik Roper Weedeater comme son nom l'indique (ou pas) est un groupe basé en Caroline du Nord, né au milieu des années 90. A l'époque le mythique Buzzov*en/1 vient d'imploser (drogue, impossibilité de s'entendre avec un label, drogue et aussi la drogue.) et le bassiste d'alors Dave "Dixie" Collins décide de créer son propre groupe en recrutant un guitariste (Shep) et un batteur (Keko). Après un premier album à peu près introuvable aujourd'hui (And justice for y'all détournement d'un titre d'album de Metallica vouais) le power trio signe donc ce Sixteen Tons (en 2003 !!!). Avec un tel frontman pas de grosse surprise. La fender precision-bass de Dave sonne comme un tronçonneuse, les vocalises sont tout autant distordu, la Gibson de Shep bourdonne comme pas humain et la batterie Keko assène un rythme pachydermique. Sauf que c'est magique (surtout par les temps qui courent) ils savent faire des riffs, ils ont gardé la formule pas du tout secrète du sludge à l'ancienne à savoir "l'héritage de Black sabbath passé au mixer punk/metal et allié au cries de souffrance les plus torturés possible" (dixit Olivier Badin). Dans le genre impossible de pas penser à Bongzilla (mais en plus groovy), à Buzzov*en et évidement à EHG. Un pure groupe de la scène "undaground" (berk) ricaine, des types ayant passé les 4 dernières années sur la route à écumer les rades pouilleux et accessoirement à avoir fait la première partie d'une grosse affiche (celle de [b]Corrosion of conformity[b] !!!) Pour revenir à l'album en question il faut d'abord dire deux mots sur le titre : 16 tons affirme sans complexe la lourdeur du groupe mais surtout il est inspiré d'un vieux standard country (de Tennessee Ernie Ford). On trouve ces deux idées ici, d'une part la puissance du sludge et de l'autre les harmonies southern rock à la Lynyrd Skynyrd jusqu'à la country. Alors évidemment ça crache ... C'est produit par Billy Anderson qui a produit à peu près tout ce qui a des couilles, des cheveux et une pédale de disto (Eyehategod, Melvins, Brutal Truth etc etc). Bull lance la machine très fort avec son metal sabbathien et les vocalises écorchées de Dixie Collins. Mais Potbelly se permet une débauche de groove, puis Time Served ralentit la course. En trois titre c'est déjà une large part du spectre musical du groupe qui y passe. Mais ça continue avec le long et doomesque Buzz, le punk Lines au refrain absolument dantesque (In my time, yeah I've seen fear) et le sublime Woe's me : une guitare folk qui joue quelques notes country/blues, un riff de basse acoustique et la voix travaillée au bourbon de Dixie. Bref c'est une tuerie du Scott H Biram ( ![]() Site officiel : http://www.weedeatertheband.com/ Myspace : http://www.myspace.com/weedeater La video de Bull réalisé par Tom Denney : /1 Je glisse pour info que kirk Fisher est pas mort (et ceux qui le connaissent savent que l'expression est as a prendre à la légère et qu'il Jam en ce moment dans la région de NOLA sous le nom Kirk Fisher and the disciples au coté de Earl Roche (Clearlight)-guitar, Brian Patton (EHG/Soilent Green/Outlaw Order)-bass, Jimmy Bower (nuff said) - drums. PS : pour l'anecdote le clip de RATM People of the sun reprend des extraits du film inachevé d'Eisenstein sur le Mexique |
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Alpha & Oméga
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Mustasch
Genre: Stoners Pays: Suède Guitare: Hannes Hansson Basse: Mats Stam Johansson Batterie: Mats Dojan Hansson Chant: Ralf Gyllenhammar Albums: - Above All (2002) - Ratsafari (2003) - Powerhouse (2005) - Parasite ! (2006) - Latest Version Of The Truth (2007) Site Officiel: http://www.mustasch.net/ Myspace website: http://www.myspace.com/mustasch Je dirais que c'est un peu le Metallica de la bas. > Double Nature : > 6.36 : @ Coffy: Merci je chercher le groupe de ma publicité préféré d'Orange.
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Si on le up pas, il se perd le pauvre thread.
Bon, là en ce moment, c'est Strapping Young Lad, et plus particulièrement l'album City. Oui, autant commencer par un classique. ![]() Strapping Young Lad est classifié par la presse metal dans ce nouveau genre de metal extreme, un fourre tout où on y met tout ce qui sort de l'habituel et qu'on a plus de case pour mettre dedans, un peu comme le metal alternatif en somme. Strapping Young Lad donc, est à mettre dans la même catégorie que Meshuggah, c'est à dire de la musique qu'elle en envoie du bruit très rapidement, mais contrairement à pas mal de groupe, ils ont aussi la maîtrise des instruments (et de la voix aussi). Oui parce que contrairement à Rationnal Gaze © Meshuggah et sa voix de sanglier nordique en rut, on ne grogne pas tant que ça. Et tout ça grâce au chappotage de Devin Townsend le bien nommé (qui poursuit aussi une carrière solo), énorme guitariste et chanteur émérite, entre autre, qui a aussi aidé à produire Steve Vai et Front Line Assembly (et d'autres groupes moins célèbres) avec son label Hevy Devy Records. Pouf le lien Myspace (Detox est représentative de l'album écouté) City donc, un album de violence brute, de guitares saturées revenant un peu aux sonorités empruntées quelques décénies auparavant par les heavy metal (non, ils ne se sont pas étouffés avec leur cheveux ![]() Et la vidéo de Detox pour bien voir la face de psychopathe du leader et le batteur mi-homme, mi-bison. |
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Kathandro Jourgensen |
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Alpha & Oméga
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Des disques de EST
Prononcer Esbjörn Svensson Trio...
Se retenir, la tentation du jeu de mot facile avec ce nom de groupe est si.... ![]() Ahn. Résiste. C'est du jazz. Du contemporain, à l'ambiance de café enfumé. Pas comme le jazz ennuyeux à solos-rallonge que je déteste, une-deux, on sait exactement combien de temps vont durer les sessions, ah ! voilà le tour du batteur, toujours vers la fin, après le bassiste... Après, hop, tous ensemble pour un suuuuuperbe chorus qui reprend le thème du morceau. Et ça monte, ça monte ! Grumbll.. Ces morceaux sont difficilement audibles pour des gens qui ne tiennent pas en place, voyez ? Ce groupe n'est donc pas de ceux dont les musiciens doivent produire des acrobaties rythmiques et sonores pour tenir leur public en haleine - c'est de l'écoutable, en voilà. Calme et accessible, un trio intimiste. Du scandinave tassé. On siroterait bien de l'aquavit en fumant ses ongles. Euh. En rongeant une carotte (Sur une méridienne rouge en velours, avec la plante verte et le ventilo au plafond, qui fait détective privé) http://www.last.fm/music/Esbj%C3%B6rn+Svensson+Trio Et en plus y'a des morceaux gratuits à écouter. C'est pas beau la vie, la nuit ? Perdez pas le nord, tendez l'oreille vers EST (j'ai... ah mon dieu.... pourtant essayé de résister) |
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