Publié par patatoïde funèbre
il faut bien admettre que vous avez mis le nez dans des sphères que vous ne maîtrisez plus, et qui vous dépassent.
Oui, mais bon, si les chercheurs se contentez uniquement de travailler avec des choses qu'ils maitrisent, on en serait encore à tapper des silex.
Mais laisse-moi te préciser que personne n'est dupe, et que le point de décrochage entre un public heureusement sensibilisé par des oeuvres fines et intelligentes (Werber, Houellebecq, Pratchett), et vos petits bricolages théoriques magouilleux est atteint.
Mettre sur le même plan Pratchett et Werber ... Tu fais fort là quand même ... L'approche et le message n'ont strictement rien à voir ...
Le froid extrême sert à avoir des aimants supraconducteurs, donc à consommer (relativement) moins d'énergie électrique qu'avec des bobines traditionnelles pour créer le champ magnétique. Le champ magnétique sert à contrôler la trajectoire des particules.
Ca permet surtout d'avoir de plus gros courrant, donc de plus gros champs, donc de pouvoir faire mieux tourner les particules, donc de pouvoir les faire aller plus vite et qu'elle reste dans l'anneau.
Ils sont fait à très haute énergie
Et même, faut savoir ce qu'on entends par très haute énérgie. Un physicien des hautes énergies travaille avec des énergies bien plus faible que, par exemple, celle d'une balle de tennis lors d'un match. Par contre, l'énergie est un tout petit peu plus concentré.
Pour les quarks, l'interpretation "réaliste" (il existe des quarks qui sont des particules fondamentales) du truc est quand même relativement récente. Au départ c'était plus du "tiens, les gars, les hadrons, on dirait une représentation d'un groupe. Si on s'interessait au autre représentation irréductible de ce groupe".
Railgun : je suis pas sur que physique hadronique soit plus adapté, y a pas plus de hadron que de noyau ... C'est pas nucléaire juste parce qu'on est pas dans la bonne gamme d'énergie, c'est de la physique des particules coté interaction forte. Avec l'avantage que, autant que je me souvienne, dans le plasma, on est en situation de liberté asymptotique, donc y a pas une bonne partie des complications spécifiques à l'intéraction forte.
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