Au lieu de tomber dans le -1, pourquoi ne pas développer ton point de vue après avoir fait le lien avec quelques sites ? C'est plus agréable que de lire un listing. :]
Pour ma part, j'ai du mal à comprendre les us et coutumes de chacun. Mes premiers jeux RPG, comme T4C, ont été marqué par des présences féminines fortes, aimables et inspiratrices. Non pas des femmes, mais des trésors.
Aussi, bien que je comprenne la nécessité de se présenter comme ramona la gueuse plutôt que marcel le camionneur, il me semble malsain d'instiguer une personnalité féminine derrière le personnage que l'on joue dès que l'on traverse le cadre RP. Mais tant que l'on en reste au personnage, il est malvenu de critiquer l'envie d'interpréter un personnage différent de soi. Après tout, demande-t-on que fred surnommé le chariot, à cause de son fauteuil, ne joue que des handicapés ? Ou Robert, le noeud noeud du sport, que des entraîneurs et jamais des athlètes ?
Jouer, c'est au moins autant interpréter que vivre avec un personnage ; remarquez la préposition : avec. Se présenter comme un personnage féminin irl, ca n'est plus mentir pour ne pas effriter le mythe, c'est mentir, simplement.
On ne force personne à jouer avec soi, encore moins la personne qui veut juste chopper : on ne jouera plus avec lui mais de lui, et ce même si son attitude est elle aussi condamnable.
Prépopsition > *
/hs
Publié par Rift
...// et là je ne sais pas si c'etait parce que c'etait 1 heure du matin ou quoi, mais j'ai du prendre énormément de recul et ce qui m'a choquer le plus c'est pas les propos de la personnes mais les réactions du public et des invités mais tres aggressives alors que le pauvre type il fait un constat défendu par des arguments
cohérent et en déduit les conséquances. //...
Ce qui est faux. Le principal argument de ce gugus, qui dit parfois des choses sensées sur d'autres sujets, c'était : J'ai lu Stendhal et... ou encore : Moi j'ai lu Stendhal... voir : Excuse moi,mais moi j'ai lu Stendhal.
Voilà son argument./ Il a du le resservir 4 ou 5 fois dans la soirée.
Le problème de cette personne est qu'il n'arrive à s'épanouir sans une ligne forte. Il est bien sur plus facile pour un homme de ne pas se poser de question sur le plaisir de la femme, et de prendre biquette en même temps que sa bière dans le frigo, le temps de trouver le décapsuleur.
Ca n'est pas la place de l'homme qu'il remet en cause, c'est son questionnement. La version moderne de heureux est le simple d'esprit.
A posteriori, j'ai plus l'impression que la personne essaye de trouver un coupable à ses problèmes d'érection dont la cause est certainement le questionnement intérieur à propos de l'image qu'à de lui et de ses performances, son amie. Comme tout cela serait plus simple s'il n'avait à s'en préoccuper. D'ailleurs s'il ne s'en préoccupait pas, il ferait la fête de madame. Dans ce cas, madame s'épanouirait dans la cuisine, avec la nouille dure de son mari. Ainsi, elle et lui, lui et elle seraient plus heureux dans un rapport de domination que dans ce monde de merde où ils sont égaux.
/hs off
Publié par Aloïsius
Punaise, mais ça me gonfle ce genre de trucs... Bien sur que si qu'on est égaux. Egaux ne veut pas dire identique. Et rendre les rapports équitables ce n'est possible que par l'égalité. Le contraire de l'égalité, en matière de droits ou de dignité, c'est la supériorité et l'infériorité.
Non, le contraire de l'égalite, c'est l'infériorité, la supériorité, ou le fait d'être non comparable. On peut très bien penser qu'il faille traiter les classes avec égalité, sans pour autant être obligé d'admettre la relation de comparaison. C'est un concept bien différent de l'égalité et de l'inégalité.