aide pour une dissertation

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Coucou !
J'ai une dissertation à faire, dont voici le sujet : "A quoi bon s'intéresser au passé, puisque l'important, c'est l'avenir ?" (J.Carletti)
Appréciez et discutez cette affirmation.

Alors voilà, ça m'inspire pas trop... j'ai fait ça pour l'instant :

Thèse:

-l'avenir peut être modifié selon nos actes, pas le passé. Pourquoi s'intéresser au passé alors qu'on ne peut plus le changer ?
-le passé est qqch de concret, c'est moins intéressant que l'avenir qui est abstrait et dont on ignore tout.
-le passé ne peut pas avoir un impact direct sur notre vie puisqu'il est déjà derrière nous => moins important que l'avenir

Antithèse :

-on ne peut pas parler d'avenir sans parler de passé, l'homme a besoin de pouvoir s'identifier à ses ancêtres, de connaître ses origines.
-le passé nous permet de ne pas reproduire des erreurs, de tirer des leçons pour ne pas faire les mêmes bêtises que nos ancêtres.
-le passé est plus important pour le développement de l'humain que le futur, car le futur ne pourrait pas être forgé sans le passé. Un homme sans passé est un homme sans identité, sans avenir.

Synthèse :

le passé et le futur sont indissociables, il n'y en a pas un plus important que l'autre, chacun a un rôle différent mais néanmoins indispensable.


Voilà, je suis un peu dans la m*rde, il ne m'inspire vraiment pas... Je pensais aussi à qqch : l'auteur veut parler de quoi ? de notre propre passé ou du passé de l'espèce humaine en général ? de notre propre avenir ou celui de l'humanité ? c'est assez vague et je sais pas trop comment inclure ça dans le sujet en gros...
j'en appelle à votre aide.
Merci d'avance
Je dirais que le plan est classique mais bon

Ensuite, suivant en quoi tu es, ça pour aider pour connaître le niveau demandé
Pour l'antithèse, tu devrais pouvoir te débrouiller sans trop de soucis, avec le devoir de mémoire et le principe d'XP qui est super important. pour la thèse, je vois personne à citer par contre
Citation :
Publié par Ambla
J'envoie ça sur la taverne mais je ne te garantie pas que ton sujet restera ouvert, JOL n'étant pas vraiment un forum d'aide aux devoirs.
Boh?! Pourquoi pas?!
S'occuper de trouver des idées, c'est déjà accorder à son travail une certaine importance qui met en valeur celui qui fait cette démarche, je trouve. Il y en a beaucoup qui rendraient une copie salopée plutôt que de s'être donné toutes les chances. Il restera la qualité de la rédaction, l'organisation des idées suggérées à notre demandeur pour que son travail ait de la valeur. Mais rester sec sur un sujet, ça arrive à tout le monde.
Quant à savoir sur quels critères les messages restent ouverts dans les forums, c'est une superbe question encore. C'est parfois fantaisiste...


Bon, deux idées:
S'inspirer du passé, ce pourrait être pour deux raisons:

- L'histoire:
Certains disent qu'aux temps anciens, l'homme possédait une sagesse qu'il n'a plus aujourd'hui. Que l'on veuille parler des grecs anciens, des égyptiens, et de la beauté que l'on trouve à ces civilisations.
Cependant, on peut rétorquer que cela n'a pas empêché une grande quantité de massacres et d'atrocités d'être commises à leurs époques.

- Les traditions:
Celles-là aussi, plus proches du quotidien des gens, nous viennent du passé.
Suffirait-il de les suivre (cela serait-il sage), en se basant sur le bien fondé que l'on dit avoir présidé à leur apparition? Certaines semblent dénuées de fondements sûrs. Et il y en a même qui apparaissent plus pénibles que bénéfiques, sinon parfois cruelles en certains lieux, certains pays.
Citation :
Publié par Célia
Coucou !
J'ai une dissertation à faire, dont voici le sujet : "A quoi bon s'intéresser au passé, puisque l'important, c'est l'avenir ?" (J.Carletti)
Précise bien que c'est la base de tous les régimes totalitaires de nier le passé, de le détruire, et de ne se tourner que vers l'avenir pour régénérer le monde. A ce titre Hitler brûlait les livres et disait que la noblesse des nazis, c'était précisément d'être des barbares qui allaient féconder à nouveau la race humaine avec les germes d'une race pure. Et pense aux paroles de l'Internationale : "du passé faisons table rase". Pense à la révolution Culturelle de Mao en Chine. Car toutes ces apsirations au futur et à la table rase font de la jeunesse le coeur de la politique, mais aussi la soumette à toutes les structures d'Etat pour les priver de leurs parents et en faire des pions dociles au service de régimes niant l'individu et voulant reféconder la terre de leur semence. Il y a une mystique de la régénérensce et de la jeunesse, puisée dans la Révolution Française et la Terreur, et dans les idéologies totalitaires : tous les dictateurs en appellent aux générations futures, et prennent cette justification pour imposer leur terreur aux générations présentes et passées.

L'homme sage connaît le passé, s'en inspire au présent, et agit pour un futur meilleur que le passé et le présent réunis.

Donc, la première chose que cette citation m'inspire, c'est beaucoup de méfiance.

Et en tant que prof d'histoire, il est évident que, pour des raisons autres, je ne puis qu'être opposé à un tel point de vue.

Le passé contribue à définir l'avenir.
Ah oui, Toutouyoutou, ton point de vue est particulièrement juste.

On peut même ajouter que ces faits ne datent pas d'hier, et l'on sait que certains pharaons faisaient effacer sans vergogne les noms de leurs prédécesseurs de temples, monuments ou sarcophages.

Le passé d'un peuple comme élément indispensable de la cohésion, c'est primordial pour qui veut voir une nation stable. Bien que l'on oubliera pas que la langue parlée est également très importante! C'est une digression, mais on peut se demander si notre fierté nationale serait si forte si comme au début du 18ème siècle toutes les régions de France ne parlaient que leur patois régional.

On peut observer le peu de réussite de la mise en commun de gens ne partageant pas le même passé. L'Indonésie, par exemple, est à mes yeux un pays jeune, secoué de spasmes sécessionnistes, que j'attribue pour une bonne part à ces causes.

Mais il y a sûrement d'autres exemple que l'on peut trouver. Tiens, je pensais à l'Irak. Voilà encore un pays monté de toutes pièces.

Les reconfiguration de l'Europe de l'Est, à la suite de la seconde guerre mondiale, n'a t-elle pas été prévue par Staline d'une façon qui évitait que jamais ces peuples ne puissent acquérir la cohésion nécessaire pour s'opposer à lui? Et rassembler dans des pays des gens étrangers les uns aux autres était un moyen d'y parvenir.
Merci pour ces réponses , je vais essayer maintenant de faire au mieux et de classer les idées.
Pensez-vous qu'il faudrait plutot partir sur le passé de l humanité en général plutot que notre propre passé qui nous permet de nous construire? ou les deux sont 2 points fondamentaux?
Tel que le sujet est formulé, je pense que tu peux envisager la dimension collective autant que la dimension individuelle. Le mieux serait de varier les deux et de trouver un bon équilibre.

Sinon, n'oublie pas aussi de justifier ce point de vue en rappelant le caractère normatif du passé, mais aussi sa nature parfois exclusive : le passé, c'est la noblesse par exemple, et la noblesse, c'est une conscience parfaitement restrictive (ceux qui ont une histoire, ce ne sont pas les gens du peuple, mais les aristocrates. Les gens du peuple ont une histoire qui est faite d'abord par les aristocrates, et ne sont qu'au service de l'histoire des aristocrates). C'est un petit exemple provocateur, mais totalement vrai si on considère ce que furent l'histoire et son écriture pendant des siècles.

Car de qui y- a- t- il histoire ? Pour les gens d'en bas (je n'aime pas cette expression), depuis quelques décennies tout au plus, alors que l'Histoire est écrite depuis maintenant plusieurs millénaires.

Donc, pense que le passé génère des inégalités, et oppose Europe et Amérique par exemple : l'Amérique, pays jeune tourné vers l'avenir, qui se fout d'où tu viens et de tes héritages, et t'offre des possibles à hauteur de ce que tu parviendras à réaliser. L'Amérique, pays des possibles, comparé aux pesanteurs idéologiques et sociales des vieux pays , à la longue histoire, ceux de la vieille Europe , pour paraphraser Donald Rumsfeld, et notamment la France ou l'Angleterre.

Pense aussi au plan individuel : sans connaître mon passé, comment puis- je définir mon avenir ? Parle du passé comme élément structurant de l'individu : savoir qui l'on est, d'où l'on vient, à quelle famille et à quelle terre on appartient, c'est parfaitement fondamental. Et il est difficile de se construire sans ces bases saines. Pense aux enfants né sous X, qui recherchent leur vie durant leurs parents ou leur passé (rares sont ceux qui s'en foutent royalement).
Mais là encore, le passé peut être un poids : pense aux pesanteurs sociales et aux difficultés qu'avaient les ouvriers ou les paysans pour avoir une ascension sociale par exemple (prends un manuel du secondaire, de 1ere notamment).
ne pas s'interesser au passé est une erreur. Il est très important de voir les erreurs du passé afin de ne pas les refaire.

D'un piont de vue historique, on peut contester l'histoire elle même, car il est vrai que ce qui nous est enseigné à l'école n'est que le récit des vainqueurs. Donc il est très cetainement fossé. De ce point de vue là, on peu dire que, effectivement, il n'est pas très utile de regarder le passé.

On peut faire la différence entre s'intéresser au passé et ne regarder que lui. Il est faux de vivre dans le passé, on oublie ainsi de regarder le présent et l'avenir.

A force de regarder que l'avenir, il est probable d'aller "trop vite" et que tout s'écroule. Nous serions ainsi obligés revenir en arrière... :x

Citation :
Publié par Ambla
J'envoie ça sur la taverne mais je ne te garantie pas que ton sujet restera ouvert, JOL n'étant pas vraiment un forum d'aide aux devoirs.
elle a quand même poser son sujet avec des idées...

pas genre : o1 jé 1 disert a fèr... pt1 de frensé ... jconpren ri1 ...

quand on a besoin d'aide on demande a des gens... pourquoi pas demander sur un forum ?

et ce sujet peut aussi ammener a un débat (allez on y croit )
En tout cas merci pour toutes ces idées, ça me soulage d'un poids ! Maintenant il faut que je m'y mette et que je trouve un moyen d'insérer le point de vue général du passé et le point de vue personnel... !
Citation :
Publié par Célia
Pensez-vous qu'il faudrait plutot partir sur le passé de l humanité en général plutot que notre propre passé qui nous permet de nous construire?
Les 2 seraient-ils soudain exclusifs ? Ton passé n'est-il pas le passé de l'humanité en mode parcellaire ?

Comme disait Eduardo (je pense que ton premier réflexe a été de te pénétrer des livres de l'auteur) :
Citation :
Sans Nom va en silence, par une nuit de brume acide, entre les relents de misère et la déglingue.
Sans Nom fait partie de tous ceux qui survivent à grand-peine dans ce monde abandonné, parmi l'ordure, la mort et la solitude.
Sans Nom n'est pas une invention. Ça n'est pas un étranger.
Sans Nom existe. C'est toi.

Bon, et je te conseille de ne pas trop développer de choses sur les conceptions différentielles du temps selon les civilisations. Juste l'évoquer ici ou là, ou laisser ça en filigrane : la linéarité occidentale, la concentricité asiatique... qui est dedans et qui dehors ?

Coupe l'arbre, tu as cette concentricité, tu parcours ses âges, tous sur le même plan en 3 dimensions. En tant qu'impératif, le "coupe" ! est un futur déguisé en présent, même pas remarque, seul l'ordre est au présent ; et bref, c'est ce futur qui va te donner à voir le passé de l'arbre. Un futur non contemplatif, n'est-ce pas, de même que le passé de cet arbre.
Les temps entremêlés sont bien des temps d'action !
Je me permets quelques petits conseils, qui valent ce qu'ils valent - c'est-à-dire pas grand chose.


Ton sujet ne traite pas uniquement de l'Histoire, prend garde à ne pas limiter ton analyse à l'Histoire, entrevois aussi la temporalité subjective.

Un peu de Saint Augustin :
  • Le passé, c'est ce qui n'est plus, donc n'est pas.
  • Le futur est ce qui n'est pas encore, donc n'est pas.
  • Seul le présent est le mode effectif du réel ; être et présent, c'est la même chose.

Prenons la métaphore du fleuve pour caractériser le temps (Bergson m'insulterait, passons) : hier la neige fondit, aujourd'hui l'eau est devant moi, demain elle sera à l'estuaire.
Pour que mon jugement passé soit valable, il lui faut implicitement inclure une présence de la conscience : si ma conscience avait été présente à la fonte des glaces, j'aurais pu dire "la glace fond et alimente le fleuve" ; je ne peux pas, mais je fais comme si aujourd'hui.
De même, demain je ne serai pas à l'estuaire, mais je fais comme si.

Mais qui me dit que le fleuve ne se tarira pas d'ici là ? Le futur est la totalité des possibles contenus en germe dans le présent ; un jugement au futur a toujours quelque chose d'hypothétique, au sens où il présuppose des hypothèses.

Cette présence nécessaire de la conscience dans le passé invite à repenser le passé personnel autant que l'histoire. Si c'est ma présence telle qu'elle est maintenant qui pose un jugement, la vision du passé est altérée selon mon état de conscience présent. C'est le présent qui donne sens au passé, et non l'inverse.
Sartre powa avec son exemple de la crise mystique : une fille de quinze ans a une "crise mystique", des écailles de grenouille de bénitier commencent à lui pousser ; mais si deux jours plus tard, la crise s'abolit, elle n'aura été qu'un accident ; si au contraire la crise se perpétue et que la jeune fille rentre dans les ordres, alors elle sera déterminante, essentielle à la constitution de cette jeune fille.

Extrapoler cela à l'Histoire : la conscience de l'historien est limitée à ses outils (témoignages écrits, oraux, documents écrits ou matériels, etc.).
Si l'on dit qu'il faut retenir des leçons du passé, ce n'est pas pour la décoration, c'est bel et bien pour féconder notre présent, donc la totalité des possibles qu'il incarne, c'est-à-dire le futur. On ne bute jamais contre le présent, au contraire, puisqu'il comporte tous les possibles, il ouvre sur le futur, il se dérobe incessamment sous nos pieds, et la conscience se projette perpétuellement vers le futur. L'homme est projet nous dit Jean-Paul (Sartre, pas le romantique allemand).

Il peut être intéressant de penser au passage le rapport de la conscience à l'Histoire, comment la conscience - dont le mode de conjugaison est le "je" - peut passer au "nous" de l'Histoire. Mais je ne cache pas que le problème est particulièrement épineux et complexe.

Important aussi, m'est avis : porter tout son passé sur ses épaules peut être un frein à l'action ; le poids du passé, c'est la tempête sous un crâne décrite par V.H. "Toute action présuppose l'oubli" nous dit Nietzsche ; à creuser.
Voila alors mnt j ai plus de raisons de pas me mettre au travail . J'ai refait un plan :

Thèse :
  • Point de vue historique
  • :

    => le passé n’a pas permit au niveau historique de ne pas reproduire les mêmes erreurs (ex. 2ème guerre mondiale)
    => le passé perpétue les préjugés et les haines
    => le passé historique n’englobe pas tout, en effet, les gens du peuple ont une histoire déterminée par leurs dirigeants. Le passé historique est donc exclusif.
    =>le passé génère des inégalités entres les nouvelles et les anciennes nations (ex. l’Amérique, pays sans grand passé a une politique plutôt tournée vers l’avenir, point de vue contrastant avec un pays lourd de pesanteurs idéologiques comme la France)
  • Point de vue personnel ( propre à l’individu) :

    => le passé peut être un poids si l’on a subit de graves traumatismes. Il peut de cette manière altérer la " construction " de l’avenir.
    => le passé n’a pas d’impact direct sur notre vie, car il est derrière nous.
    => l’avenir peut être modifié, donc on y observe plus d’intérêt.
    => l’avenir provoque l’excitation de l’inconnu, il nous intrigue et nous effraie donnant une importance considérable au futur.
    => nous avons une part active dans l’élaboration de l’avenir, c’est un défi à relever.

    Antithèse :
  • Point de vue historique :
=> le passé d’un peuple, est un élément indispensable pour la stabilité d’une nation. La cohésion d’un peuple uni par le passé formera une nation stable.
=> nier le passé est la base de tout régime totalitaire

=> faire fi du passé serait un crime quand on connaît la richesse des civilisations antiques.


- Point de vue personnel ( propre à l’individu)

=> le passé définit l’individu et le construit
=> le passé permet de définir le futur
=> le passé nous permet d’éviter de refaire certaines erreurs ( inspiration du passé pour un avenir meilleur)

Est-ce que vous pensez que je peux commencer a rédiger avec ce plan ( qu il faut que je développe encore un peu! ) ?
Merci beaucoup !
Une idée qui me vient : il pourrait être intéressant de discuter la notion de contemporanéité.

En quelle façon le passé peut-il finalement être notre présent et notre futur ?
Exemple : peut-on dire qu'une œuvre d'art nègre du XVè est contemporaine de la Chapelle Sixtine ? Cela paraît inepte. Au contraire, on peut voir entre le Radeau de la Méduse une contemporanéité avec la peinture du jugement dernier dans la-dite Chapelle.
Autre exemple : on a coutume de dire que Rousseau est le père de la Révolution ; mais Rousseau construit son discours à travers les discours de Hobbes, Platon, et autres. Le passé, parfois plurimillénaire, ouvre encore une fois sur l'avenir, et le questionnement de Rousseau est en quelque sorte contemporain de celui de Hobbes.



Sinon pour ton plan, je ne suis pas sûr que tes thèses soient assez appuyées ; plutôt que des idées lancées ainsi, essaye plutôt de construire une véritable articulation logique.
Je ne dis pas que les idées sont fausses, je dis simplement qu'elles doivent - et je dis bien doivent - s'articuler logiquement, c'est-à-dire que l'une doit entraîner l'autre et qu'elles doivent former un réseau de concepts homogène.
Citation :
Publié par Triumph
Et est-ce que ton avatar est une photo de toi IRL ou seulement un moyen d'attirer les réponses?
En fait, CELIA, c'est un gros barbu qui est une feignasse, mais qui sait par sa longue fréquentation des fora de discussions que, quand une personne de la gente féminine est connue avec certitude, elle a plus de chance de voir exaucées ses demandes, le public moyen étant composé de geeks frustrés et asociaux (pléonasme).
Citation :
Publié par Triumph
Et est-ce que ton avatar est une photo de toi IRL ou seulement un moyen d'attirer les réponses?
Oui c'est une photo de moi et je viens de découvir jOl parce que mon copain est toujours dessus donc je voulais voir a quoi cela ressemblait !
Je me demande quand les dissertations seront accessibles à un autre schéma que thése-antithèse-synthèse.
Le sujet présent ne se prête pas à une forme de logos, il est vrai.
C'est un sujet de quelle classe? première? je trouve ça bien ardu.


ton copain n'a rien contre le fait que tu mette en avatar une photo de toi où l'on voit bien que seuls tes cheveux cachent ta nudité, alors que tu as, d'après ton profil, 16 ans ? (je ne ferai pas de commentaire sur l'age apparent de la photo en avatar, les web cam ne sont pas flatteuses)
A mon avis, tu peut troller en posant la question : a t'on un devoir de mémoire ou un devoir d'oubli ?
Concernant le devoir d'oubli, tu peut argumenter le fait que le devoir de mémoire immobilise notre société. Le plus simple geste de révolte peut conduire a un charnier, souvenez vous de l'histoire et restez tranquille.
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