Concours Mustamien

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Publié par Zoombakalawechka
Il n'y a pas de honte a avoir quand on perd contre quelqu'un de meilleur que soi, peu importe son origine.
Ouais enfin c'est le forum off quoi.
Citation :
Publié par Zoombakalawechka
Il n'y a pas de honte a avoir quand on perd contre quelqu'un de meilleur que soi, peu importe son origine.
Citation :
la preuve sera en vidéo sur yotube demain
http://forum.dofus.com/fr-heroique/g...ddd-t4865.html

Si quand même, je vois pas d'autres mots que : honte dans ces cas là.

EDIT : Et encore j'dois avouer que le niveau de rédaction s'est fortement accrut par rapport à il y a 6 mois.
Le classement devrait être dispo' lundi, par là.
J'suis assez occupé en c'moment mais j'essaye de faire ça vite et bien

Bonne soirée.

PS : Au passage, c'est +Jek+ qui a changé de nom/avatar... !
Bon, j'me suis bougé un peu et j'ai pondu les résultats, dont voici le podium :

En première position, j'ai nommé... fabregasetwalcott pour son texte role play très sympathique à lire :
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- Alors, comment ça c’est passé ? Ah, Infi, tu es toujours aussi prompte à réagir. Je venais à peine d’ouvrir la porte qu’elle m’avait déjà questionné. Voilà une qualité précieuse sur un champ de bataille, mais c’est ce que j’attendais d’Infirm Hier, descendante de la noble famille Hier. Elle a mes côtés depuis la création du clan et j’avoue apprécier sa compagnie. Mais passons, autant lui répondre rapidement, car sa remarque me rappelle ma rage.
- Ces idiots du conseil ! Ils ont refusé de donner les trois millions de kamas nécessaires aux projets du clan. Quand je pense que ce clan se bat pour la défense de Bonta et donc la leur ! Mais ces lâches incapables n’ont rien voulu entendre.
- D’un autre côté, je ne sais toujours pas pourquoi tu les tolères. Ils sont gênants et vu la force du clan prendre le contrôle politique de Bonta serait aisé. Quelques assassinats, quelques pots-de-vin et tu serais très vite l’unique dirigeant.
Bon, d’accord, j’avoue que j’aurais préféré qu’elle ne soit pas à mes côtés sur ce coup.
- On en a déjà parlé, Infi. On a encore besoin d’eux pour le moment, car les tuer risquerait de désorganiser Bonta. Et si ça arrivait, nous ne pourrions plus lutter contre Brâkmar qui est très forte en ce moment.
- Trêve de plaisanteries, Fabre. Je prends seul l’armée de Brâkmar s’il le faut moi, Galatium, Légende du clan bontais de la Lone Barat ! Je paris d’ailleurs que cette somme tu souhaitais la consacrer au renforcement de notre armée. Par étonnant que les membres du conseil aient refusé dès lors, car c’est eux qui ont besoin de plus de soldats pour que nous ne les renversions pas par un coup d’état.
Je connais bien Galatium et son comportement suicidaire, alors d’habitude je me contente de l’ignorer. Il faut dire qu’il est très doué au combat, c’est pour cette raison que je l’ai fait nommer Légende en tant que disciple d’Ecaflip. Le clan est divisé en deux branches, la branche artisanale dirigée par Infi et la branche militaire gouvernée par les douze Légendes, une par classe. Quand à moi, j’assure la gestion globale. Mais cette fois, j’étais trop énervé pour laisser passer cette provocation de sa part, j’assumerais les conséquences de ma remarque.
- Dois-je te rappeler, Galatium, qu’avant que je ne vienne te chercher tu n’étais que le chef d’une bande de chats sauvages saccageant les tavernes ? Tu te pensais invincible mais je t’ai vaincu sans difficulté, n’oublie pas cette leçon. Enfin, passons. Comme je le disais, je n’ai pas réussi à convaincre le conseil et…
- Toi, Fabre le Grand Manipulateur, n’a pas réussi à les convaincre ? C’est incroyable !
- Silence, Al.
Ma remarque fit mouche instantanément, comme prévu. Al, de son nom exact Alandring, n’arrête pas se répéter descendant de le haute-aristocratie (bien que je le pense plutôt issu d’un simple bourgeois personnellement, mais négligeons ce détail) et tient à son statut. Alors, réduire son nom à ces deux lettres l’énerve fortement, mais c’est de bonne guerre. Alandring est vraiment une Légende que j’apprécie, car nous nous amusons toujours à utiliser les surnoms dégradants de l’autre. D’ailleurs, s’il recommence, j’essaierais « Al le mini Iop » pour voir sa réaction.
Bon, je reprend, le clan a besoin de cet argent, il nous faut donc trouver une solution.
-Volons cet argent à nos ennemis !
Alandring et Galatium avaient répondu en même temps, visiblement mes cinglantes remarques n’avaient pas eu l’effet escompté. Ces deux là sont toujours partisans de la solution la plus violente, même quand elle est totalement irréalisable. Enfin, cette fois je vais les ignorer, ça sera plus rapide que de tenter de les raisonner.
- J’en suis désolée, Fabre, mais je ne vois point de solution. Ce n’est qu’une preuve de plus de mon manque de talent, alors que toi tu excelles.
Bon, j’étais peut-être sot de m’attendre à une idée de sa part. Quand elle est seule est peut être absolument géniale, d’où sa nomination à un si haut poste, mais dès que je suis présent elle ne fait qu’attendre ma réponse aux problèmes posés. Je me tourne donc vers la dernière personne présente, qui elle n’a pas encore parlé. Oh non ! Pourquoi faut-il que toutes les Légendes soient en mission urgente hors de Bonta sauf ces trois là ?
- Vois-tu, Fabre, la question n’est pas de savoir comment acquérir de l’argent mais pourquoi tu désires cette somme et surtout, comptes-tu en faire une utilisation juste ? Ne vas-tu pas juste utiliser ces trois millions pour faire des guerres troublant l’harmonie du monde, des hommes et des monstres ? Moi, Niranea, simple disciple d’Enutrof et Légende du clan de la Lone Barat je me demande si cet argent n’est pas mieux dans les mains des membres du conseil. Mais n’étant qu’une mortelle, je suis bien entendu soumise à l’erreur, aussi tu pourras peut-être m’expliquer en quoi j’ai tort.
- Tu le sais très bien Niranea, tu étais en première ligne lors de la dernière offensive de Brâkmar. Cette cité d’une laideur sans égale se renforce de plus en plus vite alors que la milice bontaise trouve de moins en moins de volontaire. Les faibles se dirigent de plus en plus vers cette ville en espérant y gagner pouvoir ou richesses, alors que les valeurs justes de Bonta ne leur évoquent plus rien. Si la Lone Barat n’augmente pas la taille de son armée pour faire face, Bonta tombera très bientôt. Et pour recruter de nombreux soldats, ces trois millions sont un minimum.
- Certes, mais avons-nous raison d’agir comme nous le faisons ? Ceux ayant rejoint Brâkmar ont jugé que ce choix était le meilleur pour eux, nous ferions mieux de l’accepter et de tenter de trouver un accord non violent en reconnaissant la supériorité de cette ville.
- Et nous asservir aux démons, c’est ça que tu désires ? Si je ne te connaissais pas, je penserais que tu plaisantes.
- Fabre, l’asservissement n’est pas un si grand mal que tu sembles le penser, car l’âme, elle, reste libre. Alors que si nous déclarons une guerre nous risquons de définitivement la souiller. Notre salut viendra peut-être du fait que nous n’ayons pas eu ces trois millions, ne penses-tu pas ?
Tout à coup, j’ai compris que quelque chose n’allait pas. Ce n’était pas le genre de Niranea de répondre ainsi, en tant normal elle se serait contenté de dire qu’il était vain de parler d’un bien que nous désirions mais n’aurons jamais. Je transforme rapidement ma pensée en parole.
- Niranea, tu sais quelque chose. Parle, et ne me force pas à répéter ma demande.
- Et bien, en venant j’ai vu une personne proposant de donner trois millions à la personne réussissant à la convaincre de le faire.
J’étais fou de rage qu’elle ait tant fait traîné la discussion au lieu d’en parler dès mon arrivée, il était peut-être déjà trop tard. Si elle n’était pas si douée pour l’exécution des sorts appris par son Dieu, il y a bien longtemps que je l’aurais tuée. Quoi qu’il en soit, je fais un effort démesuré pour répondre calmement :
- Où as-tu vu cette personne ?
- Je ne sais plus, mais est-ce vraiment important ? Car…
Je ne l’écoute plus, elle est repartie dans ses prétendus enseignements philosophiques. Comme je suis quasiment certain de ne pas réussir à la faire divulguer le lieu concerné, je dois trouver un moyen de retrouver cette fameuse personne.
- Alandring, Galatium, je veux que vous organisiez des patrouilles dans Bonta et aux alentours pour retrouver ce donateur. Dès que ça sera fait, prévenez-moi avant de l’approcher. J’insiste sur ce point, je me chargerais d’établir le contact avec lui. Pour le convaincre, je lui raconterais ce que nous venons de nous dire, mais si ça échoue nous utiliserons la force, aussi restez à proximité avec vos hommes, que lui et ses trois millions ne nous échappent pas. Infi, suis-moi, nous aussi allons nous mettre à le chercher.
Tous les trois signalent leur accord, puis nous sortons ensembles, ne laissant que Niranea toujours occupée à je ne sais quoi. Cet argent n’échappera pas à la Lone Barat.

Il reçoit donc la modique somme de 3M de kamas, bravo à lui.

Ensuite, j'appelle à la barre Zéti, pour l'oeuvre qui suit :
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Pouya!

J'ai besoin de 3M. J'ai une famille nombreuse à nourrir, et puis ma dragodinde aussi. Je les mérite vraiment, j'ai toujours vécu isolé du monde sans chercher de noises à quiconque et je suis un artisan toujours prêt à aider mon prochain ! De plus, je


La lettre s'achevait ainsi. Son auteur n'avait manifestement pas eu l'occasion de la terminer et, à en juger l'état dans lequel il avait laissé sa maison du quartier des bouchers de Bonta l'Eternelle, il avait du partir précipitamment. De l'autre côté de l'unique fenêtre de la modeste demeure, une paire d'yeux scrutait l'intérieur. Le coffre où le propriétaire entreposait ses Brioches Dorées était aussi vide que le porte-manteau où pendaient d'habitude les Obvijevans bavards et affamés du Sadida qui habitait ici. Le Bâton d'Aga Dou avait également été emporté, et toutes les potions qui ornaient depuis toujours le bureau en Orme n'étaient plus là. Seule la lettre inachevée se trouvait encore sur le meuble. Néanmoins, en quittant son domicile, le Sadida n'avait pas du juger nécessaire d'emporter les deux livres qui étaient restés dans sa bibliothèque : Se faire des amis et les garder ainsi que La Constitution Héroïque. Pourtant, chacun devrait toujours avoir ces deux ouvrages à portée de main.

Sur le rebord de la fenêtre, Pioulette la Coquine s'ennuyait. Elle se demandait pourquoi tout le monde quittait Bonta la Fortunée, et surtout pourquoi elle ne voyait aucun de ses amis les miliciens. Aujourd'hui, et pour la première fois depuis longtemps, la Coquine se sentait seule.

Pioulette n'était pas une piou comme les autres. Alors que ses semblables aimaient l'agitation d'Astrub la Bruyante, Pioulette elle ne pouvait pas supporter le chaos qui régnait dans cette cité damnée où les cris des sauvages locaux se mêlaient au boucan des bouseux qui bradaient leurs bibelots à la banque. Elle n'avait que faire de ces échanges de camelote, et cette cacophonie lui donnait immanquablement des envies de meurtre. Elle préférait la douce musique du fer qui se croise dans la salle d'entraînement de la Milice, et elle pensait que les valeureux défenseurs de Bonta l'Insaisissable étaient les seuls humains qui méritaient de la côtoyer. Du moins ceux qui n'empestaient pas constamment la bière de la Tabasse. C'est ainsi que Pioulette passait ses journées entourée de beaux mâles aux muscles bandés qui suent le courage autant qu'ils sentent l'alcool, et qui suintent l'amour en compagnie des jolies pioutes comme Pioulette. La coquine.

Quand elle ne s'amusait pas avec ses complices les miliciens, Pioulette épiait le Sadida vert qui vivait dans le quartier des bouchers. Celui-là, elle le détestait. Ce n'est pas qu'elle n'aimait pas les Sadidas, c'est plutôt qu'elle n'aimait pas le vert. S'habiller de cette couleur était une faute de goût impardonnable, et Pioulette regrettait beaucoup que le Sacrieur tyrannique qui avait un jour fait le serment d'éradiquer tout le vert du Monde des Douze ait abandonné sa quête héroïque. Lui aurait été capable de faire entendre la raison, à coup d'Hubohu sur la tête, à ce Sadida qui était aussi vert qu'il était paresseux – et personne n'ignore que la paresse est la religion des Sadidas. Malheureusement, et bien qu'elle fût une archipioute, les pattes de Pioulette n'étaient pas assez puissantes pour porter un gros marteau. Puisqu'elle ne pouvait pas l'assommer, Pioulette attendait, comme à son habitude, que le Sadida sorte de chez lui pour lui fienter dessus.

Mais ce jour-là, Pioulette n'avait pas pu accomplir son devoir envers le bon goût en colorant de blanc l'immonde Sadida verdâtre, tant celui-ci avait quitté rapidement sa maison. Pioulette avait assisté à son départ, car elle le surveillait à travers la fenêtre quand un visiteur affolé avait pénétré dans la maison du Sadida jusqu'alors occupé à griffonner un parchemin à l'encre verte. L'intrus, un Sadida lui aussi, était si pressé qu'il ne prit pas la peine de se présenter, mais Pioulette savait qu'il s'agissait de Mad-Quent. Ou si ce n'était lui, c'était donc son frère.

« Tu dois fuir ! s'écria-t-il.
_ Pouya ?
_ Il faut partir, répondit Mad-Quent. La ville n'est plus sûre ! Les légions de Brâkmar seront à nos portes d'une minute à l'autre. Les miliciens ont quitté leur poste et toute la ville se disperse dans Cania dans l'espoir de trouver un refuge... Bonta se vide, mon ami. Moi-même je me dirige vers la Tourbière d'Otomaï, je vais m'y enterrer le temps que le monde m'oublie. Suis-moi donc avant qu'il ne soit trop tard !
_ Pouya... », répondit le Sadida visiblement peu convaincu.
Mad-Quent s'approcha alors de son comparse et lui dit à l'oreille :
« Je ne voulais pas te le dire pour ne pas trop t'effrayer, mais voilà la vérité. Les hordes sanguinaires d'Epic Fail viennent de jurer allégeance à Oto Mustam. Cela ne fait aucun doute qu'ils se mettront bientôt en route pour Bonta, et qu'ils raseront la Cité en tuant tout le monde sur leur passage. Tu sais comme moi ce que ces monstres ont fait au Kralamoure Géant... Notre ville n'a aucune chance. FUIS, avant que ces barbares ne te réduisent en compote !
_ Pouya ! » Le Sadida vert avait compris.

Mad-Quent s'en alla alors aussi vite qu'il était venu, sans un regard en arrière, alors que l'autre Sadida rassemblait quelques affaires avant de prendre ses jambes à son cou à sa suite.

Ce n'est que quelques instants après cette scène que Pioulette entendit l'écho lointain d'un hurlement inhumain, dont la légende raconte qu'il résonne encore et à jamais dans les obscures galeries de la caverne des Fungus ; un cri si effrayant qu'il fit frémir le plumage écarlate de l'archipioute qui devint pâle pour la première fois de sa vie. Ce cri était celui d'un ami. Elle s'éleva dans l'air corrompu de Bonta la Dépravée et s'envola à toute allure vers le sud.




De l'autre côté du monde, au cœur de Brâkmar la Superbe, un Pandawa pleure. Pourtant, sa journée avait bien commencé. Lui et ses amis avaient aujourd'hui retrouvé les ailes rouges flamboyantes qu'ils aimaient tant, et ils avaient prévu de s'entraîner ensemble à l'arène en combattant la centaine d'âmes de Dragon Cochon qu'ils avaient auparavant soigneusement dupliquées. Ou capturées, peu importe. Avant de commencer la fête, le Pandawa n'avait pu s'empêcher d'aller narguer les bons-à-rien de la cité ennemie, en leur montrant ses ailes étincelantes. Juste histoire que Bonta la Couarde flippe un peu. Comme chacun le sait, la puissance de ce Panda là n'a d'égale que son arrogance. Et croyez-moi, il est sacrément balèze.

Un Osamodas, qui n'était pas moins sûr de lui que son ami Pandawa, l'accompagnait à l'arène ce jour-là, avec quelques autres comparses. Alors qu'ils avaient pris toutes les précautions possibles, car ces bougres sont plutôt prudents, un de leurs amis fut soudainement et contre toute attente attaqué par l'un de ces vermisseaux bontariens, à la sortie du zaapi de l'arène. L'Osa et les autres vinrent à sa rescousse, et bien qu'ils parvinrent à sauver l'agressé, chacun d'entre eux fut bientôt assailli par une meute de petits bontariens identiques au premier, qui s'agrippaient si bien à eux qu'ils les empêchaient de faire face à l'assaut ensemble. Alors que ses compagnons purent s'en sortir, de justesse, et trouver la sécurité de la milice brâkmarienne, deux grands guerriers bontariens attaquèrent l'Osamodas. Bien qu'il fût lui aussi sacrément costaud, il savait qu'il n'avait aucune chance contre ces deux-là. Ses amis ne pouvaient pas le rejoindre, car les larbins kamikazes aux blanches ailes, toujours plus nombreux, pullulaient devant l'arène comme les rats dans les égouts.

L'Osa savait qu'il ne pourrait pas résister longtemps face aux deux agresseurs. Il serait bientôt trop tard, quelqu'un devait le sauver, maintenant ! Il ferma les yeux pour ne pas voir les faces hideuses de ses adversaires, et dans l'obscurité de son esprit il lui sembla distinguer un compte à rebours. 5... 4... 3... 2... 1...
L'Osa ouvrit les yeux.

Ses amis étaient tous là ! Au dernier instant, alors que tout paraissait perdu, ils l'avaient sauvé. Le soigneur volant, la trésorière poilue, le saigneur guerrier, l'archer maudit, le traître champignon et tous les autres... Ils étaient parvenus à le secourir ! A ses côtés se tenait son compagnon de toujours, et sa hache fendait l'air si rapidement que les deux misérables assaillants ne pouvaient parer les coups. Ils saignaient déjà tous les deux de centaines de milliers d'entailles délicatement taillées par le cruel Pandawa, et l'odeur du sang rappelait à l'Osa les plus épiques des batailles qu'il avait gagnées. Les souvenirs de la boucherie du Port de Madrestam, où il y a des marins qui chantent et des CU qui meurent, lui revinrent à l'esprit. La détresse qu'il lisait dans le regard des deux malheureux inconscients qui l'avaient attaqué lui rappelait l'expression du brave Oto Mustam quand il comprit qu'il n'était pas de taille face à lui, devant la foule médusée d'Astrub la Maudite. Enfin, il se souvenait des glorieuses batailles qu'il avait emportées au Goultarminator, en compagnie des camarades qui venaient de lui sauver la vie...

Quand l'Osa ouvrit les yeux, le compte à rebours était terminé depuis longtemps. Il était seul, et son temps était compté. Il ferma les yeux une dernière fois, pour ne pas voir les griffes joueuses de son ennemi s'abattre sur lui. La dernière chose qu'il entendit fut le rugissement de rage de son ami Panda, impuissant à la milice de Brâkmar l'Impitoyable ; ce cri dont on dit qu'il hante encore les égouts de la Cité du Mal.

Aujourd'hui, un Pandawa pleure. Avant de sombrer dans le chagrin et de se noyer dans l'alcool, il a chargé son amie Pioulette la Coquine de transmettre un parchemin jusqu'au lointain royaume de Geôle. Même si Pioulette n'avait pas pour habitude de jouer au piou-voyageur, elle fut séduite par le rouge aussi vif que celui de son plumage des lettres incandescentes qu'elle pouvait lire sur la missive. Le Panda avait écrit ces mots avec le sang du Dragon Cochon :

« Mon défunt ami mérite une sépulture à la hauteur de sa grandeur. Donnez-moi 3M pour que je la lui offre, ou pour que je noie mon chagrin dans le gloutorhum.
Le Vulbis. »

Ce qui lui donne une pelle Arès et la bourse de 400 000kamas.

Enfin, Xoun pour ce texte :
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A Sire Jek,
Le 26 flovor 640


Bonjour/Maljour, Bonsoir/Malsoir, Salut/Bonut, ... Qui diable a inventé toutes ces satanés expressions inutiles ? Qu'importe, je ne vais pas faire une thèse sur le pourquoi du comment de ces différentes coutumes absurdes qui persistent au sein de notre communauté, bien que j'en sois fort outré. Non je vous adresse une lettre en réponse à votre offre. Alors
que je lisais tranquillement le journal de Brakmar (qui est d'ailleurs fort mauvais), je tombe sur cet encadré : "Gagnez 3 millions les mains dans les poches ! Une lettre et peut être que la chance vous sourira !". Dubitatif, je prête néanmoins une attention particulière. Allez, soyons- fou !
Pourquoi mériterai-je cette somme plus qu'un autre ? La bonne blague. Je paris 100 kamas que la populace inférieure en ce bas-monde va vous envoyer des liasses de courriers en vous disant :"Mon chacha est très malade et je n'ai pas de quoi le nourrir !" ou encore "Avec tous les brigands qui rôdent dans le coin je n'ai même pas de quoi m'acheter un pain !". Pitoyable, pathétique, et absurde. Il faut être une erreur de la nature pour ne pas être capable de nourrir un chacha. Sauf si c'est pour nourrir votre Dragoune, mais on rentrerai dans un débat sans fin, croyez-moi.
Vous allez sûrement vous dire :"Mais que diantre cherche-t-il à expliquer à travers tout ce charabia ? ". J'y viens, j'y viens. Il est temps de passer au cœur de l'action, même si je pouvais encore déblatérer un nombre incalculable de lignes sur à peu près tout ce qui existe, et même sur ce qui n'existe pas.


Je me présente. Xoun. Disons que je suis un chat. Ou plutôt un Ecaflip, mais je préfère un chat. En fait non, je n'aime ni l'un ni l'autre. Je vais vous confier un secret. Et pas des moindres.
Alors accrochez-vous et tendez bien l'oreille. Ou l'œil. Voilà, je mène une vie banale, rien de bien extraordinaire. En revanche j'ai rencontré des personnes extraordinaires. Au premier abord, elles m'ont trouvés ... comment dire ... étrange ? Surprenant n'est-ce pas ? Moi étrange ! Enfin bref. Je les côtoyais régulièrement puisqu'elles me fabriquaient des vêtements assez chaud bien que très laids. Puis avec le temps nous avons sympathisé. Et ils ont accepté que je fasse un bout de chemin avec eux. Depuis le temps ils auraient pu me dire que ce bout de chemin allait devenir un boulevard sans fin. Enfin je n'ai pas à me plaindre, je m'amuse bien avec eux. Je ne sais pas si c'est réciproque, et après tout quelle importance ? Encore une fois vous allez vous demander :"Mais qu'est-ce qu'il raconte encore celui là ? Il est où le secret là-dedans ?". J'y viens justement. Il se trouve en fait que je suis la risée de la Guilde. Oui, vous avez bien lu : Moi et mon QI surélevé somment la RISÉE de la Guilde. Je pense savoir pourquoi. Les balades sympathiques dans les Plaines de Cania, avec une légère brise qui soulève mes doux poils blancs, et sa faune et sa flore enivrantes ...
Un beau jour ... où plutôt une nuit. Près d'un lac je me suis endormi. Quand soudain, surgit de nulle part un corbac noir. Réveillé en sursaut avec mon acolyte, nous dégainâmes nos armes. Mais trop tard l'ennemi était déjà sur nous.
Ils nous avaient pris par surprise, deux se cachaient derrière nous, un autre sous la barre des boutons. Aucune issue, le combat était engagé et ce soir, le sang allait coulait. En tout cas ce fut les flèches qui coulèrent sur moi, et empêtré dans mon arsenal de Chef Bwork qui sentait le bwork aussi étrange que cela puisse paraître, il fut difficile de les esquiver. Mon acolyte ayant prit la fuite en buvant un liquide peu ragoûtant dont je m'étais toujours résigné à en boire, la défaite était proche. Un coup final m'envoya directement au paradis des Ecaflips, avant de redescendre sur notre Monde.
Voilà une de ces histoires qui enfonce un peu plus mon prestige. Encore une fois la question revient : "Mais les 3 millions dans tout ça ?". A vrai dire, je dois avouer qu'avec ces 3 millions j'aurais exactement 4 815 162 342 kamas. Vous comprendrez donc ma motivation. Ou bien votre QI vous fait encore défaut ... Dans ce cas vous ferez mieux de laisser tomber ma lettre, et de lire les centaines d'autre à votre niveau. Je crains que ce soit la fin de ma lettre. Non pas que je n'ai plus rien à vous dire, seulement la plume de Corbac que j'utilise commence à faire des ratés.

Sur cette fin épique je vous laisse à vos pensées. Je ne vous en voudrais pas si vous ne choisissez pas ma lettre, ne vous en faites pas ! Non en fait je vous haïrais.

Allez à Jacques ta laisse.

Xoun


Bref, ce concours m'a bien amusé et j'ai pu occupé mon temps à lire vos textes.
Comprenez bien que ce classement est un avis totalement personnel et qu'il n'est donc peut-être pas juste, c'est vrai.
J'remercie tout ceux qui ont pris la peine de participer et désolé pour leur infortune.
Contactez-moi pour les modalités de l'échange.
Tchao.

PS : Si ça peut vous rassurez, ce sont trois Joliens
Mouhahaha, je t'ai eu Zeti !

Bon, rire triomphant mis à part, merci beaucoup de cette reconnaissance . Cependant, comme signalé, ne jouant plus pour le moment sur le SH le prix ne me servirait à rien. Aussi, je t'invite à garder ces trois millions et l'Ares que Zeti me doit pour un prochain event .

Ah, une chose, pourquoi ne pas mettre toutes les oeuvres en ligne sur JOL ?

Et merci encore pour ce concours, surtout que tout lire a dû te prendre pas mal de temps.

Fabre signala à Alandring et à Galatium, qui se tenaient non loin de là, qu'ils pouvaient aller se consacrer à une autre tache.
Vous voulez les autres textes ?
Ok, je m'en occupe, pas de soucis.

Ma foi, si tu refuse ces 3M, il est juste et logique qu'ils reviennent au second.
Peut-être déplacer toutes les récompenses jusqu'à un éventuel quatrième.

Je m'en occupe ce soir.
Voici le texte de quelqu'un qui souhaite garder l'anonymat :
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Il est tard, très tard. Notre amie, une Sadidette à la peau d'ébène et aux cheveux flamboyants, subit l'étreinte mortelle de la fatigue. Il faut dire que la journée a été longue. Peut être même trop. Repassons-nous cette journée, pour bien nous mettre dans le bain.


Tout commence très tôt ce matin, en ce beau jour de Flovor, dans la somptueuse villa de Sufokia. Les paupières de notre compagne sont lourdes, et c'est compréhensible, il fait nuit dans la contrée d'Amakna, pour quelques instants encore. Tout le village d'eau est endormi, profitant du temps doux, et de la brise légère qui se balade entre les murs des maisons.


Le temps suivant son cours, le soleil ne tarde pas à éclairer la cité de sa teinte jaune-orangée. Quel magnifique spectacle ! La nature s'éveille, doucement. Les poissons commencent à s'agiter, quelques fenêtres s'ouvrent, des bâillements se font entendre. Les plus courageux sont déjà au travail, comme Xavier le Boulanger, ou Deudoiné le Forgeron. Les fourneaux crachent leur première fumée, le feu chauffe déjà le métal.


Mais qu'en est-il de notre protégée ? Figurez-vous qu'elle dort, paisiblement, sans s'être aperçue que le jour s'était levé. Reconnaissons bien là une Sadida. Elle bouge ! Pourquoi ? Ha ! Là ! Sur la fenêtre ! Un Piou est venu pousser la chansonnette ! Quel agréable réveil !


La matinée est bien engagée maintenant, notre amie, depuis qu'elle est levée, a fait sa toilette, a coiffé ses cheveux, et à l'air prête pour partir remplir son temps libre. Le programme est chargé pour aujourd'hui. Tout d'abord, elle doit aller faire les courses, mais elle a besoin de Kamas. Heureusement, dans son coffre, un trésor, bien que maigre, se cache, qui lui permettra sûrement de vivre encore un ou deux jours. Mais guerre plus.


Après quelques minutes de marche, la voilà, qui se présente sur la place marchande. A gauche, les petits pains de Xavier sont prêts, ils fument encore. A côté de lui, se tient, Enileda, la célèbre marchande de bâtons. C'est même elle qui a vendu à notre aventurière sa première arme ! Nous distinguons aussi les nombreux articles, tous plus dangereux les uns que les autres, de Deudoiné, ainsi que les bonnes viandes de Unterix. Et là ! Regardez ! Les magnifiques amulettes ! Encore des créations de Shani, on ne peut en douter ! Vraiment bien fourni le marché du jour !


Seulement, la Sadidette ne peut pas vraiment s'attarder sur cela. Elle ne peut hélas que se procurer le nécessaire. Et de toute façon, la luxure ne l'intéresse pas. Pour tout dire, elle a même sauté son repas en venant au marché. Elle fait donc son chemin journalier à travers la place, et rentre chez elle, pour tout mettre dans le coffre.


Mais … Mais … Que s'est-il passé ? Quoi ? Qu'il y a t-il marqué sur la papier ? Hein ? Un cambriolage ? Pourquoi ?


Notre amie s'effondre, le peu qu'elle avait lui a été dérobé. La tristesse l'envahit. Les larmes coulent d'elles mêmes. Rien ne pourrait les retenir, pas même les éponges Mob l'Eponge. Sa vision est floue et humide. Toute la maison est renversée, le coffre vide. Le lit .. cassé, la couverture déchirée. Le lit … un des éléments les plus chers à la Sadidette. Qui a bien pu lui faire ça, et surtout, dans quel but ?


La tristesse s'apaise petit à petit pour laisser place à la colère. Sur le sol ! Là ! Un plume de Corbac ! Mais pas n'importe laquelle ! Elle semble avoir été perdue par le Maître. L'intrus est démasqué, notre compagnon s'emplit de rage, elle veut sa mort. Une mort lente ou rapide, douloureuse ou immédiate, mais une mort.


Seulement .. Comment se lancer dans l'aventure ? Elle qui n'a ni amis, ni équipement mis à part un vulgaire bâton de boisaille ? Voilà qui a de quoi la replonger dans la tristesse.


Attendez ! La voilà qui lève les yeux … Mais que regarde t-elle ?! Hé mais .. nous ! Nous aurait-elle vu ? Ou peut être a t-elle entendu les bruits qui courent. Ceux qui disent qu'une grosse somme sera reversée à quelqu'un dans le besoin.


On enchaine avec ce texte de Garaik/Al-Maskhot
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Tu veux vraiment savoir pourquoi je mérite ses 3 millions ? Tout simplement parce que je suis le plus fort des faibles, le plus beau des moches, le plus riche des pauvres, le plus courageux des peureux, le plus intelligent des bêtes et en même temps le plus bête des intelligents, le plus peureux des courageux, le plus pauvre des riches, le plus moche des beaux, le plus faible des forts mais surtout le plus timide, le plus gentil, le plus fidèle, celui sur qui on peut compter. Tout ça c’est moi… ! Voila, je pense que maintenant tu sais pourquoi je mérite ses 3 millions.


Kannar :
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"Pourquoi est-ce que je mérite ces trois millions ?"

Si je ne les mérite pas, qui d'autre peut y prétendre ... ?

J'espère t'avoir convaincu.


Kanik :
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B'jour. Ou bonsoir. Pas l'courage de faire plus. J'suis donc un mec qui cherche la fortune. Si ça te dit de m'aider, fais-le moi savoir. J'ai pas toute la journée, j'bosse tout l'temps et donc, j'les mérite, en plus j'suis parfait, t'peux pas refuser hein? Pourquoi t'me réponds pas? J'te fais si peur que ça? C'est compréhensible... ils ont tous peur. Donc, désolé si j't'ai fait peur, c'était pas mon intention. Sérieusement. J'te dis donc au revoir, et je les mérite, les trois p'tits millions hein. Vraiment. Donc je veux que tu me les donnes. Tu m'entends? Je veux que tu me les donnes!
Sur ce j'te dis à bientôt, pour la livraison hein


Argoy :
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Pourquoi est-ce que je mérite ces trois millions ?


Argoy, écaflip qui a vécut de nombreuses années auprès des contrées d’Amakna, Ecaflip qui a vu la mort de très prés dans les massifs de Cania, Ecaflip qui a su déjouer les pièges de nombreux brigands. Cet Ecaflip, certes, aussi malchanceux qu'un pou sur la tête d'un chauve, était en train de jouer ces dernières pièces qui se battaient en duel au fond de son sac. La sueur coulait le long de son poil soyeux, le stress était immense. Allait-il doubler sa somme de Kamas ? Allait-il passer de dix à vingt Kamas ? Il allait le découvrir en posant son ultime carte … quatre de trèfle, pas de chance pour lui ce coup-ci. Il regarda son adversaire, resta confiant malgré le rire narquois de celui-ci. La carte de son adversaire se posa violemment sur la sienne. On vit dans les yeux d’Argoy, une victoire heureuse. Le quatre de trèfle bat le trois de cœur. L’Ecaflip s’en alla, tout heureux d’avoir gagné sa journée.
Il naviguait entre les rues d’Astrub, histoire de trouver un marchant qui accepterait de lui échanger ces pièces contre des ressources complètement inutiles… Argoy tomba sur cette affiche étrange où était écrit en lettre capital « Pourquoi est-ce que je mérite ces trois millions ? ». Toute suite, il se mit à rêver tout haut…

« Trois bon gros millions de Kamas ! Bien sur que je les mérite ! Si je fais le compte depuis le début que j’ai commencé à jouer aux cartes, ça dois bien faire cinq millions que j’ai perdu ! Si une personne dans ce monde doit avoir cette bourse, c’est bien moi ! Je pourrais tout jouer et devenir le meilleur dresseur de pok … enfin je serais riche quoi … »
- En voilà un qui s’emballe, on dirait bien que tu es motivé à perdre cette somme aux cartes non ?
- La raclé que je t’ai mis ne t’as pas suffis, il faut que tu me suives pour voir si j’ai encore la moindre pièce dans ma sacoche ? Dit-il d’un ton moqueur.
- En effet … j’ai perdu dix Kamas, et crois moi … je le regrette beaucoup… Dit-il ironiquement.
- T’as joué contre l’Ecaflip le plus chanceux d’Amakna, et bien évidemment tu as perdu … Alors arrête de me harceler.
- Admettons, tu es le plus chanceux, et le plus prétentieux au passage, je veux que si tu gagnes ces trois millions de Kamas, on jouera « le kit ou double », bien entendu, si je gagne, ce sera les mêmes règles.
- C’est… Heu… c’est ce que je comptais faire d’abord, je compte te déplumer une nouvelle fois.
- J’accepte le défi.
- Heu … oui … okay … laisse moi le temps de rédiger mon texte et on verra ça plus tard.
- Sur ce, inutile de te souhaiter bonne chance. Bon vent !
- Ouais c’est ça … »

Argoy prit sa plume, en manque d’inspiration, commença à écrire : « Je mérite ces trois millions car … j’en ai vraiment besoin pour continuer à jouer aux cartes !! »


Rodri / Oizo :
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OPT1 LA VACH 3M C TRO BIEN MOI JVE PARSK JE S8 PA TRO RICHE, AVEC SA JPOURE AVOIR PLEIN DOBJAI POUR DEVENIR LE PLU FOR DU SERVEUR, ET AINSI TE PROTAIGER TOUTE LA VIE PARSKE TU DEVIENDRAIS MON COP1, MOI JE MAPEL PIGOUSTIFLORE JE SUI UN OSA 197 G BOUFTOU 6 MAI JE FOUETE PA TRO FORT DU COUP JVEU 3M ALOR DONE LES PLZPLZ PLZ! OU ALORS SI TU AIME PO TRO CE KE JE DI, JVE B1 UNE ARES COME SA JE FERAI UN ENU ET JE SERAI 8PA DE BASE!!! POURAI FAIR PAS MAL DE DEGAT POUR BUTER AL-ZETI, UN JOUR G VU SON PANDA I TAPE PAS MAL FOR LE MEK, MAI JPEU GAGNE CONTR LUI AVEK 8PA! ET PI SI TU ME TROUV PA ASSEZ CONVAINQUANT POUR CA, BAH JVE UN ANODINDO COMME CA JPOURAI FAIR UN IOP FULL D1DO, G DEJA VU UN MEK KOM SA, C PO MAL! JVEU TRO TRO! ALOR STP STP STP JEK JVEU TRO UNE REKOMPENCE! ET JVOUDRAI ETRE TON COPIN DE DOFUS, ALORS SI TU VE MP MOI SUR MON SUPER ENI KI TACLE: Flatbeat, OU ALOR SUR MON OSA QUI FOUAITE PA FOR: Pigoustiflore!
MERCI COP1 COP1! A TROP BIENTOT! JE TAIME POUR LA VIE! JVEU 3m!!


En coopération avec RawRee :
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Moi je pense que Pigoustiflore est un osa qui fouette pas fort, tu devrais lui donner 3M (OH PT1 TROIS MILLIONS?!?) ou alors une ares pour un enu (comme ça il pourrait jouer 8 pa de base et tuer al-zeti) ou alors un anodindo (pour un iop full dindo).

En plus, il veut être ton copain de dofus, et je suis sûr que tu pourrais faire un marché avec (du genre lui donner 3M mais qu'il te redonne 1.5M vu que t'es son copain (et si tu lui fais pas confiance moi je noarnaktkt)).

En plus, il lui faut 3M pour réparer la touche "Caps lock" de son pc, s'il te plait file-lui ce serait trop gentil.

Et pour tout te dire, les Gaias sont des gros connards qui duppliquent, alors les 3M que tu donnerais deviendraient d'abord 6M, ensuite 12M, puis plus rien parce qu'ils seraient dépensés. Une autre preuve que Pigoustiflore les mérite beaucoup plus que les autres tarlouzes (Ceci dit je respecte les tarlouzes si t'en est une).

Donc s'il te plait, donne-lui ses putains de trois millions de kamas parce que.


Youz-less.Sh et son bel avatar :
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Bonsoir q toi ;on ch7rem je t42cris ce ;essqge cqr ton offre de kq;qs ;4interesse 2nor;2;ent. Je suis qctuelle;ent une s2duisqnte sqdidq du serveur h2roiauem du no; de youw6less et je suis 199 louliloul/

Je t4envois ce ;essqge cqr je supporte ;on q;is proofm il q fqit son post pour toi et je l4qi;e bien qlors je veux au4il gqgne lol cqr je l4qi;e xD

IRL il ;e gqnk le cucul tu vois qlors bon je kiff qlors je veux le re;ercier co;;e celq en plus il need des kq;qs ;dr pour ;e pex lol

Je pense aue tu es auelau4un d4intelligent et de sy;pqBITEiaue lol si tu veux ;e rencontrer IRL je suis nue q cet instqnt<

oups je crois aue ;on clqvier est pqsser en qwerty je l4qivqis qps vu xd lol qller bye
J4qi besoin qussi des 3; pour repqsser en azerty stp lol sq ;e serqit trop utile copqin d4q;our lol


Bon, j'poste le reste plus tard !
Bonne soirée.
La suite :

Pandative :
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Alcool sournoise


Bien tard, dirai-je, bien tard, dans une nuit sans lune, le petit panda s'égare.
Alors qu'il cherche désespérément une boisson, il tombe sur une ville dont il ne connait pas le nom.
Il ne chercha qu'un court instant, et y entra comme un brigand.
Non loin de là une taverne, qui pour ce soir s'émerveille.
Le jeune acolyte de sa voix grave, lui fit à peu prêt ce langage :


«Eh! Barman ! Une chope ! Et que sa saute ! Lui dit le jeune acolyte
-Bien garçon, mais ne viens pas vomir sur mes tables, sinon tu aura ta raclée.» Lui répondit-il
Le jeune pandawa, oui car c'est comme cela qu'on l'appelle, en repris bien une vingtaine, et il savait que ce soir, il rentrerai tard.
Ayant prit ses jambes à son coup, il partie je ne sais où, cherchant peut-être, une réponse à sa lettre.


«*Hic*, rah... faut encore que je lise cette foutue lettre à la con ! Quel foutue métier qu'être mercenaire»


Il ouvrit la dite lettre, et la lue, eu... pour la 100ène fois ?


Salut jeune mercenaire ! J'ai eu vent que tu pourrai m'aider. Tu vois, je recherche une boisson ultra alcooliser, malheureusement, à bonta ils sont en rupture de stock, alors je te charge d'aller à brakmar, va me cherché l'alcool nomme «Vode cas».
Je te serais reconnaissant, et te donnerais une prime dont les zéros te sembleront volés !


«Brakmar, hein. On m'en avais parler, cette citée est aussi * hic *, aussi sombre que dans les fesses d'un porkass. Bon bah va falloir que je trouve ce foutue hôtel de vente, et vite sinon j'vais m'endormir ici.»


Il scruta l'horizon, cherchant sa position, non loin de l'hdv, il devrait se trouver, d'ailleurs si on en crois son regard, il l'a trouver, Ah ! Victoire !»


«Le voilà ce foutue hdv ! Bon alors j'achète son alcool à la niouc et j'me casse !»


Il fini par l'acheter, mais vraiment trop exténuer, il s'arrêta une nouvelle fois, à la première taverne qu'il trouva.


«Qu'elle vie pourrit j'ai, je ne fait que marcher des jours et des jours, pour gagné à peine de quoi boire une chope par jour.

  • Vous savez panda, l'élixir que vous avez, là, si vous le buvez, tout vos ennuie vous les oublierez.
  • Ouai mais non, je peux pas, je doit l'amener à un féca à la noix qui a envie de se péter la tronche avec sa tune.
  • Justement, buvez donc, que risquez-vous de toute manière !


Le jeune panda d'une gorgée, bue le breuvage qui destiner, à un féca voulant seulement, se divertir un instant.
Mais trop forte était-il, ce breuvage qui dans cette nuit, laissa en sourdine, la vie de notre ami.


Hyr-Kaysum :
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Nous vivons dans un monde quelque peu obscur, où la loi du plus fort règne encore. On voit très bien quelles sont les choses qui dominent ; la force brute, avec les guerres par exemple, ou encore l’argent, puisqu’il s’agit maintenant de guerre de commerce, mais à partir du moment ou on a pas l’un de ces deux facteurs, nous ne sommes rien.
Aujourd’hui nous vivons encore dans un monde d’inégalités, ou chacun essaye de survivre comme on lui a dit de survivre, dans les pays riches, comme nôtre, la France, on nous expédie directement à l’école, dès l’âge de 3 ans, et celle-ci est obligatoire jusqu'à l’âge de 16 ans. Cependant peu arrête à 16 ans, parce que les débouchés sont moindres. Alors on nous répète d’aller le plus loin possible, que sans études nous ne sommes rien, que sans études on aura pas de travail, et donc pas d’argent, alors on agit comme des moutons, on travaille, on fonce tête baissée, pour arriver jusqu’au bac, ou l’on en parle tout les jours, que c’est important, qu’il n’y a aucune autre issue, qu’il faut le bac et rien d’autre. Mais on passe nos journées dans un établissement scolaire depuis tout le temps, chaque être à une limite, et à partir du moment où cet être va réfléchir, penser, et oser donner son avis, il gagnera une certaine forme de liberté.
Se dire que finalement il n’y a pas que l’école, que ça n’est plus une question de culture mais plutôt de bourrage de crâne, on nous bourre le crâne, on ne nous instruit plus, ou presque plus.
Et par-dessus l’échec scolaire, il y a ce monde qui nous entoure que l’on complète tous un peu, mais dans lequel nous ne sommes rien finalement, un monde où l’argent domine, où des gens ayant des idées sont finalement pourris par ce même argent…Pourtant c’est une invention de l’homme, autrefois le troc transformé en monnaie, et aujourd’hui il le détruit, peu à peu.

Après avoir exposé tout cela, je peux donc relier ces faits à Dofus :

Dofus est un jeu de rôle, où l’on incarne un joueur virtuel, et où on le fait progresser, dans un monde virtuel. J’entends souvent dire que Dofus est un monde où l’on est libre, libre d’être qui on veut, de faire ce que l’on veut, que toutes les mauvaises choses dans la vie réelle n’apparaissent pas, j’aurais bien voulu le croire. Oui j’aurais voulu, mais je suis arrivé récemment sur ce serveur héroïque, où j’aimais l’idée de se battre pour vivre, et que la moindre erreur était fatale. Seulement ce que j’ai vu, c’est une sorte d’anarchie, des gens qui profitent à la moindre occasion, ou la loi du plus fort est belle et bien présente, et où il n’y a aucune autorité. Alors c’est là que je commence à rigoler doucement, on entend les gens râler à longueur de temps, sans qu’il ne se passe rien pour autant, et dans un monde où tout peut être fait, où il n’y a pas d’autorité, cette autorité qu’on insulte tant dans la vie réelle, et bien c’est le chaos, alors qu’on sait très bien que l’âge moyen des joueurs de Dofus n’avoisine pas les 15 ans, et je déplore ce fait, je déplore ce monde, où que l’on soit, les gens sont mauvais, l’égoïsme prend le dessus, le « chacun pour soi », et on arrive à ce genre de choses, que l’on peut très bien voir dans Dofus, qui est pourtant un endroit de «liberté », selon les joueurs.

Y a-t-il des solutions à tous ces problèmes ? Je ne pense pas, rien qui pourrait réellement changer la situation, et je ne parle que de Dofus, l’échelle nationale ou mondiale je n’ai même pas ma place pour en parler. Seulement ce que je sais, c’est que l’effet de masse est plus puissant que tout, l’argent ne fait même pas le poids, on l’a déjà rencontré. Et je sais très bien qu’il y a plus de gens qui se plaignent dans leurs coins, que de gens profiteurs à la sortie d’Astrub ou autres endroits qui agressent le premier passant, ou ce passant n’a aucune chance de survie, alors pourquoi ne pas faire bouger les choses, puisque tant de monde le souhaite, pourquoi rester seul, à se plaindre, comme je le fais là depuis quelques minutes en écrivant ce texte, pourquoi ne pas se réunir et changer les choses dans le bon sens ?


Jek, Tu me demandes pourquoi je mériterais cet argent, c’est le sujet de cette dissertation à la base, et bien en fait je ne le mérite pas, parce que je suis totalement hors sujet, et je m’en rends compte, je m’en fiche en fait, j’avais envie d’écrire cela, et voir ce que tu en penses, même si mon texte n’a aucune élégance, aucun charme et aucune magie.
Bien sûr l’argent m’a attiré, dans ce monde qui reste virtuel ou la vie est dure, l’argent ne peut qu’aider, comme dans notre monde matériel aussi d’ailleurs, mais écrire était ma première motivation et je pense ne pas entrer dans les règles.

Je peux maintenant te remercier de ta lecture, et aussi pour le fait de faire vivre ce serveur d’une manière si élégante et attirante, pour changer, bonne continuation à toi.

Un jeune lycéen encore innocent, mais déjà bien trop coupable.


Tl-Narh :
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Il fait froid.Dans la pièce qui me sers à la fois de salon, de chambre d'invités et de chambre à coucher, seule la lueur de l'écran me protège de l'effrayante obscurité du soleil couché.Le vent souffle si fort dehors que chaque rafale me fais imaginer avec effroi mon humble demeure de fortune sombrer par cette force effrayante qui m'écrase.Vous me demandez si je mérite la récompense...Je ne vous demande pas de la pitié.Je ne vais certainement pas vous supplier.Mais je sais simplement une chose:dans une vie, n'importe qui a son moment de gloire.Je veux simplement vivre le mien, enfin.



Si ma constitution ne me le criait pas, je ne me considérerai pas comme un humain. Je ne suis même pas un chien errant.Mon âme glacée et endolorie par les insultes de mes proches (celles qui font plus mal qu'une lame qui vous coupe les veines, et je sais de quoi je parle) veut simplement retrouver ici un peu de chaleur.Je peux enfin faire fondre le mur de glace qui me sépare des autres.



Si la réincarnation existe, j'étais un cafard qui par erreur s'est retrouvé dans la matrice rassurante d'une mère affectueuse.En naviguant sur le seul océan qui m'accepte (à condition que je me cache derrière un nom que je me suis inventé,bien sûr) et en cherchant des informations sur un jeu qui est devenu ma principale raison de vivre (ce qui est ridicule je vous l'accorde, mais je suis ce que je suis), j'ai lu votre annonce qui m'a noué l'estomac.Y arriverais je?C'est les doigts tremblants d'un mélange de peur et d'envie que je vous écris ceci.



Alors que luttant contre ma nature de perdant et de froussard de toutes mes forces je vous écris, je pourrais ne pas mériter la victoire qui sauverait ma vie?Donnerai une raison d'être à mon orgueil?C'est une question qui n'a même pas lieu de se poser.

Je vous laisse maintenant délibérer,des réparations urgentes sur mon toit m'attendent.


Ganado a voulu utiliser sa candidature :
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Je ne dirais pas que je veux être un traître.
J'en suis déjà un. Je trouve d'ailleurs que le titre de cette section est débordant de prétention, prétention de croire que l'on devient malsain en vous rejoignant, que l'on gagne ce statut de traître car on rejoint un groupe de connards parmi une communauté de connards.

Prétention aussi de dire que les fautes d'orthographes sont disqualificatives, tandis qu'on est même pas capable de vanter la création de cette guilde sans savoir conjuguer le verbe Considérer avec le verbe être.
M'enfin, personne n'est parfait, je vous le pardonne, je me surprends moi même dans des élans de supériorité face aux autres parfois. Mais pas souvent.



Vous voulez que j'étale ma vie dofusienne, du moins, peut-on qualifier ça d'une vie .. Je vais vous dire tout plein de choses que des centaines de personnes pourront contredire dans leur petite chambre en passant sur ce forum, comme par exemple que j'ai été le premier Iop en Cérémonial sur ce minable serveur qu'est Menalt, que j'ai été le premier Iop a soloter ce simplissime Cell, que j'aime pas le farm de Grobe ...
Non, sérieusement, sans me vanter bien entendu, j'ai fais le tour du contenu PvM de Dofus, et je fais parti de cette minorité qui blâme les niais qui n'ont pas comprit que la PO était bien plus essentielle que de dépasser le seuil des 1000fo.

Derrière ces paroles de geek frustré qui se donne un rôle se trouve ... un mec plus ou moins frustré qui se donne un rôle. Ce rôle de connard m'a permis d'avancer, de trier les personnes avec qui il est bon d'être, de compter mes véritables amis sur les doigts d'une seule main, ce qui est peut-être peu à 18 ans. J'ai plus d'ennemis que d'amis, mais ces ennemis me vitalisent, car leurs insultes valent bien des centaines de blagues carambar. J'ai trahi des personnes ne m'apportant rien, cela révèle peut-être un narcissime et égoïsme surélevés, mais j'assume le fait que je n'aime que ma propre personne.

Sur ce serveur, j'ai pas d'amis. Je n'ai pas un personnage haut level. Je n'ai pas de deuxieme compte qui pourrait me tenir compagnie, car je trouve que cela est la preuve même d'une faiblesse révélant l'incapacité d'xp seul. Je ne recherche pas d'aide. J'espère juste trouver ma place.



Je veux rejoindre cette guilde, cette guilde de grands fous se faisant remarquer par ce mouvement donné à la communauté. J'aime cet esprit de meneur de serveur sans en avoir l'intention, on a bien vu par le passé que lorsqu'on s'annonçait Roi de l'Héroique, ça menait au fail tous les deux jours.

J'ai les capacités pour intégrer Epic Fail, car je suis unique, comme tout le monde.



Laissez croupir ma candidature, je suis plus apprécié à froid.


Zheops[SH] :
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" Le meilleur pour la fin "

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Sujet : Pourquoi est-ce que je mérite ces trois millions ?
La récompense alléchante proposée va attirer de nombreuses convoitises. C’est, en effet, de nombreux potentiels prétendants qui ambitionnent de triompher. Pour cela, ils vont s’efforcer de lister leurs ( manque de ? ) capacités dans un RP insignifiant, ou une rédaction sans interêt. D’autres vont avoir recours à d’autres arguments :
http://www.bobbyworks.com/images/Got%20Milk%20Baby.jpg

Hillarant non ?!
Néanmoins, je pense soutenir que j’aspire à emporter le gain. Ce n’est pas ma principale motivation, non, mais pourquoi pas donner une leçon d’orgeuil aux candidats.
Je vais, tout d’abord, aborder le sens du mot ‘mérite’, et généraliser le sujet.
Le mérite, c’est avant tout considéré comme une valeur morale, relativement subtile. S’y adjoignent donc une reconnaissance par ses paires et, de là, des sentiments d’honneur et de gloire.
Mais le mérite peut aussi être considéré comme un accomplissement de son devoir. Quand un prix est offert au vainqueur, bien qu’il s’agisse d’un don gratuit, le gagner c’est le mériter.
Le mérite a également une contrepartie négative, en effet, la question du mérite inclue aussi que nous méritons des peines autant que des récompenses. Il méprise l’égalitée entre les hommes.
Mais quelles sont donc les critères à l’aune desquels on juge du mérite, et pour quelles finalités ?
Je dirais que la part de chance et de hasard est très importante. Seuls les faibles comptent dessus. Je compterais personnellement sur mes dons, et mes talents. En l’ocurence celui d’écrire. Cependant je ne négligerais pas la notion d’effort qui est fortement liée à la notion de mérite. Et pourtant. Si on fait des efforts, on s’obstine, on s’accroche, c’est peut-être du à un bon tempérament. Du coup la place du mérite se réduit.
Dans ce cas présent, je vais tacher d’être clair. Je mérite ces trois millions de kamas parce que.
Zheops.


Sensationcake :
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Ce n'était qu'un homme... Il déambulait dans la nécropole de brakmar. Là où les rêves se perdaient, là ou la vie n'était qu'une illusion, que le chemin auquel elle menait s'évanouissait dans la brume.
L'homme auquel cette histoire fait référence ce n'est pas n'importe quel homme... C'est l'homme qui vallait trois milliards.

Sa réputation n'était plus à faire, il s'accoutumait de tous les surnoms qu'on lui donnait. Les rumeurs que l'on entendait à son égard était aussi mystérieuse que la pénombre des sous-terrains de la nécropole.

On racontait qu'il errait dans le cimetière des torturés, terre désolée, lieu de légende et de désespoir...

Ses divers haltes à la Taverne de la Misère, ne lui ont guère apporté le plaisir, auquel il souhaitait s'adonner. Finissant chasser du Bar, après les altercations auxquelles il avait pris part, il fuyait dans la pénombre.

Un souffle nouveau avait envahi la nécropole, un souffle d'espoir...

L'arrivée d'une mystérieuse femme s'était répandue. On disait qu'elle résidait dans la milice et qu'elle détenait le précieux...

L'homme se rendit dans la milice, forcé de constaté que la femme était bien là, elle n'était pas seule toute la populace s'était amassée. Pour cette sortie il avait arboré une somptueuse cape sous laquelle il cachait son corps mutilés qui n'en faisait pas moins un valeureux guerrier.

En s'approchant il entendait la foule criée :
- Emma !
- Haymacrach !!
- Hey l'm'assacre
- Ema Crasse !

Ne sachant quel était son vrai nom... il lui en attribua un, Emma Scrasha.

Sa ténacité lui permis de parvenir à Emma Scrasha.
Lorsqu'il lui parla en prononçant ce nom, les yeux d'Emma s'injectèrent de sang.

Elle s'adressa à lui en prononçant ces mots :
- Ne sais-tu pas qui je suis ? Ton ignorance est-telle
si grande ? Tes paroles maladroites...
Que me veux-tu ?
- J'ai ouïe dire que tu détenais la clef des illusions, tu détiens mon avenir, tu possèdes l'objet de tous les désirs en ce bas monde... Si j'ose encore prononcé leur nom certains les nomment kamas, les anciens leur précieux...
- En effet, je possède l'objet convoité, mais seul le plus pure des guerriers pourra obtenir le précieux.
Es-tu selon toi ce guerrier ?
- Mon histoire n'est que murmure, mes pas s'effacent comme mon ombre, et ma vie n'est que l'illusion du temps perdu...

A ces mots Emma ne répondit pas, laissant le mystérieux homme dans ses rêves songeurs..


Tchao.
je ne comprend pas ce qu'il s'est passé, ça me paraissait plutôt bien au moment de la rédaction, je suis surpris... peut être une erreur de la part du jury? je demande une relecture de mon oeuvre! CA NE SE PASSERA PAS COMME CA!
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