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On peut mettre Fallout 4 en jeu pas de l'année vu que tout a l'air de dater de 2013 chez lui ?
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13/12/2015, 14h31 |
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[GOTY][JOL][2015][Les][Votes][Sont][Ouverts][!]
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Oups
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16/12/2015, 09h16 |
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Up, n'oubliez pas que les votes seront clos le 31/12 à minuit !
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23/12/2015, 09h46 |
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C'est tout penaud mais plein d'espoir que je participe pour la première fois aux GOTY-JOL ! Allons-y !
Jeu de l'année : 1 - Life is Strange - Je n'ai même pas l'impression de devoir justifier cette première place. On ne me le demande pas pour autant, mais je me permets : Dontnod réalise de petites choses excellentes depuis des années et ce jeu-ci est leur pièce maîtresse. J'en ai adoré la narration, les protagonistes et la bande-son. Il m'a été possible d'en parler (beaucoup) plus extensivement à cette adresse, sur le sujet dédié de JeuxOnLine. 2 - Tales of Zestiria (sortie européenne et USA en 2015) - Il s'agit de mon premier Tales of en matière de jeu vidéo et je sais que le petit bonhomme derrière la porte, au fond, va me dire que je manque les meilleurs titres et que celui-là n'est que l'ombre de la saga. Ce peut être possible, d'autant que j'ai déjà eu la chance de sonder Tales of the Abyss dans son portage en série animée par exemple. Pourtant, je trouve dans le casting de Zestiria des personnages incroyables, accompagnés par une bande-son charmante (quel opening !) orchestrant leurs belles aventures. Se trouve aussi dans ce titre une révolution culturelle dont on parle assez peu en France : il s'agit probablement du premier jeu vidéo de grande marque tiré du Japon dont le protagoniste est potentiellement homosexuel (sujet à débat ; je pèse mes mots), et ce n'est clairement pas rien. 3 - Fallout 4 - Je n'ai pas boudé mon plaisir en parcourant une fois de plus les terres dévastées intégrées à l'univers de Bethesda. Un Skyrim 2 en contexte post-apocalyptique, me direz-vous ? Peu m'importe au bout du compte : je désirais un Fallout de Besthesda et ils m'ont offert ce que je demandais. Je comprends la détresse de certains joueurs des premières heures, pour avoir pu contempler de loin l'éblouissante complexité des Fallout 1 et 2, mais cela ne diminuera pas le plaisir que j'ai pu tirer personnellement avec ce Fallout 4. 4 - Until Dawn - Très efficace, il réussit à injecter au genre horrifique dans le jeu vidéo une dimension nouvelle. Je ne lui ferai pas de grands reproches, sinon de ne pas avoir joué la carte de la constance dans une narration clairement entretenue inégalement parmi deux arcs distincts. Ce jeu réussit tout de même à nous offrir des choix dont l'impact importe, ce qui n'est pas monnaie courante malgré les nombreux titres le prétendant. 5 - The Witcher 3: Wild Hunt - Je sais le potentiel de ce jeu mais je ne mentirai pas en avouant d'emblée ne pas avoir encore réussi à prendre mon pied avec lui. J'ai l'impression à ce jour de n'avoir gratté que la surface, manquant pour l'heure l'essentiel (monde ouvert, liberté du protagoniste, connexions à la saga littéraire que je n'ai pas encore eu le plaisir de lire) pour profiter à fond d'un titre vraisemblablement héroïque. Je l'ajoute à ce classement avec la conviction qu'il finira par me satisfaire lorsque je lui en laisserai le temps, hors de mon Top 3 cela dit, pour ne pas avoir eu la chance d'en profiter autant que les titres antérieurement cités. 6 - Dying Light - Je voulais au départ l'inscrire en première place dans l'espoir de me faire diffamer une fois de plus sur le Salon, mais je dois avouer qu'en pleine rétrospective, en sixième place il s'agit d'un choix sincère. Le jeu m'avait beaucoup ému à sa sortie puisqu'il s'agissait dans mon cœur du digne successeur de Left 4 Dead parmi les "jeux de zombies" auprès desquels je prenais du plaisir. Encore aujourd'hui, Dying Light s'impose comme un souvenir de choix dans ma mémoire ludique de l'année 2015. J'ai beaucoup d'espoir pour son avenir, alors que les développeurs semblent prévoir de belles petites extensions ; cela fera néanmoins l'objet d'une autre conversation. 7 - Cities: Skylines - Il s'agit du jeu qui m'a de nouveau insufflé l'espoir d'apercevoir un jour un "city builder" simple d'utilisation et pourtant complet depuis mon précieux SimCity 4. En lui-même, il est particulièrement complet et il va probablement broyer la concurrence pour de nombreux mois encore, de nombreuses années peut-être si les grands studios de développement du genre ne tirent pas les conclusions qui s'imposent après un SimCity (2013) catastrophique à bien des titres. Il s'agit donc bel et bien d'un produit incarnant une petite lumière dans l'obscurité. 8 - Pillars of Eternity - J'inscris ce jeu à la toute fin de ma liste après une longue période de tracasserie, à me demander très sincèrement comment la compléter au maximum (je ne voulais pas présenter moins de huit, quoi qu'il arrive). J'arrive seulement à voir le potentiel de ce jeu, je ne l'ai malheureusement pas encore saisi. Destiné aux amateurs du genre, je sais en reconnaître objectivement les mérites et les fonctionnalités, mais à la manière d'un Witcher 3, je n'ai pas encore suffisamment pris le temps pour le dévoiler. Mon problème ? J'ignore si j'ai justement envie de lui redonner du temps dans l'espoir de le voir me révéler son potentiel. C'est donc surtout pour célébrer l'équipe de développement à l'écoute de son public, ayant généré un jeu bourré de belles petites choses pour sa communauté l'ayant subventionné, que je lui adresse cette place symbolique. 9 - Vacant. 10 - Vacant. Jeu de pas l'année : 1 - The Elder Scrolls V: Skyrim - Parce qu'il le vaut bien ! 2 - Dragon Age: Inquisition - Il est presque au coude-à-coude avec Skyrim, c'est dire l'appréciation qu'il possède désormais chez moi. Non, mais quand même, Solas en version originale s'exprime en pentamètre iambique lorsqu'il raconte le passé des Elfes. En pentamètre iambique, bon sang. Patrick Weekes, qui a écrit le personnage, s'est franchement dépassé pour donner du pouvoir à la seule parole du personnage le plus emblématique de la saga. Le jeu tout entier est une ode spécialement dédiée à l'univers puissant de Dragon Age. 3 - The Elder Scrolls Online: Tamriel Unlimited - Ne sachant pas si un MMORPG peut compter dans cette liste, je préfère le placer en troisième position pour ne pas pénaliser une première place dont je dote de toute façon le grand frère. TESO est un titre marquant de mes années récentes, et même si je pourrais sans doute puiser dans ma mémoire lointaine pour y dénicher d'autres jeux marquants, celui-ci me satisfait pleinement. Si certains l'accusent de saccager le lore de la saga, je trouve au contraire qu'il la prolonge de façon subtile : pour la première fois depuis Arena ou Daggerfall, nous pouvons enfin revisiter des lieux mythiques de Tamriel. Et on oublie souvent que ces deux jeux inscrits dans le passé lointain de la saga n'ont pas inventé la poudre : c'est plutôt au niveau de Morrowind que l'histoire de la saga a décollé et s'est dotée de ses atouts. À ce titre, TESO ressemble justement beaucoup au troisième opus "grand cru" des Elder Scrolls, avec cet exotisme qui se joint à nos promenades vers des horizons toujours plus divers. J'ai adoré visiter une portion de l'Archipel de l'Automne et c'est à TESO que je le dois. OST de l'année : 1 - Xenoblade Chronicles X - Hiroyuki Sawano détient une emprise infaillible sur moi. Maître du genre épique parmi les productions nippones, son adhésion à certains grands titres de l'univers du jeu vidéo n'en finit pas de me faire plaisir. La bande-son de ce jeu a tout particulièrement été gâtée par un album d'une cinquantaine de titres tous plus chatoyants les uns que les autres, destinés à nous plonger avec ses chœurs dans le dernier bastion d'une humanité traquée jusqu'aux confins de l'Univers. 2 - Life is Strange - Une musique marquante n'en est pas forcément une dont nous connaissons systématiquement le titre, l'auteur ou les paroles. Il suffit parfois d'une scène mémorable où elle a joué un grand rôle dans la diffusion des émotions pour que le joueur en reconnaisse les vertus. La bande-son de Life is Strange se montre tout à fait spéciale, en cela que chaque morceau a au moins une fois été au cœur d'une scène mémorable. D'aucun pourrait d'ailleurs se demander si ce n'est pas justement la musique qui a donné à chacune de ces scènes toute leur splendeur... 3 - Metal Gear Solid: The Phantom Pain - Lorsque tu écoutes la bande-son d'un MGS, tu en viens parfois à te demander quel organe tu as bien pu céder aux divinités de la musque pour apprécier en tout petit mortel de pareils airs mémorables. Je me fais presque l'obligation d'ajouter dans ce classement la bande-son de ce jeu-ci, mais c'est à mon sens une preuve infaillible de la constance dans la qualité grandiose de l'accompagnement musical de cette saga. L'exclu à laquelle on voudrait jouer, mais on n'a pas la plate-forme pour y jouer : 1 - Xenoblade Chronicles X - D'une part à cause de la bande-son qui me dicte que ce jeu doit être forcément bon, d'autre part grâce aux émissions de Sance sur la Jol-TV qui m'ont donné de quoi apprécier le potentiel du jeu en toute sérénité. C'est un titre que j'aurais vraiment aimé avoir entre les mains à sa sortie. 2 - Rise of the Tomb Raider - J'ai l'impression que ce jeu m'a survolé et que le pilote de l'avion m'a fait un vulgaire pied de nez. J'avais joué au premier titre de ce reboot, Tomb Raider, avec le plus grand des plaisirs sur PC, et quelle ne fut pas ma consternation au moment d'apprendre que la sortie prioritaire de ce jeu avait été chapardée par la console. Je crois comprendre qu'il sortira à la fin janvier 2016, mais c'est à mon sens déjà bien loin dans la mesure où le soufflé de l'excitation d'une nouvelle sortie, d'ici là, sera particulièrement retombé. 3 - The Last of Us Remastered - Je ne désignerai que ce chef-d'œuvre-ci, mais il y en a bien d'autres qui pourraient jouer les ambassadeurs des titres fantastiques qui nous échappent. Déjà il y a quelques années, j'avais ressenti toute la frustration au fait d'avoir manqué Heavy Rain, et encore aujourd'hui à vrai dire je survole dans ma mémoire les stigmates de cette expérience volée. The Last of Us m'a servi à confirmer tout mon dépit devant ces consoles qui souillent notre bonheur en réclamant jalousement l'exclusivité d'un titre : hissant bientôt le jeu vidéo au rang d'art, je trouve impardonnable que la culture ne soit pas offerte à tous sans distinction de matériel, en dépit des contraintes de développement inhérentes au portage sur différents supports. Meilleur Personnage : 1 - Solas (Dragon Age: Inquisition - DLC 3: Trespasser (2015)) - Ne désigner qu'un seul personnage est franchement difficile dans la mesure où ils sont si nombreux en 2015 à avoir motivé notre passion. Je pense à Maxine Caulfield et à son charmant ami Warren de Life is Strange, à Sorey (coucou Gukudo !) et Mikleo dans Tales of Zestiria sinon. Mais s'il n'en fallait bel et bien qu'un, ce serait Solas. Je tire une fois de plus mon chapeau à Patrick Weekes pour l'avoir écrit et lui avoir confié le pouvoir du pentamètre iambique dans les remémorations : ses envolées lyriques sont tout bonnement du velours. Pire Personnage : 1 - Aucun - J'aurais bien aimé y inscrire "Cholé Price" de Life is Strange par pur élan de folie, mais je vais me retenir pour ne pas pénaliser le vote de celles et ceux qui entendent bien la faire élire meilleur personnage du GOTY-JOL 2015. Chloé modélise tout ce qui me révulse chez le "sidekick" du protagoniste à l'américaine : elle est la force corruptrice, corrosive même, qui explicitement et implicitement condamne votre personnage à devoir se détourner du chemin que vous désirez peut-être lui assigner. Je sais que la vie n'est pas un long fleuve tranquille, surtout dans un jeu où il vous est permis de décider à la place du protagoniste, mais Chloé est justement l'élément perturbateur de trop dans mon joli panorama. Après, si je suis à ce point déconcerté devant ce personnage, c'est justement parce qu'il a bien été écrit : des émotions fortes, bonnes ou mauvaises, ne naissent qu'au moment où l'art s'exprime, après tout. Puisque je ne sais pas si la catégorie du "pire personnage" concerne une appréciation du personnage en lui-même ou de son écriture par l'équipe de développement du jeu, je préfère ne pas l'insérer dans mon classement personnel. Car il est clair que le personnage a été fantastiquement écrit, cela ne fait aucun doute... Puisque je le déteste honteusement ! Le plaisir coupable : Je vais peut-être avoir le son d'un vieux disque rayé mais je ne joue jamais à un jeu pour en avoir des regrets. Ayant une quantité limitée de temps à consacrer au jeu vidéo ces temps-ci, mes choix sont mesurés et je ne désigne que des produits qui sont à peu près sûrs de me convenir. Ainsi je ne me sens coupable de rien, sinon peut-être de trouver un plaisir ingrat dans les Sims 4 (certainement pas le meilleur opus de la saga) au détour d'un moment d'ennui. Mais il ne m'appartient jamais de me sentir coupable en profitant d'un jeu. Déception de l'année : 1 - The Witcher 3: Wild Hunt - Vous vous y attendiez peut-être si vous avez lu mon paragraphe dédié au moment d'énumérer les potentiels jeux de l'année : j'adore la saga du Witcher mais je reproche à chaque jeu vidéo de celle-ci de ne pas savoir s'ouvrir au petit curieux qui n'apprécie guère le maniement des armes et qui préfèrerait rejouer à l'écran l'expérience littéraire. Je demande évidemment des choses folles, mais c'est surtout dicté par mon incapacité à mettre des mots sur mon véritable problème : je n'arrive pas à tirer du plaisir dans ce monde complexe tel qu'il est présenté par le jeu vidéo. J'en adore pourtant les graphismes (meilleure interprétation d'une forêt européenne au monde dans un univers authentique, sans aucun doute) et la bande-son, mais il y a comme quelque chose de repoussant dans ce jeu vidéo, une sorte de barrière qui m'est pour l'instant infranchissable. Je l'avais déjà éprouvée au moment de jouer au précédent opus et je croyais réellement que Wild Hunt saurait résoudre ce problème, mais ce fut un bien vain espoir hélas. 2 - Pillars of Eternity - En bonne vieille créature paradoxale, cette seconde déception de l'année de mon point de vue participe également en même temps à mon classement des dix meilleurs titres de l'année. Un jeu peut-il marquer positivement une année tout en étant une déception personnelle ? Je pense que oui et j'entends le justifier. On m'a vendu un jeu de rôle destiné aux fans du genre : pratiquant le jeu de rôle depuis que j'arrive à compter, je pense pouvoir facilement me classer parmi ces fans. Pourtant, j'ai eu le sentiment que ce jeu m'ignorait et ne se destinait qu'à un public plus restreint encore, appréciant les combats millimétrés et les contraintes techniques à l'ancienne. Je sais que les vieux pots contribuent à faire la meilleure soupe, cet adage ne m'échappe pas, mais je n'arrive pas à comprendre qu'un jeu de rôle se donne un tel niveau de difficulté alors qu'il se consacre peut-être à un public n'en désirant que l'histoire... ne souhaitant que "jouer le rôle", littéralement. Je peux sans le savoir jouer depuis cinq parties un punching ball, mais ce n'est pas vraiment le JDR que j'apprécie : je préfère autant le masochisme d'un GM en JDR sur table, à ce prix-là. 3 - Aucun - Je n'aime pas inlassablement casser du sucre sur le dos d'un jeu. Je préfère m'arrêter là puisque mon âme en 2015 n'a été meurtrie par aucun autre titre. À vrai dire, j'ai plus été personnellement déçu par les deux titres-ci dessus, qu'à même de dire qu'ils sont des "déceptions" pures et dures : je sais reconnaître mes torts et pour l'occasion j'avais pour ces deux jeux des attentes irréalistes. Je comprends bien alors que la faute est mienne, mais sans détour je ne peux pas faire l'abstraction de mon sentiment. Ils sont bel et bien des membres de ma déception 2015 et je soumets ainsi ce classement aux GOTY-JOL en pleine connaissance de cause. La licence qu'on aimerait bien qu'elle revienne mais qu'elle a l'air fichtrement morte, là, à cette distance, quand même : 1 - Vacant - Pour le moment, je n'arrive pas à me décider. Je verrai si les fêtes seront capables de m'inspirer, quitte à éditer mon message (bien évidemment avant la date butoir de confirmation des votes), mais je préfère pour l'heure ne pas jeter aléatoirement le nom d'une saga qui me passe par la tête. Si je n'inscris rien, je veux au moins pouvoir contribuer indirectement à la victoire du choix le plus populaire sur JeuxOnLine sans influencer d'une moindre manière le scrutin. Jeu de l'année prochaine : 1 - Deus Ex: Mankind Divided - Je n'ai pas encore eu le temps d'achever le précédent opus de cette saga, mais je dois d'emblée lui reconnaître le prestige de l'élément philosophique. Il y a quelque chose de merveilleux dans le développement d'un jeu vidéo qui cartonne et qui se base sur un parti-pris narratif éminemment difficile, nous questionnant sur l'humanité et la définition de l'être humain au-delà de la biologie, dans un décor plausible d'une science trop féconde. On pourrait croire à un jeu de niche avec ce synopsis, et pourtant il s'agit d'un titre vendu par camions à des joueurs jamais épouvantés ni éprouvés par cette saga sans limites. J'admire ! 2 - Dishonored 2 - Le premier opus m'a passionné avec sa mythologie éparse mais fascinante. J'en ai aimé la narration et la posture du level design : chaque niveau consistait en un petit tableau en trois dimensions que le joueur avait la possibilité de compléter de mille et une façons. J'admire cette prise de risque, puisqu'un jeu offrant beaucoup de possibilités peut après tout en donner une myriade de mauvaises et seulement quelques-unes d'intéressantes. Dans le cas de Dishonored, nous savons que nous avons affaire à un titre dont les arguments sont sérieux : le gameplay est doté d'une grande richesse et les pouvoirs accordés aux joueurs sont rendus fantastiques par leur capacité à faire montre d'une synergie impeccable, que même les développeurs pouvaient sous-estimer à la sortie du jeu. J'attends donc ce second opus avec impatience. 3 - Nier: Automata - Par totale sollicitude pour Sakizama, je choisis ce jeu parmi différentes autres possibilités. Je visualise très mal les sorties de 2016, ou du moins aucune ne réussit autant à me happer que les deux autres titres évoqués ci-dessus. Et puis, ce n'est pas à contre-cœur que je choisis Nier pour une troisième place : la série des Darkengard m'a toujours séduit de très loin et je rêve un jour de pouvoir m'y essayer personnellement. Au lieu de cela, je passe des heures à visualiser les parties d'autres personnes... J'y prends tout de même le plus grand plaisir puisque c'est une saga merveilleuse dont la bande-son me laisse toujours rêveur. Nier: Automata saura sûrement poursuivre l'excellence de ce genre à part entière. Événement e-sport de l'année : 1 - League of Legends - Mondial 2015 - La phase de groupe à Paris s'est montrée révélatrice. Je ne m'étais jamais autant éclaté à suivre une transmission commentée en direct du Mondial de League of Legends. Je suis un grand amateur d'e-sport sous toutes ses coutures et c'est en grand convaincu que je me lançais cette année encore dans l'aventure du Mondial en tant que spectateur. Pour cette fois, chauvinisme oblige, j'ai trouvé parmi les spectateurs français de la phase de groupe un engouement magnifique qui m'a vraiment porté dans le plaisir du visionnage de toute la diffusion e-sportive. 2 - Dofus - Goultarminator VII - Je suis carrément sérieux. Par rapport à un Dofus pour moi vestige des années lointaines, le Goultarminator est un tournoi annuel qui me fait renouer avec ce jeu laissé dans mon passé. À ce titre, je suis toujours accompagné d'une émotion particulière durant l'été au moment de suivre cette diffusion. Les commentateurs de la chaîne Twitch officielle (associée à JeuxOnLine au passage) sont révoltants de dynamisme et c'est tout ce cocktail qui me fait désigner l'événement du Goultarminator 2015 à la seconde place de mon classement. Il s'agit d'une désignation purement symbolique bien évidemment, mais derrière elle se trouve aussi une envie de voir l'e-sport sur ce jeu stratégique grandir un peu : de plus en plus avec les années qui passent, j'ai l'impression d'être le spectateur de parties d'échec sur un fond d'univers kitch et j'adore ça. Qu'ils continuent donc : cela fait du beau spectacle et ça n'embête personne, bien au contraire. Dernière modification par Menthane ; 24/12/2015 à 08h27. |
24/12/2015, 08h20 |
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#190979
Invité
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Message supprimé par son auteur.
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30/12/2015, 22h02 |
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#190979 |
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Jeu de l'année
1) The Witcher 3 2) Undertale 3) Pillars of Eternity 4) Dark Souls 2 : Scholar of the First Sin 5) Satellite Reign 6) Metal Gear Solid V Jeu de pas l'année 1) XCOM : Long War L'exclu à laquelle on voudrait jouer, mais on n'a pas la plate-forme pour y jouer :'( 1) la série Xenoblade 2) Bloodborne Meilleur Personnage de l'année 1) Papyrus Pire Personnage de l'année 1) Riven 2) Elise 3) Lee Sin 4) Nidalee 5) Rengar Le Plaisir Coupable aucun La Déception de l'année 1) https://forums.jeuxonline.info/ 2) War for the Overworld 3) Civilization : Beyond Earth : Rising Tides 4) Elite : Dangerous La licence qu'on aimerait bien qu'elle revienne mais qu'elle a l'air fichtrement morte, là, à cette distance, quand même Un vrai Dungeon Keeper Jeu de l'année prochaine 1) XCOM 2 2) Dark Souls 3 3) Yandere Simulator Événement e-sport de l'année 1) The International 2015 Dernière modification par Éraflure ; 31/12/2015 à 20h14. |
31/12/2015, 20h03 |
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