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Bernard Maris
Pertinentes questions morales et sexuelles dans le Dakota du Nord

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Après avoir lu son Enfant qui voulait devenir muet, première tentative de plongée dans son oeuvre de fiction (plutôt mignon), étant passée par la case de "l'anti-manuel" et autres "Ah dieu que..." et chroniques de l'Oncle, j'ai dégotté ce bouquin à la médiathèque au rayon "M".

Ben il est drôle. Et sarcastique. Vous aimez la méchanceté de ces romans particuliers qu'affectionnaient les allemands Bildungsroman ou en plus français, les romans d'éducation ? Histoires de jeunes esprits plein de fougues qui partent à l'aventure dans des contrées inconnues ?
En v'la un :
C'est un jeune gars, mathématicien parisien qui décroche un poste dans une ville du Dakota du nord, au service d'un futur (peut-être) prix Nobel de physique. Il se fait une joie de découvrir le pays de cocagne, L'Amérique de Kerouac, la grande et sauvage patrie de ces sur-hommes qu'on nous décrit dans les fictions modernes du petit écran. Des ces femmes à qui des soutien-gorges fuselées font rêver les designer de calandres automobiles...
Henry met dans ses bagages toutes ces images d'épinal qui nous ont forgé cette vision de grands espaces et de gens bien plus musclés, aux dents bien rangées. Son objectif ? Tout d'abord dégotter une pouliche pur cru, de ces donzelles à poitrine opulente et mafflues, plantureuses à tenir tête à Newton et sa pomme - il rêve de chevaucher L'Amérique par ses femmes. Mais.
Ah mais oui... finalement elle n'est pas si accueillante. Et la religion qui se mêle à tout, y compris au fric tout puissant. Les jambes de cette Amérique rêvée ne s'ouvriront guère pour notre pauvre frenchie, ridicule et pathétique.
Dégoulinant de cynisme, ce roman est farci de ce qu'on pourrait appeler un certain désenchantement. Je suis là, très gentille, car les descriptions très fleuries des protagonistes de ce bouquin sont beaucoup plus crues. Son histoire finalement, va se recroqueviller ; que va devenir notre héros ? Va-t-il prendre sa panse junk food comme la plupart de ces gens qu'il croise ? Va-t-il se faire engloutir par la télévision qui hurle ?
A vous de le lire

Ah ben la base
Je viens de commencer Da Vinci Code ... j'ai jamais vu mes trajets de bus pour aller et revenir du boulot passer aussi vite ... enflure de chauffeur ... m'fait tjrs fermer le bouquin a un moment crucial ...
Citation :
Publié par Thaura Darkfire
harry potter et la coupe de feu apres avoir vu le film , ce que je fais apres chaque harry potter qui passe o ciné
Rah mon patron lit aussi ce truc ... j'en peux plus de l'entendre me bassiner avec
je me suis lu le dernier harry potter vite fait tient , et c'est le 1er que je lis mais je trouve que l'auteur en rajoute des tonnes avec des histoires a l'eau de roses entre les principaux personnages franchement j'ai trés moyennement aimer alors que l'histoire a l'air plutôt sympa

Hermione qui aime Ron mais qui sort avec un autre pour le rendre jaloux , Ron qui aime Hermione mais sort avec une autre pour rendre jaloux Hermione parce qu'elle sort avec un autre , Harry qui aime la soeur de Ron mais qui dit que c'est pas ça mais que si quand même pis il est jaloux toussa , c'est vite gavant pour moi

bref j'ai l'impression de voir une série genre plus belle la vie , assez déçu :/

ps : je me demande si quelqu'un a lu les autres , est ce qu'ils sont tous comme ça?
Citation :
Publié par Haut De Forme
Quel intérêt de relire un livre qu'on a déjà lu? Une fois, deux fois d'accord mais X fois lol
Plusieur lecture d'un même ouvrage peuvent amener a des visions différente (notamment pour le silmarillion , livre très dense)
Citation :
Publié par † El Doctor †
Le Silmarillon - J.R.R Tolkien pour la xième fois
Tiens, merci de me faire penser que je dois aussi le relire pour vérifier un détail sur Tulkas... Sinon je lis Chroniques de l'asphalte de Samuel Benchertrit, 1/5.

http://a526.g.akamai.net/7/526/14067/v1/img.priceminister.com/photo/283740130_L.jpg

Ca se lit facilement, c'est sympathique, assez mélancolique et ça montre un visage assez triste de la banlieue.
Je vais achever "De bons présages" des deux auteurs Terry Pratchett et Neil Gaiman

http://www.scifi-universe.com/upload/medias/romans/bons-presages.jpg
Un livre fantastique avec un humour à l'anglaise décapant: un ange et un démon doivent "préparer" l'apocalypse et rien ne se passe comme prévu..

un extrait, histoire de (parce qu'il vaut vraiment le coup!):

« Ce n’était pas pendant l’horreur d’une profonde nuit. L’ambiance aurait été plus appropriée mais que voulez vous ? On ne peut jamais compter sur le temps. Pour chaque savant fou qui bénéficie d’un orage providentiel, la nuit où son Grand Œuvre, étalé sur la table du laboratoire, est enfin achevé, des dizaines d’autres restent assis à se tourner les pouces, pendant qu’Igor encaisse les heures supplémentaires.
Mais que le brouillard (avec risque de pluie, et des températures descendant jusqu'à huit degrés) n’abuse personne, en donnant l’impression que tout va bien. La nuit est douce, mais ça ne signifie pas que les forces des ténèbres ne sont pas à l’œuvre. Elles sont partout.
En permanence elles existent dans ce seul but.
Deux d’entre elles rôdaient dans le cimetière en ruine. Deux ombres, l’une bossue trapue, l’autre mince et menaçante : deux rôdeurs de niveaux olympique. Si Bruce Springsteen avait enregistré Born to Rôde, tous deux auraient figuré sur la pochette de l’album. Ils rôdaient dans le brouillard depuis déjà une heure, mais ils géraient leurs effort et auraient été capables au besoin de rôder le reste de la nuit, avec des réserves de lugubres menaces suffisantes pour une dernière pointe de rôdage à l’aube.
Finalement après vingt minutes supplémentaires, l’un des deux s’exclama : « Ca commence a bien faire. Il devrait être là depuis des heures. »
Il s’appelait Hastur et était duc des Enfers. »
Je viens d'acheter et d'entamer Le festin nu de William S. Burroughs.
Étant un grand adepte de cette littérature américaine, après mes lectures de Bukowski notamment (Pulp ayant fait son entrée dans mes livres cultes) je suis à peu près sûr que je vais prendre un grand plaisir dans la lecture de cet ouvrage.

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Citation :
Quatrième de couverture :

« Ce livre, longtemps interdit, est devenu légendaire. Le festin nu est une descente aux enfers de la drogue morphine, héroïne, cocaïne, opium... Sujétion, délivrance et rechute, tel est le cycle qui constitue l'un des problèmes du monde moderne. Suite d'épisodes enchevêtrés et disparates où se mêlent hallucinations et métamorphoses, clowneries surréalistes et scènes d'horreur à l'état pur, cauchemars et délires poético-scientifiques, érotisme et perversions, Le festin nu est d'une veine à la fois terrifiante, macabre, et d'un comique presque insoutenable. »
La faune de l'espace de A-E Van Vogt

Il s'agit d'un livre contenant quatre nouvelles, décrivant le voyage spatial d'un équipage de scientifique, qui ne s'enchaînent pas naturellement. D'ailleurs ce n'est marqué nulle part dans le livre et elles sont les unes à la suite des autres sans délimitations spécifiques ( 28 chapitres en tout ).
Black Destroyer (1939)
Discord in Scarlet (1939)
M33 in Andromeda (1943)
War of the nerve (La guerre des nerf) (1950)
Il a été publié en 1950, traduit en français en 1952 et ça se sent. Non pas que ce soit pénible à lire mais les idées ne sont plus aussi bien ou à la pointe de ce que l'on pourrait imaginer. Mais surtout certains termes ou certaines traductions ne sont pas valables ou semblent mal faites.

Citation :
Publié par Présentation de l'éditeur
Au-delà du système solaire, le " fureteur ", un vaisseau cosmique terrien ayant pour mission de découvrir les espaces infinis et les galaxies lointaines, se livre depuis des années à une randonnée d'exploration interplanétaire. Il transporte dans ses flancs plusieurs équipes de savants qui disposent des laboratoires nécessaires à la recherche et, parmi eux, des psychologues chargés de comprendre la nature des civilisations extraterrestres. Soudain, au coeur d'un désert d'étoiles, l'astronef rencontre IXTL. La créature flotte depuis des milliers d'années dans une nuit sans limites, cherchant obstinément la source d'énergie qui lui rendra ses terribles pouvoirs. Pour son malheur, le " fureteur " va attiser sa convoitise...
Je trouve le style pas si mal mais les explications scientifiques des savants uniquement centrés sur leurs domaines ça devient vite pénible. Les petites guerre entre les différents représentants font braire. Le personnage principal, Grosvenor, devient rapidement un surhomme à l'aide de sa science le nexialisme. Cette science est un sorte de module d'interfaçage entre les différentes sciences existantes. De la première à la dernière nouvelle il y a une constante évolution dans sa progression vers l'omniscience.
Par contre la troisième nouvelle a donné l'idée du monstre de Alien. Mais je ne pense pas cela vaille la peine de lire ce livre. On lui doit peut-être beaucoup pour avoir participer à populariser de la SF mais pour ma part je vais le laisser aux archéologues.
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Pour donner une idée, il reformate complétement l'équipage ( et ce n'est pas seulement 50 personnes ) parce que c'est le seul moyen de les faire survivre. Cela en une seule nuit avec l'aide d'une personne ( un géologue ). En plus il pense toujours à tout mieux que tous les autres vu qu'il connait presque tout.
Autre action sympa, je sauve l'équipage complet à moi tout seul en prenant contrôle à distance ( domination à des années lumières ) d'un ET un brin stupide.
Citation :
LA PIERRE ET LA FLUTE
de : H. Bemmann

"Jadis naquit à Fraglund un enfant qui devait connaître un singulier destin. En voici l'histoire. "Mais pourquoi ne crie-t-il pas ? s'étonna son père à sa naissance. Un enfant doit crier.
- On ne peut crier et entendre à la fois, repartit la sage-femme.
- Il s'appellera donc Tout-Ouïe."" Livre premier, dans lequel on apprend comment Tout-Ouïe reçoit pour présent une pierre étrange et part en quête de son mystère dans le domaine régenté par la belle Gisa aux yeux d'azur. Entraîné à commettre un méfait, il connaîtra trois rudes années d'errance au service d'un flûtiste sans pour autant réparer l'irrémédiable. Chemin faisant, il entend nombre d'histoires qui vont l'exercer peu à peu à l'art d'écouter. Un grand conte fantastique et roman d'initiation en trois livres, dans un monde féérique où le vrai sens des choses se cache volontiers derrière leur apparence.
http://www.alapage.com/get_img.php?cgi=livre_l&ref=l_isbn&num_ref=284172056Xrhttp://www.alapage.com/get_img.php?cgi=livre_l&ref=l_isbn&num_ref=284172056Xv
http://www.alapage.com/get_img.php?cgi=livre_l&ref=l_isbn&num_ref=2841720675rhttp://www.alapage.com/get_img.php?cgi=livre_l&ref=l_isbn&num_ref=2841720675v
j'ai pas la couv du 3eme tome
Citation :
Publié par Ghislain
La faune de l'espace de A-E Van Vogt

Il a été publié en 1950, traduit en français en 1952 et ça se sent. Non pas que ce soit pénible à lire mais les idées ne sont plus aussi bien ou à la pointe de ce que l'on pourrait imaginer. Mais surtout certains termes ou certaines traductions ne sont pas valables ou semblent mal faites.
Je trouve le style pas si mal mais les explications scientifiques des savants uniquement centrés sur leurs domaines ça devient vite pénible...
Par contre la troisième nouvelle a donné l'idée du monstre de Alien. Mais je ne pense pas cela vaille la peine de lire ce livre. On lui doit peut-être beaucoup pour avoir participer à populariser de la SF mais pour ma part je vais le laisser aux archéologues.
Ce n'est pas tant la date que le "style" de Van Vogt. Même à son époque, ses excuses "scientifiques" dans ses romans n'avaient rien eu de rationnels, il ne faut pas s'attarder sur la science qu'il décrit, on est loin d'avoir du Niven dans les mains. En fait ce sont peut être ses romans en entier qui n'avaient rien de rationnels
Mais c'est vrai qu'il est reconnu plus pour son succès (encore que j'ai du mal à le croire supérieur à des Heinlein ou des Asimov) que pour la qualité de ses oeuvres. Il reste pour moi un auteur attachant parce que j'ai découvert la SF très jeune en partie par lui, et je lui trouve un humour volontaire ou non assez sympathique. Pour la Faune de l'espace je l'ai lu il y a maintenant plus de 20 ans je ne saurais bien m'en rappeler, mais hors de sons "Monde des Non-A" (surestimé parce que bourré de théorie vraiment fumeuse), je conseille vraiment de faire le tour des bouquinistes pour s'en procurer. On peut trouver à des prix dérisoires une quantité d'autres romans tous inégaux, mais pour un ou deux euros (ça doit être possible), on peut espérer dénicher quelques belles perles (Le Monde Ptah, L'été indien d'une paire de lunettes,...), au pire ne pas vraiment avoir gâché son argent

ps: Ce que je lis actuellement n'a que peu d'importance mais c'est aussi de la SF. "Les Furies Déchainées" de Richard Morgan que j'ai pu acquérir pour pas un rouble afin de découvrir l'auteur. C'est de la vrai SF comme je l'ai toujours aimé, on peut être rebuté par l'excessive énumération des termes "technologiques" (sans aucune explications, après tout on passe pas le temps dans un roman moderne à quoi sert une radio) qui font couleur locale, mais je trouve qu'ils participent bien pour poser l'ambiance d'une planète au caractère très spécial
Citation :
Publié par Emanuelle
j'ai pas la couv du 3eme tome
Il est sorti ? J'ai jamais pu mettre la main dessus à la médiathèque
C'est pas pour rien que j'évite de lire des séries de bouquins, il n'y a rien de plus frustrant que d'attendre une hypothétique suite.

> Dégotté à la médiathèque une version audio des Milles et une nuits contées par Sapho. On est loin des versions édulcorées et hachées qu'on nous a fait lire enfants. Au niveau des gourmandises sensuelles ce n'est pas du Calaferte, ou de l'Appolinaire, ni du Rabelais - c'est surtout le merveilleux qu'on recherche dans ce texte. Il me semble.
La voix de Sapho est parfaite pour cette lecture.
Citation :
Publié par kerloken
Mais c'est vrai qu'il est reconnu plus pour son succès (encore que j'ai du mal à le croire supérieur à des Heinlein ou des Asimov) que pour la qualité de ses oeuvres.
En même temps le cycle Fondation d'Asimov est beaucoup plus dur à lire qu'un Van Vogt. C'est beaucoup plus littéraire. Tout comme Dune d'Herbert. Je pense que ce côté accessible de son stylo fait qu'il est plus "connu". En plus c'est beaucoup moins volumineux en général donc ça fait moins "peur" aux gens
Quand je parlais de supérieur, il s'agit bien du succès populaire de ces auteurs. Heinlein et Asimov, ont eut à la même époque je pense au moins autant sinon plus de succès de Van Vogt, pour les Etats Unis. En France c'est peut être plus discutable (Heinlein n'a jamais vraiment eu de succès avant des années) effectivement, et encore pour Asimov j'ai des doutes

ps: ah et comme il faut aussi parler de ce qu'on lit en ce moment, j'ai aussi le recueil de nouvelles Rashômon, histoire de patienter dans mon fauteuil avant d'être plongé dans le noir au cinéma

edit pour en dessous: Le Cycle de Fondation, je serais d'avis de commencer par Fondation, Fondation et Empire et Seconde Fondation uniquement. Le reste ayant été écrit bien après tend à vouloir faire la cohérence avec le reste de l'univers d'Asimov et perd aussi un peu de son âme je trouve. Mais personnellement j'ai dévoré dans l'ordre chronologique de l'histoire (donc de Prélude... à Fondation Foudroyée si je me souviens) sans que ça me dérange, mais j'ai toujours un faible pour la SF de l'âge d'or
Citation :
Publié par Sylfaën
Je viens d'acheter et d'entamer Le festin nu de William S. Burroughs.
Étant un grand adepte de cette littérature américaine, après mes lectures de Bukowski notamment (Pulp ayant fait son entrée dans mes livres cultes) je suis à peu près sûr que je vais prendre un grand plaisir dans la lecture de cet ouvrage.
Tu vas t'en rendre compte assez rapidement, c'est très différent de Bukowski, pas du tout le même univers ni la même façon d'écrire. De toute façon, l'expérience de Burroughs est unique et non reproductible. On peut même s'interroger si c'est encore de la littérature ou de la foutaise pure et simple. Les avis sont partagés. Pour ma part, je considère cette oeuvre comme majeure. Si l'auteur s'est fourvoyé, alors ses errements valent le détour, bon sang de bois !

Si tu désires en savoir plus sur le parcours de vie de Burroughs, alors tu peux poursuivre avec "Junky" (du même auteur), dans une veine plus classique et compréhensible. Si tu as l'âme d'un vieux pervers cocaïnomane et que tu veux te perdre un peu plus dans ses méandres stylistiques, je te conseille "la machine molle". "Les enfants sauvages" est amha moins indispensable.

Voilà... N'a plus... Leviens vendledi.
Citation :
Publié par Des équilibres
Il est sorti ? J'ai jamais pu mettre la main dessus à la médiathèque
C'est pas pour rien que j'évite de lire des séries de bouquins, il n'y a rien de plus frustrant que d'attendre une hypothétique suite.
oui, introuvable a la fnac/virgin j'ai du le commander sur le net (un peu cher d'ailleur mais la suite est tellement bonne ) le tome trois differe un peu des deux premiers je trouve, il est un peu plus noir, enfin j'en suis qu'au 1er tier la

http://www.alapage.fr/

tape LA PIERRE ET LA FLUTE ds la recherche (en minuscule il y a autre chose) :s
Citation :
Publié par 寛容 Lyla
La Rhétorique d'Artistote

et puis je viens d'entamer le Dictionnaire Egoiste de la littérature française de Charles Dantzig
AMAGAD ! Need !
Je viens de commencer la Legende de Marchemort de David Gemell, très bon auteur d'heroic fantasy.

Citation :
» Résumé : Le vieux guerrier se nomme Druss, mais on l’appelle Légende.
Sa vie est un combat sans fin : deux bras maniant la hache au nom de l’honneur et de la justice. Pour l’ennemi nadir, il est Marche-Mort, un surnom sombre et maléfique, synonyme de destruction.
A la veille de son dernier combat, le vieux guerrier raconte aux jeunes recrues qui l’entourent comment il a obtenu ce titre. Comment des années auparavant, il s’est embarqué aux côtés de l’énigmatique Talisman, un jeune guerrier nadir, dans la plus incroyable des aventures, en quête des joyaux d’Alchazzar, et comment cette aventure l’a conduit jusqu’au plus profond du royaume des morts. Lorsque Légende se lève et marche, il ne fait pas bon se dresser sur sa route…
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