J'ai joué une partie avec Bordeaux. Je me rappelle plus exactement toutes mes recrues bon marché mais il y avait notamment Julien François, un DC-MDC-MC de Metz qui s'achète pour une bouchée de pain et offre un rendement très intéressant en plus d'être extrèmement polyvalent, et Antoine Grauss (me souvient plus d'où il vient) MC utile et pas cher du tout, pareil pour Laurent Agouazi.
Ma formation, ça devait donner un truc du genre :
GB : Ramé
--> remplacé ensuite par Ruffier
D-LD : Chalmé
DC : Planus
DC : Henrique
D-LG : Matthieu
--> Jurietti jouant les doublures sur les côtés, François au centre. Acheté Bellaïd ensuite.
MDC : Diarra
MC : Fernando
MC : Grauss
MOC : Gourcuff
--> Agouazi et Jouffre en doublure au début, Schneiderlin et Chantôme qui viennent étoffer l'effectif les saisons suivantes.
BT : Gouffran
BT : Gignac
--> Je crois que j'avais recruté Cardozo en fin de saison (il coûte un peu cher mais il est loin d'être inabordable même avec un club français et ses performances reflètent ses caractéristiques : excellentes !).
Tu constateras qu'il y a certains grands absents. J'ai tendance à faire un peu de ménage dans mes équipes en début de partie et certains joueurs ne me satisfaisant pas voguent rapidement vers d'autres horizons (ici Cavenaghi, Wendel, Obertan notamment). Ça a comme avantage de modeler plus facilement l'équipe pour qu'elle convienne à ses exigences tactiques en plus d'offrir des moyens financiers (qui font parfois défaut, en France notamment). L'exemple typique ici, c'est Obertan, un excellent joueur du jeu mais à l'époque, j'utilisais pas du tout d'ailier (poste auquel il excelle) et comme il se vent très très bien (en Angleterre souvent)...
Au niveau consigne de jeu, j'avais donné (et je le fais généralement toujours) des consignes assez offensives : latéraux qui montent, rythme rapide, défense plutôt haute, etc... Ca marchait plutôt pas mal :-).
Dans l'absolu, c'est une partie que j'avais beaucoup apprécié ! Je me suis arrêté au bout de quatre ans, un peu blasé par la croissance lente des moyens financiers du club, qui du coup, bien que très performant au niveau national, avait du mal face aux armadas italiennes, anglaises et espagnoles notamment.