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(Hop je présente mon personnage.)

Nyu est le fils du défunt maire. Il est jeune et tête brûlé.
Son statut de fils de notable a fait de lui un véritable petit con, traitant le reste des villageois comme des moins que rien.
Il est aussi connu pour ses colères répétés et sa violence gratuite.
C'est pour toute ces raisons qu'il a peur ce soir. Il se dit que si ce ne sont pas les loups garous qui le tuent ce seront les villageois.
Oh oui la vengeance dans ce village est bien souvent sanglante.

"Pas le temps pour les regrets je dois rester pour veiller sur les biens de ma famille, je n'abandonnerai pas nos terres et qu'ils viennent me prendre, villageois ou loups garous, je les attends."
(Si on doit se présenter alors voilà : )


Didi. Orphelin, cadet du village depuis que les enfants de l'école ont été tous dévorés. Enfant craintif et timide, il est depuis toujours dominé par les autres villageois et surtout par Nyu. De plus, son léger bégaiement ne l'a pas aidé à s'affirmer. Il a peur de tout et de tout le monde.Chaque soir, il verrouille sa maison à double-tours en tremblant.


[HRP/] edit @ Sorgoth : Ma foi tu as peut-être raison.[/HRP]
Advo
(À mon tour alors !)

Jolie mais pas plus que ça, légèrement discrète, une point de curiosité, parle peu mais assez bien. Advo est, en fait, dans la moyenne. Elle n'a en apparence rien de particulier si ce n'est qu'elle prend plaisir à charmer la gente masculine, sans aller plus loin. Le soir, elle ne verrouille pas sa porte plus qu'il ne faut, elle pense que pour un villageois un simple tour suffit et qu'un loup-garou ne fera, lui, pas la différence entre une porte ouverte et une porte verrouillée.
Citation :
Publié par Sorgoth
[HRP] Ca va être bien dur de s'y retrouver si vous prenez des noms différents de vos pseudos. Je ne vois vraiment pas l'utilité ^^ [/HRP]
(Mui, tu as passablement raison, en fait.)
[HRP] Ca va être bien dur de s'y retrouver si vous prenez des noms différents de vos pseudos. Je ne vois vraiment pas l'utilité ^^ [/HRP]


*regarde Nyu au loin mettre le feu à une grange du Père Mathurin*

Quelle sale engeance que c'te Nyu, j'ai toujours dit qu'il avait l'air d'un démon...Et maintenant, vlà-t'y-pas que les loups-garous attaquent notre chti village, et qu'y parait que ce sont même des nôtres qui sont des leurs...

*Sorgoth se gratte le derrière avec sa fourche d'un air perplexe*

Moué, quand on voit comment certains se comportent, c'est pas ben dur d'être un génie pour avoir des soupçons.

*regarde Nyu éclater de rire en contemplant son forfait*
(Et n'oubliez pas de mettre le nom de celui que vous accusez en Gras et en Rouge lors de vos interventions sur ce sujet.

Les participants sont desormais :

Xadez
Sorgoth
disciple
Dunta
Advocatus
Nyu
Airmed / Ildefonse
Faust Uss Alabama
P'titdop
Miaou
Barry White)
Faust, dans sa vingt et unieme année, travail comme bucheron dans la foret depuis l'age de 16 ans, tout comme son pere et son grand pere. Seul rescapé du massacre commis par un loup garou deux ans plus tôt, il vit dans la peur constante d'être dévoré, ce qui explique surement son caractère réservé et anxieux.
Miaou, ancien professeur et grand ami du Maire, n'a jamais cru à ces histoires de loups-garoux. Il a aujourd'hui tout perdu à Bahrcelieux, excepté sa vie qu'il reste, malgré tout, prêt à défendre jusqu'au bout.

Sortant faire un tour dans le village avant la tombé de la nuit, Miaou croise un villageois, tenant semble-t-il à lui même, un discours dépourvu de toute raison.

"Allons mon ami Sorgoth... Restez sérieux. Vous n'allez tout de même pas commencer à croire à ces rumeurs ridicules sur les loups-garoux ?
Aucune étude sérieuse n'a démontré l'existence certaine de tels êtres, il ne s'agit là que de racontars pour faire peur aux enfants et aux dames.
Croyez-moi, la ou les personnes responsables de ce chaos, ne sont rien d'autres que des gens comme vous et moi. Excepté peut-être leurs âmes...

Conservez votre raison et votre bon sens, je vous prie. Le Tribunal du village en a bien besoin pour dénicher ces crapules, et les faire payer de leur sang. Lui seul, ainsi qu'un bon fusil peuvent nous protéger, et préserver ce qui peut l'être encore.
Restez tranquillement chez vous, armez-vous, mais ne vous perdez pas dans ces folles élucubrations qui risquent de porter atteintes à nos jugements."
Je m'appelle Franz Dop, je suis le fils du docteur Dop, ce qui m'a valu entre autres, le sobriquet du "p'tit Dop". La nuit de la première attaque, j'ai rêvé de loups. Depuis, toutes mes nuits sont agitées de sombres cauchemars, surtout depuis que mon père à rejoint le nombre des victimes.

Le professeur Miaou à peut-être raison, peut-être que les loups-garous n'existent pas. Peut-être qu'ils ne sont que le fruit de l'imagination délirante de survivants qui cherchent une réponse à leurs demandes de coupables.. Peut-être... Mais s'ils existaient ?

Peut-on être un loup-garou sans le savoir ?

En suis-je un moi-même ?

Ma vie à Bahrcelieux est devenue un enfer depuis que les autres sont morts. Et aujourd'hui voilà qu'il me faut craindre autant les monstres que les miens.
Je suis comme tout le monde le sait Airmed, de son surnom Ildefonse. Je me permets de rappeler mon histoire, meme si je l'ai deja souvent raconter au coin du feu. Avant de venir parmi vous, j'habitais gaiement dans un autre village avec ma femme, jusqu'au jour où de vils loups garous sont venus l'egorger pendant la nuit.
Ma volonté et mon immunité naturelle à ne pas pouvoir me transformer en loup garou m'ont permis de dejouer leur tour et de les defoncer les uns apres les autres.

C'est pourquoi je vous le dit, gentes dames et seigneurs de ce lieu, n'ecoutez point Miaou et ptitdop, et croyez en ma vieille expérience. Les loups garous se reconnaissent entre eux et feront tout pour nous exterminer jusqu au dernier.
Il est d'ailleurs bizarre, que malgres les precedents evenements, ils ne veuillent pas reconnaitre les faits. Et cherche à détourner l'attention sur des hypotheses comme quoi ils n'existeraient pas.

Je ne serais d'ailleurs pas etonne si les des deux n'en étaient pas ...
Personne ne connaît mon vrai nom, mais certains me surnomment Xadez. J'habite seul dans une cabane isolée construite de mes mains, un peu à l'écart du village. Je n'en suis pas mécontent, des créatures étranges rôdent dans les rues la nuit selon quelques rumeurs. Certaines vont même jusqu'à préciser qu'il s'agit de loups-garous.

Je vais retourner fabriquer des médaillons sensés éloigner les loups-garrous, pour les vendre à ces villageois naïfs. Non, même pas la peine d'en faire de nouveau, je n'ai qu'à leur vendre ceux qui devaient éloigner la peste lors de la dernière épidémie. Il faut simplement que je me méfie de ce voleur de Nyu, c'est le seul à avoir détecté ma supercherie.

Dunta fête aujourd'hui ses 26ème bougies. 26 ans qu'il vit au sein de Barhcelieux. Forcément, il connais tout les habitants. Mais on peut pas dire qu'il est eu forcément beaucoup l'occasion de leur parler durant toutes ces années. Non pas qu'il soit timide et totalement introverti, il est juste muet de naissance.
Mais malgré cet handicap flagrant au milieu de la terreur que connait la cité, Dunta a su s'adapter. Bloc note en permanence sur lui, il arrive tout de même à communiquer. Du moins, quand il comprend correctement ce qu'on lui dit.

Sur un bout de papier à côté de la table de chevet de Dunta est écrit :

"Je dors. J'espère vraiment que les loups garous ne me tueront pas. Et si cela s'avérait le cas, sachez que les livres cochons que vous trouverez sous mon lit appartiennent à Sorgoth. Veuillez les lui rendre si les loups m'ont eu."
http://img122.imageshack.us/img122/8571/levsol8juin1swpv8.th.jpg

Le village de Barhcelieux se réveillé alors que les premières lueurs de l'aube laisse découvrir un spectacle particulièrement affreux.

En effet, un corps sans vie gît désormais sur la place principale comme une provocation de plus de la part de ceux que tout le monde redoute.

Etendue a terre, exsangue on peut voir le corps d' Advo partiellement dévoré et comme si cela ne suffisait pas ses yeux toujours ouverts reflètent encore la terreur de ses derniers instants.

Advo etait la voyante du village
http://img339.imageshack.us/img339/3245/voyantenq8.jpg


Il ne reste désormais dans le village que :

Xadez
Sorgoth
disciple
Dunta
Nyu
Airmed / Ildefonse
Faust Uss Alabama
P'titdop
Miaou
Barry White


Qui est le responsable de cette abomination ? A vous de décider.


(Vous avez maintenant jusqu'a Lundi soir 21h pour le débat et le vote)
*Est réveillé par des bruits de hurlements venant de la rue*

"Mais bordel c'est quoi ce boucan encore ? Y'en a marre à la fin grmbl."

*Regarde par sa fenêtre et constate qu'il fait à peine jours*

"MAIS C'EST PAS VRAI IL FAIT A PEINE JOURS. ILS SE FOUTTENT DE MA TROGNE TOUT CES PECORS."

*Enfile son pantalon puis une veste et se prépare à sortir pour rejoindre l'attroupement en bas de la rue.*

"J'ai picolé toute la nuit, j'ai mal au crâne et ils me réveillent à l'aube avec leurs cris... J'espère que c'est important sinon je le jure sur la tombe de mon défunt père, JE VAIS FAIRE UN CARNAGE."

*Prend son fusil et sort.*

*Arrive à hauteur de l'attroupement*

"Bon qu'est ce qui se passe les gars ?"
*Gît sur le sol, étrangement mutilée, comme un oisillon confié aux petits soins d'un chaton apprenant la chasse*


http://ak.cdiscount.com/pdt/1/9/4/1/b/3322069870194.jpg

Qui cum venisset ob haec festinatis itineribus Antiochiam, praestrictis palatii ianuis, contempto Caesare, quem videri decuerat, ad praetorium cum pompa sollemni perrexit morbosque diu causatus nec regiam introiit nec processit in publicum, sed abditus multa in eius moliebatur exitium addens quaedam relationibus supervacua, quas subinde dimittebat ad principem.
Quid enim tam absurdum quam delectari multis inanimis rebus, ut honore, ut gloria, ut aedificio, ut vestitu cultuque corporis, animante virtute praedito, eo qui vel amare vel, ut ita dicam, redamare possit, non admodum delectari? Nihil est enim remuneratione benevolentiae, nihil vicissitudine studiorum officiorumque iucundius.
Quaestione igitur per multiplices dilatata fortunas cum ambigerentur quaedam, non nulla levius actitata constaret, post multorum clades Apollinares ambo pater et filius in exilium acti cum ad locum Crateras nomine pervenissent, villam scilicet suam quae ab Antiochia vicensimo et quarto disiungitur lapide, ut mandatum est, fractis cruribus occiduntur.
At nunc si ad aliquem bene nummatum tumentemque ideo honestus advena salutatum introieris, primitus tamquam exoptatus suscipieris et interrogatus multa coactusque mentiri, miraberis numquam antea visus summatem virum tenuem te sic enixius observantem, ut paeniteat ob haec bona tamquam praecipua non vidisse ante decennium Romam.
Constituendi autem sunt qui sint in amicitia fines et quasi termini diligendi. De quibus tres video sententias ferri, quarum nullam probo, unam, ut eodem modo erga amicum adfecti simus, quo erga nosmet ipsos, alteram, ut nostra in amicos benevolentia illorum erga nos benevolentiae pariter aequaliterque respondeat, tertiam, ut, quanti quisque se ipse facit, tanti fiat ab amicis.
Etenim si attendere diligenter, existimare vere de omni hac causa volueritis, sic constituetis, iudices, nec descensurum quemquam ad hanc accusationem fuisse, cui, utrum vellet, liceret, nec, cum descendisset, quicquam habiturum spei fuisse, nisi alicuius intolerabili libidine et nimis acerbo odio niteretur. Sed ego Atratino, humanissimo atque optimo adulescenti meo necessario, ignosco, qui habet excusationem vel pietatis vel necessitatis vel aetatis. Si voluit accusare, pietati tribuo, si iussus est, necessitati, si speravit aliquid, pueritiae. Ceteris non modo nihil ignoscendum, sed etiam acriter est resistendum.
Quibus ita sceleste patratis Paulus cruore perfusus reversusque ad principis castra multos coopertos paene catenis adduxit in squalorem deiectos atque maestitiam, quorum adventu intendebantur eculei uncosque parabat carnifex et tormenta. et ex is proscripti sunt plures actique in exilium alii, non nullos gladii consumpsere poenales. nec enim quisquam facile meminit sub Constantio, ubi susurro tenus haec movebantur, quemquam absolutum.
Huic Arabia est conserta, ex alio latere Nabataeis contigua; opima varietate conmerciorum castrisque oppleta validis et castellis, quae ad repellendos gentium vicinarum excursus sollicitudo pervigil veterum per oportunos saltus erexit et cautos. haec quoque civitates habet inter oppida quaedam ingentes Bostram et Gerasam atque Philadelphiam murorum firmitate cautissimas. hanc provinciae inposito nomine rectoreque adtributo obtemperare legibus nostris Traianus conpulit imperator incolarum tumore saepe contunso cum glorioso marte Mediam urgeret et Parthos.
Haec subinde Constantius audiens et quaedam referente Thalassio doctus, quem eum odisse iam conpererat lege communi, scribens ad Caesarem blandius adiumenta paulatim illi subtraxit, sollicitari se simulans ne, uti est militare otium fere tumultuosum, in eius perniciem conspiraret, solisque scholis iussit esse contentum palatinis et protectorum cum Scutariis et Gentilibus, et mandabat Domitiano, ex comite largitionum, praefecto ut cum in Syriam venerit, Gallum, quem crebro acciverat, ad Italiam properare blande hortaretur et verecunde.
Eminuit autem inter humilia supergressa iam impotentia fines mediocrium delictorum nefanda Clematii cuiusdam Alexandrini nobilis mors repentina; cuius socrus cum misceri sibi generum, flagrans eius amore, non impetraret, ut ferebatur, per palatii pseudothyrum introducta, oblato pretioso reginae monili id adsecuta est, ut ad Honoratum tum comitem orientis formula missa letali omnino scelere nullo contactus idem Clematius nec hiscere nec loqui permissus occideretur.
Paphius quin etiam et Cornelius senatores, ambo venenorum artibus pravis se polluisse confessi, eodem pronuntiante Maximino sunt interfecti. pari sorte etiam procurator monetae extinctus est. Sericum enim et Asbolium supra dictos, quoniam cum hortaretur passim nominare, quos vellent, adiecta religione firmarat, nullum igni vel ferro se puniri iussurum, plumbi validis ictibus interemit. et post hoe flammis Campensem aruspicem dedit, in negotio eius nullo sacramento constrictus.
Siquis enim militarium vel honoratorum aut nobilis inter suos rumore tenus esset insimulatus fovisse partes hostiles, iniecto onere catenarum in modum beluae trahebatur et inimico urgente vel nullo, quasi sufficiente hoc solo, quod nominatus esset aut delatus aut postulatus, capite vel multatione bonorum aut insulari solitudine damnabatur.
Cognitis enim pilatorum caesorumque funeribus nemo deinde ad has stationes appulit navem, sed ut Scironis praerupta letalia declinantes litoribus Cypriis contigui navigabant, quae Isauriae scopulis sunt controversa.
Postremo ad id indignitatis est ventum, ut cum peregrini ob formidatam haut ita dudum alimentorum inopiam pellerentur ab urbe praecipites, sectatoribus disciplinarum liberalium inpendio paucis sine respiratione ulla extrusis, tenerentur minimarum adseclae veri, quique id simularunt ad tempus, et tria milia saltatricum ne interpellata quidem cum choris totidemque remanerent magistris.
Hoc inmaturo interitu ipse quoque sui pertaesus excessit e vita aetatis nono anno atque vicensimo cum quadriennio imperasset. natus apud Tuscos in Massa Veternensi, patre Constantio Constantini fratre imperatoris, matreque Galla sorore Rufini et Cerealis, quos trabeae consulares nobilitarunt et praefecturae.
*à genoux devant la pauvre femme morte*
"Mhm. Saloperie." *se retourne en entendant une voix derrière lui* "A vous voilà-vous. " *inspecte rapidement Nyu*
"A première vue, et après une rapide analyse, il s'agirait d'une nouvelle victime. Si j'essaye par mon imagination de combler l'étrange vide au niveau de la tête, j'en déduis qu'il s'agissait d'Advo..."


*Détourne la tête visiblement dégoûte par l'odeur du corps*
"Quelle cruauté, faut-il à un homme, pour effectuer un tel acte ? Une femme si belle, si put... euh pure."
*toussote*

"Néanmoins, je tiens à dire qu'elle n'a eu que ce qu'elle méritait.
Je vous avais prévenu ! Barricadez-vous, vous ai-je maintes fois répété. Cette inconsciente se targuait dans tout le village de laisser sa porte ouverte, ses habitudes libertines l'auront rattrapé, et elle l'a payé de sa vie.
Voila qui est fait, et que ça serve de leçon à chacun d'entre vous. Mais un autre problème nous attend maintenant : Déterminer qui a intérêt à nous voir tous morts et est assez fou pour commettre un tel acte ?"
A peine arrivé devant le corps de la défunte Advo, Didi se retourna et vomit.


-Gluuurk! *s'essuie la bouche avec son mouchoir* Mo-mo-mon Dieu! P-p-personne n'est plus en sécurité dans le village! *se tourne vers Miaou* Qu'allons n-n-nous faire maintenant?
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