Le Grand Tournoi du Royaume de Joli

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@barry
HRP : Fais ce que voudra.
J'avais précisé en page 2 (mais au pire aucune importance) que le premier à poster pouvait "flam", tout le monde s'il le souhaitait. Et comme tu avais commencé à répondre à Nyu, j'avais cru que tu avais lu...
Vous n'êtes que quatre... Ce n'est pas bien grave si tout le monde répond un peu à tout le monde, j'arrêterai la joute en lançant l'épreuve suivante.

Chevalier Xievsarg le Fidèle quel esprit d'à propos!
Mais vous manquez cruellement de la fougue qui sied à un Barry!

Et vous Chevalier Nyu! Nous vous pensions plus guerrier que cela!
Jamais vous ne ternirez l'éclat de mon Barry!

Dame Keldhra la Délurée
Dame Keldhra,

Vous apprendrez, malheureusement à vos dépens, que le souvenir fugace de la fougue éphémère de votre Barry ne suffira point à vous réchauffer durant les longues soirées d'hiver alors même que la bienveillance des mots tendres de mon doux chevalier laissera encore sur mon visage un sourire béat.

Dame Bibz.
Qu'avions nous là ?
Un énième regroupement de nobliaux en mal d'amour ou y avait il, cette fois-ci, un intérêt plus particulier.
Les coeurs s'enflamment à l'écoute de leur choeur respectif.
Et si héros il doit y avoir, ils ne sont pour le moment que de simples hérauts.
C'est amusant de se repaître de tout ceci, ou peut être est-ce la jalousie qui me fait trouver ça hilarant.
Cruelle ironie.
Attendons la suite tant la mise en bouche est goutue, voir si les fleurettes peuvent passer l'hiver.


Tzimisce L'Ecarlate, roturier.
Citation :
Publié par La Clef
...
Aaaaah La Clef. La réputation de tes discours assassin t'avait précédé durant ce tournoi. Dommage qu'il a fallu que tu nous rejoigne pour prouver à tous que tu manquais cependant d'un certain piquant.

Tu me parles de dégénérescence alors que ton accoutrement parvient à peine à masquer les affres dont Dame Nature t'as affublé. Cela pourrait expliquer cette vieille rancoeur que tu traines après la "populace" que tu méprises si bien.

J'ignorais également que dans ta seigneurie tes courtisanes s'exprimaient d'une voix chaude et charmeuse.... qu'on ne retrouve que chez les hommes possédant une certaine virilité. Je plains donc tes pauvres soirées passées entre les bras velus et vieillissant. Je comprends que tu sois en manque d'affection au point de vouloir défendre une dame à tout prix mais de là à aller te consoler dans les bras de ces filles de joies sans amour, mon honneur serait blessé.

Je déplore finalement que pour tout hommage tu n'as réussi qu'à péniblement cacher une suite de mot te venant à l'esprit lorsque que tu penses à Madee, jusqu'à parfois friser le ridicule.

Je ne te salues pas.

Citation :
Publié par Nyu
...
Et toi, à quoi t'attribue-tu le titre de chevalier?

Je vais être bref: tu n'as simplement aucun honneur ni aucune fierté.

Appeller de minables renforts pour te soutenir mais quand même repartir avec quelque menu larcin une fois ta défaite certaine consomée?

Et critiquer le jeune âge d'un concurent alors que l'on est tout juste capable de composer une chanson digne des plus ridicules troubadours boutonneux des bas fonds du bourg?

Tu provoque uniquement la pitié, regarde un peu le dindon que tu trimballe avant de critiquer le poussin de ton voisin.
Juste pour annoncer aux foules mon retrait dans mes appartements... La nuit tombe, et demain la journée s'annonce rude pour les travailleurs...
Ainsi, je vous abandonne, mais ce n'est que pour mieux revenir encourager mon cher La Clef...
Je lance la troisième épreuve strictement féminine!


Les Chevaliers commencent à fatiguer… Railler ses adversaires est une vieille tradition, descendant de Charlemagne, en une telle nuit d’héroïsme et de prouesses nous ne pouvions oublier nos ancêtres et laisser leur gloire se ternir !

Mais ces Dames ne l’entendent pas de cette oreille !

Dans les tribunes l’ambiance musicale était à peu près au beau fixe quand soudain l’une des princesses se met à insulter sa sœur vertement !
« Comment tu oses défendre ton gueux alors qu’il a insulté mon héros de poêle à frire ?! »



EPREUVE N°3 : Mesdames !

La Guerre chez les Princesses

Quelle honte !
Vos sœurs tournent en ridicule votre tendre amant !
Vous décidez de la ridiculiser à votre tour en vous reportant pour cela à la première épreuve !

Pour ce faire vous devez juste tourner en ridicule l’une de vos sœurs et son chevalier en vous moquant de la lettre enflammée qu'elle lui avait envoyée et que vous avez bien évidemment interceptée... (la première épreuve).

Si vous avez d’autres idées, n’hésitez pas, la « missive » n’est qu’un support à l’inspiration.

Dame Bibz foudroiera le parchemin de Dame Madee!
Dame Madee incendiera celui de Dame Bibz!
Dame Keldhra pas en reste choisira l'une ou l'autre en fonction!

Tout à leur affaire, les chevaliers ne voient rien de ces échauffourées feutrées!


Dame Keldhra la Délurée
Citation :
Publié par Barry White
S'adresse à Nyu, d'une voix grave et lourde de menace.

Pense à ramener plusieurs cousin mon petit, tu ne t'attaque pas à ta proie habituelle de petit jouvenceau des campagnes du royaume de Jol mais bien à du lourd, du grand, du costaud, à l'élite de la chevalerie de ce royaume.

Part d'un rire puissant
Que d'héroïsme, que de bravoure.
Si je devais vous affronter dans un duel, cela me ferait presque peur.
Mais sachez qu'une lame sournoisement plantée dans un dos sans défense est bien plus efficace qu'une charge en armure compléte.

Dame Kheldra et vous même pourrait venir à souffrir si vous offensiez un seigneur prêt a payer mon salaire.

Part espionner les princesses, pour s'informer du contenu de leurs lettres.
Message hors-roleplay
Citation :
Publié par Nyu
Pourquoi ne pas reprendre la compétition demain ?
Je vais devoir afk plusieurs heures.
Moi j'ai un mal de crâne qui me fait un mal de chien, et j'dois prendre mon train pour l'irl paris demain midi, sachant que j'ai des choses a faire avant... Il serait sage que j'aille me coucher bientôt.

Edit: bon bah demain j'suis a l'irl paris, donc chaud du slip pour que je participe. Bonne nuit all
Pas de soucis!

L'épreuve est sensée rester role-play pas devenir un sacerdoce pour les yeux fatigués et les cervelles embrumées!

Rassurez-vous, vous en êtes à la moitié...

Et les deux dernières sont beaucoup plus simples.

En tout cas MERCI!
Merci aux participants, chevaliers et princesses comme spectateurs et à tous les lecteurs qui sont passés sans troller, ni flooder.

Devant vous tous je m'incline et vous salue avec un respect non dissimulé.

Merci encore et bonne nuit.

Je vais poster le reste des épreuves. Au pire chacun les fera à son rythme.

Dame Keldhra la Délurée
Je remets l'épreuve des princesses au cas où...

Les Chevaliers commencent à fatiguer… Railler ses adversaires est une vieille tradition, descendant de Charlemagne, en une telle nuit d’héroïsme et de prouesses nous ne pouvions oublier nos ancêtres et laisser leur gloire se ternir !

Mais ces Dames ne l’entendent pas de cette oreille !

Dans les tribunes l’ambiance musicale était à peu près au beau fixe quand soudain l’une des princesses se met à insulter sa sœur vertement !
« Comment tu oses défendre ton gueux alors qu’il a insulté mon héros de poêle à frire ?! »



EPREUVE N°3 : Mesdames !

La Guerre chez les Princesses

Quelle honte !
Vos sœurs tournent en ridicule votre tendre amant !
Vous décidez de la ridiculiser à votre tour en vous reportant pour cela à la première épreuve !

Pour ce faire vous devez juste tourner en ridicule l’une de vos sœurs et son chevalier en vous moquant de sa lettre enflammée que vous avez subtilement détourné...(la première épreuve).

Si vous avez d’autres idées, n’hésitez pas, la « missive » n’est qu’un support à l’inspiration.

Choisissez la missive la plus adéquate à vos idées ou inventez, vilipendez toutes vos soeurs en même-temps!


Le Roi annonce l'épreuve des Chevaliers avec beaucoup de fierté.
La Reine se retourne délicatement et jette un oeil vers les chipies...


EPREUVE N°3 bis : Messieurs!

La Quête

Trop absorber pour se rendre compte de quoi que ce soit, nos preux et honorables Chevaliers poursuivent donc les épreuves…

Comme chacun sait ce qui différencie un vrai chevalier d’un faux c’est sa capacité à se fixer une quête et à la réussir.

Vous devez, pour ce faire, aller errer dans la sombre toile du Net, où l’Araignée tisse fil à fil sa toile, trouver et rapporter : soit un objet totalement incroyable, soit une « nouvelle » complètement délirante, soit… Bref, n’importe quoi de totalement déjanté vous permettant de le déposer à nos pieds !

C’est ça être un vrai Chevalier Joli(en) ! Etre capable de surprendre le monde entier et encore plus sa « tendre » promise… Vous pouvez grossièrement truquer une image, transformer un article du Monde, bref, tous les coups sont permis…

Lorsque les Chevaliers auront déposé leur trophée et lorsque ces dames auront fini de s'enflammer, vous pourrez tous continuer...


Le Roi et la Reine ne savent plus à quel saint se vouer !
Impossible de calmer leurs douces filles transformées en véritables furies !
Bien décider à en découdre, les princesses sont devenues totalement sourdes aux supplications de leurs parents !



EPREUVE N°4 : Mesdames !

Aux armes citoyennes !

Aller chercher l’image d’une arme imaginaire ou réelle que votre « princesse » aura entre les mains, une toute petite phrase d’accompagnement, incluant la « devise » flottant sur l’étendard de votre Chevalier Servant serait la perfection.


EPREUVE N°4 bis : Messieurs !

Halte-là !

Vous en laissez tomber les objets de votre quête, totalement hallucinés par la scène qui s’offre sous vos yeux ! La Reine en larmes court vers vous et vous supplie de faire quelque chose !
Oui mais quoi ?

Les princesses, enfin les furies, se courent partout après!
Le public a fui, c’est la panique totale au Royaume de Joli !
Les estrades sont explosées, les écuries du château sont en flammes !


Vite ! Vous avez trois minutes pour trouver l’image d’un splendide bouquet de fleurs à ramener à votre « douce » afin de l’apaiser !
Cela s’appelle le « flower powa » + 10 000 en roxxance lorsqu’il s’agit de lever de la Princesse Joli(enne) !



CONCLUSION :

Tout est bien qui finit bien…

Que chacun invente son petit "salut" avant le baisser de rideau...
Je vous laisse juges de comment cette étrange histoire doit se terminer...
Un léger état des lieux, une sobre description, un petit effort de mémoire pour décrire comment vous avez vécu toute cette aventure...

Voici une petite aide sans prétention que vous êtes libres d'étoffer ou au contraire vous pouvez la laisser de côté et faire confiance à votre talent.

Vous êtes tous de merveilleux Chevaliers et vos belles Princesses sont redevenues des femmes tendres et aimantes.
Mais l’éclat de feu brillant dans leurs prunelles vous laissent quelque peu dubitatifs quant à leur « douceur »…
Leur calme apparent ne serait-il pas la pire des feintes ?
Tout à votre bonheur, votre adorable princesse roucoulant entre vos bras, vous n’y pensez pas trop…

Les princesses, elles, s’épient au travers de leurs cheveux en bataille vivement repeignés… Quelques coups de pieds discrets, pincements, grimaces et autres joyeusetés passent, sans être remarqués, de l’une à l’autre, tout en se lovant dans les bras de leurs valeureux guerriers…

La fin de cette histoire ?


« Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants… »

Dame Keldhra la Délurée
PS: Amusez-vous comme vous le souhaitez.
Ces épreuves sont pour vous et si certains ont d'autres idées... N'hésitez pas.

Qui sait... On arrivera peut-être à remettre ce genre de fil à l'ordre du jour à chaque vacances d'été et aux vacances de Noël...

Si cela vous a plu, je veux bien me charger d'en faire un prochain dans une autre ambiance, style apocalyptique, (genre Mad Max) ça pourrait être sympa...
- Taur ... Tauk ... TauliER ! Du vin pour nos panses assoiffés. *hips* Nenni que je suis une outre bitue *hips* , mais ces greluses et messires pleins de fourrages, sont allés garnir leurs paillasses et forniquer comme des truies ! *burps* En plus ces foutriquets ont rendus publique toute la cuvée de tournoi à venir. Comme si j'avais déplacé mes frusques jusqu'ici pour admirer la donzelle. On veut de la saignasse, de la barbac ! *hips* Mais pour l'instant sert moi un gros rouge vil paillard ! *burps*

<Vomi sur les genoux d'un serf assis à ses côtés et commence à chanter>

- AU BORD DEULA RIVIEREUH ! MADEE MADEE MADEE !! ...
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par Aeros
Bon, on en est ou de la joute là ?
Eh bien c'est le bordel total et les nombreux pavés "RP" bourrés de vocabulaire mal maîtrisé n'arrangent pas la compréhension.
La brillante société fit silence un moment devant l'incongruité de l'intervention du hobereau de Bretagne. Quand il eut fini, les conversations reprirent. L'attention se portait sur le seigneur La Clef car on avait vaguement compris que le chevalier clochard s'en prenait à lui pour ravir sa promise.

Mais on vit un conseiller du roi, qui était borgne et bossu, qui avait les mains calleuses, le regard torve et l'haleine d'un lépreux, s'approcher du beau sire.


" Mais messire, ne répondez-vous pas à cet affront ? On murmure qu'il a attenté à votre honneur et déjà, il joue de son pipeau mou pour appâter votre dame.

- Brave Turgon, répondit La Clef, vous êtes un sot et un importun. Le seigneur Canivo, dont vous ne voyez plus là que le triste cadavre, fut avant notre âge d'homme une des plus belles épées du royaume. Il ne mérita les louanges que les femmes de chambre chantent encore qu'à sa vertu et à ses hauts faits. Sur cette mauvaise terre de Bretagne où ne poussent que des chardons, des choux et de la bruyère, il est apparu comme une rose mystique, improbable dessin que le vent disperse. Je lui cède donc dame Madee pour la nuit, certain qu'il s'endormira avant d'avoir pu goûter son divin coquillage. Et de cet homme, je préfère les railleries à l'indifférence.

Sur ce, disparaissez. Vous manquez de goût et de tenue."
Epreuve numéro 1 :

C'est au petit matin, perchée sur un vieux canasson fatigué que débarque sur le lieu du tournoi Dame Sponsachtige la rebelle. Après avoir chevauché toute la nuit en provenance de son fief mal famé, c'est le cul en compote ,les reins en purée et l'humeur très mauvaise qu'elle met enfin pied à terre. Sa première impression du royaume de Joli est en effet des plus mauvaises : ayant voyagé aux heures les plus dangereuses, espérant croiser des trousseurs et autre renifleurs de sang pour donner à son périple quelque caractère bucolique à raconter aux copains en arrivant, elle n'a finalement croisé, une fois la frontière entre les deux pays franchie, que quelques biches endormies et un ou deux papillons.

La grande prairie affrétée pour l'occasion est en tous point calme et proprette. Quelques tentes bariolées ça et là et des feux de camps ordonnés fument leurs derniers morceaux de bois. Rien ne bouge, tous semblent dormir du sommeil du juste et la propreté du site laisse présager du pire. Dame Sponsachtige serre les poings et jure entre ses dents, pestant contre le Royaume du Joli qui ne semble point connaître le désordre et le vice, sans lesquels d'après elle, il est impensable d'envisager des affrontements.

Appercevant au loin une tente qui semble encore abriter quelques irréductibles, elle s'en approche et sans crier gare, écarte la peau d'ours éclatante qui lui sert de porte :

- Z'avez pas vu M'ssieur Lucha Libre ?

A l'intérieur, vautré copieusement sur des coussins et des tapis, une petite troupe fait cercle autour d'un dandy enveloppé dans une robe de chambre épaisse et trônant sur un pouffe aux couleurs pastels. La Clef le sage, offrant à quelques privilégiés aux têtes blondes la lecture matinale de ses poèmes, le tout se délectant de petites pâtisseries fines. C'est les yeux exprimant un dégoût et une surprise scandalisée que le petit groupuscule reste muet. Dame Sponsachtige se retire en haussant les épaules.

- Tss, cons d'intelos de mes fesses ! crache-t-elle en s'éloignant.

Maraudant entre les tentes, fumant un clope à l'odeur pestilente, elle avait presque abandonné tout espoir et, désespérant de mettre la main sur Lucha Libre, s'apprêtait à reprendre la route sans même, je cite "dire au revoir à tous ces connards" quand elle se retrouva en face d'une petite auberge qui n'était pas sans lui rappeler celles de son Royaume mal famé. Parce que la perspective de s'en jeter un petit avant de remonter sur son canasson semblait toute logique, la voila qui y rentre.

- Patron ! Un p'tit blanc !

L'auberge est presque vide. Un seul homme, assis à une table dans le fond, semble somnoler en cuvant sa nuit et ses relents de femmes, c'est le Seigneur Canivo. Voyant en lui un quelque chose de son pays auquel se raccrocher, Dame Sponsachtige sans hésiter va de suite s'asseoir à la même table et, après avoir avalé son verre d'un cul sec, dit :

- Z'avez pas vu Lucha Libre, non ? ... c'est le marlou que j'me suis collée aux miches pour le tournoi... Un grand gars, bien costaud, avec des cheveux frisés et une queue de cheval un peu tarte... Non ?... J'ai fait le tour du campement et j'trouve pas, rien, que dalle... Et c'est pas le genre à se planquer que'que part entre les cuisses d'une paysanne, il serait même pas capable de lever un éléphant... Dans mon coin, c'est pas le plus bavard mais moi ça me va. Du moment qu'y sait s'y prendre avec la baston... tu vois le genre ? et qui m'fait pas des entourloupes... de toute façon, chais pas si je vais rester... t'as vu dehors un peu ? jamais vu un truc pareil. Y z'ont même installés des gogues de chantier. Chez nous on creuse des trous et hop. Un tournoi c'est pas sensé être cul cul la praline, faut que ça suinte un minimum, t'es pas d'accord ?... quand même, faudrait que j'arrive à mettre la main sur mon partenaire.. tss.. Regarde, j'avais même rédigé un p'tit mot pour se donner rendez-vous.. comprends pas qu'on se retrouve pas.. r'garde :

Salut Luch'

Bon alors, on se retrouve au royaume à la con le matin tôt
Pas loin de là où qu'on peut mettre les canassons
J'espère que tu vas assurer pour le tournoi ducon !
Soit pas en retard

Sponsach'


- Bon, t'es pas bavard toi non plus... j't'paye un coup ? Oh ben, qu'est-ce t'as sur l'épaule ? un poil de r'nard ?

Et Dame Sponsachtige de partir d'un grand rire, découvrant une dentition pour le moins glamour.
Erf, vais pas me laisser insulter, même en RP.

Le bossu estéquit quitta discrètement la salle et se dirigea vers la tour nord du château. Lorsqu'il fut arrivé, il s'agenouilla devant un homme qui portait un grand manteau à capuche noire. Sa taille et sa présence le rendaient pareil à une ombre qui emplissait la pièce.

« Messire Turgon, dit le bossu, le travail de zizanie à la cour du Seigneur de la clef ne porte pas ses fruits.
-Comme on pouvait s'y attendre, ces imbéciles restent solidaires. Mais ne t'inquiète pas, Tancrède, j'espère jouir assez de l'oreille du roi pour qu'il intervienne. Continue à semer le doute, même si leur haine doit se tourner contre toi.
-Mais Messire, ne craignez vous pas qu'ils finissent par s'en prendre à votre fief ?
-Non, car s'ils finissent par intervenir, je révélerai mon vrai visage et tout ce que tu as fait en tant que moi ne sera pas porté à mon crédit. Tu n'auras été qu'un imposteur et je serai blanc comme neige. Je doute qu'ils te retrouvent, ton talent à te déguiser est exceptionnel. De plus, tu seras riche.
-Grand merci Messire.
-Maintenant va, et continue à inspirer la haine et le ressentiment à la cour. La laideur dont tu as paré ton visage est parfaitement adaptée à ta mission, je t'en félicite. »

Le bossu quitta la pièce et repartit vers la grande salle.
HRP

@Spons'
Je pensais qu'on les jouerait en "live"...
Désolée...
Mais comme je ne suis pas certaine d'être disponible Lundi pour reprendre l'arbitrage de la partie... J'ai préféré tout vous laisser et que chacun fasse comme il peut selon envies et disponibilités.

@Canivo
Par sang bleu! Vous écrivez tel un dieu!

@Turgon
ET bah... Je suis étonnée mais ravie...
Une intrigue supplémentaire!

Keld
Epreuve numéro 2 :

Citation :
Publié par Keldhra
Vous avez vu vos Chevaliers défiler sous vos yeux avec leurs étendards.
Que dalle ouais ! La Louche est toujours introuvable.
C'est un peu en retrait, les yeux plissés de rage, que Dame Sponsachtige chante.

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