Bonjour
Ayant beaucoup d'estime pour ce grand monsieur, j'ai décidé de vous demander de me donner votre opinion sur ces livres ainsi que sa récente "célébrité".
Il est né en 1965 à Neuilly sur Seine.
Il a fait sciences politiques et un DESS en marketing et publicité.
En 1990, il est publicitaire chez Young & Rubicam et il publie "mémoires d'un homme dérangé".
En 1997, il est critique littéraire à Voici et sur Paris première.
En 2000, il écrit "99 francs".
En 2002, il est Directeur chez Flammarion
En 2003, Il a écrit "Windows on the world et il reçoit un prix Interallié.
En 2007, il écrit "Au secours pardon" et cesse sa collaboration au Grand Journal (Canal +)
Citation de lui: "C'est une erreur de croire qu'être mondain décrédibilise les écrivains. On a emmerdé Fitzgerlard, Françoise Sagan , Truman Capote toute leur vie sur l'air de "Un coktail, des Coctau", ou en reprochant à Fitzgerarld d'être en photo dans Vogue, et on me le reproche autant. Ca n'a pas changé en une siècle. Qu'on lise mes livres, on verra qu'ils sont en parfaite cohérence avec ma vie: j'essaie justement d'y analyser l'hédonisme, de savoir si l'idéologie actuelle nous rend heureux ou pas.Octave le héros de "99 Francs" et d'"Au secours pardon" , est un jouisseur malheureux, un égoiste romantique, un mec qui ne pense qu'à draguer des femmes sublimes , être célèbre et avoir du fric. Or cela ne le rend pas heureux, je pense que c'est un sujet important".
Adulé ou détesté, il dit aussi que le rôle d'un romancier n'est pas de tomber le masque. Il dit que c'est au contraire d'en mettre le plus possible. Il dit par exemple que les gens sont libres de penser que ces romans sont malsains. Ils peuvent y voir un roman "Au secours, pardon" comme un roman qui pointe les horreurs et les dérives de notre société de consommation à la recherche de fraîcheur, de jeunesse, pour vendre des cosmétiques et faire croire aux femmes qu'elles auront toujours 14ans de peau.
C'est l'une des choses qu'il dit dénoncer dans ce livre mais il n'a pas envie de faire des explications de texte.
Il dit que c'est agréable de lire "American Psycho" sans savoir ce que pense Breat Easton Ellis. On ne sait pas s'il est un serial -killer-malade-sexuel-sadique ou s'il dénonce les yuppies de Wall Street qui se croient tout puissants et tous permis.
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