En même temps, vu les prix confiscatoires de l'immobilier, je ne serais pas contre une baisse. J'ai comparé ma situation avec celle de mes parents, à revenu équivalent (fonctionnaire A en début de carrière), je paye 1/3 de mon salaire dans mon logement ( loyer en province), là où ils ne dépensaient qu'1/9 du leur (achat en IdF) pour des appartements de tailles équivalentes (et construits la même année : neuf hier, ancien aujourd'hui).
Donc, que les banques, les AI et les proprios aillent se faire foutre, et vive le krach. On nous rebat les oreilles avec les impôts qui sont trop élevés, mais la plus grosse ponction sur le revenu des ménages, c'est l'immobilier.
C'est un joli texte mais sans intérêt économique,
Si il y a un crack de l'immobilier, c'est qu'il y a un crack économique. Après tout, comme tu le fais si justement remarquer, le logement représente une très large part du budget des ménages, et donc, fondamentalement de l'économie française.
Quelle situation préfères-tu :
- Avoir un emploi et être à même de mettre 1/3 de ton salaire dans le remboursement de ton emprunt immobilier ou dans ton loyer ?
- Être au chomage et ne rien avoir du tout ?
On ne peut pas souhaité un crack, c'est pas possible. On ne peut QUE espérer que la situation actuelle entraine une prise de conscience que le marché de l'immobilier est, comme tu le fais remarquer, un facteur très lié au bonheur des français et qu'il n'est pas bon de jouer dessus inconsidéremment.
Quant aux explications sur l'immobilier et son cout actuel, je te renvoie aux notions de bases :
- marché cyclique
- prix de la construction qui suit l'inflation
- phénomène de société ayant un impact sur les coûts.
- aux volontés politique depuis 20 ans qui font que paris concentre toujours 50% de l'activité française
|