Avec la chaleur actuelle, je fais des rêves du matin, ou plutôt des cauchemars qui me réveillent. Ils ont de spécial que je m'en rappel beaucoup mieux que la plupart de mes rêves. Voilà le dernier, qui doit avoir rapport avec les soldes :
Alors je suis dans un grand hôtel (grand en espace, pas luxueux), dans la salle de réception, assis à une table. J'invente un jeu de carte. Tout d'un coup je lève les yeux et je vois un mort dans la salle de réception. Aussitôt la police arrive et je lui explique que je suis témoin du meurtre, ils comprennent, me posent des questions inaudibles auquel je réponds en hochant la tête. ensuite je pars car je dois aller voir un spectacle.
J'y vais en voiture, conduit par une petite grand-mère et son chien, la voisine du rez-de-chaussé. J'arrive sur le parking d'un supermarché. Ils sont en train d'y monter un musée de la tortue, en hauteur. Il s'agit d'un bâtiment géant en forme de tortue, qu'ils hissent grâce à des câbles. A l'intérieur, une présentatrice blonde raconte des trucs que je ne comprends pas, et un technicien fait des réglages. Finalement le musée de la tortue arrive à sa place finale, il remue, toujours suspendu à son câble, puis se stabilise. La présentatrice et le technicien sont super content, mais d'un coup, le musée de la tortue est à nouveau prit de soubresauts totalement inexpliqués. La présentatrice flippe un peu, le tout se stabilise à nouveau, mais le phénomène étrange recommence juste après. La présentatrice et le technicien sont finalement évacués en rappel et l'évènement annulé. Je monte dans la voiture de ma voisine, son petit chien nous rejoint puis il me lèche le visage. La voiture disparaît.
Je rentre à pied, je croise beaucoup de voitures de touristes le long du chemin, il fait nuit et j'arrive à nouveau à l'hôtel du meurtre. Devant l'entrée, il y a des voitures de polices et une bande jaune. Je vais voir l'inspecteur et lui demande s'ils ont trouvés des indices. Il me répond qu'il n'y a rien de nouveau, un peu excédé par une foule de curieux entassés sur une place face à l'hôtel. Je lui demande si cela pose problème que j'aille à la gare prendre un train pour Lyon, il me réponds "aucun" en riant et me désigne le chemin de la gare : un parc sombre, en pente, dont je ne perçois que le sommet. Ce parc me fait très peur. Son adjoint qui ne goûte pas la blague de son supérieur me montre une grande passerelle suspendue par des câbles qui est un raccourcis pour la gare. Je devine que les gens qui passent par le parc se font assassiner et dévorer vivant.
Devant l'hôtel, d'un coup, le jour se lève. Des types habillés très bizarrement, avec des vêtements normaux, aux couleurs vives et totalement dépareillés, apparaissent sur les balcons. Ils se mettent à jeter avec une force prodigieuse des cadavres frais sur la foule en bas, soit des corps entiers soit des têtes. Leur puissance est telle que les gens recevant les projectiles morbides sont balayés et gravement blessés. C'est la panique, je fuis, mais dans la direction opposée au reste de la foule. C'est une erreur, car les types sautent des balcons pour achever le travail à la main, et je suis entre la foule et eux. Je cours dans l'autre sens, pour profiter de la protection de la masse, mais un de ces types se retrouve devant moi. J'en vois un autre qui roue de coups une femme. Ce ne sont pas vraiment des personnes, mais des mannequins, car ils n'ont pas d'yeux bien qu'ils possèdent des arcades et leurs traits sont très réguliers et nets. Ils ont tout de même des oreilles, un nez et une bouche humaines. Ils rient. La bataille s'engage, je ne sais pas me battre et il va me tuer, alors je sors mes cartes, et grâce au jeu que j'ai créé je contre-attaque. Avec un brelan je le lacère de façon sanglante, comme par magie, puis avec une paire je l'achève et il se consume, se carbonise en dégageant des volutes de fumée. Là je me réveil.
En plus, je ne me drogue pas