[harermuir]

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Publié par Norik/Slalkfa

Oui, mais le problème c'est: si je piège les antiparticules créées par cette création de paire à l'interieur du vaisseau, à l'arrivée, l'observateur pourra témoigner de la présence de ces positrons.
Donc au final, on observera bien la même chose dans les deux cas... ou j'ai pas bien suivi?

Bah c'est quantique déjà, donc on ne peut parler que de probabilité. Donc l'observateur à l'intérieur du vaisseau a une chance de mesurer la présence d'un electron que ne mesurera jamais celui à l'extérieur. C'est pas si choquant que ca, je trouve à la reflexion (mais il faudrait que je vérifie).

Citation :

Euh, et la conservation de l'impulsion dans le cadre de la création de paires, j'ai un gros doute là...

Sur le fait qu'elle s'applique, elle s'applique tout le temps Sur le fait que ca ne marche pas si tu as un photon tout seul, je t'en prie, fait le calcul, c'est un résultat connu

[GuiWald]

Citation :

Publié par Norik/Slalkfa

Non, mais on pourrait détecter.
Avec de très TRES bons détecteurs dans le cas du décalage vers le bleu. Parce que la longueur d'onde risque de devenir très petite et les photons n'interagirons plus avec grand chose (pour ceux qui connaissent, section efficace très faible dans le cas des gammas )

Petite précision : on verrai bien les étoiles comme des traits, du fait de la dilatation de l'espace lorsqu'on s'approche de la vitesse de la lumière. De même un observateur immobile qui verrai passer notre vaisseau le verrai rétrécis.

[harermuir]

Citation :

Publié par GuiWald

Petite précision : on verrai bien les étoiles comme des traits, du fait de la dilatation de l'espace lorsqu'on s'approche de la vitesse de la lumière. De même un observateur immobile qui verrai passer notre vaisseau le verrai rétrécis.

Bah euh ... Par principe de relativité, j'aurai envie de dire que si un observateur fixe voit le vaisseau retreci, un observateur sur le vaisseau verra les étoiles retrecis aussi.

[Eflin]

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Publié par Norik/Slalkfa

Dans le cas des creations de paires, des collisions avec quoi, exactement? C'est un phénomène spontané, non? (Notre prof nous a vaguement expliqué un truc sur la mère de Dirac et les électrons d'énergie négative, mais c'est purement formel, non? Ce ne sont pas des particules qui se déplacent avec le vaisseau, toussa, si?)

Il me semble qu'il faut un champ perturbateur, comme celui d'un noyau près duquel passe le photon pour qu'il y ait création d'une paire électron-positon. Parce que sinon je prends ma lampe de chevet, j'imagine une ribambelle de référentiels allant vers la lampe à une vitesse de c(1-10^-19) et j'ai une source inépuisable de paires .


Sinon pour l'application numérique 10 minutes/35 millions d'années ce serait plutôt un décalage de la lumière visible de M101 vers les 100 GeV et de la lumière visible de la Galaxie vers le kilométrique.