Je vais te tuer

 
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Tu m'a pris mon nom, mon histoire.
Tu as failli prendre ma vie.
Tu as semé le pire des doutes dans l'esprit de mon aimé.
Copie, spectre, sangsue, minable reflet, avatar décadent, araignée au centre de ta toile.
Je serrerai autour de ton cou les fils que tu as tissés, je t'égorgerai en offrande à ton propre autel. Je répandrai tes entrailles maudites sur la terre qui recrachera ton sang.
Et ces cheveux noirs, ces yeux bleus, que tu m'as pris, je les arracherai, je les crèverai.

Tu peux te cacher, je te débusquerai, chienne qui se prend pour une louve.
Je suis la seule, tu es un mensonge.
Je ferai disparaître jusqu'à ton souvenir dans les trois royaumes.

Ce nom n'est qu'à moi, et je le reprendrai.


Je vais te tuer.
une femme se pare de mon nom, elle en a fait le lit de son ignominie.
Ce nom n'est qu'à moi, et quand ceux qui s'étripent au frontières entendront qu'Innana a tué Innana, ils s'ébaudiront et je me réjouirai.
Je suis l'avis de Dunccan.

(Menacer quelqu'un de mort est très répandu chez les jeunes délinquants ou les personnes perturbées. Bien sûr, tout le monde a dit un jour "Je vais te tuer", mais en ont-ils réellement l'intention ? )
Citation :
Publié par Ze. ©
Je suis l'avis de Dunccan.

(Menacer quelqu'un de mort est très répandu chez les jeunes délinquants ou les personnes perturbées. Bien sûr, tout le monde a dit un jour "Je vais te tuer", mais en ont-ils réellement l'intention ? )
Joli text

A mon avis il est question de la racaille qu'il faut nettoyer au carcher

Bien a toi Orvietan

.:*Mid /Orca*:.
Orvietan [50][Healer] Norseman 8LX ML10 <BäD BöY>
Blitz [50][Savage] Troll 3LX ML0 <BäD BöY> <Up>
.:*Alb/Ys*:.
Tethys [50][Infiltrator] Saracen 6LX ML0 <BäD BöY>
Floumena [50][Paladin] Highlander 4LX ML10 <BäD BöY>
<HS>

Car je n'aime pas... que l'on nomme tournante, un viol.
Je n'aime pas... que l'on appel jeune, des voyous.
Je n'aime pas aussi... que l'on prénomme grands frères, les kaïds

<fin du HS>

Sinon très joli texte


Sarkoooo Sarkooo on te... euh... voila.
Innana je t'ai su morte.

Une autre que toi oserai porter ce nom que je ne supporte.
Sinonyme de traîtrise et de malfaisance, il faut avoir le courage de prononcer ce nom prés de moi. Chacun risque la torture pour que je sache où trouver ton corp.

Maintenant tu reviens de chez les morts pour punir celle qui ose porter ton nom. Je ne vois que clairement ce qui se passe.
Sache que courir aprés deux Innana m'importe peux, tout le monde saura alors qui tu es vraiment.

Innana, prends garde à toi
Citation :
Publié par kansuila
Sarkoooo Sarkooo on te... euh... voila.
Il faudrait peut être se renseigner sur l'actualité avant de venir dire des imbécilités pareilles... Enfin ce n'est pas le sujet...


Le texte est plutôt bien écrit, après le sujet... c'est une autre histoire
Moi c'est le contraire.

Je n'aime pas vraiment ton style. Mais ton texte arrive quand même à gêner. Après le blocage dû au texte et une tite réflexion, on se rend compte qu'il y a quand même pas mal d'idées derrière.
Mon âme noire s’étire à travers le temps.
Mon cœur se déchire à l’appel de l’antan.
Mes yeux s’ouvrent dans la spirale maudite
Du voyage sans fin...et je me souviens.

Fière celte au regard azur, à la chevelure d’ébène,
Indomptable sumérienne à la peau brune,
Dans le sang, dans la passion, nous nous sommes liés.
Moi, le roi sans terre, triste sarrasin, dernier roi de Babylone,
O fille d’Ishtar, ne laisse pas ton esprit se noircir une fois de plus.

Que soit maudite celle qui ose porter ton nom, ô ma femme.
Que Sin, le Seigneur du ciel, le divin père, dont le croissant éclaire les dieux,
écrase celle qui te vole, sous le poids de la faute et du pourrissement,
Qu'il place son destin sous la fatalité, que jours, mois, années s'emplissent de soupirs et de larmes, en accroissent le poids, rendant sa vie semblable à la mort.

Ö Unique Innana, je rage de ne plus être en ces terres,
Et de réchauffer ma froide lame du sang chaud,
de la perfide qui ose porter ton nom.

L’esprit de Sharys le Shahinshah.
Sharys, mon époux vite enfui, bonheur fugace, je ne te pleure plus, la peine a tari mes larmes.
Le temps a eu raison de nos compagnons, le sable a recouvert leur pas, le vent a emporté ta voix, mon aimé.
C'est en ces terres aux dieux moqueurs que s'accomplira mon destin, je l'espérais à tes côtés, il n'en sera rien.
Que ne donnerais je pour te revoir encore, fier et sombre souverain! Avec quelle promptitude tu plongerais l'acier dans la chair indigne!
Mais j'affronterai seule l'usurpatrice et ses dévoués zélotes, pantins de sa traîtrise.
Je répandrai son sang car il me revient, et dans son dernier souffle, je dirai ton nom
.
 

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