Ca ne m'est pas vraiment arrivé, mais c'est de la même veine. Attention 2 histoires longues et pas vraiment dans le sujet, je sais pas pourquoi la nuit j'ai toujours envie d'écrire avec plein de détails
- la jeune fille de l'époque qui m'a dépucelé m'a allumé (c'est gravé dans ma mémoire) pendant 7h, c'est à dire toute la nuit. Oui, s-e-p-t heures. Et attention, pas de la drague, pas de l'aguichement, pas du regard de chatte brûlante qui se dérobe... Dans mon lit, elle en culotte moi en slip et elle a passé la NUIT à se frotter-relever-caresser-frotter... contre moi.
D'un autre côté j'ai pas vu l'heure passer, j'étais sur le cul de voir que c'était l'aube. Et ce genre de décalage dans le temps, j'y serai confronté plusieurs fois avec d'autres.
J'étais tellement excité que ma bonne éducation a plusieurs fois failli se faire la malle aux putes, et j'étais à deux doigts de faire valoir le sang de mes ancêtres pithécanthropes en la retournant d'une détente de la taille pour la sauter. Mais je me suis retenu, d'un autre côté j'aurai eu l'air con de ne pas savoir gérer après.
Epuisés (et elle, radieuse, je la revois avec son grand sourire mutin et ses cheveux collés sur le front, et sa culotte trempée) on s'endort, et elle a heureusement cessé la torture dès le réveil (qu'elle a provoqué, je vous passe les détails).
- étudiant à Paris, c'était l'époque où je n'avais pas d'appart fixe. Je fréquentais le forum de rencontre (mais plus pour la déconne et la philosophie de comptoir, voire même la rencontre de gens sympas tout court, que pour trouver une fille) Lycos à l'époque (enfin je ne sais plus si c'était déjà racheté, bref) et il y avait une fille qui faisait partie des "cas sociaux et intellos" du site (plusieurs milliers d'inscrits). Dommage je ne me rappelle ni son nick ni son prénom :/ Donc elle avait ce qu'on appellerait aujourd'hui un "RP" d'intellectuelle chieuse, et les billets massacrants qu'elle écrivait soit sur un évènement soit à un internaute qui se foutait d'elle (avec plein de fautes bien sûr) faisaient partis des évènements fort suivis.
Au bout de presque un an, cette fille avec qui je ne parlais pas plus que ça et qui était assez inapprochable pour moi, je ne sais plus comment (j'ai dû écrire une connerie pour engager la conversation) on se retrouve en contact. Et de fil en aiguille, de mois en mois, on se parle au tél et se voit de temps en temps. Elle était IRL effectivement assez space, me racontant ses déboires amoureux, ses rebondissements lycosiens et sa trépidante vie d'étudiante en droit, ou éco, j'ai oublié. Mais très égoiste, elle se foutait totalement de moi, ne demandant jamais rien, ne disant même pas bonjour, et m'appellant sans-gêne à n'importe quelle heure du jour et de la nuit, mais je l'aimais bien et sous sa carapace de bêcheuse je savais qu'elle souffrait réellement, et elle n'était pas la première (ni la dernière) à me prendre pour son confesseur / consoleur.
Breffffff.
Tout ça pour dire que je me retrouve une fois de plus en rade un soir à ne pas savoir où coucher. Après avoir fait tourner ma liste sur mon portable ("non pas lui j'ai déjà squatté 3 fois ce mois-ci", "non pas elle y a son copain cette semaine", "non pas elle elle fume du shit et j'ai failli crever l'autre nuit tellement c'était irrespirable") je me résouds à l'appeller et lui demander de me consacrer, pour changer, son attention envers moi et donc, de m'héberger pour la nuit.
Après une courte négociation (son ex qui n'était pas vraiment son ex pouvait possiblement hypothétiquement "passer pour me baiser", je cite) elle accepte de me prendre pour la nuit. J'arrive, je n'étais jamais venu chez elle, c'est sympa et très coloré, paf on mange, on papote, arrive l'heure du coucher, damned y a un seul grand lit et pas de clic-clac.
Je me retrouve horriblement gêné, elle pas du tout, me dit de ne pas faire de chichis et me mettre à côté d'elle. Sur ce elle me demande simplement de me retourner pendant qu'elle se déshabille, et elle se glisse dans le lit en nuisette. Moi je préfère opter pour le changement en salle de bains, et je reviens en caleçon + tshirt (j'avais un pyjama mais j'avais pas envie qu'elle se foute de ma gueule

).
On se couche, elle me raille un peu, pas de ronflements, blabla. Silence. Puis elle recommence à me parler de son ex, Lycos, ses fans, son ex, ses détracteurs, sa vie, son ex, sa fac, sa mère, son ex, tout ça. Au bout d'un moment, elle me dit qu'elle a mal au dos, elle se retourne, patati patata comme je massais pas trop mal à l'époque (depuis le temps je manque de pratique aujourd'hui

) je lui propose innocemment de la masser, pour la provoquer un peu. Elle rit (forcée, ça se sent) et dit que ça n'est pas la peine.
10 minutes plus tard elle se mets sur le ventre et me demande de la masser.
Et c'est là que c'est le plus difficile. Je ne sais pas pour vous, mais le massage, fait ou à faire, ben, ça me fait réagir

Donc au bout d'un moment, même à genoux à côté d'elle (je préfèrais pour d'évidentes raisons ne pas la chevaucher) je tentais de ne pas trop y penser. Et ensuite, il faut savoir mesurer la pression des doigts, ne pas la faire trop sensuelle, juste comme il faut, et surtout, ne pas trop glisser le long des côtes pour déborder sur la poitrine. Et donc pendant 20 minutes, et parce que je la considérais comme une "amie" (oui, j'ai des principes) je me suis appliqué à masser une fille nue dans son lit (sa manière délibérément provoquante pouvait être un message, mais je la connaissais assez pour savoir que ça n'était que ça, de la provoc') seule avec moi, sans déborder, à peine si je faisais des commentaires pour détendre l'atmosphère en plus de son dos.
Une fois terminé, elle m'a remercié, on s'est recouchés et la nuit s'est passée.
Voilà. Pas vraiment un rejet, juste une tentation, quoi.
A noter que plus tard, la même situation s'est peu ou prou déroulée, cette fois ci avec une quasi inconnue du même site (on ne s'était jamais vus), mais elle ne s'est pas du tout montrée farouche

Comme quoi.