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Je viens de finir Vers la Féminisation d'Alain Soral, essai dans lequel il tente d'expliquer les différences fondamentales entre les hommes et les femmes et la décortication d'un certain nombre de croyances modernes sur la réalité de ces dernières et de la féminisation de l'homme qui en découle.

Je continue d'aimer ce type pour son courage, un vrai modèle pour les libres penseurs.
Citation :
Publié par Mischa
Je commence American Vertigo de Bernard-Henri Lévy.
Je n'ai jamais réussi à finir un seul des bouquins de cet "écrivain" car il ne fait que parler de lui du début à la fin. Du coup je n'essaye plus.
Jacques LE GOFF, A la recherche du Moyen Age, Seuil, collection " point histoire " (H 357), 2003.

Un petit ouvrage que je ne connaissais pas du tout, qui m'était passé sous le nez sans que je le remarque jamais. Je suis en train de le lire, et je le trouve passionnant.
C'est un ouvrage très court (170 pages pour arrondir), qui est une série d'entretiens entre LE GOFF et Jean- Maurice de MONTREMY (journaliste), qui relate la vie et le travail d'un des plus grands médiévistes français. A travers ces entretiens se posent les questions essentielles du chercheur / médiéviste : le problème des sources, des points de vues à adopter pour comprendre le temps médiéval, la question des limites et de la définition du Moyen Age etc. etc. etc.
Vraiment intéressant et rapide à lire.
Pour tous lecteurs.

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EDIT : je viens d'acheter un livre que je ne connaissais absolument pas et dont je n'avais jamais entendu parlé. Il s'agit de Une histoire du Chat de Laurence BOBIS, une chartiste (donc, a priori, un gage de sérieux et d'érudition), publié en 2000 chez Fayard, et réédité au Seuil, à la collection " point histoire " (H 356).
Le livre marche par périodes historiques (Antiquité, Moyen Age, époque Moderne, avec des approches thématiques en parallèle).
C'est assez amusant et intéressant de voir le chat en tant qu'objet d'étude historique, avec une réelle analyse de la figure du chat à travers l'histoire. Attention, l'optique est résolument ouverte : certes, l'ouvrage est de l'histoire, mais il intègre des aspects artistiques (la figure du chat dans la statuaire antique en général, égyptienne en particulier) ou plus littéraires (le chat comme objet des contes moraux), ou encore plus psychologiques, liés à l'histoire des mentalités (le chat et la folie, le chat et la sorcellerie, les a priori et les proverbes sur les chats etc.)...
Bref, c'est vraiment intéressant et peu conformiste, et je pense que certains ici prendraient plaisir à lire cet ouvrage.
Je n'ai pas vraiment commencé la lecture, juste eu une approche diagonale, et je suis quand même tombé sur un exemple excellent, puisque l'auteur cite quand même les Canons d'Hibernie (vers 675) ainsi que le pénitentiel d' Egbert d'York (732- 766) et celui de Reginon de Prüm (Xème siècle), pour montrer l'évolution de la pénitence en rapport avec les interdits alimentaires, et montrer que le chat en tant qu'animal familier est lié à ces interdits, et donc, à la moralisation du domaine alimentaire et à la normalisation de la société par l'Eglise et les pouvoirs laïques à l'époque alto- médiévale. Bon, ça peut paraître un peu tiré par les cheveux dans MA présentation générale de l'ouvrage, mais la démonstration effectuée par l'auteur est quand même assez convaincante, et de toute manière, elle est vraiment intéressante, et s'appuie sur des sources vraiment ardues et pointues.

C'est rare que je dise ça, mais je pense pouvoir dire qu'il s'agit là d'un ouvrage ... humm ... savoureux. Oui, je pense que le mot est juste : savoureux.

'sont forts ces Chartistes quand même
Citation :
Publié par ZTR
Je viens de finir Vers la Féminisation d'Alain Soral, essai dans lequel il tente d'expliquer les différences fondamentales entre les hommes et les femmes et la décortication d'un certain nombre de croyances modernes sur la réalité de ces dernières et de la féminisation de l'homme qui en découle.
Moi que cette tendance énerve bien, penses-tu que ce livre pourrait me plaire ? Et il écrit comment Alain Soral (jamais rien lu de lui) ?
Je viens de finir la tragédie du président de Franz-Olivier Giesbert.
Citation :
Présentation de l'éditeur
On ne se méfie jamais assez des journalistes. Pour n'avoir pas à courir derrière une mémoire qui n'a jamais cessé de me fuir, je prends des notes. C'est ainsi que, depuis plus de quinze ans, j'ai consigné sur des cahiers à spirale la plupart de mes conversations avec Jacques Chirac. Alors que son règne arrive à son couchant, il m'a semblé qu'il était temps de vider mes carnets. Je ne les avais pas écrits pour qu'ils restent à rancir au fond d'un tiroir mais parce que le métier qui mène mes pas consiste à faire la lumière sur tout. Telle est sa grandeur et sa misère. Si l'on veut garder sa part d'ombre, il ne faut pas fréquenter les journalistes. Ceci n'est donc pas une biographie au sens propre mais plutôt l'histoire d'une tragédie personnelle, devenue, sur la fin, une tragédie nationale. C'est cette histoire que j'ai voulu raconter. Une histoire bien française.
Cela reste un livre intéressant, peut être un peu trop caricaturiste mais qui apprend tout un tas de choses sur la politique de Mittérrand à Chirac, les coups bas, les actions menées, le CPE par exemple... Mais faut aimer un peu la vie politique et les débats politico-socio-économiques. En tout cas ca m'a plus et je vous le conseille
Citation :
Publié par CarlitoCaribbeanCool
Moi que cette tendance énerve bien, penses-tu que ce livre pourrait me plaire ? Et il écrit comment Alain Soral (jamais rien lu de lui) ?
Pointu mais accessible, Soral est un intellectuel qui prend soin d'être intelligible par tous. Le livre est court, bien fichu et drôle avec ça. C'est le genre de livre qui fait enrager les Chiennes de Garde et Clémentine Autain de la mairie de Paris, un gage d'intelligence.

http://www.alainsoral.com/
Mon coeur s'est lié à la grande collection de "L'Assassin Royal" de Robin Hobb
J'ai commencé en version "J'ai lu" donc je dois attendre que le tome 11 sorte!!!


En attendant, je viens de commencer "Le secret de Ji" (oui je lis de la Fantasy ^^) vous connaissez? vous avez aimé?
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http://fc06.deviantart.com/fs45/f/2009/116/1/4/14414abd454cf6a3473235b59c2b11c4.gif
Citation :
Publié par ZTR
Je viens de finir Vers la Féminisation d'Alain Soral, essai dans lequel il tente d'expliquer les différences fondamentales entre les hommes et les femmes et la décortication d'un certain nombre de croyances modernes sur la réalité de ces dernières et de la féminisation de l'homme qui en découle.

Je continue d'aimer ce type pour son courage, un vrai modèle pour les libres penseurs.

Alain Soral, c'est bien le type qui avait sorti face à la caméra de France 2 un truc genre: "Les juifs, personne les aime depuis 4000 ans, faudrait qu'ils commencent à se demander pourquoi" ?


Ah... liberté... délicieuse liberté....
Citation :
Publié par ZTR
Pointu mais accessible, Soral est un intellectuel qui prend soin d'être intelligible par tous. Le livre est court, bien fichu et drôle avec ça. C'est le genre de livre qui fait enrager les Chiennes de Garde et Clémentine Autain de la mairie de Paris, un gage d'intelligence.

http://www.alainsoral.com/
C'est quoi la "féminisation" de l'homme ?
Pour ma part, je viens de finir "Renégats"(SF) de David Gemmel et je lis en même temps "La Compagnie noire - Premier tome"(SF) de Glen Cook, l'avant-dernier Clive Cussler "Buddha" et "Cellular" de Stephen King.
Pour résumé, C'est une bande de mercenaires qui enquête sur un bateau et qui se font attaquer par des téléphones portables aquatiques. C'est vachement prenant comme histoire
Citation :
Publié par # par défaut
C'est quoi la "féminisation" de l'homme ?
NIETZSCHE, Humain trop humain et le Gai Savoir. Quelques passages intéressants pourraient te donner des éléments de réponse.

C'est apparemment un thème en vogue, puisque un des chroniqueurs du Figaro, auteur de divers ouvrages " politiques " (j'ai oublié son nom, mais OSEF vu que c'est quand même pas de la littérature de haut vol), a publié un ouvrage dessus et s'est fait littéralement pourrir par Clémentine Autain et Francis Huster chez Ardisson (un moment inoubliable d'argumentation et de débat d'une intensité et d'un fulgurance intellectuelles remarquables ... ), alors qu'en définitive, il ne faisait qu'énoncer des évidences plates et dont il n'y a même pas à discuter, sauf quand on met face à face une élue PCF de moins de trente ans qui croit tout savoir mieux que tout le monde, et un chroniqueur du Figaro qui a du mal à cacher son mépris pour ladite élue. C'est ce qu'on appelle un " évènement médiatique " ... enfin je suppose.
La version Messan n'a pas la brillance de celle de Soral. C'est d'ailleurs du repompage total, pour ce que j'en ai entendu.
"thème en vogue"? Le fait est qu'avoir culpabilisé l'ambition, l'esprit de conquête, la virilité, que préférer un chef (dirigeant) qui vous demande où nous voulons aller plutôt que d'élire celui qui nous dit où il veut aller lui, a des conséquences sur la capacité de l'occident à affronter l'avenir.
Les valeurs masculines et féminines sont radicalement différentes mais ici on ne parle pas de supériorité des unes par rapport aux autres mais plutôt d'une rupture d'équilibre entraînant un certain nombre de dérives

Exemple: si l'esprit masculin est animé par l'esprit de conquête, son extrême serait le colonialisme, c'est à dire la conquête allant jusqu'à oublier l'Autre, d'où l'intérêt d'un esprit féminin pour calmer nos ardeurs.
---> si l'esprit féminin peut être défini dans le rapport à soi, à l'intériorité (qui va favoriser l'émergence de la psychologie), son extrême serait l'égocentrisme de nos sociétés modernes axées sur la consommation, le repli sur soi, ce qui tend à nous éloigner de tout concept universaliste, humaniste.

Je crois réellement que les qualités d'un sexe annihile les défauts de l'autre. Prôner une supposée supériorité féminine censée nous sauver de notre déchéance (quelle déchéance? La démocratie? La littérature? La science? L'humanisme?) revient à considérer que la femme naît avec plus de qualités que de défaut, qu'elle a naturellement plus raison que tord, etc. L'homme moderne voudrait devenir une femme comme les autres, et on se demande bien ce qu'il a à y gagner.
Citation :
NIETZSCHE, Humain trop humain et le Gai Savoir. Quelques passages intéressants pourraient te donner des éléments de réponse
Nietzsche était profondément misogyne donc à ne pas prendre au pied de la lettre. Il ne faut pas oublier qu'il y a un siècle, les femmes n'avaient fait leur preuve dans absolument aucun domaine si ce n'est le travail manuel par obligation financière (paysans, ouvriers, etc).
Citation :
Publié par ZTR
Nietzsche était profondément misogyne donc à ne pas prendre au pied de la lettre. Il ne faut pas oublier qu'il y a un siècle, les femmes n'avaient fait leur preuve dans absolument aucun domaine si ce n'est le travail manuel par obligation financière (paysans, ouvriers, etc).
Ah. Oui. Marie Curie. Et puis Georges Sand. Aussi.
Keet dans ce cas là les femmes n'ont pas eu besoin de faire de révolution si leur utilité était communément admise, hein. Cherches-tu à recevoir un bon point des mains de ta maman et de ta maitresse? C'est tout l'objet du bouquin, ces hommes qui veulent se faire bien voir de leurs contemporaines.
Citation :
Publié par ZTR
Keet dans ce cas là les femmes n'ont pas eu besoin de faire de révolution si leur utilité était communément admise, hein.
Certes, mais même en étant minoritaires, il y avait assez de ces femmes pour qu'on ne puisse pas dire qu'elles n'avaient fait leurs preuves dans absolument aucun domaine autre que le manuel.
Par ailleurs, sur Marie Curie seule, rappelons qu'elle reçu un prix Nobel en 1903 et un second en 1913. Si ce n'est pas une forme de reconnaissance de son talent par le milieu scientifique, qu'est-ce donc ?
Ce qui n'empêche néanmoins en rien les femmes de ne pas avoir été traitées à l'égal des hommes pendant fort longtemps, sur le plan des droits par exemple. Mais c'est un autre problème, la reconnaissance de leurs qualités ne suit pas nécessairement celle de leur capacité.
Citation :
Publié par ZTR
Keet dans ce cas là les femmes n'ont pas eu besoin de faire de révolution si leur utilité était communément admise, hein. Cherches-tu à recevoir un bon point des mains de ta maman et de ta maitresse? C'est tout l'objet du bouquin, ces hommes qui veulent se faire bien voir de leurs contemporaines.
Bon Keet, tu fais quoi à poster pendant que je te demande de me chercher des images >_<, s't'un fainéant je vous jure, pas comme ça qu'on les gagnes ses bon point
Citation :
Publié par ZTR
Exemple: si l'esprit masculin est animé par l'esprit de conquête, son extrême serait le colonialisme, c'est à dire la conquête allant jusqu'à oublier l'Autre, d'où l'intérêt d'un esprit féminin pour calmer nos ardeurs.
---> si l'esprit féminin peut être défini dans le rapport à soi, à l'intériorité (qui va favoriser l'émergence de la psychologie), son extrême serait l'égocentrisme de nos sociétés modernes axées sur la consommation, le repli sur soi, ce qui tend à nous éloigner de tout concept universaliste, humaniste.

Je crois réellement que les qualités d'un sexe annihile les défauts de l'autre. Prôner une supposée supériorité féminine censée nous sauver de notre déchéance (quelle déchéance? La démocratie? La littérature? La science? L'humanisme?) revient à considérer que la femme naît avec plus de qualités que de défaut, qu'elle a naturellement plus raison que tord, etc. L'homme moderne voudrait devenir une femme comme les autres, et on se demande bien ce qu'il a à y gagner.

Nietzsche était profondément misogyne donc à ne pas prendre au pied de la lettre. Il ne faut pas oublier qu'il y a un siècle, les femmes n'avaient fait leur preuve dans absolument aucun domaine si ce n'est le travail manuel par obligation financière (paysans, ouvriers, etc).
Je citais Nietzche juste pour ramener à quelques propos en rapport avec ce que Soral peut dire à son tour.
Nietzsche n'était pas misogyne, il avait une certaine idée de la femme (et de l'humanité), et disait ce qui ne lui plaisait pas quand on s'éloignait de cette idée. Une philosophie des cimes qui accordait une place à la femme et à l'homme, mais pas forcément à la masse de celles- ci et de ceux - là. Mais bon, je ne suis pas du tout spécialiste de Nietsche, simplement lecteur du philosophe et de quelques commentateurs.
L'idée que je voulais faire passer, c'est que le point de vue de Soral, par certains aspects, peut faire penser à ce que disait Nietzsche dans les ouvrages que j'ai cité (et dans d'autres).

Sinon, je suis assez d'accord avec Soral, parce que je pense qu'il dit des évidences, évidences souvent niées sans raisons valables autres que politiques. Dans la mesure où il remet en question des choses qui passent la plupart du temps comme acquises, et parce qu'il se démarque un peu du monde des intellectuels parisiens, je l'aime bien.

Enfin :
- l'extrême de l'esprit de conquête, c'est plus la Shoah que le colonialisme à mon sens.
- la psychologie est historiquement datée : on peut parler de l'émergence d'une conscience individuelle en Occident à partir du Concile de Latran IV (1215), qui impose la confession aux fidèles une fois l'an au moins, et donne ainsi les conditions favorables à la naissance d'un " moi " intérieur, religieux d'abord, plus large ensuite. La Réforme protestante au XVIème siècle ne peut se comprendre sans la référence à ce temps long. Et je ne vois pas en quoi le sexe peut jouer là dedans. Ca me rappelle les vieux développements de MICHELET, qui expliquait l'insurrection vendéenne de 1793- 1796 par les femmes, expliquant que leur force de conviction religieuse était liée à leur sexualité impossible avec le prêtre, ce personnage incontournable des provinces de l'Ouest, et à un amour réel insatisfait avec le mari paysans, crotté et bouseux... Ca, ça relève au mieux du cliché.
- Les femmes ont toujours joué un rôle historique, même s'il n'a pas été de premier plan. D'ailleurs, ce que Nietsche reproche aux femmes, essentiellement, c'est de ne pas savoir tenir le premier plan, et d'être de piètres seconds rôles. Ca n'est pas parce que les femmes sont moins sous les projecteurs que les hommes qu'elles n'ont jamais existé historiquement, loin de là. Je conseille d'ailleurs la lecture d'un ouvrage récent sur Aspasie de Milet (mais je n'ai pas les références sur moi), la compagne de Périclès. Et les exemples de femmes nobles ayant des actions d'éclat sont quand mêmes TRES nombreux. Alors certes, la paysanne, on sait peu de choses sur sa vie intérieure et ses conceptions de la vie, car il y a peu de sources, et peu d'occasions pour les femmes paysannes de se mettre sous les lumières de l'histoire. Mais elles sont là : se sont les femmes de Paris qui vont chercher Louis XVI pour le ramener de Versailles à Paris, et se sont elles qui poussent les hommes de Paris à prendre d'assaut la Bastille, et se sont encore elles qui vont à l'assemblée et qui commentent les propos des uns et des autres, et réclament les têtes des ennemis du peuple parisien. Bref, imaginer que les femmes sont absentes de l'histoire est une erreur.
Est-ce une édition spéciale pour avoir le cd bonus?
Je viens de lire le résumé sur Alapage et ça a l'air assez prenant: "Une Horde est formée pour remonter la Terre à contrecourant, sa vie durant, dans l'espoir de découvrir l'origine du vent : 23 membres exceptionnels sélectionnés dès leur plus jeune âge, 23 fonctions précises au sein de cette 34ème horde, sans doute la meilleure de tous les temps. C'est un univers complet, très cohérent, une philosophie en acte, des personnages aboutis et hors normes dont les perceptions sont transcrites dans un style propre à chacun. Il y a de la chair, de la violence, de l'action, plus qu'un style une langue, un imaginaire totalement original : ce livre est de ceux qui font naître une vocation d'éditeur... "

Ca me rappelle un autre livre de SF (un des meilleurs que j'ai pu lire) dans lequel des scientifiques terriens se lancent dans une expédition à travers la galaxie pour en apprendre plus sur les "Monuments", des structures géantes disséminées ça et là dans l'espace et apparemment laissées à l'abandon toutes à la même époque: est-ce l'oeuvre d'antiques civilisations qui se seraient autodétruites? Oui mais alors pourquoi toutes à la même date et dans tous les coins de l'univers? Et même sur Terre puisque la date de la "catastrophe" coincide avec l'extinction de la civilisation Maya...
Je suis incapable de vous retrouver le titre mais j'y travaille.
Citation :
Publié par ZTR
Est-ce une édition spéciale pour avoir le cd bonus?
Il n'y a qu'une édition, et elle vient avec le CD. Le livre est assez dispendieux.
Je l'ai reçu pour mon anniversaire, sinon, j'aurais sûrement passé outre.

Je ne l'ai pas finie, mais c'est d'un particulier sans égal, je dirais.
Difficile à décrire, disons simplement que ça ne ressemble a rien que j'ai pu lire jusqu'à maintenant.
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