durant l'année j'ai rendu ceci :
bon aprés faut avoir la patience et l'envie de le lire aussi ^^
---------------------------------------------------------------
Devoir de philosophie
SUJET : Pourquoi refuse t on la conscience a l’animal ?
Dans les méandres sinueuses du contexte sociopolitique actuel dans la région autonome de gagaouze (sud de l’Ukraine) se retrouvent encrées les valeurs fondamentales des saints commandements.
Le poète A .Borne écrivait ainsi :
« Un soir d’hiver, quand de partout,
Les corbeaux s’enfuient en déroute.
Dans un fossé de la grand route,
Près d’une borne, n’importe ou, pleurant, avec le vent qui blesse leur petits corps chétifs et nus,
Pour souffrir des maux bien connus
Les gueux naissent. »
C’est ainsi que l’on est amené a se demander pourquoi refuse t on la conscience a l’animal ?
Devant ce problème philosophique évident, nous tentrons de répondre à
une autre problématique : l’ergonomie de la fondue savoyarde ne dépent-elle pas de sa concentration en ion oxionium ?
Nous verrons ainsi les propriétés de calorifiques de certains aliments et par la même le taux de cholestérol d’un certain mettre cube et répondrons a cela que même la plus précise des horloges devra un jour ou l’autre être remise a l’heure.
Le plus gros bœuf du monde mesure 1.96m au garrot et pèse un peu plus que ça. En de tel cas n’est t-il pas évident que : qui mange un bœuf, n’a plus faim ?
Cet animal au poil bouclé mais néanmoins soyeux n’admet pourtant pas une intelligence supérieure a celle des stégosaures de la préhistoire.
L’admission d’une conscience n’est donc pas de mise. Ensuite, d’autres éléments peuvent être apportés ainsi prenons l’exemple de bugs bunny : Il mange des carottes tout le long de la journée pourtant cela ne le rend pas plus aimable avec ce pauvre chasseur. On peut donc conclure que Bugs Bunny est un lapin. De e fait est il réellement conscient que ses agissements nuisent a la santé des neurones des jeunes téléspectateurs ?
Prenons pour finir une grande crêpe, avec dedans : de gesiers confits, sel , poivre, moutarde, ketchup, chocolat au lait, épices, tomates… et en assaisonnement un peut de gel vivel dop fixation extrême. Ne risque t on pas de mourir (dans d’affreuses souffrances) a la suite de la digestion de cette crêpe ? Il faut donc utiliser un centre d’essai tel que la fistule…parle t on en cas de conscience ? Non
Maintenant il s’avère que la première partie a soulever un point essentiel qui pourrait en effet noyer le poisson dans l’eau (ouai parce que le pétrole ça marche pas ils ont essayaient dans sauver Willy 2 maos Jessy il est super fort alors il a sauvé le gros poisson tout noir avec des taches blanches).
L’entraînement intensif de castor guerriers nourris a la crème fraîche et au royal canon n’est il pas un moyen sur d’obtenir rapidement une bonne quantité d’excréments de castors mais également de vaillant castors ? Cet argument ne se limite pas seulement a cette espèce, ainsi un commando de poulets a crête jaune et verte pourrait être tout aussi inefficace…surtout si on leur met des chaussettes dissociées.
La conscience animal n’est elle pas évidente a 25°C ? En effet il suffit de voir avec combien d’agilité Bibifoc (dont l’amitié est dure comme le roc) met fins aux agissements des malfrats qui chassent les espèces de voie d’extinction. Pourtant même si Bibifoc est le roi des phoques, il est écrit sur les paquets de céréales creep-X que seul un nain unijambiste dansant dans la pleine lune enroulé dans du jambon (avec les 12 ,statuettes) permettra l’accomplissent de la prophetie.
Ainsi nous pouvons conclure par trois éléments fondamentaux d’un intérêt philosophique non négligeable qui sont les suivants :
Les elfes, même s’ils possèdent le don d’infravision, n’ont pas une sexualité très ouverte….Les nains sont cupides et les chauve-sourient. =)
Le canard à l'orange c'est bon.
Et pour finir : Vive Michel !
--------------------------------------------------------------------------------
Et Ca c'est le Bac Blanc :
Liberté du vouloir et du pouvoir.
(Ou comment chercher les œufs de paques en chocolat-choum avec un épluche patate en laiton brut.)
Lorsque l’on évoque la liberté animale, on fait une évoquance à une relative possibilité pour les animaux à se déplacer « librement. Mais appliqué a l’homo Sapience Sapiens Russus quiboibocus (l’homme), cette obéit a un système d’équation différentielles différent, qui est le suivant :
« La liberté n’admet par définition, aucune restriction ».
« Une bouteille d’eau gazeuse contient du gaz ».
Si en effet, il s’avère que les mécanismes naturels ne sont pas influencée par le temps de cuisson du canard laquais (myope dans le cas cité), alors d’une façon totalement illusionné il se trouve que l’homme peut choisir entre, en finir avec ce satané verre, plein à raz bord d’un liquide précieux au nom bien porté d’éthanol, et qui ose (le fou) prétendre rester plein alors que déjà trop de ses frères sont tombés au champ d’honneur, régurgités ensuite dans les chiottes, sur le sol ou au plafond…ou laisser ce verre aussi prétentieux (le drôle) n’a que peu de chances de survivre face a un regard vide, hagard, distant, retardé, hébété, idiot, larmoyant, fuyard, mais néanmoins gourmand posé sur le sus-nommé verre. Il y a donc tout lieu de se demander qu’elle heure est-il ?...Ou pour aller plus loin, entre conscience, nature ou état d’ébriété (ou plusieurs à a la fois), quelles libertés pour l’homme ?
Nous verrons ainsi que c’est, en outre, la loi qui impose à l’homme de boire bien que (comme nous le verrons avec un exemple concret) ce ne soit pas toujours le cas. Dans un second temps, nous examinerions le pour et le contre l’alcool entre autres choses.
Il est écrit dans la loi, au chapitre Cirrhose et autres grandes inventions françaises (trouvable page 3421 entre deux lignes a l’intérieur du paragraphe l’étude de l’élevage des scarabées gris a col bleu en France), que :
« L’alcool c’est mal, Mais consommable dans la limite du premier verre… » Le tout engeancé entre de grands mots et de belles formules.
Mais se premier verre, qui est autorisé, en quoi est-il différent des autres ? Il est du même matériau, contient la même quantité d’alcool alors pourquoi est-il autorisé et non ses confrères en tout point semblables ? Mettons nous a la place de l’innocent, il entre (ou plutôt, est aidé a entrer) dans ce…hum …sobre endroit ou il sait (du moins il lui semble se rappeler) qu’il sera servi comme l’argent qu’il possède lui en donne le droit.
Une fois la barrière du premier verre bu, lorsqu’il demande « la même chose », pourquoi lui refuse-t-on ? Le verre que notre malheureux a demandé était pourtant exactement le même. On peut d’ailleurs établir l’ensemble E suivant : premier = 2eme = 3eme = 4eme =5eme =6eme =7eme =8eme =9em =10eme =11eme = 12eme =11eme =1er= 11eme =heu… le 11eme je crois =12eme = 11eme = tout verre tel que verre (n) = premier. Ainsi l’ensemble E des verres bus, au cours d’une durée de temps limitée, vaut le premier et se retrouve donc, de par la loi, autorisé.
La théorie démontrée, nous pouvons passer à a pratique : puisque la loi m’autorise qu’un premier verre pourquoi ne pas commander en ce cas un mètre de premiers, tout comme certains pourraient demander un mètre de Ric ? De plus, puisque n’importe quel premier verre est autorisé, alors ce mètre de premiers verres sera du contenu choisi.
Pour qu’il existe de telles failles dans la législation on ne peut que conclure que les auteurs de cette loi sont de vrais soulards raids torchés mais conscients (enfin…) de la liberté qu’ils gardaient. Mais pourquoi donc éditer un tel règlement en ce cas ?
A cela nous pouvons répondre deux choses qui sont vrais et indéniables.
_Les bienfaits de l’alcool sont tels que, s’ils étaient connus, il n’en resterait plus assez pour tout le mode à n’en point douter ? De plus qui peut résister au pétillant du champagne ? Au pétillant d’un bon malibu-coca ? Au pétillant d’une bonne vodka limée ? Au pétillant d’un bon demi-pêche ou framboise ? Au pétillant de tout ce qui pétille et qui contient de l’éthanol ?
Qui peut résister au doux nectar de tout ce qui a un doux nectar et de l’éthanol ? Pas grand monde en vérité, même si le record de conduite en état d’ivresse tient à pas mal de grammes et, est détenu par un lozérien…faut croire qu’en notre beau département, on a ça dans le sang =).
_Vive moi
Toutes ces choses tendent à expliquer le peu de chances de survie de notre verre plutôt nommé (et non nommé pluto parce que ce n’est pas un chien bien que ce soit le meilleur ami de l’homme).
Mais cessons donc de cautionner la beuverie, puisque nous sommes en philosophie, il nous faut étudier le contre d’une telle loi.
Prenons un agent, représentant de la loi (et par la même, le ridicule, l’idiotie, le manque flagrant de connexion la ou il faudrait, l’équivalence du grand vide cérébral mais avec un uniforme mais également toute chose dont il est aisé de se gausser tout les préjugés vont bon train…
(Le concours :
_ « dites moi combien j’ai de doigts ?
_heu...je sais pas moi, 15 ?...
-bravo vous êtes engagés, signez ici, 15 ans. »
Bref…et pour aller plus loin : l’incompréhension (car peuvent-ils comprendre quoi que ce soit ?) car en effet, admettons la rencontre entre notre agent et un innocent après que ce même innocent ai bu dans la multitude, la masse et la quantité. On assiste ainsi a un échange de généreux de propos grossiers et inamicaux entre le diminué d’esprit et ce le diminué d’esprit (l’un voulant justifier les sous qu’il gagne, l’autre ne voulant pas en perdre)…
Pendant ce temps là, à a des milliers de kilomètres de l’échange généreux démontré ci-dessus, un lézard (nommé « Sancho ») laisse son corps reposer, éclairé par l’astre bienfaiteur dont chaque rayon est une caresse douce et légère sur la peau vert pâle de « Sancho ». A l’horizon, un mince nuage de fumé grise et épaisse trahit la présence de quelques descendants de colons du passé. « Sancho » est bien, il se revigore, humant l’air des ses petits naseaux fins et élancés. Il profite, comme toujours, de chaque seconde comme si c’était la dernière, comme s’il allait périr entre les crocs du grand requin qu’est pas con et qui fait le tour du rocher au lieu de se coincer dans le trou. Une légère brise souffle le long du cou de « Sancho » et, au fond de lui, il se demande si ce n’est pas cela qu’il préfère…toutàcoup, un léger tremblement se fit sentir. « Sancho », prenant son courage à deux mains et ses jambes à son corps, se mis à courir droit devant lui, et on ne le revit jamais…
Il ne sus donc pas que le léger tremblement était en faite une grosse grenouille (à qui il manquait un œil) qui dansait un tango basque avec une loutre au pelage soyeux, à la chevelure étincelante. Le tout pendant qu’un jeune cricket révisait pour un interro d’histoire sur le pont d’un ancien porte avion portugais, repeint en rose alors qu’il hélicoptère jaune, bleu et orange le survolait, traçant de grands cercles dans l’espace azuré dont les inductibles gaulois que sont asterix et obelix craignent l’éventuelle chute sur leur tête. Sur la gauche de la loutre, le dos posé sur un poteau électrique, un vieux chanteur s’amusait à faire des billes de savon…
Tout cela nous permet de dire que, comme le dit la loi (et ce fut l’un des arguments avancés), l’Alcool c’est mal.
Pourtant malgré cela, nous avons établi que, comme certaines instances l’ont imposé, le verre sera bu. Car en effet, comme le disait à sont époque le prêtre et philosophe russe Saint Ksürsincle « l’alcool est un ennemi…Fuir l’ennemi, c’est lâche ». Or donc, l’être humain, dans son état d’homme libre a le choix entre rester sobre en fuyant lâchement, pathétiquement, le ridicule petit verre qui le nargue ou réduire à néant le contenu, jadis, insultant de ce minable verre dont la seul raison d’être est de, justement, ne plus être. Ca fait, nous l’avions établi dans notre introduction mais c’est bien de lui dont nous traiterons dans la seconde partie de cette dissertation philosophique. « To boire or not to boire ? That is the question. »
La grande théorie du cochon d’inde albinos unijambiste astigmate nous permet d’établir, de définir, certains grands préceptes à caractère philosophique.
Notons tout d’abord que par Boursin nous entendons par ici un fromage au persil qui peut être étalé sur du pain par un mongol trempé jusqu’aux os, qui aime chanter, assit sur un caillou avec une mule à coté de lui et, tout gueux qu’ils sont (attentions, toute ressemblance avec quelconque publicité affable ne serait pas fortuite mais voulu par l’auteur de cette disserte…), ne pourraient s’étendre sur l’asphalte et se laisser mourir…et se laisser…mourir…
Si vous vous êtes donné la peine de me lire jusqu’ici, nous pouvons alors en conclure que vous savez lire et que les oignons farcis accompagnent très bien la viande blanche ou le poisson cuit au four. Avant de nous étendre sur le sujet qui nous intéresse (et par cette phrase je n’entends pas « copuler » ; tous ceux qui on l’esprit mal tourné me comprendrons), citons, telle une introduction, les paroles de René, 39 ans, agriculteur d’avocats et de citrons sous serre : « Je ne suis pas un mec en salopette qui passe son temps à mâchouiller des chewing-gums mais mon chat, lui, sait chasser les souris »…Il paraît ainsi, comme une évidence, qu’en fermant les yeux on y voit beaucoup moins.
Il existe toutefois d’autres moyens de se troubler la vision…
Mais tous ces moyens sont mauvais, sont fils du malin, issu du seigneur des enfers, descendants de Belzébuth ; ils durent engendrés par le cornu rouge, tous progéniture de la bête...Ces moyens sont eux-mêmes ascendants au malheur, à la malédiction, à l’apocalypse et déterminent le prix des cacahuètes du Népal. D’une manière générale ils sont à rejeter, repousser ou refouler vers les souterrains enflammés des démons… sauf peut-être l’idée de mettre la tête dans un aquarium et essayer de lire les confessions de Rousseau ainsi. De tous les sept péchés capitaux, le pire est celui qui n’en fait pas partie. De tous les liquides, le plus dangereux n’est pas le plus acide…
L’alcool…
L’alcool qui, attaquant au cœur des synapses, modifie l’interprétation du monde de nos sens, qui inhibe la volonté, qui les barrières de la moral… rendant le consommateur drôle, pathétique et, en tous points, ridicule aux yeux des autres qui, eux, n’ont pas les synapses qui font bravo… Toutefois il me paraît important de signaler que le « ridicule ne tue pas » (en même temps, vu dans quel état il est, même avec un gros fusil, il ne risque pas de tuer quoi que ce soit…) ; Et de cela on peut tirer deux choses : la première est que, rendant ridicule, l’alcool ne tue pas…et l’autre, voulant exprimer que « tout ce qui ne vous tue pas vous rend plus fort », montre que l’alcool vous rend plus fort. Si un doute persiste en vitre esprit quand à l’affirmation précédente, pensez à ceci : si le ridicule tuait, aurai-je pu finir cette disserte ?
L’alcool est donc source de force, de vigueur et de vitalité et les chips sont des tranches de patate grillées dans l’huile. Toujours est-il que tout tend à prouver que je suis assis au moment ou j’écris ces lignes. Pour en revenir à la nécessité de l’alcool, il est possible d’avancer des arguments à la pelle. Mais nous ne prendrons que le plus simple, le plus évident, en réfléchissant à l’origine. Boire n’est-ce pas la première chose qu’un nourrisson peut désirer, tel un réflexe inné, instinctif… ?
Nous pouvons aller plus loin car, en effet, la thèse matérialiste s’oppose radicalement à la thèse dualiste exemplairement défendue par R.Descartes dans ses méditations métaphysiques (1641). Selon Descartes, il suffit de se faire une « idée chaire et distincte » de ce qu’est la matière de ce qu’est l’activité de la pensée pour en déduire qu’à force ça fait mal au crâne, car la première ne peut créer la seconde et que ce sont nécessairement deux substances irréductibles de nature radicalement distinctes. Alors que l’expérience de la pensée consiste en une présence à soi, une et indivisible, à la matière définit avec pertinence par R.Descartes comme quelque chose de solide ou non, comme quelque chose de réel ou non et enfin, d’une façon qualitative, comme l’évolution hypocondriaque d’une métaphore capilotracté et usurpée, telle une mécanique aveugle, à la cause intelligente de la pensée fondamentale d’un être conscient. Des études poussées en neurobiologie ont montré que c’est souvent ce qui peut apparaître en ce cas (ça en effet, mais aussi les éléphants roses ou le traîneau du père noël tiré par des poireaux et des goélands) ; On peut appréhender la pertinence de la thèse du valeureux combattant David (dont nous parlerons ensuite) en soulevant, avec, petits bras musclés, le problème suivant : la stérilité est-elle héréditaire ? Ou pour aller plus loin, le taux de cholestérol des autruches est il plus élevé, lors des années bissextiles, en été ou en hiver ?
Il est possible d’observer les arguments scientifiques allant en ce sens mais cela ne serait pas intéressant… alors qu’en regardant sur la droite, on aurais pu voir le teint vert pâle, de la peau de « Sancho », qui, continuant sa course effrénée, zébra le mur de la petites maison dans la prairie.
Une théorie fut établie et moult fois démontrée concernant certaines propriétés des bouteilles d’alcool. Cette théorie, dite de la bouteille de vödkae, nous la devons, comme j’en parlais plus haut, à David. Elle établit le précepte suivant : « quand tu ouvres une bouteille de vodka, tu entends un bruit, un bruit indescriptible, mais quiconque l’entend sait qu’il y aura un cadavre ce soir. Apres le bruit viens le parfum, Un parfum indescriptible, mais quiconque le hume sait qu’il y aura un cadavre ce soir…Il faut boire un verre, puis un autre et observer la bouteille. Cette dernière contient encore 9/10eme de son contenu initial. Il faut ensuite boire encore et ensuite, quelque soit le délai, observer la bouteille de nouveau : le mécanisme s’est fait et il ne reste qu’in fond dans la bouteille…
Car en effet, tel est le piège. Le côté obscur de la bouteille. Dark Vödkae comme certains l’ont appelé. En soit, comme pour bien des choses, le début de la fin s’enchaîne avec la fin du début quand le milieu n’es pas bien loin…l’exemple le plus pertinent que l’on pourrait avancer est le principe d’orthopédie culinaire lorsque l’on pote une veste de pied-de-poule dans un restaurant. Nous reviendrons, par la suite, sur le cas de la poule.
Nous parlions précédemment de piège, c’est parce qu’en effet il y en a un. « Attention, l’abus d’alcool est dangereux pour la santé »… mais qu’en est il du fût d’alcool ? Cela n’es pas précisé. Puis peut être que c’est certes probablement mais dans le domaine de l’hypothèque de penser qu’il vaut mieux être con que bourré…au moins ça dure moins longtemps… Des même que « celui qui vit sans folie n’est pas aussi sage qu’il croit". Ainsi, argumenter contre l’état d’ivresse me parait peut possible sans avoir vraiment expérimenter antérieurement. Il y en a qui ont essayé, ils ont eu des problèmes…Cela dit, il est très rapide… Enfin, c’est vous qui voyez

. En fait, malgré les interdictions, qui peut se vanter d’arriver a l’age de raisons sans avoir connu ça ? De même, pour en revenir a la poule, on peut arriver a se demander : Est-ce la poule qui philosophe ? Ou lo zophe qui phila poule ?...
Ainsi, de tous ces grands instants de réflexion, nous pourrons donc tirer certains faits et enseignements. Il existe de l’alcool à brûler, ce qui permet de se chauffer (c’est en faite, une des propriété de tous les alcool) donc l’alcool c’est bien.
Qui boit s’enivre,
Qui s’enivre, s’endort,
Qui dort, dîne,
Qui dîne n’a plus faim
Qui n’a plus faim ne pêche pas
D’une manière général, qui dort ne pêche pas
Et qui ne pêche pas ira au paradis.
Moralité : boivons, car l’alcool c’est bien.
Ensuit, a ceux qui ne sont pas d’accord, je dirai qu’un trou est un trou, que la bouteille n’a pas d’œil.
A cause qui savent pas combien font 183 263 fois 172 711, je dirai que cela fait 3 154 139 493.
A ceux qui tuent les animaux pour le plaisir je dirai de faire attention car bibifoc veille et les roxxera tous.
A ceux qui aiment Naruto, je dirais que je les comprends.
A ceux qui m’aiment, je leur dirais que je les comprends.
A Champi je dirai qu’il est mon maître.
Aux olives fourrées aux anchois je ne dirais rien.
Et enfin, à tout ceux qui peuvent le comprendre, je dirai que vive moi.
----------------------------------------
moyenne annuelle de philosophie : 3,33
Et le pire c'est que le prof me casse même pas (commentaires du genre : se saborde à l'écrit mais 1 trés bon esprit philosophique) ....