Légalisation du Cannabis

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Citation :
Provient du message de Vampyr
Personnelement je suis contre

Avec les taxes ca coutera plus cher.
ben nan justement, vu qu'on aurait la possibilité d'avoir des plantations pro en france, que les intermédiares qui se font la maille dessus sont éjectés, ça risque de couter beaucoup moins cher.

Citation :
Provient du message de Aloïsius
Sauf que la drogue permet justement de forcer quelqu'un à consommer, c'est ce qu'on appelle la dépendance.
on peut être dépedant du chocolat, de la cigarette, de l'alcool, de la télé, des jeux vidéos........ et même beaucoup plus dépendants qu'au cannabis
Citation :
Provient du message de Vampyr
Personnelement je suis contre

Avec les taxes ca coutera plus cher.
bravo !! ca au moins c constructif et concret !

(no ironie pour le coup )
Citation :
Provient du message de Koo

on peut être dépedant du chocolat, de la cigarette, de l'alcool, de la télé, des jeux vidéos........ et même beaucoup plus dépendants qu'au cannabis
On parlait des drogues en général. Ne compare pas l'héroïne et le chocolat, c'est à la fois ridicule et limite obscène.
Citation :
Provient du message de Aloïsius
On parlait des drogues en général. Ne compare pas l'héroïne et le chocolat, c'est à la fois ridicule et limite obscène.
ne fait pas l'amalgame cannabis et heroïne, c'est ridicule et obsène
NON

pkoi ?
parce ke j'a plusieurs potes ki fument et ki ont eu de graves accidents , le pire c ke cette merde est tellement attractive pour eux que même après s'être fait mal , ils y retournent

fo croire ke cette substance ne fait pas k'attaquer le cerveau , il le dissou tou simplemen
Citation :
Provient du message de Koo
ne fait pas l'amalgame cannabis et heroïne, c'est ridicule et obsène
OK, c'est pas grave :

Citation :
Provient du message du goth emblématique de Jol
Je suis pour la légalisation de toutes les drogues pour les majeurs. Parce que nous sommes tous libres de disposer à volonté de notre corps.
Ne pas savoir suivre une discussion, c'est ridicule tout court.
Citation :
Provient du message de Aloïsius

Ne pas savoir suivre une discussion, c'est ridicule tout court.
ne pas savoir lire mon message ça l'est encore plus quand on le quote.

je parle du cannabis pas de l'hero, qui, entre nous est le sujet du topic, et je n'ai pas parlé des drogues dures comme l'hero ou la cok.

le degré de dépendance au canna est infiniment plus faible que celui de la cigarette ou des drogues dures.

maintenant légaliser les drogues dures, bien sur que non, mais le cannabis je n'y vois aucun inconvéniens, je trouve ça beaucoup moins dangereux que ce qu'on trouve légalement dans le commerce actuellement et qui est "légal".

ps : c'est vraiment ridicule cette discussion
Alors j'explique : je ne te parlais pas, je parlais à A catacomb Kitten, qui se prononce en faveur de la légalisation de toutes les drogues. Je lui que je suis pas d'accord, à cause de la dépendance. Et tu viens me parler de la dépendance au chocolat, ce qui n'a franchement rien à voir avec le schmiblick. Des gens qui meurent à cause du chocolat, il y en a pas des masses. En revanche, entre les overdoses et le sida...
Vrai, c'est long, mais tout y est, et c'est autrement mieux dit que par nous, non ?

Citation :
Mais le lendemain ! le terrible lendemain ! tous les organes relâchés, fatigués, les nerfs détendus, les titillantes envies de pleurer, l'impossibilité de s'appliquer à un travail suivi, vous enseignent cruellement que vous avez joué un jeu défendu. La hideuse nature, dépouillée de son illumination de la veille, ressemble aux mélancoliques débris d'une fête.
La volonté surtout est attaquée, de toutes les facultés la plus précieuse. On dit, et c'est presque vrai, que cette substance ne cause aucun mal physique, aucun mal grave, du moins. Mais peut-on affirmer qu'un homme incapable d'action, et propre seulement aux rêves, se porterait vraiment bien, quand même tous ses membres seraient en bon état? Or, nous connaissons assez la nature humaine pour savoir qu'un homme qui peut, avec une cuillerée de confiture, se procurer instantanément tous les biens du ciel et de la terre, n'en gagnera jamais la millième partie par le travail. Se figure-t-on un état dont tous les citoyens s'enivreraient de haschisch? Quels citoyens! quels guerriers! quels législateurs! Même en Orient, où l'usage en est si répandu, il y a des gouvernements qui ont compris la nécessité de le proscrire. En effet, il est défendu à l'homme, sous peine de déchéance et de mort intellectuelle, de déranger les conditions primordiales de son existence et de rompre l'équilibre de ses facultés avec les milieux où elles sont destinées à se mouvoir, en un mot, de déranger son destin pour y substituer une fatalité d'un nouveau genre. souvenons-nous de Melmoth, cet admirable emblème. son épouvantable souffrance gît dans la disproportion entre ses merveilleuses facultés, acquises instantanément par un pacte satanique, et le milieu où, comme créature de Dieu, il est condamné à vivre. Et aucun de ceux qu'il veut séduire ne consent à lui acheter, aux mêmes conditions, son terrible privilège. En effet, tout homme qui n'accepte pas les conditions de la vie, vend son âme. Il est facile de saisir le rapport qui existe entre les créations sataniques des poètes et les créatures vivantes qui se sont vouées aux excitants.
L'homme a voulu être Dieu, et bientôt le voilà, en vertu d'une loi morale incontrôlable, tombé plus bas que sa nature réelle. C'est une âme qui se vend en détail.
Balzac pensait sans doute qu'il n'est pas pour l'homme de plus grande honte ni de plus vive souffrance que l'abdication de sa volonté. Je l'ai vu une fois, dans une réunion où il était question des effets prodigieux du haschisch. Il écoutait et questionnait avec une attention et une vivacité amusantes. Les personnes qui l'ont connu devinent qu'il devait être intéressé. Mais l'idée de penser malgré lui même le choquait vivement. On lui présenta du dawamesk ; il l'examina, le flaira et le rendit sans y toucher. La lutte entre sa curiosité presque enfantine et sa répugnance pour l'abdication se trahissait sur son visage expressif d'une manière frappante. L'amour de la dignité l'emporta.
En effet, il est difficile de se figurer le théoricien de la volonté, ce jumeau spirituel de Louis Lambert, consentant à perdre une parcelle de cette précieuse substance.
Malgré les admirables services qu'ont rendus l'éther et le chloroforme, il me semble qu'au point de vue de la philosophie spiritualiste, la même flétrissure morale s'applique à toutes les inventions modernes qui tendent à diminuer la liberté humaine et l'indispensable douleur. Ce n'est pas sans une certaine admiration que j'entendis une fois le paradoxe d'un officier qui me racontait l'opération cruelle pratiquée sur un général français à El-Aghouat, et dont celui-ci mourut malgré le chloroforme. Ce général était un homme très brave, et même quelque chose de plus, une de ces âmes à qui s'applique naturellement le terme : chevaleresque. “Ce n'était pas, me disait-il, du chloroforme qu'il lui fallait, mais les regards de toute l'armée et la musique des régiments. Ainsi peut-être il eût été sauvé ! ” Le chirurgien n'était pas de l'avis de cet officier; mais l'aumônier aurait sans doute admiré ces sentiments.
Il est vraiment superflu, après toutes ces considérations, d'insister sur le caractère immoral du haschisch. Que je le compare au suicide, à un suicide lent, à une arme toujours sanglante et toujours aiguisée, aucun esprit raisonnable n'y trouvera à redire. Que je l'assimile à la sorcellerie, à la magie, qui veulent, en opérant sur la matière, et par des arcanes dont rien ne prouve la fausseté non plus que l'efficacité, conquérir une domination interdite à l'homme ou permise seulement à celui qui en est jugé digne, aucune âme philosophique ne blâmera cette comparaison. si l'Eglise condamne la magie et la sorcellerie, c'est qu'elles militent contre les intentions de Dieu, qu'elles suppriment le travail du temps et veulent rendre superflues les conditions de pureté et de moralité ; et qu'elle, l'Eglise, ne considère comme légitimes, comme vrais, que les trésors gagnés par la bonne intention assidue. Nous appelons escroc le joueur qui a trouvé le moyen de jouer à coup sûr ; comment nommerons-nous l'homme qui veut acheter, avec un peu de monnaie, le bonheur et le génie? C'est l'infaillibilité même du moyen qui en constitue l'immoralité, comme l'infaillibilité supposée de la magie lui impose son stigmate infernal. Ajouterai-je que le haschisch, comme toutes les joies solitaires, rend l'individu inutile aux hommes et la société superflue pour l'individu, le poussant à s'admirer sans cesse lui-même et le précipitant jour à jour vers le gouffre lumineux où il admire sa face de Narcisse ? si encore, au prix de sa dignité, de son honnêteté et de son libre arbitre, l'homme pouvait tirer du haschisch de grands bénéfices spirituels, en faire une espèce de machine à penser, un instrument fécond? C'est une question que j'ai souvent entendu poser, et j'y réponds. D'abord, comme je l'ai longuement expliqué, le haschisch ne révèle à l'individu rien que l'individu lui-même. Il est vrai que cet individu est pour ainsi dire cubé et poussé à l'extrême, et comme il est également certain que la mémoire des impressions survit à l'orgie, l'espérance de ces utilitaires ne paraît pas au premier aspect tout à fait dénuée de raison. Mais je les prierai d'observer que les pensées, dont ils comptent tirer un si grand parti, ne sont pas réellement aussi belles qu'elles le paraissent sous leur travestissement momentané et recouvertes d'oripeaux magiques. Elles tiennent de la terre plutôt que du ciel, et doivent une grande partie de leur beauté à l'agitation nerveuse, à l'avidité avec laquelle l'esprit se jette sur elles. Ensuite, cette espérance est un cercle vicieux: admettons un instant que le haschisch donne, ou du moins augmente le génie, ils oublient qu'il est de la nature du haschisch de diminuer la volonté, et qu'ainsi il accorde d'un côté ce qu'il retire de l'autre, c'est-à-dire l'imagination sans la faculté d'en profiter. Enfin il faut songer, en supposant un homme assez adroit et assez vigoureux pour se soustraire à cette alternative, à un autre danger, fatal, terrible, qui est celui de toutes les accoutumances. Toutes se transforment bientôt en nécessités.
Celui qui aura recours à un poison pour penser ne pourra bientôt plus penser sans poison. se figure-t-on le sort affreux d'un homme dont l'imagination paralysée ne saurait plus fonctionner sans le secours du haschisch ou de l'opium ?
Dans les études philosophiques, l'esprit humain, imitant la marche des astres, doit suivre une courbe qui le ramène à son point de départ. Conclure, c'est fermer un cercle. Au commencement j'ai parlé de cet état merveilleux, où l'esprit de l'homme se trouvait quelquefois jeté comme par une grâce spéciale ; j'ai dit qu'aspirant sans cesse à réchauffer ses espérances et à s'élever vers l'infini, il montrait, dans tous les pays et dans tous les temps, un goût frénétique pour toutes les substances, même dangereuses, qui, en exaltant sa personnalité, pouvaient susciter un instant à ses yeux ce paradis d'occasion, objet de tous ses désirs, et enfin que cet esprit hasardeux, poussant, sans le savoir, jusqu'à l'enfer, témoignait ainsi de sa grandeur originelle.
Mais l'homme n'est pas si abandonné, si privé de moyens honnêtes pour gagner le ciel, qu'il soit obligé d'invoquer la pharmacie et la sorcellerie; il n'a pas besoin de vendre son âme pour payer les caresses enivrantes et l'amitié des houris. Qu'est-ce qu'un paradis qu'on achète au prix de son salut éternel? Je me figure un homme (dirai-je un brahmane, un poète, ou un philosophe chrétien?) placé sur l'Olympe ardu de la spiritualité ; autour de lui les Muses de Raphaël ou de Mantegna, pour le consoler de ses longs jeûnes et de ses prières assidues, combinent les danses les plus nobles, le regardent avec leurs plus doux yeux et leurs sourires les plus éclatants ; le divin Apollon, ce maître en tout savoir (celui de Francavilla, d'Albert Dürer, de Goltzius ou de tout autre, qu'importe ? N'y a-t-il pas un Apollon, pour tout homme qui le mérite ?), caresse de son archet ses cordes les plus vibrantes. Au-dessous de lui, au pied de la montagne, dans les ronces et dans la boue, la troupe des humains, la bande des ilotes, simule les grimaces de la jouissance et pousse des hurlements que lui arrache la morsure du poison ; et le poète attristé se dit : “ Ces infortunés qui n'ont ni jeûné, ni prié, et qui ont refusé la rédemption par le travail, demandent à la noire magie les moyens de s'élever, d'un seul coup, à l'existence surnaturelle. La magie les dupe et elle allume pour eux un faux bonheur et une fausse lumière ; tandis que nous, poètes et philosophes, nous avons régénéré notre âme par le travail successif et la contemplation; par l'exercice assidu de la volonté et la noblesse permanente de l'intention, nous avons créé à notre usage un jardin de vraie beauté. Confiants dans la parole qui dit que la foi transporte les montagnes, nous avons accompli le seul miracle dont Dieu nous ait octroyé la licence ! ”
Baudelaire, les Paradis Artificiels (Ch. V - Morale)
Citation :
Provient du message de Aloïsius
Alors j'explique : je ne te parlais pas, je parlais à A catacomb Kitten, qui se prononce en faveur de la légalisation de toutes les drogues. Je lui que je suis pas d'accord, à cause de la dépendance. Et tu viens me parler de la dépendance au chocolat, ce qui n'a franchement rien à voir avec le schmiblick. Des gens qui meurent à cause du chocolat, il y en a pas des masses. En revanche, entre les overdoses et le sida...
tout simplement pour dire que toutes les drogues ne sont pas à placer au même degré de danger. toutes les drogues sont dangereuses c'est sur, mais au delà du tout ou rien dans la légalisation, réfléchir au cas du cannabis "casserait" une grosse partie du marché des dealers.

après réfléchir à une légalisation de toutes les drogues mais sous contrôle, par exemple par la consommation obligatoire dans des maisons contrôlées et spécialisées afin de faire courir le moins de risques possibles aux consommateurs ça ne serait pas non plus un mal.
Citation :
Provient du message de Likira Griffon
[i]Tout d'abord, je dirais que 100% des drogués (je parle ici des malades qui prennent des drogues dures) ont mangé du chocolat, bu du café, fumé une cigarette, bu un pti verre de rouge, pissé dans des chiottes, et ont meme regardé la télé.
On peut être drogué a tout, et si on devient dépendant, c'est qu'on a un problème. Et si c'est pas le canna, c'est le chocolat qui y passera.
excuse moi, mais ca c de l'hypocrisie. mais j'admet quand même que j'ai mal tourné ma remarque. je reformule donc :
les drogues douces amenent aux drogues dures, et ca, ca a ete prouvés et, ne serait-ce que dans les experiences personnelles de chacuns, ca se retrouve frequemment.






Citation :
Et pour ton dernier point, oui, mais non. Le canna n'a jamais tué directement quelqu'un. Que des cons qui ont pris la route après.. Mais l'alcool aussi, après chacun sa merde.
ya des accidents encore plus stupides. par exemple un drogués qui se colle un sac sur la tete, avec de la glue, sans penser une seule seconde comment il va respirer. (g pas de source et ca vien du "on m'a dit que" . mais reflechissez-y quand même, c'est ce genre d'accident qui arivent aux plus acros )


Citation :
Dépénaliser, oui, on pourrai faire pousser son pti pied trankilou, fumer sa ptite weed trankilou, sans payer des taxes pour ça. De plus ça lutte quand meme contre le deal, et les gros bonnets qui se font de la maille.
1) 70% des fumeurs de weed actuel ont moins de 18 ans, en france les mineurs sont tres rarement possesseur de leurs propre logement. donc a mon avis rares sont ceux qui pourront se payer un jardin d'herbe >>>>> dealeurs/vendeur (puiske legal)
2) tu croi vraiment que le fisc ne ferait aucun benefice la dessus ??? c'est utopique. de nos jours rien de ce qui est legal n'est pas taxé.

Citation :
Et si on part un peu plus sur les effets, certains diront que le cannabis est interdit, car il permet aux gens de voir le monde différemment, de se rendre compte que ya pas mal de pb, et qui faudrai bouger tout ça..
A savoir que si c'est interdit, c'est a cause des Americains. Pour comprendre, lire l'empereur est nu, de Jack Herrer.

Enfin bon, c'est pas avec les mecs qui sont au gouvernement est les émissions sur M6 qu'on fera bouger le débat.

L'hypocrisie est partout, d'ailleurs tout ceux qui disent qu'ils sont pour doivent aller en tole. C'est interdit de dire quelque chose de bien de cette plante, comme ça, pas de débat !
l'hypocrisie est effectivement partout .... comment peut-tu faire avaler que les delire de gens sous l'effet de stupéfiants peuvent etre un avenir pour un pays (surtout un pays riche comme la france)
Entre les gens méprisant qui font des généralités qui ne démontrent rien d'autre que leur ignorance, et les fumeurs parfois un peu hypocrites sur les effets du cannabis, il doit peut-être y avoir un milieu un peu plus juste non ??

Personnellement, je connais à la fois des personnes qui ont réduit leur vie sociale à pas grand chose à cause d'une consommation exagérée de cannabis... et à la fois des personnes à la vie sociale et professionnelle épanouie qui en consomment raisonnablement et à qui ca ne pose aucun problème.

Pour ce qui est des aspects scientifiques, les différentes études (même celles qualifiées de sérieuses) sont malheureusement assez contradictoires, et on peut en trouver qui etayent aussi bien les arguments des détracteurs que ceux des partisans de la légalisation... Ce qui est par contre généralement admis, c'est qu'aussi dangereux que soit ou ne soit pas le cannabis, d'autres drogues très dangereuses et fortement addictives sont en vente quasi libre partout en Europe. Difficile de fonder une argumentation valable sur ces éléments... d'autant plus si on part du principe que l'être humain, en démocratie, à le droit de disposer de son corps (ce pour quoi il fallait encore se battre il n'y a pas si longtemps que ca) pour autant qu'il n'empiète pas sur le bien être des autres, ce qui à priori n'est pas le cas pour une consommation personnelle et privée par des personnes majeures, comme elle a toujours été évoquée dans les projets de légalisation.

Dans un autre panel d'arguments, certains affirment que la légalisation provoquerait immanquablement une augmentation de la consommation. Là par contre, on peut trouver des chiffres concrets à partir d'un exemple très proche : les Pays-Bas. Et les études réalisées sur le sujet (au vol, trouvé en 30s par google : ici par exemple) tendent à nuancer fortement cette affirmation, en montrant que la consommation de cannabis au Pays-Bas n'a pas augmenté de manière significative depuis la légalisation, et qu'ils se trouvent toujours dans la moyenne Européenne en la matière (et pas au plus haut !).

Par contre, pour ce qui est de la distribution et du contrôle, il est indéniable qu'une implication de l'état amènerait plus de transparence. Beaucoup évoquent le fait que le cannabis est la porte ouverte aux drogues dures... mais parmi les gens qui ont sauté le pas, combien l'ont fait poussés par leurs contacts avec leur dealer ? Ce n'est pas tant la consommation de cannabis qui est ici en tort que les fréquentations qu'amènent aujourd'hui la démarche de s'en procurer. Une distribution strictement réglementée et organisée par l'état serait donc, à priori, une solution à cet aspect de la consommation de cannabis.

Bref, il ne faut pas assimiler légalisation et accès inconditionné au cannabis. Il n'y a aucune raison d'être plus tolérant envers quelqu'un sous l'effet d'un joint qu'envers quelqu'un en état d'ébriété sur la voie publique... Et il ne faut pas jouer à l'autruche et minimiser la consommation de cannabis. Ca existe, et pour l'instant ca se déroule dans les pires conditions possibles. Assimiler tous les fumeurs de joints à des drogués irresponsables est stupide et ignorant.

Personnellement, ce que je constate est simple : dans quelque milieu que ce soit, il est facile aujourd'hui pour un ado de 13 ou 14 ans de se procurer de quoi rouler son joint. Sans aucun encadrement et avec le flou juridique (en Belgique du moins) qui règne autour de la consommation de cannabis, tout le monde laisse plus ou moins faire sans faire réellement face au problème. Etablir des règles et des mesures claires et réalistes, qui ne soient pas hypocrites et stupides comme la légalisation totale ou l'interdiction pure et simple, est pour moi la meilleure des solutions envisageable pour le moment.
__________________
My life is all that I've known, and it's all that keeps me here
My time is all that I own, so I won't let it slip away
Devin Townsend - Life
Citation :
Provient du message de Skaag/Askaln
[...]
Baudelaire, les Paradis Artificiels (Ch. V - Morale)
Exception faite que Baudelaire consommait de l'absinthe, substance qui rend fou.... Au sens médical du terme, et scientifiquement prouvé.
Citation :
Provient du message de Ghaxir
Entre les gens méprisant qui font des généralités qui ne démontrent rien d'autre que leur ignorance, et les fumeurs parfois un peu hypocrites sur les effets du cannabis, il doit peut-être y avoir un milieu un peu plus juste non ??

Personnellement, je connais à la fois des personnes qui ont réduit leur vie sociale à pas grand chose à cause d'une consommation exagérée de cannabis... et à la fois des personnes à la vie sociale et professionnelle épanouie qui en consomment raisonnablement et à qui ca ne pose aucun problème.

Pour ce qui est des aspects scientifiques, les différentes études (même celles qualifiées de sérieuses) sont malheureusement assez contradictoires, et on peut en trouver qui etayent aussi bien les arguments des détracteurs que ceux des partisans de la légalisation... Ce qui est par contre généralement admis, c'est qu'aussi dangereux que soit ou ne soit pas le cannabis, d'autres drogues très dangereuses et fortement addictives sont en vente quasi libre partout en Europe. Difficile de fonder une argumentation valable sur ces éléments... d'autant plus si on part du principe que l'être humain, en démocratie, à le droit de disposer de son corps (ce pour quoi il fallait encore se battre il n'y a pas si longtemps que ca) pour autant qu'il n'empiète pas sur le bien être des autres, ce qui à priori n'est pas le cas pour une consommation personnelle et privée par des personnes majeures, comme elle a toujours été évoquée dans les projets de légalisation.

Dans un autre panel d'arguments, certains affirment que la légalisation provoquerait immanquablement une augmentation de la consommation. Là par contre, on peut trouver des chiffres concrets à partir d'un exemple très proche : les Pays-Bas. Et les études réalisées sur le sujet (au vol, trouvé en 30s par google : ici par exemple) tendent à nuancer fortement cette affirmation, en montrant que la consommation de cannabis au Pays-Bas n'a pas augmenté de manière significative depuis la légalisation, et qu'ils se trouvent toujours dans la moyenne Européenne en la matière (et pas au plus haut !).

Par contre, pour ce qui est de la distribution et du contrôle, il est indéniable qu'une implication de l'état amènerait plus de transparence. Beaucoup évoquent le fait que le cannabis est la porte ouverte aux drogues dures... mais parmi les gens qui ont sauté le pas, combien l'ont fait poussés par leurs contacts avec leur dealer ? Ce n'est pas tant la consommation de cannabis qui est ici en tort que les fréquentations qu'amènent aujourd'hui la démarche de s'en procurer. Une distribution strictement réglementée et organisée par l'état serait donc, à priori, une solution à cet aspect de la consommation de cannabis.

Bref, il ne faut pas assimiler légalisation et accès inconditionné au cannabis. Il n'y a aucune raison d'être plus tolérant envers quelqu'un sous l'effet d'un joint qu'envers quelqu'un en état d'ébriété sur la voie publique... Et il ne faut pas jouer à l'autruche et minimiser la consommation de cannabis. Ca existe, et pour l'instant ca se déroule dans les pires conditions possibles. Assimiler tous les fumeurs de joints à des drogués irresponsables est stupide et ignorant.

Personnellement, ce que je constate est simple : dans quelque milieu que ce soit, il est facile aujourd'hui pour un ado de 13 ou 14 ans de se procurer de quoi rouler son joint. Sans aucun encadrement et avec le flou juridique (en Belgique du moins) qui règne autour de la consommation de cannabis, tout le monde laisse plus ou moins faire sans faire réellement face au problème. Etablir des règles et des mesures claires et réalistes, qui ne soient pas hypocrites et stupides comme la légalisation totale ou l'interdiction pure et simple, est pour moi la meilleure des solutions envisageable pour le moment.
j'avoue que tu a raison sur ce point, si on prend le probleme d'un point de vue modéré il ets vrai que la legalisation aurait du bon, par rapport au controle .... mais bon ... je reste septique par rapport aux autres probleme tres grave qu'entrainerrais une telle mesure .
Citation :
Provient du message de Skaag/Askaln
(Non, ça c'est Verlaine)
Aussi bien Rimbaud, que Verlaine ou Baudelaire, la plupart des romantiques étaient des opiomanes et des consommateurs d'absinthe...
Le cannabis n'etait, a l'époque, que peu (ou pas du tout) répandu en europe.
@ psychic vacuum : ça me rappelle un sketch des guignols (je sais pas si vous avez au canada), ou on voyait Rimbaud devenir Florent Pagny, Gainsbourg Lara Fabian et Bob Marley devenait la compagnie créole, avec le slogan : "c'est sur que la drogue fait rater pleins de trucs".

@ dorian gray : Marilyn Manson est loin d'apprécier la drogue, tout au plus l'alcool, et encore. De même, celle-ci ne fait pas partie du tout de son art : il compose et joue sur scène "safe".

@ kor'a reen : ne me crois pas si ça t'amuse : c'est la réalité. Le joint, à hauteur de 2 ou 3 conso par semaine, est bon pour la santé, c'est prouvé.

@ elhystan : d'abord, si le taux de goudron dans une clope est fixe, il ne l'est pas dans un join. Ensuite, le mec qui fume autant de join qu'un fumeur de clope habituel, je le plains sincèrement. Sachant que la conso comparée est bien supérieur au rapport de un pour quatre, le problème est réglé.

@ aloisius : non, on ne peut forcer personne à consommer. Sauf si on te séquestre, t'immobilise, et t'injecte la substance dans les veines : ce qui est hors la loi. TOUT LE MONDE sait que seule une personne sur cent échappe à la dépendance en consommant de l'héroïne : tout majeur consomme prévenu.
Bah heu moi.. fiou je sais pas trop, si ce n'est que bon, les arguments que j'ai lus "contre" me semblent un peu jetés à la va-vite .

Je veux bien comprendre que vendre une drogue ne serait pas politiquement tres correct.. Mais où commence et où finit la drogue ? Est-ce quelquechose qui crée une dépendance, auquel cas ce concept se retrouve largement ailleurs, et à des degrés divers ?

Le danger qu'il crée sur sa propre santé ? Là c'est comme tout, l'homme ne se modere que rarement, et je crois qu'honnêtement, on trouve plus dangereux.. Encore une fois ça dépend trop des personnalités, c'est dur de tracer comme ça des pseudos-profils du français de base.. Pour l'alcool c'est le même problème, à court terme la pression et le rythme cardiaques augmentent, poussent autant à faire des conneries. Inflammation de l'estomac, nausées, combinaisons médicaments, reflexes, coordination..
Quant au long terme il me semble aussi que celui-ci soit dangereux pour le cerveau, le foie.. et le bébé qui en patira au niveau physique, mental..
Quand au problème de l'esprit au jour le jour, on dit que c'est le même.. agressivité, blabal..
Mais je suis désolé, on voit des gens qui boivent beaucoup et le sont pas, où d'autres qui boivent rarement et le sont.

C'est simplement un problème de personne, et ça pousse le déclic de certaines personnalités ou comportements chez certains.

Interdire l'alcool ? Evidemment non, pour plein de raisons.. On a choisit cette liberté, c'est dans la culture, et on ne le remet même plus en question.. Je ne suis pas un pro en histoire, et ne sait donc pas l'impact que ça a eu à son invention .

Voilà bon après, qui est plus dangereux pour lui ou les autres entre le mec enervé de base qui boit un coup et pète un cable, ou le drogué qui boit mais se contrôle, ou le type qui fume un joint un jour et fait un bad-trip et tue 50 personnes.. Ou la mémé qui respecte pas une priorité ?

J'en sais rien. Faut que chacun se prenne en main, juge de ce qu'il croit être, apprenne à franchir ses limites, sauf avec ce qui est dangereux.. Alcool, cigarettes, routes, drogue.. A partir de là qu'il jongle avec ça pour ne pas mourir à 50 ans des poumons ou des reins, ni a 90 aigri de n'avoir pas vécu..

Tant de choses détruisent le cerveau et le corps, drogue ou non (donc on enlève le phénomène de dépendance hein) que j'avoue que je sais plus vraiment comment il faut vivre pour être en bonne santé. Et je ne sais pas si c'est compatible avec le bonheur, ni avec sa protection et à ceux de son entourage..

Il m'est arrivé de boire, de fumer (des deux), je n'ai jamais été plus agressif, ni eu de perte de volonté sur la longueur ou sur le coup. Je ne bois ni fume pas plus pour m'évader de la vie que quand je fais de la batterie ou du tae. Un plaisir, faut arrêter de croire qu'on fuit ce monde de merde. Y'a pas besoin de s'enfuir pour l'affronter, de toute façon il est là, avec ces mauvais et ces bons côtés. M'enfin, on parle plus des déprimés qui fument et boivent pour fuir, que les gens pour qui c'est juste un plaisir, puis voilà. Je suis conscient qu'il faille en parler, mais parler d'excès pour en faire une généralité, c'est dommage et courant.
Comme le coup du lycéen américain et son carnage.
Voilà, bon ok les jeux vidéos sont violents, mais la cause c'est pas le jeu, c'est le lycéen, faut arrêter là.. Par contre je veux bien admettre que le jeu a été un déclic parmi les autres..

Ce sont souvent des effets généraux dont la loi traite, qu'en aucun cas je ne remets en question, mais qui je pense s'adaptent à chacun. La loi est certes là pour trancher sur l'aspect qui se croise souvent chez les gens, et ne pardonnent pas les exceptions.. et c'est normal.. Et j'imagine qu'on passera ce stade lorsqu'on aura atteint un niveau de sagesse qui me paraît encore bien loin

Juste un ptit quote de ce qui a été lit plus haut.. Parce que c'est cher ça entraîne le vol ou le deal, wahahou stop là c'est un peu rapide p'tete comme conclusion. Faut savoir se modérer puis voilà, comme quand je vais acheter un magasine des fois, quand il me reste des sous dans mon portefeuille. J'vais pas dévaliser une banque pour ce plaisir pour autant .

En gros je m'en fiche que ce soit dépénalisé ou non. Y'a une espece d'hypocrisie sur la perfection de l'homme sans reproche assez pénible. Ok c'est pas bien, mais cette bonté qu'on certains concernant la santé des autres est agaçante de mauvaise foi. Quant à la dangerosité sur les autres, je trouve les gens aussi dangereux dans leur état normal. Encore que quand ils fument, ils restent chez eux et me coupent pas la priorité ou m'injurient. Quant à la loi, qui n'a jamais enfreint celle-ci, à des degrés différents ? Voilà, bon après peut-être s'il fallait légaliser, instaurer des limites de THC dans les mêmes proportions dangereuses que la nicotine pour la cigarette, ainsi que d'autres limites ?

Même conclusion que Ghaxir pour moi ! "Etablir des règles et des mesures claires et réalistes, qui ne soient pas hypocrites et stupides comme la légalisation totale ou l'interdiction pure et simple, est pour moi la meilleure des solutions envisageable pour le moment.
"
Citation :
Provient du message de enfoiros
j'avoue que tu a raison sur ce point, si on prend le probleme d'un point de vue modéré il ets vrai que la legalisation aurait du bon, par rapport au controle .... mais bon ... je reste septique par rapport aux autres probleme tres grave qu'entrainerrais une telle mesure .
Le fait est que, dans la pratique, toute personne qui le désire peut se procurer de quoi fumer assez facilement et à un prix qui n'est pas négligeable, mais qui reste tout à fait raisonnable pour une consommation occasionnelle. A partir du moment où on est de fait dans une telle situation, qu'est-ce qui pourrait encore être pire que les conséquences d'une absence de contrôle dans le domaine ? Tout interdire, et offrir un essor encore plus grand aux trafiquants en tous genres, sans parler d'une répression largement excessive pour le consommateur moyen qui ne pose pas de problème ?

Qu'on soit pour ou contre le fait de consommer des substances chimiques qui ne sont pas sans danger n'est pas tellement le coeur du problème à mon sens. Les gens qui ne touchent actuellement pas au cannabis ne se mettront pas à fumer, et les gens qui en consomment bénéficieront de produits enfin contrôlés et d'un cadre où ils pourront être suivis et aidés éventuellement. Sans parler des bénéfices que je préfère personnellement voir réinvestis par l'état que dans la poche des dealers.
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My life is all that I've known, and it's all that keeps me here
My time is all that I own, so I won't let it slip away
Devin Townsend - Life
Je suis pour une légalisation du cannabis a ces conditions :
- Usage dans des endroits privés uniquement
- Vente règlementée et controlée par l'état.

Pourquoi ? une légalisation apporterait nombre d'avantages
- Baisse des prix
- Hausse de la qualité (Moins de dangers pour le consommateur)
- Les revenus sont coupés a la mafia et vont au gouvernement
- Ces revenus peuvent financer des campagnes de préventions et d'informations
- Se la procurer légalement enlèverai le lien vers les drogues dures.

Les inconvénients possibles ?
- Hausse de consommation : ( Les pays bas n'ont pas eu de hausses de consommations et ont un niveau inférieur à la france ) - donc clairement, je suis pour une légalisation correctement faite
Citation :
Aussi bien Rimbaud, que Verlaine ou Baudelaire, la plupart des romantiques étaient des opiomanes et des consommateurs d'absinthe...
Le cannabis n'etait, a l'époque, que peu (ou pas du tout) répandu en europe.
Aucun des trois n'est "romantique" à proprement parler.

A ce que je sache, seul Verlaine a fait mariner ses lauriers dans absinthe. Les deux autres n'étaient que des consommateurs occasionnels ; quoi qu'il en soit, l'impact sur eux oscilla entre peu et rien ("Gagnons, pèlerins sages, l'Absinthe aux verts piliers"...soit )/

Oui, mais tonton Charles fit main basse sur assez de "confiture" pour croquer dans ses morceaux de faux ciels.

Pourquoi ruiner santé, bourse et esprit dans les drogues, choses malaisées à se procurer, aux effets secondaires lourds et dévastateurs, quand l'alcool est à portée de main ?

La drogue a trait au divin. A un divin truqué et vide, qui nous emporte loin de l'existence.

Rien de tout cela avec l'alcool. Rien de plus terrestre. L'alcool ne nous extrait jamais ni de notre vie, ni de nous-même. Tout au contraire, son mouvement centrifuge nous entraîne vers notre propre fond, et ancre le délire dans le secret du quotidien.

Les deux trajets sont donc opposés.

Seul l'alcool ne constitue pas une trahison à nous-même. Les forces illusoires qu'il nous accorde sont les nôtres. Et une fois l'ivresse dépassée, c'est terrestrement qu'il faut expier, le corps parle franchement. Les drogues sont infiniment plus pernicieuses, altérant ce qu'il y a d'humain en nous, sabotant la volonté et rongeant la structure même de l'esprit. Les générations d'abouliques qui ont rampé jusqu'à l'entrée de ce siècle prostituent le sens même de ce qui leur sert d'existence.

Maintenant, entre la cirrhose et le cancer du poumon...
Je trouve la politique actuelle du gouvernement tournée vers la "tolérance zéro" ( ) totalement ridicule. Très peu de toxicomane s'arrêteront car ils ont été chopé une fois ou deux... Ou alors qu'on me le prouve

Ensuite je suis peut être un peu extrémiste mais j'aurai tendance à penser qu'il n'est en rien profitable au citoyen que les drogues soient interdites :
Quelqu'un désirant tester une drogue peut plus au moins facilement s'en procurer et je pencherai plutôt du côté du facilement... Et je pense qu'avec une prévention adéquate (d'ailleurs celle que j'ai eu au collège et lycée m'a parue très bien faite) les gens sont suffisamment au courant des conséquences pour être rationnel dans leur choix. Qui arrivait au lycée n'a pas entendu parler des effets du cannabis ?
De toute façon maintenant les collégiens shootent des douilles. (Où va t-on ? )
Je ne suis pas convaincu que la consommation augmenterai avec une légalisation, vu à quelle stade elle se trouve déjà de toute façon... Les effets de groupes qui peuvent pousser à la consommation ne changerai pas non plus... Ok ce ne sont que des pronostics mais bon lorsque je voie certains endroits qui ressemblent plus à un marché qu'à un lieu public... Non franchement je ne voie pas l'intérêt de cette interdiction bien au contraire....


Pour être plus précis sur le cannabis, le problème est son effet à long terme : en effet au début au part la défonce du moment il n'y a pas grand chose... Mais à long terme niveau perte de mémoire et stabilité des repères, ou supporté le quotidien sa devient déjà plus dur... Et quand on voie la spirale dans laquelle certaines personnes tombent
Mais tout ceux ci existent déjà avec une loi très stricte, quel serait réellement le changement avec une dépénalisation ?... Ce n'est qu'un avis à la con mais je pense qu'il sera moindre voir inexistant.
Citation :
Provient du message de Phemios de Lys
Pour répondre à cette question sur laquelle je suis à priori contre, jamais de légalisation de cette merde, quelqu'un pourrait il nous sortir les chiffres des pays bas depuis la légalisation concernant l'usage/la délinquance liée au stupéfiants?
une ptite étude sur la cannabis au pays bas :

http://www.parl.gc.ca/37/1/parlbus/c...n-f/korf-f.htm

je citerais ceci de son introduction :

Citation :
Le nombre d’adolescents qui utilisaient le cannabis a atteint un sommet lorsque le cannabis était distribué dans un marché clandestin (à la fin des années 1960 et au début des années 1970). Ensuite, le nombre a diminué lorsque les vendeurs d’entreprise ont remplacé le marché clandestin (années 1970) et a augmenté de nouveau après que les coffee shops ont pris en charge la vente du cannabis (années 1980) et il s’est stabilisé ou a baissé légèrement à la fin des années 1990 lorsque le nombre des coffee shops a diminué.
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