Il n'y a pas que les manifs je suppose...

Fil fermé
Partager Rechercher
Oui la dette de l'etat etouffe le budget en france, oui il y a effet boule de neige, et le gouvernement continue a baisser l'impot paye par les plus riches (impot sur le revenu) pour rendre la chose encore plus difficile. Apres ca il dit qu'il faut reduire la duree des allocaton chomage, que les depenses de sante sont trop elevees, et que les retraites sont trop longues ... forcement 30% de baisse d'impot sur le revenu ca coute cher, tres cher.
Le saint je constate que tu n'es pas du tout un économiste, ni un étudiant dans ce domaine.

J'ai la flemme de démonter toute ton argumentation et surtout de corriger les erreurs graves et les contresens à propos de la gestion publique.

Désolé mais là je suis franchement atterrée.
mauvais exemple avec cette photo!

Il a été démontré que c'était un fêtard, un dimanche matin qui traversait sur le passage piéton (que l'on voit très bien d'ailleurs) et quoi de plus normal pour ces chars qui passaient par là de s'arrêter pour le laisser traverser. Alors bien sûr, le jeune fêtard -ivre- se demande ce que sont ces monstres d'acier et reste là à les regarder ; ce qu'on entend pas : les klaxons des chars et les injures des conducteurs : "hé bouge de là ; y en a qui travaillent"
Voilà, je voulais rétablir la vérité, on peut faire dire n'importe quoi à une image mais de là à condamner un si beau pi comme la chine pour un c##### d'ivrogne qui sait plus où il est ! NON!
__________________
ZZO

VIVE LA REVOLUTION VIRTUELLE!
Juste une petite précision, les deux dictatures que tu cites n'ont rien du communisme. Il y avait des inégalités flagrantes entre les dirigeants et le peuple par exemple. Le communisme est le socialisme poussé à son extrême (jolie inversion) et je ne vois pas du tout il y avait du social dans ses pays (les famines, le massacre des populations, etc..)

Ce n'était (sont) que des dictatures sous couvert du communisme, ce qui a pour longtemps décrédibilisé ce mouvement politique.

Joy
je suis d'accord pour jeter Marx aux poubelles de l'histoire : sa théorie économique est directement dérivée de celle d'Adam Smith, toute empreinte de morale protestante, et erronée : il croyait que la valeur d'un objet dépend du travail nécessaire à sa création, alors qu'elle dépend du désir de l'acheteur...


Pour ce qui est de l'assainissement du budget, c'est évidement une priorité. Mais, et il y a un mais, je pense que sans les dérives capitalo-mafieuse du crédit lyonnais et de France télécom (entre autres), sans la faiblesse récurrente des gestionnaires de la sécu face à l'industrie pharmaceutique, sans les réductions d'impôt et de charges aussi massives qu'inefficace, sans enfin la politique monétaire débile menée depuis le début des années 90, le problème ne se poserait pas. La preuve par les pays scandinaves, comme le Dannemark.
Citation :
Provient du message de Peline
Le saint je constate que tu n'es pas du tout un économiste, ni un étudiant dans ce domaine.

J'ai la flemme de démonter toute ton argumentation et surtout de corriger les erreurs graves et les contresens à propos de la gestion publique.

Désolé mais là je suis franchement atterrée.
LOL

On ne m'avait encore jamais fait le coup là, au lieu de débattre on nie l'autre, vraiment grandiose.

Je suis curieux que tu me montre dans l'explication de l'effet boule de neige où tu vois des incohérences

>> Zigzagouille : merci, cela devait être dit, j'ai été encore une fois manipulé par le grand capitale :bouffon:
Finalement avoir un nihiliste dans ce debat ca donne une bouffée d'air frais

>> Serafel : Bah je sais pas moi, je crois plutot qu'on m'a traiter de demeuré endoctriné qui pigait rien à rien et qu'on allait bloquer dans les trams avant que je mette les pieds dans ce débat, non ?
Quand on me traite comme ça, je réagis avec des moyens proportionné, mais je n'insulte personne en tout cas.
De plus Xeen est une amie donc je pense que je peux la charrier comme elle le fait elle même, par contre Peline n'est pas mon amie, je lui permet pas de s'adresser à moi comme ça dans un débat.
Tu es quand même d'accord que dans une conversation autour d'une table ce type de tirade ne serait pas tolérée.
Citation :
Provient du message de Le Saint
LOL

On ne m'avait encore jamais fait le coup là, au lieu de débattre on nie l'autre, vraiment grandiose.

Je suis curieux que tu me montre dans l'explication de l'effet boule de neige où tu vois des incohérences
Tu noteras tout de meme qui est la premiere personne de ce fil a avoir rabaisse l'autre pour mieux faire passer ses arguments ...
Citation :
Provient du message de Aloïsius

Pour ce qui est de l'assainissement du budget, c'est évidement une priorité. Mais, et il y a un mais, je pense que sans les dérives capitalo-mafieuse du crédit lyonnais et de France télécom (entre autres), sans la faiblesse récurrente des gestionnaires de la sécu face à l'industrie pharmaceutique, sans les réductions d'impôt et de charges aussi massives qu'inefficace, sans enfin la politique monétaire débile menée depuis le début des années 90, le problème ne se poserait pas. La preuve par les pays scandinaves, comme le Dannemark.
Tout à fait.

Mais

Tu ne peux pas faire de la France un cas générale et donc expliquer tout les dysfonctionnement de nos société par la corruption ou les manoeuvres des grands groupes capitalistes.
Car en Belgique la raison majeur de l'endettement public était du uniquement à une gestion déplorable du politique, les socialistes à l'époque. Mais je dirais que le problème était au delà des partis car il y a de très bon politiques socialistes maintenant que j'apprécie actuellement comme j'apprécie des libéraux.
Le problème était politique, purement politique dans le sens homme politique mauvais gestionnaire ne pensant qu'à son but numéro 1 se faire réélire.

Je veux donc dire que les explications sont plus complexes que montrer du doigt le "grand capital" en lui mettant tout sur le dos, car déjà cela varie de pays en pays alors que nous utilisons les mêmes modèles économiques.
Au final, le saint, ce qui pousse les etats a faire des economies c'est que desormais ils sont consideres comme des entreprises qui ne doivent pas faire de pertes, et ceci par tous les moyens possibles (cf criteres de maastricht) Ce qui en soit est une bonne idee (un pays doit etre tout de meme "bien gere") abouti en realite a un desequilibre flagrant, Car ceux qui ont besoin de l'etat pour s'en sortir, et qui donc souffrent de ces criteres de maastricht, ce ne sont pas le splus riches mais bien les plus pauvres. Pour moi le probleme est la. et ces criteres de maastricht sont imposes par le systeme capitaliste, parce que si un pays va mal economiquement parlant, les investisseurs (capitalistes) ne vont pas y aller.

Bref, dire que c'est juste le politique qui change ca c'est tres faux, surtout quand on sait comment se passent les decisions au niveau europeen ... Ah ce parlement de strasbourg completement vide de sa substance puisque tout se decide a bruxelles en petit comite choisi (oui on a bien lu "choisi") par les gouvernement pour sieger a la commission.
Bonjour :)
J’avoue n’avoir pu lire que jusqu’à la huitième page et espère trouver le temps de lire la suite

Je me permets de rectifier quelques réflexions :
En caricaturant : "ceux qui n’ont pas de travail n’ont qu’à accepter n’importe quoi plutôt que se plaindre".

Premièrement : ce n'est pas toujours possible de trouver un travail. Il faudrait le savoir, et l’accepter plutôt que ces réflexions bien peu humaines et solidaires.

Secondement : accepter n’importe quoi. Ce que j’ai fait comme d’autres de mes amis à certaines périodes de vaches maigres euh non pas de vaches du tout d’ailleurs
la région que j’habitais alors était une des régions les où le taux chômage était des plus importants ; sachant que le gros groupe de gens auxquels j’appartenais avions refusé de nous inscrire à l’ANPE – et donc avoir des subsides – je peux affirmer que les chiffres officiels étaient faussés

Accepter n’importe quoi. Qui, de ceux qui avancent : "zont qu’à trouver du travail", serait prêt à travailler pour 18 f. de l’heure sur les toits, dans le Sud de la France en plein mois d’août, pour un chèque de fin de mission de 1000 f à la place de 1500 parce que, dixit l’employeur, cela fait un compte rond pour sa comptabilité ? (ceci est un exemple parmi de trop nombreux).

Mais le souci premier à mon sens :
Accepter ce genre d’emploi est donner droit de vie à un système d’exploitation de l’homme par l’homme, quel que soit le niveau de l’exploitant. Et là, c'est un vrai cas de conscience que d’accepter n’importe quoi pour pouvoir simplement manger tous les jours.

Y avez-vous pensé ?

Ce cas de conscience est bien sûr aussi celui de certains employeurs obligés de sous-payés leurs employés (et là aussi j’ai vécu ce côté de la barrière) pour toutes les raisons que l’on sait (charges élevées...).

Troisièmement : "les gens qui profitent des aides que c'est honteux". Là aussi, il faut relativiser. Pour l’avoir vécu (lorsqu’on est dans l’ennui financier on ne connaît quasiment plus que des gens dans le même cas et donc on apprend beaucoup sur les réalités sociales des démunis). Certains profitent des aides, oui, et pas toujours ceux que l’on croit. Je pourrais citer des exemples de gens très loin du seuil de pauvreté qui se sont arrangés pour obtenir des aides très nombreuses. Parallèlement, j’ai vu des gens vraiment dans le besoin se voir refuser le minimum vital.

Quatrièmement : Ceux à qui la loi interdit de travailler : certains handicaps. Bien sûr ces gens perçoivent des aides mais en connaissez-vous le montant ? Là encore je suis prête à donner des exemples assez dramatiques.


Je crois que le sujet de départ concerne les personnes sans emploi et de savoir comment elles pouvaient aussi se faire entendre.
Les manifestations (manifestations non grève) ont cela de bien qu’elles permettent au moins d’informer le public d’un souci qui, sans elles, ne serait pas dévoilé par les médias. Bien entendu reste le problème de la désinformation, ou plutôt de l’information transmise de telle manière que le sujet perde sa vraie substance.
Reste au public de faire le meilleur tri possible et de ne pas oublier le lendemain le problème exposé la veille.


Quant aux solutions pour se faire entendre ?

Comme Malypa (que je regrette de ne pas avoir le temps de lire) l’a dit bien mieux que je ne saurais : il y a des moyens.

Individuellement par exemple, Pourquoi :
- Acheter certaines marques alimentaires ou autres (faire des choix, c'est, à mon sens, gêner le développement de trusts. Et pourquoi pas, si tout le monde en prend conscience et le met en pratique, l’enrayer) ?
- Ne pas accréditer le moins possible ce qui n'est pas intègre (ne pas aller voir, parce que c'est de bon ton : la dernière exposition de, le dernier film de, le dernier livre de, le dernier match de, etc. dont il est quasi certain que le marché a été obtenu par amitié bien plus que par valeur). Les expositions, livres, concerts, etc. d’inconnus sont tout aussi et souvent meilleurs que ceux dont on nous assène la pseudo-excellence ?
- ne pas préférer les petits commerces aux (très) grosses entreprises ?
- Consommer à outrance et surtout lorsqu’on n’en a pas les moyens financiers (et plus généralement, ne pas abuser voire ne pas user du tout des offres chimériques de crédit) ?
- Succomber aux chants des sirènes véhiculés par les publicités dont beaucoup étaient – sont peut-être encore ? – de petits bijoux ?
- Prendre sa voiture (comme il a été dit) pour un oui et un non (le gros plus évident : avantage écologique) ?
- Se précipiter à (cliché) Ibiza (lorsqu’on a un minimum de moyens financiers pour le faire car, non Ulgirm tout le monde ne part pas en vacances) ?
- ne pas essayer de penser le plus possible par soi-même, tant qu’à se faire ce peut ?

En bref, privilégier tout ce qui ne profite pas à un honteux système qui empêche l’homme d'être.

De manière plus engagée :
Soutenir ou participer aux mouvements dont des liens ont été donnés ici.


Précisions : Non, je ne râle pas, non je n'ai pas profité "d'aides", oui je me suis toujours débrouillée pour trouver de quoi manger, oui je travaille de nouveau à mon compte avec tout ce que cela induit d'heures etc. comme il a été dit, pour un revenu très bas. Non, je ne m'en plains pas du tout
Citation :
Provient du message de Spring
... Il y avait des inégalités flagrantes entre les dirigeants et le peuple par exemple...
Ca sera le cas dans tout les système. Les humains naissent peut-être égaux de droits, mais il n'ont pas tout le même potentiel.

Dans toute les sociétés, tu as des humains "alpha" qui finirons en haut de la hièarchie et qui aurons des accès à beaucoup plus de richesse que les autres.

Une personne plus douée (au sens asser générique) que les autres n'acceptera pas d'avoir seulement la même part de richesse que les autres... et comme c'est les personnes les plus douée qui se retrouvent en générale aux commandes (y'a des exception évidament)

Si "le peuple" se lève demains et renvers le système actuelle, on ne fera que remplacer les nantis actuellement en place par les chefs de la revolution.
>> Serafel :

Oui je suis aussi d'accord mais en l'occurrence je parlais de la situation bien avant Maastrich dans les années '70, une gestion très libre de l'économie a mis le pays dans la m... jusqu'au cou et cela à cause d'homme politique absolument irresponsable.
C'est une réalité économique historique qui est enseigné en fac chez nous.
Si un belge économiste passe par ici je lui demande de donner son avis sur ceci.

Et justement c'est grâce au objectif de Maatrich que notre gouvernement a réagi en prenant des mesures draconiennes, ce fut salutaire pour la Belgique, le pays se porte mieux, donc je me porte mieux mais on en a bavé.

mais il est vrai à nouveau que ce qui fonctionne pour nous ne fonctionne pas nécessairement pour les autres, comme l'Espagne et le Portugal.
mais j'ai de nouveau le sentiment que tu diabolise tout les élus comme s'il te voulait du mal, certain oui mais certainement pas tous, cela n'aurait aucun sens car rien ne fonctionnerait plus.
Citation :
Provient du message de Le Saint
>> Serafel :

Oui je suis aussi d'accord mais en l'occurrence je parlais de la situation bien avant Maastrich dans les années '70, une gestion très libre de l'économie a mis le pays dans la m... jusqu'au cou et cela à cause d'homme politique absolument irresponsable.
C'est une réalité économique historique qui est enseigné en fac chez nous.
Si un belge économiste passe par ici je lui demande de donner son avis sur ceci.

Et justement c'est grâce au objectif de Maatrich que notre gouvernement a réagi en prenant des mesures draconiennes, ce fut salutaire pour la Belgique, le pays se porte mieux, donc je me porte mieux mais on en a bavé.

mais il est vrai à nouveau que ce qui fonctionne pour nous ne fonctionne pas nécessairement pour les autres, comme l'Espagne et le Portugal.
mais j'ai de nouveau le sentiment que tu diabolise tout les élus comme s'il te voulait du mal, certain oui mais certainement pas tous, cela n'aurait aucun sens car rien ne fonctionnerait plus.
Il n'y a pas besoin de diaboliser les elus, il suffit de les ecouter a la tele ou a la radio pour comprendre que la plupart seraient prets a vendre leur mere pour un peu plus de pouvoir. Je ne l'ai pas sous la main mais il faudrait par exemple retrouver ce que disait sarkozy de raffarin avant qu'il devienne premier ministre. C'est croustillant et deplorable de mechancete crasse (certes brillante, le petit a de l'avenir). Il n'y a pas besoin encore un exemple, de diaboliser les elus de dorite qui souhaitent relever de 300000f a quelques millions d'euros le plafond des depenses publiques au dela duquel un marche en bonne et due forme doit etre ouvert. Tout ca au nom de la flexibilite

bref les politiques sont desormais des professionneles du pouvoirs et comme les autres ils retirent un profit de ce pouvoir, et cherchent a y rester le plus longtemps possible en conentant la frange de l'electorat qui les a elu. On peut trouver ca normal, moi je trouve ca assez immonde comme systeme.
Ok, je retrousse mes manches et je consulte mes bouquins d'économie

"vous êtes face à des graves problèmes budgétaires"

Donne nous des chiffres, des sources, svp pour affirmer un tel constat.

" l'effet boule de neige" au niveau gestion des finances publiques

Cette expression que tu peine à définir, n'as rien d'économique.
Peut être que tu parlais du multiplicateur?

Le multiplicateur permet d'expliquer comment s'opère un processus d'égalisation de l'épargne et de l'investissement

Tout accroissement du revenu doit être soit dépensé en consommation, soit épargné.

Si tu prend le budget de l'Etat , tu a trois sources d'accroissement du revenu:

En période de croissance toute hausse de la consommation grâce au prélèvement de la TVA permet une hausse du revenu étatique,

tu a aussi l'augmentation des impôts,

et enfin les prêts auprès des banques ou bien des particuliers avec les bons du Trésor Public.

Cette manne financière vas le plus souvent être dépensé en consommation c'est à dire pour l'Etat en investissements publics.

C'est la valeur que prend la propension marginale à consommer dont dépend l'importance du changement dans le revenu national.

C'est à dire que moins on épargne et plus les dépenses publiques vont relancer l'activité économique et donc ses revenus au final.

Les dépense publiques n'ont pas la même incidence que celles du simple particulier.

Le sur-endettement de nos Etat est exagéré.
On est loin de la banqueroute comme ce fut le cas du Brésil, de l'Argentine etc.

Les fameuse années 70 sont marquées par un nouveau phénomène qui a déconcerté tous les économistes et les décideurs politiques de l'époque.
La déflation, c'est à dire la présence simultané de l'inflation et de la stagnation économique.

Mais contrairement à ce que tu crois les Etats n'ont pas été les seuls à faire des emprunts, les entreprises aussi à cause du surcoût énergétique lié à la hausse du pétrole.
Mais là encore il ne faut pas crier au loup car l'inflation à deux chiffres faisait que l'emprunteur était le gagnant du système.
Les taux d'intérêt des emprunts étaient souvent plus faible que celui de l'inflation, en gros tu rembourse moins que ce que tu a emprunté.

Non l'endettement de nos Etats datent en fait des années 80.
Quand alors que les emprunts des dix années précédentes couraient toujours l'inflation a baissée et les taux d'intérêts ont augmenté subitement à l'initiative des USA.

Les USA qui ont à l'époque un pouvoir monétaire lié au dollar, cherchent des liquidités pour leur investissements , augmentent le coup de l'argent chez eux, ce qui attirent tout les capitaux.

Face à la fuite des capitaux en Europe l'Allemagne puis en suite les autres pays européens ont du se décider à contre coeur de suivre cette hausse.

Résultat désastreux pour nos budget publics mais aussi pour les entreprises qui licencient, voir ferme leur portes par manque de liquidités ou par trop d'endettements.

La hausse du chômage ( plus un million de chômeurs en plus en France dès 1983) vas aggraver le trou dans le budget de l'Etat puisque se sont des contribuables en moins, ils ne peuvent plus cotiser.

La réduction actuelle des déficits publiques n'est pas lié à une nécessité économique mais à une obligation politique celle dicté pas le traité de Maastricht et les fameux critères à respecter pour l'EURO.

Raffarin n'est pas un exemple de gestion drastique de la dépense publique.
Dès son investiture la première mesure qu'il a prise c'est d'augmenter les revenus de ses collaborateurs et de ses ministres !
Je précise que la mise en place de l'Euro c'est justement pour échapper à la sphère d'influence monétaire des USA .
Dont la politique à l'époque nous avait coûté si cher, économiquement et socialement.
Citation :
Provient du message de Peline
Ok, je retrousse mes manches et je consulte mes bouquins d'économie



" l'effet boule de neige" au niveau gestion des finances publiques

Cette expression que tu peine à définir, n'as rien d'économique.
Peut être que tu parlais du multiplicateur?


Le multiplicateur permet d'expliquer comment s'opère un processus d'égalisation de l'épargne et de l'investissement
Rien a voir

Citation :
Des finances publiques belges assainies

En matière de finances publiques, les perspectives sont établies en supposant que les règles et politiques actuelles continuent d'être appliquées. La gestion des dépenses publiques reste donc marquée du sceau de la rigueur : aucun avantage nouveau n'est accordé dans la Fonction publique (en-dehors des hausses déjà programmées) ou aux allocataires sociaux, la croissance des dépenses de soin de santé continue à être sévèrement contrôlée, la plupart des autres dépenses publiques connaissent une progression lente qui soit prolonge les tendances récentes, soit reflète une programmation pluriannuelle restrictive des départements.

Bien entendu - et c'est notamment le cas en ce qui concerne les dépenses de soins de santé - le maintien d'une politique inchangée peut supposer la prise de mesures récurrentes dans le cadre des exercices budgétaires successifs.

Sur cette base, le surplus primaire enregistrerait à moyen terme une nouvelle amélioration (il passerait de 5,2 pour-cent du P.I.B. en 1996 à 6 pour-cent en 2001). Compte tenu de l'amorce d'un effet boule de neige inversé et de la réduction du taux d'intérêt implicite de la dette, les charges d'intérêt continuent à diminuer à un rythme rapide (de 8,6 pour-cent du P.I.B. en 1996 à 7,1 pour-cent en 2001); le besoin de financement de l'Etat passerait de 3,4 pour-cent en 1996 à 1,1 pour-cent en 2001.

La Sécurité sociale contribue de façon importante à ce résultat. Les dépenses sociales reculent de façon significative (en pour-cent du P.I.B.) en grande partie grâce à la baisse du chômage, la réforme des pensions et la réforme des allocations familiales.

L'amélioration du surplus primaire serait surtout sensible en 1997 - il atteindrait 5,5 pour-cent du P.I.B. - et en 2001. Un léger recul serait cependant enregistré en 1998 (5,4 pour-cent du P.I.B.) attribuable à une baisse de 0,3 pour-cent du P.I.B. du surplus primaire de l'entité I[8].
Bureau du Plan (organisme officel belge)

A l'avenir prend de grandes pincettes avant de "traiter" quelqu'un et surtout évites ed quoter une phrase en enlevant des mots ca fait pas crédible.

MiaJong m'avait demandé d'expliquer le mécanisme belge, ce que j'ai fait en tachant d'être le plus simple et clair possible, car tout le monde n'est pas économiste justement

Tout le restant concernant la France, j'ai fait des suppositions en utilisant des tournures de phrases comme "je crois" etc ... Je ne suis pas français et je ne suis que très vaguement l'actualité de la France, juste les impacts extérieurs que votre pays peut générer sur moi en fait.
Ben oui l'effet boule de neige inversé c'est en fait le multiplicateur inversé appliqué à la gestion des dépenses publiques.
C'est une image journalistique pour sortir du jargon économiste.
Citation :
Provient du message de Peline
Ben oui l'effet boule de neige inversé c'est en fait le multiplicateur inversé appliqué à la gestion des dépenses publiques.
C'est une image journalistique pour sortir du jargon économiste.
Faux c'est le terme que nous employons en Belgique et je ne pense pas que les econométristes du Bureau du Plan utilise du jargon journalistique .
Désolé ca se passe comme ça en Belgique, on est des drôles de "manneken"

Si tu veux en savoir plus avant de traiter les gens et dire qu'ils ne sont pas économiste (ca serait pas de la diffamation d'ailleurs ça Nijelllllllllllllllllllll ???) je te conseille de lire un peu les publications du Bureau du Plan.
Elles sont un peu ardues mais terriblement intéressantes mais cela ne devrait pas poser de problème pour toi, serais tu économiste ?
Le parrain de mon fils y travaille depuis des années comme expert, si tu veux je te mets en contact avec lui pour lui demander ce que veux dire "effet boule de neige"
je répondrais lorsque j'aurais plus de temps sur une connection. Excusez moi donc de ce retard, pour ceux qui me posaient des questions.
Je sauvegarderais tout ça sur disquette et vous préparerais une réponse un peu construite.

juste ceci, car je me suis faite traiter de bolchevique.
Dread, tu n'as pas répondu à ma question. C'est une de tes méthodes réprouvée... tu donnes une autre interprétation - qui t'arrange - aux propos des autres, ou tu menace, intimide... et tout tes smileys souriants et hypocrites cachent à peine ton irritation. J'ai posté cette phrase pour te faire réagir, et réfléchir, toi tu te défile, en drapant sur toi la cape de l'indignation.
Mais là si je t'adresse la parole tu n'entendra pas j'imagine...
"Traiter les gens"

Excuse où tu a lu que j'insultais qui que ce soit dans mes interventions?

Bon j'arrête là parce que tu ne lis pas ce que j'écris c'est dommage. Et puis on est en plein hors sujet.
Citation :
Provient du message de Xeen
juste ceci, car je me suis faite traiter de bolchevique.
Dread, tu n'as pas répondu à ma question. C'est une de tes méthodes réprouvée... tu donnes une autre interprétation - qui t'arrange - aux propos des autres, ou tu menace, intimide... et tout tes smileys souriants et hypocrites cachent à peine ton irritation. J'ai posté cette phrase pour te faire réagir, et réfléchir, toi tu te défile, en drapant sur toi la cape de l'indignation.
Mais là si je t'adresse la parole tu n'entendra pas j'imagine...
T as perdu une occasion de te taire ........ encore une fois

Et non desole, mais je ne pense pas avoir donne "une autre representation", donc pourquoi repondre a la question "Et sous vichy tu aurais ete collabo" ??

Tu as pose cette question pour me faire reagir ???
Et bien c est gagne

Laisse moi si tu as encore une once d amitie pour moi
__________________
Ich möchte ein Eisbär sein
im kalten Polar,
dann müßte ich nicht mehr schrei'n,
alles wär so klar.

Eisbären müssen nie weinen.
J'ai du mal à comprendre les critiques sur le termes "effet boule de neige".

Ma prof d'économie politique l'utilisait.

@Le Saint, ton analyse sur la gestion déplorable de nos amis socialistes est exact. Si je me souviens bien, c'était sous l'ère de Wilfried Martens et c'est De Haen qui a permis l'assainissement des dépense publics avec la "rage taxatoire" comme le disait les libéraux à cette époque.
Citation :
Provient du message de Xeen
je répondrais lorsque j'aurais plus de temps sur une connection. Excusez moi donc de ce retard, pour ceux qui me posaient des questions.
Je sauvegarderais tout ça sur disquette et vous préparerais une réponse un peu construite.

juste ceci, car je me suis faite traiter de bolchevique.
Dread, tu n'as pas répondu à ma question. C'est une de tes méthodes réprouvée... tu donnes une autre interprétation - qui t'arrange - aux propos des autres, ou tu menace, intimide... et tout tes smileys souriants et hypocrites cachent à peine ton irritation. J'ai posté cette phrase pour te faire réagir, et réfléchir, toi tu te défile, en drapant sur toi la cape de l'indignation.
Mais là si je t'adresse la parole tu n'entendra pas j'imagine...
Ha enfin debout !!!

*imagine la petite Xeen habillée en Nazgul en train de courir derrière la grande REVOLUZION en criant*

- attendez moi, attendez moi !!!

Je serais content de te lire d'une manière plus concise et structurée que les p'tits morceaux que tu lâches ici et là, ce n'est pas digne de toi
Et non tu n'es pas une bolchevique, tu es une idéaliste au yeux de Bamby, ce qui est bien pire.

Bisous.
Je suis pas très familié avec le situation en Belgique mais ca semble ressembler à ce qui est appliqué au Canada.

Depuis quelques années, le gorvement à serrer la ceinture pour atteindre le déficit zéro et commencer à rembourser la dette. Du coup les paiment d'interet sur cette dette diminue, ce qui engendre encore plus de marge de manoeuvre pour le gouvernement. Le Canada à choisi d'appliquer des baisse d'impot avec cette marge de manoeuvre, mais on peut très bien imagine que celle-ci soit utilisé pour financer l'aide sociale par exemple.

Qu'un gouvernement utilise le crédit pour financer un projet d'infrastructure, ok ca peut être rentable sur le long term. Par contre si le gouvernement dépense plus que ce qu'il recoit pour les opération courrante (l'aide sociale, les retraites, l'éducation,... sont des opération courrante même si certaines personnes aime le coller l'étiquette "projet").

On a beau prende en compte toutes acrobatie mathematique et fiscale qu'on veux pour justifier la dette, le fait est que si 25% à 50% de test revenu passe à payer les interets de tes emprunt, t'a moins d'argent disponible que si tu ne devais rien.
Citation :
Provient du message de Chandler
Je du mal à comprendre les critiques sur le termes "effet boule de neige".

Ma prof d'économie politique l'utilisait.

@Le Saint, ton analyse sur la gestion déplorable de nos amis socialistes est exact. Si je me souviens bien, c'était sous l'ère de Wilfried Martens et c'est De Haen qui a permis l'assainissement des dépense publics avec la "rage taxatoire" comme le disait les libéraux à cette époque.
Merci Chandler, tu auras tes 30 litres de bières comme prévu

EDIT :

>>Peline :

"Bon j'arrête là parce que tu ne lis pas ce que j'écris c'est dommage. Et puis on est en plein hors sujet."

C'est ça, file vite te cacher après les grosses âneries que tu as dis sur "l'effet boule de neige".
Fil fermé

Connectés sur ce fil

 
1 connecté (0 membre et 1 invité) Afficher la liste détaillée des connectés