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Pitit Flo -TMP |
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#3631
Invité
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Message supprimé par son auteur.
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18/08/2003, 00h36 |
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#3631 |
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18/08/2003, 01h42 |
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Lilith ° Maelwenn |
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Tu m'interesses
Merci du tuyau Par contre etant dans la region Lyonnaise, je vais chercher dans mon coin |
18/08/2003, 12h23 |
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T'es pas Demi-Dieu pour rien toi
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18/08/2003, 13h01 |
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18/08/2003, 13h51 |
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Alpha & Oméga
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Bonjour :)
boulot qui me ferait me sentir utile.
Je me fous de la reconnaissance des autres, tout ce que je voudrais, c'est aider les gens. Faire quelquechose qui donne un sens, une valeur a ma vie. Connaissez vous des jobs dans le social (pour moi l'ideal aurait ete de bosser avec des gosses) qui ne demandent pas de diplome et ou on peut etre sur le terrain (tout en gardant a l'idee que je ne peux pas etre mobile)? Il est vrai que si la liste des activités bénévoles est bien longue (mais pas toujours pour autant moins soumises à certains carcans), la liste des professions sociales non diplômées est plus que réduite. Cela dépend bien entendu ce que vous entendez par : besoin de se sentir utile, donner un sens, une valeur à la vie, être sur le terrain. Quel degré d’implication vous y pouvez mettre. La région que vous habitez (puisque vous ne pouvez être mobile bien que…) Comme vous le dit Xanathian : les boulots dans le social sont généralement mal payés et éprouvants (physiquement et moralement). Pour beaucoup, il faut avoir l’âme bien accrochée. On peut avoir les plus fervents idéaux qu’il soit, certains résistent mal à bien des réalités. Entre autres et rapidement : se trouver face à face avec la détresse (quelle qu’elle soit) s’est entre autres, se trouver face à sa propre impuissance, à l’impuissance de la structure dans laquelle on oeuvre, l’impuissance financière (dans le meilleur des cas, oserai-je dire car on sait que dans bien des domaines les moyens ne sont pas débloqués), s’est s’attendre à une immersion 24 heures sur 24 (avec ce que cela implique dans le couple par exemple), s’est assumer ses manquements, s’est équilibrer son implication (savoir jusqu'où il faut donner et là où il faut, malgré son coeur, s’arrêter. On oublie parfois sur le moment que la personne que l’on soutient sera d’autant plus seule, désorientée lorsqu’elle retournera chez elle). Comme il le dit encore : Sans diplôme, je doute fort que tu puisses trouver du boulot là-dedans (ce que tu avais déjà remarqué d'ailleurs). En matière de diplôme, malgré femme et enfant, il est je pense possible que vous les passiez. Cela dépend bien sûr du domaine dans lequel vous voudriez travailler, de l’implication que vous voulez y mettre (oui je me répète). Il y a tout le panel d’emplois paramédical. Si vous êtes prêt à vous impliquer sur le long terme, il reste possible que vous entrepreniez les études appropriées notamment dans le cadre d’une formation continue, je crois. Autrement : Prenant l’exemple aides-soignants, infirmiers : il y a bien des structures privées où les seconds diplômés sont rares, les premiers palliant à ce manque et donnant un travail, dans les faits, équivalent. (je veux dire par-là qu’on peut commencer par des emplois peu en rapport avec son objectif et, qu’au fil du temps, on accède finalement à cet objectif sans avoir pour autant le diplôme adéquat. Valable pour différents emplois, bien sûr). Je vous laisse ce lien peut-être pas bien approprié (je l’ai survolé très rapidement mais en fin vous trouverez des adresses qui parmi d’autres, pourraient vous être utiles ( ?) et celui-ci également pour ce qu’il donne un aperçu des diverses fonctions paramédicales avec besoins, salaires, % emplois, en France en Europe (survolé car manque de temps). En fait, je cherchais à savoir dans quelles conditions ces formations peuvent être rémunérées. Humble avis personnel : travailler en libéral. Des contraintes certes mais plus d’ouvertures pour s’occuper vraiment d’autrui (ce que permet rarement le carcan d’une institution à divers niveaux) ; vous pouvez vous installer dans une petite ville voire à la campagne, peut-être une vie plus saine pour votre petite fille ( ??? J) ________ Pour ce qui est du domaine Assistant social : il semble que, sauf de rares cas, ce domaine soit un des plus éloigné de ses ambitions. Manque de moyens (financiers et autres) ; beaucoup d’implications peu de - possibilités - de résultats) ______________ Tous les emplois gravitant autour de la notion d’éducateurs : besoin de diplômes, et oui. Mais itou. Si vous êtes prêt à vous investir sur le long terme, il doit y avoir possibilité de formation continue. Par contre, il existe de rares structures privées, ou semi-privées, accueillant en général des adolescents, et en général dits à problèmes, ou toxicomanes pour cure de désintoxication, etc. De mémoire, certaines de ces structures ne font pas nécessairement appel à des diplômés. En fouillant avec acharnement vous devriez remonter des filières qui vous en parleront, je pense ___________ A voir aussi l’aide à domicile : Certainement méprisé par certains mais qui demande beaucoup de dévouement et beaucoup d’implication. Le concept aide intervenant bien sûr bien au-delà de l’aide matérielle (tels ménage, courses, toilette, etc.) _________ Il y a peut-être aussi à voir dans le domaine prison (ou centres s’y rapportant plus ou moins). A part le statut de visiteur (bénévolat oui), je ne trouve rien pouvant épauler votre recherche. Mais il n’en demeure pas moins qu’il doit y avoir des possibilités. ______________ Comme plusieurs personnes vous l’ont déjà dit, BAFA et DAFA sont certainement les diplômes les plus simples, rapides à obtenir. Cela, une fois encore, dépend de la structure que vous voulez intégrer bien entendu. Mais en général, ces diplômes se conjuguent peu/rarement avec les désirs que vous exposez. S’il s’agit de, simplement, s’occuper d’enfants, cela conviendra-t-il peut-être. Ces diplômes permettent aussi d’accéder plus facilement à certaines fonctions comme par exemple celles des M.J.C. Dans ces dernières vous trouverez peut-être (selon la ville) à vous investir vis-à-vis de gens en difficultés (type adolescents dits à problèmes). C'est peut-être ce qu’il y aurait de plus conciliable avec le profil que vous avez présenté (pas de mobilité, vie de famille, par exemple). Quant à la reconnaissance (puisque vous en parlez) il faut mieux également ne pas en avoir besoin car il y en a bien peu, voire pas du tout. De toute manière, les personnes qui s’investissent dans bien des emplois sociaux n’en recherchent aucune et ça me semble même un indice de réelle motivation Voilà jetées rapidement et maladroitement quelques idées. Désolée si je semble jouer l’avisée mâtinée de péremptoire. |
18/08/2003, 15h09 |
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Bon courage!
l'est mignonne ta fillette! |
18/08/2003, 19h12 |
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erf c'est super triste que pour toi ta vie ce résume a ton boulot
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19/08/2003, 01h45 |
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