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National Novel Writing Month 2015 (NaNoWriMo)
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J'ai jamais fait de map de ma vie mais je veux bien tenter le coup, j'ai du temps en ce moment. Va falloir que tu expliques bien par contre.
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24/11/2015, 17h51 |
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Bon
Aujourd'hui est le grand jour, après quelques corrections très mineures (quasi aucune, en fait, la fac m'occupe un peu trop et je veux pas faire de trop grandes modifications car je trouve ça un peu contraire à l'esprit du NaNo), je viens poster mon NaNoWriMo. Du coup, je suis prêt (et je veux) à entendre toutes vos critiques, qu'elles concernent le fond ou la forme. Je poste sous spoiler une liste des problèmes que j'ai repéré, à vous de la lire, avant ou après lecture. N'ayez pas peur de me vexer, je vous jure que je suis pas sensible Cliquez ce bouton ou survolez le contenu pour afficher le spoiler
Concernant la forme : Bref, voilà mon NaNo merci à ceux qui le liront, j'espère que vous aurez au moins ressenti un peu de plaisir à la lecture et surtout j'attend vos critiques. Dernière modification par Hellokittix ; 29/11/2015 à 16h02. |
27/11/2015, 19h00 |
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GG Nyu
Je tenterai de lire des passages Hellokittix mais tu sembles déjà avoir ta propre liste des choses à corriger. Me concernant, je suis incapable d'analyser de cette manière mes écrits. Retour un peu plus détaillé du Nano : . Maintenant je respecte les écrivains, même ceux qui produisent de la merde (coucou Musso). Il faut du temps, de la concentration et finalement beaucoup de courage pour prendre un stylo et tenter de faire une histoire. Du courage car, à mon sens, tout a déjà été écrit, du courage car on engage une grosse partie de soi-même, y compris quand on fait de la SF/Fantasy. Le temps est la principale difficulté du nano. Me concernant, j'ai mobilisé 1 à 3 heures par jour pour l'écriture et c'est loin d'être simple. La RATP était ma plus grande alliée mais il n'est pas aisé de tordre son quotidien pour trouver une bulle de temps nécessaire à l'écriture. . Néanmoins je pense que l'écriture est une gymnastique qui s'acquiert. Au début du nano, je galérais à mobiliser mes idées et surtout il était difficile pour moi d'écrire sans m'arrêter au bout de dix secondes (internet n'aide pas pour la concentration : je remercie PyRoom). À la fin du nano, j'avais pris le pli. J'étais bien plus efficace, je pouvais aligner les paragraphes sans problème (si ce n'est la fatigue psychique). Ecrire tous les jours, c'est peut-être la solution finalement (des candidats pour le projet Bradbury ?). . J'ai l'impression qu'il est strictement impossible d'écrire sans foutre, sur le papier, une grosse partie de notre vie personnelle et des événements que nous subissons.C'est franchement dérangeant. J'espère maintenant que mon entourage ne tombera jamais sur mon nano, c'est flippant. Mon histoire, à la base, est une fiction. Et c'est maintenant une autofiction à la con. De la même manière, mon récit pue les attentats alors que je ne voulais absolument pas parler de ça. . Contrairement à ce que je pensais, l'écriture n'est pas seulement une pratique solitaire. On peut faire ça en groupe et on y prend goût. J'ai participé à beaucoup de write-in avec la communauté parisienne du nano, j'ai aussi fait quelques nuits d'écriture et j'ai adoré ça. Au début, c'est déstabilisant de voir ces gens qui alternent entre des phases intenses d'écriture (mais vraiment, ils ne respirent plus, ils écrivent sans s'arrêter) et des pauses plus ou moins longues autour d'un café, d'un jeu de société. Autant vous prévenir tout de suite si vous voulez faire le nano l'année prochaine en profitant de l'aspect communautaire : la population est clairement féminine (+ de 90% grosso merdo), geek à 150% (c'est la première fois que je tombe sur des gens qui peuvent parler aussi longtemps, et avec autant de sérieux, des fandom de films de super-héros). La population du nano est aussi très LGBT, autant le savoir tout de suite. J'en garde un très bon souvenir et ça change très clairement ma pratique d'écriture. Je participerai l'année prochaine, je n'ai pas de doute là-dessus. Les gens qui participent aux IRL, très clairement, sont souvent des habitués qui font le nano depuis plusieurs années mais il y a un gros effort d'intégration pour les "nouveaux" (sauf sur le tchat malheureusement, mais je pense que c'est lié à l'outil). . Se forcer à écrire, c'est se forcer à capter les détails stupides de notre quotidien. J'ai l'impression que l'écriture permet de développer une certaine sensibilité aux choses anodines. C'était franchement amusant pour moi de puiser dans les détails du quotidien pour alimenter les descriptions de mon histoire. J'ai l'impression que cette espèce de sensibilité est atrophiée quand on ne pratique pas l'écriture. De la même manière, j'ai l'impression qu'on écrit des histoires insipides quand on a une vie insipide, j'ai l'impression qu'on écrit rien de bon quand on ne lit rien de bon. Et le fait d'écrire, de se forcer à faire un petit roman, cela permet d'avoir un autre regard sur nos lectures. Maintenant, quand j'ouvre un livre, je tente de chercher les traces, les méthodes, les outils de l'auteur. . Le nano permet aussi de goûter à l'obsession. Le fait d'être obsédé par une tâche, écrire 50 000 mots/terminer une histoire, de se rendre compte que cette obsession peut parasiter son quotidien, nous forcer à faire des choix/des tris stupides dans notre journée souvent au détriment de notre entourage routinier, c'est à la fois flippant et fascinant. Comment font celles et ceux pour qui la création est le coeur de leur métier, leur vie ? Comment faire pour compartimenter ? Bref le nano, c'est cool. |
29/11/2015, 14h54 |
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Citation :
Perso j'ai essayé d'être régulier en écrivant tous les jours. Parfois c'était 30min, d'autres fois 1h30. Le problème c'est que j'ai besoin d'être certain de ne pas être dérangé et interrompu, sinon c'est douloureux. Je peux pas entrer et sortir de mon histoire comme ça, j'y arrive pas, il me faut la certitude que pendant X minutes, je serais totalement tranquille. Au final pour écrire les 50k mots, il m'aura fallu une trentaine d'heure réparties sur le mois. Je ne pense pas avoir dévoilé beaucoup de moi, ou alors indirectement, car j'arrive plutôt bien à séparer fiction et imaginaire de ma réalité. Bien sur je me suis inspiré de lieux, de personnages, de situations, que j'ai pu lire, vivre, ou voir, que ce soit dans la fiction ou dans la réalité, mais je ne pense pas y avoir vraiment mis du coeur ou des convictions personnelles. Citation :
Citation :
Plus tu t'intéresses à un processus de création, plus tu en vois les ficelles, les trucs. Citation :
Si tu n'aimes pas écrire, que tu n'y prends aucun plaisir, tu n'écriras jamais des milliers de mots. L’addiction vient du plaisir et mène au plaisir. Avec le risque que ton plaisir personnel devienne l'enfer des autres et que tu finisses par visiter l'enfer toi aussi. Ouais, assez cool. Citation :
Ah merde c'est en fait 52 nouvelles en 52 semaines. On parle de nouvelles de combien de pages là ? A la rigueur des petites histoires de 3/5 pages écrites à l'arrache, c'est jouable, mais plus ça risque d'être impossible. Après on peut toujours ouvrir un sujet Projet Bradbury, le nom est attirant, et ceux qui tentent tentent, et les autres peuvent moduler le défi selon leur convenance. Pour 1 qui tenterait les 52 histoires, 10 pourraient tenter les 12 en une année, en mode détente. Je poste mon NaNo en fin de semaine prochaine imo, après relecture et avoir changé les XXX par des noms. D'autres font ça ? Je galère tellement à trouver des noms pour mes personnages que je les appelle XXX. |
29/11/2015, 17h01 |
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J'opte généralement pour des noms-concepts en attendant de trouver mieux. Badass et Badassette. LaFilleEnRouge. Voire des Machin, Machine, Bidule et autres Bidula.
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29/11/2015, 17h28 |
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Mdr quel looser ce mimu, seulement 20% mdr
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29/11/2015, 19h22 |
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#412662
Invité
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Message supprimé par son auteur.
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29/11/2015, 19h23 |
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#412662 |
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Le coup des thèmes ça serait cool, genre un par mois pour avoir un debrief à la fin. Si on avait des lecteurs, ça serait bien pour avoir une bonne estimation des forces/faiblesses de chacun par ex. Comme ça on aurait un roulement régulier + un moyen de retrouver les trucs par thème sans problème.
Sinon suggestion un peu au pif, mais on pourrait peut-être faire un genre de système à la manière du club ciné du cercle pour définir le prochain thème, avec en plus un thème secondaire (genre pour post apo "survie" plutôt que "développement d'un univers" si vous voyez ce que je veux dire. C'est pas clair mais là de suite je trouve pas de formulation ^^). Et en fait je dis comme le ciné club du cercle car je vois que y a souvent deux films, un principal et un secondaire. Donc voilà. Sinon moi je suis chaud. Et janvier ça me parait être une bonne date pour moi. Donc si y a un topic j'en serais ! Edit: |
01/12/2015, 00h19 |
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Je suis très chaud, plutôt du côté 1 histoire par mois par contre.
J'aime bien les thèmes car je sais jamais choisir, mais au final je pense qu'il faudrait ne rien imposer en effet. |
01/12/2015, 01h14 |
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