[PVE] Sang d'Onarius - Recrutement [Guilde RP]

Répondre
Partager Rechercher
<HRP>

Bonjour, ceci est avant tout un message de recrutement pour notre guilde. Comme vous pouvez le voir tout au long de ce message, nous avons écrit de très nombreux textes au sein de notre guilde et à présent nous sommes prêts pour le lancement, même si il reste encore du travail.

Quoiqu'il en soit, à contrario du précédent message qui avait uniquement pour but de présenter la guilde, (que les modos peuvent fermer si ils le souhaitent, il ne sert plus) celui ci lance clairement les choses. Nous ouvrons en grand nos portes pour recruter des gens motivés par AOC, matures et qui souhaitent rentrer dans une guilde familiale.

Bonne lecture !

</HRP>

http://www.onarius.net/forum/imagehosting/14752a5dd8f116.jpg

http://www.onarius.net/images/annonce_aoc.jpg



Bonjour,

Vous qui nous lisez, vous commencez à entreprendre un long voyage parmi un Clan qui a tracé son chemin dans le sang. Je m'appelle Merya, je suis la maîtresse des Tisseurs au sein du Sang d'Onarius.

Vu que vous pourriez vous perdre facilement devant toutes les connaissances que nous avons accumulées depuis notre naissance, je vous invite à me suivre, je serai votre guide, vos yeux et votre souffle.

Avant de pouvoir comprendre notre voyage, je vous invite à prendre connaissance de notre chronologie, nos cartes, elles vous donneront une idée de ce qui a été notre route :

Chronologies et Cartes

Mais, une carte n'est rien sans son histoire et sa vie, prenez connaissance des Livres du Sang, ils vous indiqueront le chemin :

Les Livres de Fer
Les Livres de Pierre
Les Livres de Gel

Outre cela, de nombreuses histoires ont émaillé notre existence, je vous laisse en prendre connaissance si le coeur vous en dit :

1255 AA "L'Age d'Or"
Livre XXIII - Saison Rousse
Le journal du chasseur

Et bien d'autres que vous trouverez dans nos recueils ici : Les murmures du vent


Maintenant que vous savez qui nous sommes, il faut vous appréhender ce que nous sommes. Nos objectifs, nos devoirs et notre composition sont à portée de vos mains.

Tout d'abord, vous pouvez prendre connaissance de nos tables de lois et de nos fonctionnements :

Tables de Lois
Organisation du Sang d'Onarius

Je sens que des questions brûlent vos lèvres, qu'est-ce donc que ces branches dont ce vieux Nimus parle ? Ce sont simplement des entités qui se sont créées au sein même de notre Clan, des émergences qui sont prêtes à éclore sous l'impulsion de ceux qui la composent.

Il en existe quatre :

Le Brasier
Le Silence
Les Tisseurs
La Forge de Crom

Moi Mérya, je suis ici pour vous servir et je suis sûre que vos lèvres brûlent de nombreuses questions, quoi qu'il en soit, je suis ici pour y répondre.

Si la destinée du Sang vous intéresse et que vous souhaitez nous rejoindre, je vous invite à me suivre jusqu'à nos terres.

Grimoire ( Forum )

Je vous invite également à consulter nos objectifs et l'organisation de celui ci Ici
http://www.onarius.net/forum/imagehosting/thum_1478345da1927a.jpg



Attablés à une rondelle de sapin grisâtre et tâchée dans une échoppe sombre mais farcie de saoûlards en tout genre, deux forces de la nature et un homme menu, s'affairent sur un vieux bout de parchemin qui ressemble à une carte.

-Tu craches n'importe quoi d'ta caboche crevette ! Son gros doigt bourru pointé sur la carte, Warimm laissait entendre sa voix semblable à celle d'un ogre. Forte, demesurée.

Agacé par ces propos, Antoine s'emporta dans les aigus.

-Aaah parce que monsieur est cartographe peut être? Je pensais que dans ton trou vous ne faisiez guère attention à ce genre de travaux. Vous ne vous déplacez plus à l'odeur de la viande dans le vent?

-Prends garde à ta langue crevette. N'empêches que ton gribouillis il est mal fichu on comprend rien. Si on avait parcourus tous ces lieux, nous aurions sans doute l'âge des dieux maintenant! Et pourtant mes pattes en réclament encore! On a pas détalé assez vite et assez loin à mon gout de ce trou dans la brume et le froid de toute façon! Le ton et la mine du cimmérien se firent plus sombre, plus lourd.

-Et de ...ses monstres...

Un silence interminable se fit à la table. Puis Antoine le brisa en crachant au sol. Chose peu commune à la vue de ses origines.

-Des monstres, la mort, peut importe ce que c'était. Ce que je sais, c'est que le seul monstre que j'ai jamais apercu la-bas c'est ta grosse tête de mendiant en face des bordels! En tout cas tu as bien raison de parler de pattes sale bête que tu es. Le clan Onarius a bel et bien réalisé une sacrée promenade. Nous étions sans doute semblable à un troupeau de cerfs beuglant à tout va !

Antoine commenca à retracer le chemin de son clan, effleurant légerement du doigt la carte réalisée par ses soins.

-On a trainés nos paluches hors des montagnes "Eiglophiennes" pour descendre vers le sud en traversant le "portail du crâne d'Hyperborée". La traversé des "Graaskal" vers la "Brythunie" fût plus rapide que je ne le pensais. Tout juste 3 ou 4 tours de cadrans. Bon c'est sûr qu'ensuite la "Brythunie" c'est pas spécialement un paradis et l'accueil y a été des moins chaleureux mais on y a survécu. La Moitié des aquiloniens je pense, nous ont lachés à l'arrivé en "Némédie". trop tentant de sauter dans une charrette de marchand de la route des rois pour rejoindre "Tarantia"...

-Sales chiens pleurnichard d'aquiloniens! Et les deux cimmériens éclatèrent de rire en choeur.

Tentant de garder son calme, Antoine soupira longuement avant de hacher ses mots lentement, prononçant chaque syllabe comme un écolier.

-L'aquilonien érudit que je suis se contentera de vous toiser, il soupira.

-Mais en bon onarien, je pourrais bien pisser à travers une plaie dans vos crânes dans quelques temps! Avant que tu n'ouvres ton sac à sottises, nous étions en...."Némédie" oui. On a glisseé vers la "Zamora" en passant par la "Corinthie".

-L'autre Ysur Kahn, il vient bien de "Corinthie" celui là non? Qu'est ce qu'il a pu nous bassiner avec son coin pourri. Tout en levant la tête vers le ciel et en ouvrant les yeux de façon ébahie, Warimm imitait atrocement la voix d'Ysur.

-Vous savez là bas, c'est beau comme une étoile dans le ciel de machin, c'est superbe comme la chevelure de truc. Il tapa sur la table et racla sa gorge.
-Que de la merde au final et des plaines à la con!

-En "Corinthie" on s'est tapé les "Karpash" Warimm. Alors c'est pas vraiment un endroit tout plat avec des plaines. Tu te souviens? C'est là où tu braillais en appelant ta mère parce que monsieur croyais qu'il etait coursé par un sanglier de deux mètres de long...oui tu as bien raison, tais-toi. Ton silence est plus que révélateur mon ami...

Soudain, tout en se penchant vers la carte, Antoine attrapa deux loupes fixées entre elles par des petits bouts de bois ficellés qui aidait sa vue médiocre à percevoir des détails.

- Maintenant que j'y pense, il y a un truc qui cloche... en traversant les "Karpash" on s'est retrouvé de l'autre côté....du coup on était à l'opposé..... par là... et Antoine se laissa emporter dans ses pensées retraçant la fin du parcours pour lui même, bientôt sans prononcer mot, se désintéressant totalement de ses amis qui ne semblait dailleurs pas s'en émouvoir. Il marquait d'une plume qu'il venait de sortir d'un petite bourse posé sur la table, des indications incompréhensible à même la carte. Tout d'un coup, La tête relevé vers Warimm il s'écria.

-Par crom ! Il se leva d'un bond et disparu de la taverne apres avoir enroulé la carte sous son coude et attrapé sa chope d'une main.

L'autre compagnon lui aussi cimmérien, était affalé dans sa chaise les pieds trempant dans des seaux d'eau chaude et frottait ses jambes jusqu'au sang. Il prononca ses premiers mots.

- Bah si maintenant même les chiens d'aquiloniens prient Crom...
http://www.onarius.net/forum/imagehosting/thum_1479839bcbfb30.jpg


En pleine steppe, derrière un des nombreux rochers de la plaine, un homme corpulent, à bout de souffle, s’écroule au sol. Il tient entre ses mains tremblantes de fatigue une cassette en bois.

Je les ai enfin semé ces chiens cul-terreux du clan.

Il tapota son petit coffre comme pour s'assurer de son contenu.
Et avec ce que je leur ai pris je vais pouvoir recommencer tout à zéro. Dans quelques temps la destruction de cette maudite cité ne sera plus qu’un mauvais souvenir.

Après quelques temps l'obèse se cale contre le rocher pour s'en faire un dossier.
Dire qu’après la perte de ma marchandise, j’espérais trouver de l’aide auprès de ces gros crétins! Pourtant il y en avait de l’entraide à la formation de ce clan, de ce résidu d'Onariens.
Les branches se sont toutes reconstituées, et chacune est venu en aide à leurs membres. A tous leurs membres! Sauf à moi bien sur...

Les grognasses mal défraîchies qui ont survécu à la mort de leur maître sont venues en masse accroître les effectifs des Tisseurs. Et bien sur, dans le lot il y’en avait qui venait de mes anciennes cargaisons!
Il n'en a pas fallu plus pour me faire jeter comme une catin vérolée de cette bande de tisseur de conneries. Tout juste bon à parler et à baiser, je me demande bien comment ils ont pu obtenir une position aussi importante dans le clan.

L'homme soupire.

Enfin, maintenant, j’ai quitté ces ingrats en leur forçant la charité. Il ne me reste plus qu’à atteindre la ville la plus proche et je serais tiré d’affaire.

Il regarde un moment la course du soleil avant de ramener son attention sur le coffre. Il fait jouer ses doigts le long des motifs le décorant.

Il est pas mal foutu ce coffre. Le contenant mérite son contenu. Il y a des artisans plutôt doués dans la Forge.
Si seulement ils n'étaient pas si imbus d’eux même. Comme si moi je n'étais pas un artisan à ma manière. Je les façonnais mes esclaves, je les éduquais et les rendais présentable. Je ne mettais pas du clodo unijambiste sur mes étales. Certaine de mes marchandise étaient de vrai diamant et.....

Il s’interrompt. Se plaquant contre le rocher il s'efforce de ne pas faire de bruit en respirant. Il vient d'entendre une branche craquer ...

Ca ne peut pas être des guerriers du Brasier! Ils ne peuvent pas m'avoir retrouvé! Pas maintenant! Je n'ai laissé aucune trace! Ils n'ont pas pu me trouver! Ils ont fait appel au Silence où quoi?

Pris de panique, l'homme sort de sa cachette, prêt à fuir.


Et comme s'il avait voulu de singer les dieux cornus d'antan, son front se décora soudain d'une flèche de fer.
http://www.onarius.net/forum/imagehosting/thum_147a8adf104ecc.jpg


Les derniers rayons de soleil donnaient au ciel une teinte azur. Tous les guerriers étaient en activité, il ne fallait pas prendre une minute de retard.
Certains récupéraient du bois la où ils le pouvaient, heureusement le camp était entouré d’une palissade en bois. Les autres, s’occupaient de rassembler les morts et d’en faire le trie.


- Dépêchez-vous un peu, je jure par mon Sang que si vous ne finissez pas avant le coucher du soleil j’irais voir le Silence pour qu’ils lâchent sur vous les démons de la nuit Ecarlate !
Jamais vue une telle bande de feignasse…

Le soleil continuait sa chute lente, et les préparatifs avançaient. La journée fut rude pour les guerriers, la taille imposante de l’autel en était le témoin. Les dernières lueurs du jour disparaissaient derrière les montagnes au loin, les derniers corps défunt étaient déshabillés. L’on porta les corps sur l’autel, d’un côté les fiers guerriers du Brasier, ceux qui n’avaient eu aucune faille dans la bataille si ce n’est d’avoir rencontré plus fort qu’eux. De l’autre côté, ceux qui avaient étaient plus fort, ceux qui étaient parvenus à offrir la mort digne dont rêvait chaque homme.
Alors que le ciel venait de perdre la teinte du dernier rayon de l’astre solaire la dernière prison de chair était placé sur l’autel. Dans un silence de mort les torches s’allumèrent. Tous se rassemblèrent devant l’autel. Un seul homme tournait le dos au lit des défunts et faisait face à la foule croissante.



« … Pour la bataille, je suis né

Bouclier brisé
Je continuerais
Le corps mutilé
Je continuerais
Je n'ai pas de pitié
Je suis un guerrier

Pour le Braiser, je périrais… »


Emporté par le vent, les paroles s’envolèrent par delà l’attroupement, par delà le camp en ruine, par delà les plaines et les montagnes. A la fin du dernier versé, un rappel au pourquoi de tout ce sang versé, tous prirent d’une même voix, aussi imposante, aussi diffuse, aussi unique qu’avait pu le faire l’homme seul.


« Vivons l'instant
Apprécions ce goût du Sang »


Le silence reprit son droit. Bien plus pesant qu’avant, peut-être même plus malsain. Quelques secondes passèrent, pas même un animal sauvage osait ne perturber ce silence. Tel le prêtre face à ses fidèles, le guerrier s’exclama d’un ton solennel.

« Fiers guerriers du Brasier ! Frères de Sang ! Réjouissons-nous. Ce soir nous libérons ceux qui sont mort à la bataille ! Ceux qui on vécue et périt en homme libre ! Ce soir nous libérons de leurs corps mort nos Frères de Sang. A vous qui allez nous voir de la haut, profitez de votre nouvelle liberté, allez saluer nos ancêtres en espérant que vous prendrez du bon temps ! Bordel, on en regretterait presque de pas être mort nous aussi pas vrai les gars ? Mais nous au moins on peut encore s’exploser la panse, boire à en tomber dans notre gerbe et courir la gueuse jusqu’à l’avoir au pieu. Bref, sans rancune Frères et à bientôt. »

L’orateur en premier lança sa torche sur l’autel, ses Frères firent de même peu après. En quelques secondes, le bois prit feu et l’autel se transforma en un brasier incandescent. La croyance voulait qu’entremêler à la fumée des flammes l’âme du défunt monte rejoindre ceux qui avaient déjà perdu le Sang. Personne ne savait si c’était vrai, après tout personne n’était revenu d’entre les morts, mais tout le monde se réconfortait à le croire.
La lumière des flammes montante faisait danser les ombres des hommes qui se dispersaient dans l’ombre. Il était l’heure du repos, l’autel prendrait encore bien du temps à bruler et remplacerait aisément tout feu de camp.


« - Que faisons-nous du matérielle de nos Frères ? Et de ceux des autres ?
- Ceux de nos frères seront rapporté à leur descendance, le reste ira au clan. Et d’ailleurs tu porteras une partie de tout ça demain, ne pense pas que je ne t’ai pas vue hésiter pendant le combat Zogor, quand tu hésite c’est tout le Sang que tu mets en péril, et si un jour tu fais Sang… Je viendrais t’égorger moi-même ! »
http://www.onarius.net/forum/imagehosting/147c01850e777e.jpg



Le sang giclait à grand flots sur les premiers arrivés. Ils semblaient ravi et hurlaient de joie... Alors parmi la cohue je me rappelle.

Je n'ai jamais été fait homme.

Je suis un brave gaillard pourtant, pas très grand pas très fort, mais mon courage est sans limite. Je rentre dans le tas les cornes en avant, l'écume aux lèvres, des flammes embrasant mon regard... Une tête brulée disent certains, un possédé pour d'autre. Je ne suis pourtant qu'un miroir de mon clan.

Dévastateur et sans pitié.

Je ne suis pas plus un guerrier que mon père, pauvre fermier du sud de l'Argos. La forge, les larmes et le sang ne faisaient guère partie de son quotidien ni du mien.
Alors, élevé entouré de moutons et de brebis, ce pauvre bouc égorgé sur la place me fait de la peine.

Petiot je m'amusais à courir après les bêtes, une épée de bois confectionnée par mon père, bien serrée dans le poing. Je dévalais les collines et je me prenais pour le roi Conan affrontant les pires dangers . A grand coup d'échardes je pourfendais les airs à la recherche d'aventures et de jeux.
Loin de moi l'idée de devoir un jour, cracher du sang sur un champ de bataille, défendant ma famille au péril de ma vie.

Mon père a crevé depuis des lustres, ma mère l'a rejoint ou doit servir de mule à ces salopards de pirates du Zingara...Moi pauvre chanceux, je fus esclave d'un riche némédien, croyant finir ma vie enchaîné dans un trou à caresser sa bedaine de pervers, pour atterrir finalement dans ce cloaque encore plus infâme qu'est Onarius. Repère peuplé de renégats de toutes espèces, de bandits, de rebuts...

Une vraie famille.

Soudé, jurant, crachant, pestant que les dieux ne nous mèneront pas à notre perte, que nous prendrons les devants et que nous affronterons la mort droit devant, les yeux plongés dans le vice et le mal Hyborien. C'est ainsi que nous vivons, que nous aimons à jouir, maitre de notre pitoyable destinée de clochards à peine désaoulé de la veille. Pourtant armé un Onarien reste redoutable car le sang d' Onarius coule dans les veines de chacun de nous et nous animent. Alors quand l'heure est venue de prendre les armes, on les prends, on ne discute pas .

"Le sang avant tout."

Je n'avais que quelques poils au menton ce jour là, quand le guide du clan entra en personne dans ma tanière misérable. Les Hyperboréen attaqueraient le soir même me dit il, m'expliquant alors qu'il était temps de prendre les armes aux cotés des braves, pour défendre le clan, ma famille. Ce soir je serais donc en première ligne face à l'ennemi. Mon père étant mort, le chef du brasier me balancerai une claque magistrale à me dévisser la face pour me rappeler d'être humble et que le clan passe avant tout .

Tel était la tradition.

Alors je m'étais levé agrippant la poignée de mon épée comme j'attrapais mon arme de bois dans les collines de l'Argos autrefois et j'attendis.
La bataille fut rude, je crus mourir 100 fois. Mais la fin ne fut pas au rendez-vous. Ce ne fut pas le cas du chef du brasier qui périt une masse abattue sur sa jambe qui fit éclater ses os.
Alors on m'oublia. Honneur fut rendu à ce chef qui nous mena à la victoire, mais personne ne m'administra la claque à laquelle j'avais droit.

Jamais l'on ne me fit homme mais j'en suis heureux.

Je suis un enfant éternel, jouant encore dans les collines de l'Argos, pourfendant l'air à la recherche d'aventures...mais le sang giclant sur mon visage me rappelle souvent à la réalité.

Ce soir nous nous souvenons. Tel le veut la tradition, nous nous souvenons de tous ces guerriers, qui périrent sous les lames de l'ennemi, hurlant dans leur dernier souffle " le Sang avant tout! "... Nous ne devons notre survie depuis la destruction de notre cité qu'à cette simple maxime. Nous soulevons, nous abattons, nous tuons, transpirons, pour le clan avant tout. Ce bouc hurlant et saignant ce soir devant tout le clan est pour eux.

Certain diront que nous sommes des roublards, des fourbes...que nous ne pensons qu'à notre pomme, qu'à nos bourses...

"Un Onarius dit tu ? homme à laisser un mourant crever sans sourciller si il n'est pas du clan!" Peu importe.


Tel était le don Du Sang d' Onarius.
http://www.onarius.net/forum/imagehosting/147d63e5d743a5.jpg



La plus longue nuit





- Ahhhhhh !!!!

Aglius Lemina posa pour la quatrième fois sa question. Pour un Capitaine de la Garde, il n'avait pas le physique de l'emploi.

Un visage retords, éduqué mais retords, qu'encadrait une barbe finement taillée. Au-dessus de ses yeux clairs, des sourcils rapides, mobiles, qui semblaient parfois avoir leur vie propre.

- Ahhhhhh !!!

Deux flambeaux au mur, fichés dans des anneaux scellés, baignaient la scène d'une clarté changeante. L'homme attaché à la lourde chaise de fer, avait les bras maintenus étendus sur la table cloutée devant lui. Des lanières de cuir épais meurtrissaient ses bras et ses jambes. Au vu des marques bleuies autour des liens, il était là depuis quelques heures, dans la même position.

La flaque d'urine sous lui pouvait corroborer cette idée, quoique vous et moi savons qu'en ce genre de circonstances, on peut faire sous soi relativement rapidement.

Aglius Lemina n'arrivait pas à enlever une tache qui ternissait son bracelet droit. Cela l'énervait. Autant que la résistance de ce cimmérien.

Il fit un geste rapide, le geste d'un homme motivé, diligent, qui aime son métier mais par-dessus tout le plaisir de sentir le regard chaud et rassurant du Consul le parcourir, comme une promesse d'une miette de pouvoir à venir. Les deux soldats donnèrent un tour de vérin supplémentaire.

- Aahhhhhhhhhhh !! Ahhhhh !!!

Le cimmérien avait les deux bras maintenus, judicieusement placés dans ses étaux semblables à ces pressoirs de bois qui servent à tirer le meilleur suc des grappes de vigne. Sauf que les grappes de vigne, en l'occurrence, étaient ses mains. Le bois mordait sur le dessus de la peau, et à chaque tour, il compressait puis broyait les petits os en éclats accérés. Les chairs éclataient. Et le mouvement tournant du vérin mélangeait comme une purée sa souffrance.

- Qui a tué Polinien Aquiviri ? Qui ? Parle ! Qui l'a égorgé chez lui ?

L'homme n'était que douleur, une douleur telle qu'il en oubliait jusqu'à son nom. Quand il lui ont écrasé les orteils au marteau, il s'était évanoui plusieurs fois. Ses tortionnaires en avaient profité par les lui bander et quand il s'était réveillé, il était sur cette chaise.

Un tour de vérin en plus.

Et encore un.

Puis un.

- Qui ? beugla Aglius.

Et un tour de plus.

Avant l'aube, il congédia les gardes. Le Capitaine finirait seul. Et il fut le seul à recueillir le nom qu'il cherchait.

Un nom qui l'emmerda profondément.

Un nom entouré de maléfices et de sauvagerie. Un nom qui parlait de violence, d'errance nomade, de renégats, putes, rejetons pourris des pires tavernes de la terre. Oui, assassins, brutes hirsutes, déserteurs, filles faciles, chasseurs. Un nom prononcé depuis les marches du Turan jusqu'aux contreforts de l'Hyperborée.

La sauvagerie il s'en cognait, mais la magie... c'était autre chose. Il y avait parmi eux des gens qui manipulaient certaines puissances de la nuit. Il y avait eu des meurtres dans des villes. Des choses inexpliquées. Des mauvais sorts. La peste noire. Il avait eu les parchemins entre les mains. Il savait.

Il but une cruche de bon vie de Corinthe. Et prit sa décision.

Le prisonnier ne savait rien. Il était mort sans rien dire. Et non, non, jamais il n'avait prononcé le nom de Sang d'Onarius.
http://www.onarius.net/forum/imagehosting/147f4f2469bcea.jpg

Les trois vieux de la Taverne



Les trois vieux de la Taverne, c'est comme cela qu'on appelle les trois rebuts qui s'emparent de la table la plus au centre de la tente qui sert de débit à boisson.

Les trois vieux pour ne pas dire les trois déchets. Ils ne savent rien, ne transmettent rien, ne font rien. Ils ne peuvent plus manier aucune arme, si tant est qu'ils ont pu un jour, ce qu'ils ont à dire ne tourne qu'autour de leur petite personne et de leur vie morne. Ce que leur donne le clan ils le considérent comme un dû.

Des déchets, mais même les déchets ont été utiles avant de pourrir dans la poubelle. Ce ramassis de vieux croûtons trop stupide pour savoir quand mourir, aurait depuis longtemps connu le destin funeste des mendiants si il n'y avait l'honneur du clan.

Le tavernier les imbibe toujours abondamment d'alcools, on pourrait croire que c'est par charité ou par pitié, mais tout le monde ici le sait : si il agit ainsi c'est uniquement pour les saouler jusqu'au coma et pouvoir s'en débarrasser le plus vite possible sans esclandre, avec le secret espoir qu'un jour l'une de ces carnes ne se relève pas de sa cuvée.

Les trois vieux, donc, discutaient, ou plutôt, le tavernier étant à la moitié de son ouvrage, baragouinaient entre eux :

"Je les ai vu! j'te dis, je les ai vu!" pérorait celui répondant au nom de Cormac, à moins que ce ne soit son surnom. Un rabougri aux allures d'Aquilonien flétri bien qu'il soutienne à tout va qu'il est un fier Cimmérien.

"Je les ai vu, tout verts et immenses dévastant les maisons comme de vulgaires roseaux !"

"T'es saoul Cor', t'a rien vu du tout!" rétorqua son compagnon du nom de Stefon, adaptation phonique d'un nom Stygien imprononçable. "D'ailleurs personne n'a rien vu....sauf moi! Je les ai vu ces monstres difformes, tout mauves, au regard de braise et aux ailes de feu...."

A ces mots le troisième larron sort de sa torpeur, à la déception du tavernier qui l'espérait comateux voir mieux, et coupe vigoureusement la parole :

" Par Set! Vous ne racontez que des sornettes!" hurle Hakketh.
Ce dernier n'a jamais cru en Set, bien qu'originaire lui aussi de Stygie, mais il croit, à tort, qu'invoquer Set et s'en proclamer le messager donne plus de poids à ses propos.

"La seule chose de vraie la dedans c'est que personne n'a réellement vu ne serait qu'une de ces créatures qui ont dévasté notre belle cité. Mais Set dans sa grandeur infinie m'a montré ces monstruosités, et je connais leur couleur : elle est rouge! Aussi rouge que le sang, d'ailleurs c'est moi qui ai trouvé ce nom "la nuit écarlate"."

A ces mots un consommateur plus simple que la moyenne s'énerve : "Arrêtez vos conneries de vieillards séniles ! Si on appelle cette nuit écarlate c'est parce qu'elle est rougie du sang de nos compagnons, alors garde tes visions d'alcoolique pour toi!"

"Comment oses-tu bafouer la révélation de Set, gros porc inculte..."

Hakketh n'a pas le temps de réagir que l'individu lui choppe la nuque et s'apprête à la cogner. L'expression du stygien change du tout au tout, laissant place à la terreur et la lâcheté. Face à cette loque de tremblotante l'homme le lâche avec mépris et, de dégoût, s'en va.

"Tsss! Ces jeunes, ils ne respectent même plus la sagesse des anciens. " Murmure Stefon.

Puis se ressaisissant hêle le tavernier : "Hola l'ami, tu nous offriras bien une petite tournée pour nous remonter le moral de toutes ces émotions"

Accoudé au comptoir l'homme soupire, un jour un guerrier moins patient que les autres débarrassera le clan de cette vermine et tous ses ennuis disparaîtront...

Mais visiblement ce n'est pas encore pour aujourd'hui.
On est tous très heureux de vous présenter le nouveau site du Sang d'Onarius pour la sortie qui approche d'Age of Conan.

Celui ci a été fait par toute la trinité. Rendu 3d pour les icônes, toute l'interface a été créé de toute pièce, etc.

Nous avons également utilisé quelques concept art d'Aoc ainsi que des artworks de différents auteurs.

La musique est celle de Conan le barbare : Funeral Pyre. Pour ne pas faire mal aux oreilles à ceux qui écoutent de la musique en se baladant sur le web, celle ci doit être déclenché par l'utilisateur.


Tous les textes ont été écrit par tous les membres du sang et après de long travaux, on est heureux de vous le présenter à cette adresse :


http://aoc.onarius.net


Une seule fonction n'est pas encore activé, elle le sera sous peu. C'est la galerie de personnages qui regroupera tous nos personnages sur Aoc.
Très sympa la présentation, je n'ai pas encore eu le temps de tout parcourir. Mais je n'ai pas trouvé d'informations (ou alors c'est moi et je m'en excuse) mais je suppose que vous serez sur le serveur RP-PVP?
Le choix n'est pas encore fait.

La guilde votera pour décider de cela quand on aura tous les détails nécessaires: liste de serveurs disponibles, charte et mécanismes prévus pour faire respecter le tag RP, répartition de la communauté, ...
Citation :
Bonjour à tous,


Notre recrutement a bien avancé et nous sommes assez contents d'avoir assez de joueurs pour créer une cité à la sortie du jeu.

Mais deux branches chez nous restent encore un brin en retrait, c'est pourquoi aujourd'hui, nous recherchons spécifiquement des diplomates et des artisans.

Si vous voulez en savoir plus sur la branche des tisseurs et de la forge, je vous invite à visiter notre site :

http://aoc.onarius.net

Si vous êtes intéressé, n'hésitez pas à nous rejoindre au plus vite. Pour illustrer cela, nous avons écrit deux textes rp.

Nous recrutons toujours pour les autres branches mais dans une moindre mesure.

</hrp>

http://img501.imageshack.us/img501/9113/theblacksmith254ah5.jpg

L'ENCLUME DES JOURS.



Je frappe l'enclume noircie de scories.

Et à chaque fois que je frappe, je me souviens du passé.

Oui, je n'ai pas toujours été ce barbu bedonnant, balafré et suant. J'ai connu l'air du large, les chevelures de femmes plus noires que la soie noire de Kush.

Je frappe et je souviens.

Sac et ressac de ma vie, à la Forge.

J'aime bien ça. A mon âge, on n'intéresse plus les femmes sauf les fillettes de gnôle de Zelata. A mon âge, on joue des sourcils, et on évite les jeunes coqs du Clan. On garde son pré carré. Je suis chez moi à la Forge. Je suis le maître de tout.

Je martèle sans effort, mon outil est lourd à soulever, mais quand il descend de tout son poids, c'est comme si un dieu appuyait mon mouvement. Mon bras est détendu, sauf pour limiter l'étrange rebond du métal contre le métal. Après le choc formidable.

Je frappe et la nostalgie me submerge. Je me souviens du jour où ma femme est morte. Ce jour-là, c'est moi qui étais sur l'enclume, et les dieux qui cognaient. Je donnerais tout pour être à nouveau avec elle.

Mes armes sont bonnes, avec les moyens du bord. S'ils savaient tous les miracles que je réalise, et les expédients avec lesquels je rattrape des lames fichues. Et mes pièces d'armure ralentiraient des bêtes du Sud profond, hérissées de piques ou des diables sans peau, sortis de ces légendes sableuses des terres de l'antique Stygie.

La chaleur est vive, et tranche avec l'extérieur de ma hutte, où les vents jouent les rebelles enfantins. Quand tu les appelle, ils ne sont pas là, quand on les souhaite loin, ils traînent dans vos pattes.

Je relève mon marteau, essuie la sueur qui glisse sur mon visage rendu graisseux par les projections. Mes avant-bras ne sentent plus rien, avec le temps.

Je suis un être de sang et de pierre. En quelque sorte.

Je suis forgeron du Sang d'Onarius.



http://www.onarius.net/forum/imagehosting/1482013d285568.jpg



Cette grande beauté froide et sculpturale plongée en moi.

Impassible je le lui rends bien. Je la regarde dans les yeux, un sourire tout droit sorti de ma panoplie bien fournie. C'est celui du "maître". Il contrôle, il maîtrise. Tout... impassible et pourtant...

Mes yeux sont si plissés que je dois en être ridicule, un pauvre vieux myope perçant l'insondable...Je laisse paraître des réflexes inopportuns, ma paume frottant le bois cendré de la table, ma langue humidifiant mes lèvres, mes paupières... mes paupières... Mal à l'aise je j'appréhende déjà, cette sueur se déversant sur mon front marqué par la nervosité.

Que d'erreurs, je vais me faire repérer. Je mens comme un porc. Elle a dû le voir, le sentir...

Une lourde claque et je reprends mes esprits. "Allez!" Tu n'est plus un naïf, plus ce pauvre novice des joutes verbales, des langues de vipères et autres bestioles rampantes qui dansent sous ton nez le corps huilé de beaux discours et de bonnes intentions, êtres insaisissables pour mieux te susurrer leur poison à l'oreille et s'évanouir.

J'ai couché ma langue sur des parchemins couverts d'encre de sang et convaincu des Stygiens de prier Mitra, vendu des armes de Pictes à des généraux Aquiloniens, empoigné des mains de barbares persuadés de rencontrer le roi Conan lui-même au matin... J'ai empêché des guerres, j'en ai fait d'autres, créée des alliances, tué des alliés, vendus des femmes, acheté des enfants, créé des lois, je me suis fait payer pour en créer de nouvelles plus contradictoires les unes que les autres... Une vie bien remplie, pensée et vécue pour mon propre bénéfice quand j'y pense. Peu importe les chefs les armées que j'ai servi. Je n'en suis pas moins dévoué, déterminé, loyal. Mon sang comme tout autre, coule pour ma famille, pour mon clan, mais au milieu de diplomates et autres émissaires quand vient l'heure de se faire entendre, toi, ta verve, ta langue et ta fourberie, êtes seuls.

Je ne dois ma survie qu'à ce simple principe.

Alors je me souviens de cette femme venue du Sud brillant de mille apparats, posant face à moi, tentant de m'aveugler, de m'éblouir par ses artifices simplets. Je me rappelle que je ne suis pas homme à me laisser rouler, je suis celui qui piège, qui créée, qui défait. J'aime à contrôler ma destinée, l'embrasser puis troubler celle des autres. Je me plonge dans l'avenir et signe de quelques gouttes mon contrat éternel et lègue ma vie à mon discours et mon éloquence.


Je suis émissaire du Sang d'Onarius.
http://www.onarius.net/forum/imagehosting/148287757eeb09.jpg

Après de longues discussions en interne et un vote de la majorité assez écrasant, nous avons décidé de nous rendre sur le serveur pve - ou normal vu qu'il y aura une bonne dose de pvp sur ces serveurs et que nous comptons également en faire - pour pas mal de raisons. Notamment, l’absence de règle réellement efficace, une absence de contrôle total et j’en passe. Toutefois, nous sommes une guilde qui a pour principale vocation le roleplay, c’est pourquoi nous avons de nombreux objectifs qui pourront intéresser toute personne voulant nous rejoindre ou qui nous côtoiera.

Nous venons (tous ou presque) sur Aoc pour y rester longtemps et donc y construire quelque chose de concret et de complexe. Pas de demi-mesure ici, pas de réserve, nous y allons pour y rester…


I. Nos Objectifs internes :

- Construire un roleplay vivant et dynamique au sein même de la guilde afin de permettre de nombreux changements mais aussi garantir une qualité de roleplay quelque soit le gameplay proposé par le jeu.

- Plusieurs sorties par semaine avec des thèmes bien différents, gameplay, artisanat, diplomatie, forum à la romaine, édition de loi, scénario complexe voire même extrême. Toutes ces activités ont une place importante au sein de la guilde sans en être le fondement. Chacun choisissant uniquement ce qui lui plait, c'est donc adapté au casual, beaucoup d’entre nous en sont.

- Des objectifs gameplay en association à une approche hardcore du roleplay, offrant des prises de pouvoir fréquentes, des liaisons, des trahisons, des histoires complexes, des scénarios, des chasses apportées par tout un chacun avec autant de place qu’il faut pour les bgs personnels en addition du roleplay interne de la guilde.

- Construire une cité le plus rapidement possible et l’animer rp parlant. Que cela soit les prises de pouvoir, les animations roleplay avec invitation à tout le serveur et j’en passe.

- Et bien sûr une entraide à tout instant pour tout objectif gameplay. Nous demandons simplement à toute personne étant chez nous de mettre un brin la main à la pâte et de participer à l’édifice. Pas de rang d’officier hrp chez nous - il y a toutefois des postes rp bien précis pour les plus motivés et ils sont détrônables à tout moment -, tout est placé entre les mains de tous et au même niveau.


II. Nos Objectifs externes :

Outre nos priorités internes, nous avons pour objectif clair d’offrir au serveur pve un environnement roleplay. Hors de question pour nous de rester sans activité sur le serveur. Nous comptons clairement faire regretter à Funcom le fait de ne pas ouvrir un serveur rp pve à la sortie pour ceux que cela intéresse et nous comptons fortement nous investir afin d’offrir différents events.

Je ne vais pas spoiler davantage mais nous prévoyons quantité d’events externes à la guilde pouvant attirer du monde - nous l’espérons - et montrer aux gens roleplay qui ne croient pas au serveur rppvp qu’il y a une alternative.

Nous n’avons par contre nullement l’intention de nous mettre en avant sur ces events et on espère faire tout ceci main dans la main avec les autres guildes réellement rp qui auront choisi le serveur pve.


III. Notre recrutement :

Notre recrutement est à ce jour ouvert à toute personne intéressée pour l’un des aspects que nous avons abordé. Comme je l’ai dit, nous avons pour objectif d’offrir le choix, que cela soit dans le temps de jeu ou l’activité. Nous les avons multipliés pour cette raison afin que tout le monde trouve sa place chez nous.

Vous aimez le gameplay ? Le Brasier est fait pour vous !

Vous aimez les scénarios internes complexes, denses et dangereux pouvant même aller jusqu’à la mort rp de votre personnage ? Le Silence est fait pour vous !

Vous aimez l’artisanat, les affaires et le commerce ? La Forge est faite pour vous !

Vous aimez les intrigues, les forums romains, les discussions autour d’un verre, le social ? Les Tisseurs sont là pour vous !

A tout moment, vous pouvez choisir quel type d’activité vous pensez rejoindre et surtout combien de temps vous comptez investir dans la guilde. Peu avec une seule branche, beaucoup en participant le plus possible à nos activités.

A l’heure actuelle, nous recherchons activement des membres pour la Forge et pour les Tisseurs. Vous pensez faire partie de ce profil ? N’hésitez pas à venir sur notre forum pour vous inscrire.

Si vous aimez créer des events, êtes remplis d’idées, êtes motivés pour commencer une aventure qui durera très longtemps, nous vous accueillerons avec plaisir. Nous sommes des passionnés de roleplay, nous sommes une famille qu’on garde réduite par intention pour ne pas tomber dans les travers des guildes trop grosses.

Pour la release, nous avons pour objectif de poser un scénario complexe d’un mois, permettant de poser les bases de guilde sur Aoc via des enquêtes, des intrigues, des assassinats et des prises de pouvoirs.

A vous de jouer si vous souhaitez y participer !


Liens utiles :

Site Sang d’Onarius : http://aoc.onarius.net

Forum : http://www.onarius.net/forum

Site trinité Généraliste : http://www.onarius.net
Ce serait dommage de passer à coté de l'univers dans lequel se situe AoC, non ?

Cet univers, celui de Conan, nous Sang d'Onarius sommes bien décidés à en profiter pleinement.

Alors si vous aussi vous souhaitez approcher le jeu dans son ensemble, en ne négligeant ni le gameplay ni le roleplay....
n'hesitez pas à venir nous rejoindre sur le serveur PvE francophone "ISHTAR", où nous ferons certainement la guerre plus souvent que l'amour
Le serveur PVE est aussi appelé serveur "normal" car il propose quasiment la même dose de PvP que les autres mis à part un PvP sauvage d'intérêt moindre pour une guilde non PK/APK.

Même sur les serveurs (r)PvP il y aura des zones safes et oui... il y aura des guerres et du PvP sur ISHTAR
Citation :
Publié par Nibel
Faire la guerre sur PVE ... Celidya tu me déçois
Bah j'aime pas le ffa, spa pour rien que j'étais sur serveur PvE sur wow, surtout vu que là le jeu est absolument pas fait pour ça rime à rien.
On va donc partager le même serveur, content que certaines guildes RP viennent sur PVE

J'ai croisé un de vos membres sur Ishtar à Conall's Village ce matin, on a surement du créer nos deux guildes respectives en même temps (je suis pas GL mais étant le premier level 20 la tâche me revenait )

Bon jeu à vous
Répondre

Connectés sur ce fil

 
1 connecté (0 membre et 1 invité) Afficher la liste détaillée des connectés