Allez hop ...
T'as raison Kara, ya pleins de nanas toutes comme toi

i. Et c'est l'avenir de "l'humanité".
Coup de pot ... J'ai déniché l'exception. Et je crois que finalement je vais me la garder.
Mais ta réaction indique bien que t'es vraiment pas à l'aise sur le sujet.
Et pouet ... Et re pouet tiens ... Je retourne roleplayer un méchant dominateur avide de sexe et de sang dans SL.
Je suis parfaitement à l'aise sur le sujet, d'une, le fantasme DS est l'un des plus répandus sur SL, la preuve, le nombre de femmes portant collier sans RP, le succés des sims BDSM, le succés aussi des sims goréennes.
Je n'admets pas les amalgames douteux et immatures.
Pour Kara Ashton :
Pour la seconde et dernière fois, l'attaque personnelle et l'injure ne font absolument pas avancer le débat. Comme ce ne sont pas arguments et que je suis une personne bien élevée, tu me pardonneras de ne répondre que par le silence.
PS : Je m'appelle Tasia et non Tania
Pour Satyne :
C'est vrai que le point limite du débat parait atteint, comme toujours lorsque l'on en vient sur le terrain du nazisme. Mais je ne pense pas qu'on puisse nier en toute objectivité le lien.
Le monde goréen, pardonnez-moi si je me trompe, mais c'est un microcosme dans lequel une partie de la population détient le pouvoir et le monopole de la violence, tandis qu'une autre est traitée en objet, en bétail. Mis à part le caractère purement imaginaire de ce monde, je ne vois pas de différence fondamentale avec le camp de concentration ou le goulag.
C'est un jeu, c'est entendu, mais un jeu dangereux.
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Je ne t'ai pas insultée, tu as démontré toi-même ta faiblesse face à un type qui fouille dans ta vie privée (et qui n'est pas bien malin en voulant vérifier ta présence à un évènemment sans connaître ton nom de famille) et devant qui tu plies l'échine pour regagner une confiance que lui ne t'as pas témoignée. Si ce n'est pas un exemple de soumission, je veux bien être pendue. Tu ne peux pas répondre simplement parce que tu n'as aucun argument à faire valoir devant une telle évidence.
Quant à Gor, je trouve une fois de plus gonflé de voir un avis émis sur la question par une personne qui n'a lu ni un bouquin, ni RP sur une sim goréenne.
Gor, qu'est-ce : Cest une société patriarcale dans laquelle les gens évaluent dans un environnement préservé et respecté, où l'auteur décrit une société qui a maîtrisé la science et le progrès au service de l'humain (médecine très avancée) au détriment de ce que nous faisons sur notre propre planète que nous détruisons progressivement (pas de pollution sur Gor, pas d'armes de destruction massive, oh, quel monde de barbarie, hein !) Gor est une société où chacun évolue selon ses mérites, sur des valeurs d'honneur, de courage, de bravoure, de loyauté et de connaissances (la science y est respectée, l'intelligence hautement honorée) bien davantage que les richesses matérielles (le contraire chez nous). Le sadisme, la cruauté gratuite sont méprisés et considérés comme des comportements déviants. Les valeurs prônées dans un tel monde d'ailleurs ne prédisposent pas à ces comportements.
Gor est aussi une société où la femme est célébrée pour sa nature, sa beauté, son intelligence. Norman le répète assez souvent, les goréens aiment les femmes intelligentes, ce sont ces femmes là que les hommes goréens aiment posséder. L'homme goréen attend de son esclave qu'elle soit totalement une femme, sache s'abandonner, aimer le plaisir, sans tabou, puisse totalement s'épanouir dans sa nature.
Norman établit souvent des comparaisons entre l'esclave goréenne et l'épouse terrienne, notant l'intérêt profond que le maître porte à son esclave qu'il apprend à connaître totalement et profondément, bien davantage que pas mal d'époux sur Terre qui ont une connaissance succinte de leur épouse. L'amour sur Gor est fêté, l'amour entre un maître et son esclave est d'ailleurs qualifié de lien parfait.
Enfin, l'esclavage que Norman met en scène symbolise aussi une sorte de libération de la femme, libérée des morales castratrices, des pudeurs inutiles, de la culpabilisation envers le corps, envers le sexe. Une femme libre de s'abandonner totalement à un homme, d'aimer l'amour, sans frein. Il ne fait d'ailleurs que décrire un fantasme courant chez la femme.
On est loin du goulag et des camps de concentration où les victimes étaient battues, torturées, massacrées et psychologiquement brisées. Une fois de plus, encore une banalisation indécente.