Concours de spleentexts

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Citation :
Publié par Gros BaloOr
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La vie ça va, ça vient, aujourd'hui elle te quitte, demain se sera à toi de dire "j'aimerais qu'on reste ami".
Succomber a la tristesse est bien plus attirant, une tristesse douce et sombre, enivrante comme un bon vin, une mélancolie un jour d'orage, la pluie tapant sur les carreaux tel les larmes de souffrance zébrant un coeur froid comme l'hiver.
Dans les profondeur du malheur, plus rien ne peut empirer, il fait froid, mais on s'y habitue, on s'enlace dans la chaleur de la mélancolie, et après, tout semble plus calme, comme dans un rêve, une ivresse qui nous fait voir les choses avec une tel distance, que plus rien ne nous affecte. On est mort de l'intérieur, mais que c'est bon, de ne plus pouvoir mourir, ne plus pouvoir souffrir, une sorte d'immortalité, un éveil, une sérénité, dans l'indifférence, l'esprit atteint un état supérieur, ou on est seul maître de ses penser, aucune forme de sentiment pour nous faire souffrir, ou déranger la stabilité de notre pensée.
Cet mélancolie m'a enivré, englouti comme un tourbillon dans un océan de larme... Je n'ai plus froid, ni peur désormais, car plus rien ne m'importe, je suis dans un rêve, un sommeil éternel, et j'ai enfin l'harmonie et la sérénité que j'ai rechercher. Mon enveloppe charnel est toujours la, mais mon esprit a deja franchie la barriere.
Citation :
Publié par Thaxlsyssilyaan
Succomber a la tristesse est bien plus attirant, une tristesse douce et sombre, enivrante comme un bon vin, une mélancolie un jour d'orage, la pluie tapant sur les carreaux tel les larmes de souffrance zébrant un coeur froid comme l'hiver.
Dans les profondeur du malheur, plus rien ne peut empirer, il fait froid, mais on s'y habitue, on s'enlace dans la chaleur de la mélancolie, et après, tout semble plus calme, comme dans un rêve, une ivresse qui nous fait voir les choses avec une tel distance, que plus rien ne nous affecte. On est mort de l'intérieur, mais que c'est bon, de ne plus pouvoir mourir, ne plus pouvoir souffrir, une sorte d'immortalité, un éveil, une sérénité, dans l'indifférence, l'esprit atteint un état supérieur, ou on est seul maître de ses penser, aucune forme de sentiment pour nous faire souffrir, ou déranger la stabilité de notre pensée.
Cet mélancolie m'a enivré, englouti comme un tourbillon dans un océan de larme... Je n'ai plus froid, ni peur désormais, car plus rien ne m'importe, je suis dans un rêve, un sommeil éternel, et j'ai enfin l'harmonie et la sérénité que j'ai rechercher. Mon enveloppe charnel est toujours la, mais mon esprit a deja franchie la barriere.
Il suffit parfois seuelemtn d'un sourire pour le froid nous envoutant disparaisse, et que notre esprit trouve enfin un but dans la vie, meme si celui ci est vain.
Citation :
Publié par Xbleem
Il suffit parfois seuelemtn d'un sourire pour le froid nous envoutant disparaisse, et que notre esprit trouve enfin un but dans la vie, meme si celui ci est vain.
Les braises peut etre ravivé, mais lorsqu'il reste que des cendres, on ne peut plus rien y faire.
Citation :
Publié par Thaxlsyssilyaan
Les braises peut etre ravivé, mais lorsqu'il reste que des cendres, on ne peut plus rien y faire.
Les cendres font souvent un engrais magnifique pour quelque chose de beau, de neuf ,de nouveau.
Je vais mourir parce que je ne vaut pas plus qu'un autre,
Le monde que je vis je me le suis construit,
À partir de là être soit même ça veut dire quoi ?
Prendre du recul lâcher tout ça veut dire quoi ?
Si je crève là ça me convient.
Rien à foutre de rien à foutre de rien.

Tout ce que j'ai vu.

Que dans un monde régit par le crime,
Si je veux avoir une place en y parlant au présent,
Je dois devenir criminel prendre part un trafic d'influence et tout le bordel.
Les plus malins y mènent la danse, tous repris pollués,
Les civilisés puent le singe.
Vous connaissez James Brown moi c'est le contraire,
Je suis blanc et je suis pas fier.

La région où je suis né, maquillée par les urbanistes remise à neuf mais abandonnée,
Une Région dépeuplée où personne ne reviendra jamais si ce n'est pour la détruire.
Ma grand-mère m'y attend, avec les voisins qui n'ont pas d'enfants.
Ils sont venus ici pour mourir et ils meurent.
La solitude est quelqu'un, une fillette décoiffée qui traversera en courant la fin de leurs Vies.

Les devoirs, leçons, obligations, ce qu'on m'apprend est inutile.
Faire ce qu'on me demande sans me poser de question,
Les plans en deux parties, en trois parties,
Le chapeau introductif sous forme d'aphorisme ça a fait un tube avec l'eau minérale,
Surtout ne le prenez pas mal, on va les brider d'entrée.
Vive les fonctionnaires.
Dans toute cette merde je construit mes propres jouets,

Je sais où je vais

J'écris avec autant d'application que je coupe ma viande.
Je sais dans quoi je rentre,
Je sais mentir, je sais garder un secret,
Je sais faire en sorte qu'on en parle plus.

Je sais où je vais.

Les images de l'enfance; la cousine vêtue d'une seule culotte blanche,
C'est la première image de la journée,
Quand elle étale la crème dépilatoire sur ses jambes
On dirait des bottes en yaourt nature,
La peau douce et satinée de ma cousine.

Qu'est-ce qu'on fout là ?
Qu'est-ce qui disent, et qu'est-ce qu'on fout là ?

On devrait jamais dire de mal de personne,
Les types qui finissent clodo je commence à comprendre,
Les pères de famille qui à trente ans se pendent je commence à comprendre.
Tout est gâché,
Avant de créer des emplois faites des hommes.
Des connauds dans des bureaux appliquent des consignes,
Allez tous vous faire branler.
Essayez d'être honnête et c'est réglé, on vous dira "je ne suis pas là pour discuter de L'absurdité d'une lois".
La vérité;
C'est qu'il faudrait se montrer telle qu'elle voudrait que l'on soit,
Assité de A à Z, toujours en bonne position pour demander de l'aide.
Leur bonne conscience les rend malsain.

Rien à foutre d'eux, rien à foutre de rien.

On ne dit pas les choses comme elle sont,
Ça n'intéresse personne.
Le singe a conçu un dessein pour survivre,
Et si on est pas assez cohérent pour le suivre,
C'est qu'on est pas capable d'être un singe,
Qu'on est juste un singe raté qui la ferme, encaisse
Ou va pleurer dans une cave comprendre pourquoi il est venu en enfer
Peut-être pour que quelqu'un le dise à quel point il a honte de ne pas vouloir être un Singe.
Pour que tout soit dit,
Même le gâchis avec des mots pour faire vomir,
Qu'on ne croit plus qu'à du pour et du contre et qu'on choisit de lutter
Ou pas pour l'avenir Des choses sans saisir le lien de ces choses entres elles,
Ni devenir quelqu'un d'autre.

Je sais où je vais.

J'ai besoin de réduire la conscience de moi même,
Si je n'en suis pas capable je ne mérite pas qu'on m'aime.
Sauf peut-être chez ceux qui ont, une araignée collée au plafond et qui communiquent Par télépathie.
Les enfants de l'enfer ont conçu un dessein pour survivre,
Les enfants de l'enfer communiquent par télépathie,
Et si je ne suis pas assez fou pour les suivre,
Je n'ai qu'à la fermer , me marrer ou filmer leurs grimaces.
Comprendre pourquoi je suis bien à ma place,
Peut-être pour que quelqu'un le dise à quel point il a honte d'être bien à sa place.
Pour que tout soit dit, même le gâchis, avec des mots pour faire vomir.
Qu'on ne croit plus en quelqu'un d'autre sans devenir du pour et du contre.

J'voudrais la fermer,
J'voudrais me prendre un mur, j'voudrais travailler la terre pour nourrir ma famille.
J'voudrais être heureux,
Partir où je veux.J'voudrais pourvoir refaire ma vie.

J'voudrais tuer ! Tuer des gens,
J'voudrais voir les visages décomposés par la peur,
Me dire; "Hey c'est finit, lui aussi."
Pouvoir rire de leurs vies

Dis le moi si je suis foutu, que ça ne peut plus être vrai.
Dis le moi si je suis foutu, que ça ne peut plus être vrai.

Spleen


Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis,
Et que de l'horizon embrassant tout le cercle
Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ;

Quand la terre est changée en un cachot humide,
Où l'Espérance, comme une chauve-souris,
S'en va battant les murs de son aile timide
Et se cognant la tête à des plafonds pourris ;

Quand la pluie étalant ses immenses traînées,
D'une vaste prison imite les barreaux,
Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées
Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux,

Des cloches tout à coup sautent avec furie
Et lancent vers le ciel un affreux hurlement,
Ainsi que des esprits errants et sans patrie
Qui se mettent à geindre opiniâtrement.

- Et de longs corbillards, sans tambours ni musique,
Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir,
Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique,
Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir.


C. Baudelaire
Un cri strident retentit dans la nuit. Je suis en sueur, allongé dans mon lit. J’ai rêvé que je mourais. J’ai froid… Les draps sont tombés au pied de mon lit. D’un seul coup je me lève, la tête me tourne. Vacillant, je m’approche de la fenêtre. Elle est recouverte de buée…La nuit fut courte mais intense semble-t-il. D’un revers de main, j’essuie les froides gouttelettes. Tout est noir. Les nuages masquent les étoiles, seules sources de lumière dans une nuit sans lune.

Mon lit est défait, les draps trempés. Impossible de me recoucher. De toute façon, je n’ai plus sommeil. J’ouvre la porte et me dirige vers la salle de bain. Un hurlement m’interrompt. Je viens de marcher sur la queue du chien, qui rejoint le jardin en grognant. Le silence reprend sa place dans cette vieille maison de campagne. Moi, je reprends ma marche…

La poignée, grinçante, m’arrache un cri. Je referme la porte derrière moi. La douche, enfin. A peine le temps d’allumer la lumière que je me glisse dans la cabine. Je tourne le robinet, et une onde de chaleur envahit mon corps. La tête d’abord. Le liquide coule ensuite sur tout mon être, s’infiltrant partout. Tête, torse, jambes, pieds…Ma peau se teint lentement de rouge. Etrange… C’est de la pomme de douche que coule cette substance colorée. Du sang ? Peut-être…et alors, qu’importe. J’en suis maintenant recouvert, jusque dans mes parties les plus intimes.

Je m’extirpe de la cabine et m’essuie avec la première serviette à portée de main. Rah, elle était blanche et la voilà tachée. Je me rends dans le salon et l’aperçois par la fenêtre, fièrement dressée dans le jardin. Mais ce n’est pas encore le moment… Je vais dresser la table, ce sera toujours ça de fait. Je la recouvre d’une grande nappe noire. Viennent ensuite la vaisselle de porcelaine et les verres de cristal. C’est la première fois que je les sors. Bientôt, un bourgogne à la robe sanguine viendra les tâcher. L’horloge sonne trois heures…

Je m’avachis dans le canapé et j’attends qu’ils arrivent. Tic…Tac… Les bruits du pendule sont les seules choses qui me resteront de cette attente. La sonnette, les voilà… Par chance, ils surgissent tous au même moment. Pas un mot… Je vois à leur tête qu’ils l’ont vu, fièrement dressée dans le jardin. Je remplis leurs verres pendant qu’ils prennent place autour de la table. Je lève le mien et ouvre la bouche. Personne n’avait encore osé rompre le silence.

« Je vous ai invité pour célébrer mes funérailles. La pierre tombale est déjà dressée… »
Je revois une fillette qui tendrement me caresse les cheveux.
Dans cette cour d'école, sur ce petit muret de pierre où nous étions assis tous les deux.
Elle me sourit et me regarde sans dire un mot, juste là collée à moi et je tremble comme une feuille,tétanisé à esquiver le bleu de ses yeux.

Je revois une fillette, pour qui je me suis battu avec les autres sur ce terrain de jeu.
Pour quelques instants de complicité un soir de printemps,amour de jeunesse innocent.
Ces minutes qui s'évaporent comme l'eau sur le sable lorsque la mer se retire, simplement inoubliables pour un gamin amoureux.

Je la revois qui effleure ma joue de ses lèvres et je reste silencieux.
Mes mains se croisent sur mes genoux et mon coeur est ailleurs, je ne saurais donner autre définition de l'amour qu'en repensant à ce jour.

Je revois aussi ces lendemains malheureux.
Où je l'ai attendue devant le portail chaque matin, cherchée dans la cour tous ces jours qui ont suivi pour lui dire que je l'aimais, mais elle n'est plus venue et jamais je n'ai pu l'embrasser.

Je revois cette dalle de marbre blanc sous un ciel orageux.
Un poème que je dépose à ses pieds et le rouge pâle d'une rose recouverte de gouttelettes de pluie vingt cinq ans après, et m'enivre en fermant les yeux de ce vent frais qui me caresse les cheveux.

http://img359.imageshack.us/img359/6823/redrose8sm.jpg
Des larmes de mon coeur
Est née une fleur sur le bitume
Aux pétales rouges coagulés
De sang et d'amertume
Bourgeonnante de douleur
Parfumée de regrets
Nourrie de peines
Je la cache en secret
L'embellis de mes pleurs
Et l'arrose de mes veines
La contemple dans le noir
Impatient qu'elle devienne
Le passé qui se meure
D'une épineuse histoire
Dépourvue de sourires
Sur la tige d'un espoir
De désirs en couleurs
Fanée de souvenirs
Attendant qu'un jour
Enfin je puisse t'offrir
Autres que mes peurs
Et ces maux de toujours
En glissant sous tes lèvres
Cette rose et mon Amour.
Est-ce qu'au moins tout ceci a un sens ?

Une sonnerie, la même qu'hier, la même que demain, rompt le silence qui s'était installé. J'ai beau me tourner et me retourner dans mes couvertures, elle est toujours là et je ne pourrais lui échapper. Lentement, j'allume le téléviseur. Un dessin animé, toujours le même. Je pose un pied au sol et me dirige vers l'interrupteur. Il est encore au même endroit, si bien que je ne sais si j'ai les yeux ouverts ou si mon instinct m'a guidé jusqu'à lui.

Une lumière, la même qu'hier, la même que demain, emplit la pièce. Soleil jaune et artificiel, il révèle à mes yeux une pièce bien connue. Rien n'a bougé depuis la veille, le même désordre occupe toujours la place. Combien de temps s'est passé dans l'obscurité ? Dix minutes, une heure, un jour, une semaine, un an ? Tout est comme je l'avais laissé avant que je parte, parte vers un espace hors de la vie. Mais le temps a continué à s'écouler, inexorablement.

L'eau, la même qu'hier, la même que demain, s'échappe du robinet de la salle de bain. Le rituel a été écrit il y a bien longtemps et chaque fois je le répète. Il faut attaquer la journée purifié, débarrassé autant que possible des traces du temps. Il m'a encore oublié d'ailleurs, passant trop vite une fois de plus. Je suis en retard.

L'université, la même qu'hier, la même que demain, se dresse dans les brumes matinales. A l'intérieur de celle-ci, toujours les mêmes étudiants, encore les mêmes professeurs. Tout est si semblable d'une journée à l'autre, d'une année à l'autre. Ils se relaient devant le tableau blanc, répétant une leçon apprise par coeur, déjà dispensée la veille. Ce sont des chanteurs à leur manière : ils répètent jour après jour, année après année, le même texte appris à leur début et ce jusqu'à leur fin ici.

La musique, la même qu'hier, la même que demain, éloigne le silence. Des mots qui s'enchaînent et se font écho, se succèdent et s'emmêle. Mais au fond, c'est toujours la même chose : une lente mélodie, une douce berceuse. Il faut s'en imprégner, apprendre les paroles pour devenir à son tour chanteur. Répétition... Répéter... Dormir. Par la fenêtre, toujours le même paysage, les mêmes façades, les mêmes clochers, les mêmes grand-pères allant acheter leur pain. Il faut attendre.

Le chemin, le même qu'hier, le même que demain, me ramène chez moi. La journée est finie, mais la nuit n'est pas encore là. Quelques minutes, quelques heures peut-être de répit pour la conscience. Il est trop tard pour agir, pas assez de temps. Et de toute façon, bien d'autres ont essayé avant moi.

Où sont-ils ces autres, esprits assez éveillés pour percevoir cette boucle infernale dans laquelle nous sommes piégés ? Ils sont prisonniers sous une dalle de pierre gravée à leur nom, dans ces lieux qu'on appelle cimetière. Ainsi il existe donc des places remplis de ceux qui furent. Ils y sont des dizaines, des centaines, voire des milliers. Ils ne sont plus là, et pourtant la machine tourne encore. Ont-ils seulement existé, ou ne sont-ce que des rumeurs sans fondement ?

Et si j'allais m'allonger à leurs côtés, en refermant derrière moi la stèle de marbre... La machine continuera ainsi quoi qu'il arrive. Au pire, les rouages seront grippés quelques temps, mais ici tout est temporel, éphémère, et même la douleur finit par disparaître dans le temps. « De toute façon, il le faut. », voilà ce qui se dit depuis le début. Rien de nécessaire, rien de suffisant, juste une boucle sans fin. Est-il là le sens ?

Après la journée, la nuit. Puis la journée, et encore la nuit, et toujours la journée. La vie, puis la mort, et ce jusqu'à la fin. Quoi qu'il arrive, la fin sera toujours là. Boucler, encore et encore, jusqu'à la fin. Un signal pour la fin du processus, arrêter le bug de la vie. La seule décision à notre portée dans cette boucle, est le choix du moment où on doit s'arrêter. Un choix ne venant que de soi, uniquement de soi. Un choix, le seul.
Mon amour,
Du temps ou nous étions ensemble
tu prenais le temps de t'occuper de moi.
Tu ne sais pas pourquoi je t'ai quitté,
je viens ce soir te l'expliquer.

Ce soir la,
Tu passas du temps à nous mijoter
un repas dont tu avais le secret.
Mais tes lasagnes n'etaient pas cuites,
Ce qui me valut une gastroentérite.

Llewn
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par glandulf
Llewn, sans hésiter ! Original, de la passion, du vomi et du caca et une chute inattendue. Rajoute un peu de spayrme et tu as un roman de Louis-Ferdinand Céline.
+ =

Dédicace Mardi 23 Novembre à 05h30 devant le bistro romain de la rue de la roquette.
Citation :
Publié par Cyrus
un poème (comme une chanson etc) percute mieux si elle correspond au code, à savoir écrit en rimes, ou alexandrins (un peu plus rare), ou quatrain, en 12, ce genre de chose.
Contre-exemple :
Citation :
Publié par Thuthur
Me voici sur la plage armoricaine. Que les villes s'allument dans le soir. Ma journée est faite; je quitte l'Europe. L'air marin brûlera mes poumons; les climats perdus me tanneront. Nager, broyer l'herbe, chasser, fumer surtout; boire des liqueurs fortes comme du métal bouillant, - comme faisaient ces chers ancêtres autour des feux.

Je reviendrai, avec des membres de fer, la peau sombre, l'oeil furieux: sur mon masque, on me jugera d'une race forte. J'aurai de l'or: je serai oisif et brutal.
J'ajoute que si tu tiens à faire des vers les nombres impairs c'est vachement mieux (= vachement moins chiant). Comme disait l'ami victor, l'alexandrin cay un niais irl
Enfin j'imagine que pour un truc déprimant les nombres pairs c'est bien aussi
Ce n'est pas vraiment un poeme, loin de la meme. Juste une phrase, mais j'adore ce type de phrases, courte et belle (surtout quand elle me correspondent parfaitement)

Vivre dans la souffrance des autres a en oubleir ses malheurs. (ca c'est de moi)

La souffrance est une île de certitude dans un océan d'incertitude (Amos Oz)

Voir souffrir quelqu'un qu'on aime est l'une des pires souffrances au monde(Jean Chalon)

Et les étoiles à leur tour,
Comme torches funèbres,
Font les funérailles du jour (Jean Racine)

Les rêves, les désirs et les espoirs sont les étoiles de nos vies ! (Michel Bouthot)



[edit] Quelqu'un connati des livres de spleentext ? J'ai deja lu les Fleurs du mal deBaudelaire
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