l'accident / la révélation / survie / ainsi venu le froid

 
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Avachi sur son fauteuil de bureau situé au dernier étage d’un bulding de Steel Canyon, le regard plongé dans le crépuscule de sa grande baie vitrée, un verre à la main. Seul le murmure du disque dur de son ordinateur se fit entendre à travers la pièce.

Son avenir avait depuis quelques années basculé à cause d’un banal accident de vélo…

Partant tranquillement au travail comme tous les matins depuis 10 ans….

Un homme d’affaire au volant d’une voiture roulant trop vite, pressé par un rendez vous; un téléphone portable a l’oreille. Fit un simple écart, bouscula légèrement le cycliste avec le rétroviseur. Le conducteur trop pris par sa conversation ne remarqua même pas ce qu’il venait de provoquer.

Une chute….un camion en face….. L’issue était simple, et pourtant, dans un réflexe, il réussi a dévié de sa course pour évité l’affrontement avec le camion de livraison. Seul son bras se retrouva sur la trajectoire.

Quelques minutes plus tard, les pompiers, une ambulance et la police se trouvaient sur les lieux. Une marre de sang sur le bitume, un homme à l’agonie ayant perdu plus d’un tiers de son sang sur un brancard. L’ambulance se dépêcha de l’emmener au bloc opératoire afin de stopper une hémorragie de cette importance.

Les mois qui suivirent furent très dur a supporter, certain de ses amis étaient venus lui rendre visite mais très peu et pas longtemps, pas suffisamment pour lui remonter le moral. Finalement, il demanda au médecin s’il était possible d’avoir un bras artificiel a vie, il avait du voir une émission de télévision qui en parlait. Le médecin n’était pas contre, mais le coût était excessif. Peu importe le prix du moment qu’il puisse retrouver sa vie d’avant.

Le bras une fois mis en place, ressemblait trait pour trait au vrai, une perfection de technologie avec des branchements à son système neural, d’une précision défiant n’importe quel nerf humain. Alimenté par une micro capsule d’énergie, et recouvert d’une peau synthétique et d’une pilosité normale reflétant la réalité.

Il redevenait un homme à part entière malgré l’argent dépensé pour cette « œuvre d’art », c’est ainsi qu’il la nommait. Les séances de rééducation se passèrent à la perfection également. Son nouveau bras répondait correctement à ses attentes et à ceux des médecins.

Mais malgré tous ses efforts, les gens le regardaient de travers, tout le monde savait, tout le monde avait vu sa photo dans le journal. Ses amis ne l’appelaient plus et prétextaient une affaire urgente quand il voulait les voir. Traité comme un exclus alors qu’il y était pour rien. Personne de son entourage ne comprenait son geste.

Il finit par détester cette machine qui faisait partie intégrante de son corps. Un soir, saoul, voulu en finir complètement. Il remplit la baignoire d’eau bouillante, s’allongea a coté, découpé la peau synthétique pour voir la machine avec un couteau et le planta en plein milieu. Quelques étincelles jaillirent. Son niveau de pensées brouillées par l’alcool ne dépassait pas celle d’un enfant de 4 ans, et plongea le bras dans l’eau bouillante avec la seule idée en tête que l’eau et l’électricité ne faisait pas bon ménage….

« Pour en finir… » Avait été sa seule parole
Dragon qui nous fait un texte RP ???
J'en reviens pas

Bravo ma caille c'est tres bien ecrit

Vite la suite du BG de dragon rouge !!

PS : Je vais etre le seul à pas savoir faire de texte ?
Citation :
d’une pilosité normale reflétant la réalité....
Ca dépend qui , concernant la réalité, regarde Demis Roussos ou Jack the Lion..

Blague a part tres chouette texte, je le trouve meme angoissant par moment
Ca va pas d'écrire des horreurs pareilles enfin Dragon !!!
Bon ben maintenant que tu as contribué à dresser les rares poils qui ont échappé à ma coupe "maillot" avec tes trucs affreux, aboule la suite et vite !

C'est vrai quoi...
Je suis inquiète moi...
Après ce qui est arrivé à Claude François, je voudrai bien savoir si ce pôv gars va apprendre à chanter avec une thérapie pareille !!!

C'est pas bien de faire subir des choses pareilles à ta création, méchant !


Félicitation...

Tu as remarqué comme on parle ici de texte et non de Background ?

On a l'impression que ça se rapproche d'une possible réalité. De ce fait ça dérange et/ou on accroche...

C'est en tout cas très bien écrit et ce qui est fort, c'est qu'on en arrive à se sentir solidaire du personnage très rapidement.

Parti 2 : la révélation

Le matin survenu, Un mal de crâne incroyablement tenace, les yeux livides…. Il se leva du sol de sa salle de bain, se mis devant le lavabo, chaque mouvement était une torture. Il ouvrit les robinets, plongea les mains dessous, et se badigeonna la figure avec l’eau tiède pour essayer de se réveiller.

Soudain, sa dernière phrase lui revint en mémoire, se repoussa violemment du lavabo. Une perle de sueur froide descendit le long de sa joue. Il esquissa un bref regard à son bras, toute la peau synthétique avait brûlé sous l’effet de l’électricité et de l’eau. Même le couteau planté avait fondu, par contre tout le reste n’avait rien eu, aussi bien le bras artificiel que son corps du moins en apparence mais son bras ne lui faisait pas mal et avait l’air de marcher correctement.

« Ce…ce…ce n’était pas l’heure…. »

Il décida de partir voir son médecin pour connaître l’importance des dégâts, et en s’habillant il repensa au coût, le remplacer était désormais hors de question. Ses économies dilapidées, sa pension d’invalidité se finissant, il fallait qu’il reprenne son travail et éviter toute dépense inutile pour le moment, surtout de cette importance.

Cacher sa « monstruosité » n’était plus nécessaire, tout le monde savait ce qu’il était devenu grâce aux médias. Il enfila une chemise, mis son pantalon, chaussettes et chaussures, et partit faire un tour pour se changer les idées et allé manger un morceau à l’extérieur.

Après une petite demi-heure de marche au frais, il entra dans son bar préféré, et commanda un café serré. Quelques secondes plus tard, et après quelques gorgées de café chaud, un mal de ventre se fit ressentir...s’intensifia. Il essaya de garder son calme malgré tout, le mal envahi sa poitrine, il eu impression que toutes les veines de son corps devenaient aussi bouillantes que de la lave en fusion. Son pouls s’accéléra, il commençait à suer.

Il laissa un billet sur la table, et sortit aussi vite que possible afin que personne ne remarque son malaise. Il s’engouffra dans une ruelle vide. Et fini par lâcher un cri de douleur effroyable.

A son réveil, il était à l’hôpital, quelqu’un avait du entendre son cri et prévenu les autorités.
Son médecin s’approcha avec un petit sourire de désespoir…

- Bonjour ! » Dit le médecin en pinçant ses lèvres

- Bonjour docteur…

- Je peux savoir ce que vous avez fait avec votre prothèse ?

- …..

- Je vois.... je ne vais pas aller par quatre chemin, votre prothèse est très abîmée de l’intérieur mais le plus ennuyeux, c’est que nous ne pouvons pas la remplacer sans couper une partie de votre ossature, elle s’est….fondue avec vos os, on ne peut plus discerner l’un de l’autre, vous comprenez ? Le médecin profita de son petit discours pour afficher les nouvelles radios dans la vitrine éclairée, réservée à cet effet.

- …..

- bon…. je continu donc. Un objet métallique a fondu dans la prothèse elle-même et à l’emplacement de la capsule d’énergie. Cela aurait dû la dégrader et paralyser le bras mais, je ne sais par quel miracle, il n’en est rien et au contraire, sa puissance s’est trouvé décuplé

-…comment ça décuplé, je suis aussi fort qu’un buffle avec ce bras maintenant ?

- Heu…non, en fait je n’en sais rien, la puissance reste la même mais les radiations émises de la capsule, sont multiplier par 10 ou 100 suivant les moments, en fait, c’est très fluctuant. Maintenant, je pourrais savoir ce que vous avez fait ?

- ….

- Je vois… ha ! Autre chose, nous n’avons pas pu vous remettre une peau synthétique dessus, elle se désagrège immédiatement au contact de la prothèse dû aux radiations émises je suppose, cela est définitif a partir de maintenant jusqu'à la mort de la capsule, normalement, c’est à vie mais vu les modifications apportées, je ne peux pas me prononcer. Je vous rassure, les radiations émises ne sont pas dangereuses pour votre vie, c’est pour cela que nous n’avons pas fait d’intervention pour l’enlever.

Décuplé, seul ce mot résonna dans sa tête. La semaine à l’hôpital ne révéla rien de plus. Tous se passa correctement mis à part une incompatibilité de peau et une énergie décuplée de la capsule. Aucune puissance accrue.

De retour chez lui, il voulu en savoir plus sans le concours des médecins et spécialistes. Il coupa le fil électrique de son grille-pain, dénuda les 2 extrémités, brancha la prise et sans aucune frayeur, toucha les 2 parties sur sa prothèse.

La réaction ne se fit pas attendre, la capsule s’engorgea d’énergie et un puissant rayon bleu- blanc sortie de son poing au moment même où il ouvrit les doigts sous la pression, la décharge d’énergie alla détruire littéralement une chaise. La surprise fut de taille, et surtout de savoir que les médecins n’avaient pas tenté ce genre d’expérience.

D’amusement il recommença plusieurs fois et au fur et a mesure, il arrivait a garder un certain contrôle sur le lancement de cette boule d’énergie. Cela le fit sourire même s’il n’en voyait pas l’utilité sur le moment.

Il décida de retourner dans la ruelle ou il perdit connaissance. Il l’inspecta sous toutes les coutures pour finalement trouvé une fine coupure d’énergie sur les murs, les résidus étaient les mêmes que la chaise de son salon.

Une chose le tourmenta, le jet d’énergie aurait dû faire un trou sur une plus large surface et non pas un trait de quelque centimètre d’épaisseur et sur une longueur de plus de dix mètres. Cela ressemblait plutôt à une explosion.

Cela engendra plusieurs questions, que même les scientifiques ne pourraient répondre sans de multiples tests long et fastidieux qu’il n’avait pas envie de connaître. Il préféra rentrer chez lui se reposer.
Il y a de l'idée dans le scénario.
Par contre, sans vouloir me faire remarquer, le français et l'orthographe restent approximatifs.
N'est pas Halaguena qui veut...
Dur est le chemin de l'écriture, mais à force de persévérance....
Citation :
Il y a de l'idée dans le scénario.
Par contre, sans vouloir me faire remarquer, le français et l'orthographe restent approximatifs.
N'est pas Halaguena qui veut...
Dur est le chemin de l'écriture, mais à force de persévérance....
je n'ai jamais dit que j'étais écrivain et pour répondre je citerais simplement le sketch de Bigard sur les critiques
Citation :
Publié par Scream
Il y a de l'idée dans le scénario.
Par contre, sans vouloir me faire remarquer, le français et l'orthographe restent approximatifs.
N'est pas Halaguena qui veut...
Dur est le chemin de l'écriture, mais à force de persévérance....
Je veux pas délationner , mais elle en fait aussi des fotes Halaguena
Citation :
Publié par Dragon De Rohan
je n'ai jamais dit que j'étais écrivain et pour répondre je citerais simplement le sketch de Bigard sur les critiques
Je ne peux que t'encourager à continuer, Dragon.
Je n'ai pas critiqué le fond, au contraire j'ai dit que le scénario était intéressant. J'ai juste relevé qu'il y avait des efforts à faire sur la forme. Par rapport à ça je ne comprend pas ta citation de bigard.
Je ne donne pas un avis subjectif (ha si pardon, sur le scénario, mais il était positif ), mais bel et bien objectif.
Mon but n'étais pas de t'attaquer, je m'en garderais bien.
Je déplore que le français se barre en sucette d'une façon générale. Alors je faisais la remarque. Mais bon tu en fais ce que tu veux, tu es grand.
Je ne veux pas agresser qui que ce soit, hein !
Ok je sors....
 

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