La suite ^^ Au Reveil, je me leva d'un trait, ma présence en cette pièce n'avait que trop duré.
Après avoir regarder une dernière fois la pièce, tout les cadavres étaient volatilisés, une ambiance régnait, celle de la mort rodant posant sa main sur mon épaule tel un poids, un fardeau me glaçant le sang, rendant mon souffle plus long, ralenti par cette présence meurtrière, un halo brumeux et épais formait le spectre de ma respiration, l'oxygène se dirigeant vers mes poumons n'avait plus le meme gout ...
La chaleur que j'avais sentie, que je pouvais ressentir au travers de mon armure, au contact de ma peau, cette chaleureuse sensation était en train de quitter mon coeur, mon corps . La mort tournait autour de moi tel u vautour attendant l'heure de son diner, le cauchemar ne faisait que commencer ...
Je quittai alors la pièce emplie a nouveau d'une sensation de vide, puis mon regard se tourna vers la sortie, l'ombre fut mon refuge.
Après de moultes tunnels explorés sans trouver une bribe d'issue, je m'asseyais et fermais les yeux en pensant a ma vie , une souvenir pouvant rallumer la flamme qui s'était éteinte en moi en atterrissant dans cet endroit maudit tapis de moisissure et de sang noirci par l'erosion. Des images me vinrent alors a l'esprit, des images d'une personne que j'ai toujours aimé, au dela meme des frontières des mondes, au dela des limites de la pensée, Milia etait son prénom mais le prénom qu'elle avait choisit était Alhysta, Milia fut le nom que Prionisias Chef du Village de Howth . Les paroles d'Alhysta se délectaient, son visage eclairait mon esprit en temps de trouble, ses yeux etaient mes phares guidant chacun de mes pas vers elle, Aussi brillants que la plus pure des gouttes versées par son coeur, sa peau douce telle une soie des plus luxueuse et meme au dela dela de tout achat, son ame définissant la nature innocente, son charisme résumait tout cela, le besoin de sa présence, le besoin de ses bras pour m'y jeter et pleurer ma souffrance, cette souffrance provocant chez moi un torrent de remords, ma douleur etait telle que mes cordes vocales raisonnèrent tel un bourdon, un glas sonnant la perte d'une personne importante, dois-je abandonner ma foie et mon but pour me laisser mourrir ainsi ? La mort etait a mes cotés depuis que je suis arrivé dans le petit village de Howth. A quoi bon luter, tout mes proches meurent un jour ou l'autre, mais ... la mort sera peut etre mon salut en fin de compte , je pourrai en tirer partie ... je ne sais plus quoi penser, ni quoi faire ..."
Alghanite sans meme s'en rendre compte, rendu un dernier soupir de chagrin pour se laisser emporter par des reves, des cauchemar, lui seul le sait.
" Une chaleur me chatouilla la peau, mon coeur battait, l'espoir , la foie revenait t'elle au galop ? Un destrier de la sorte etait le bienvenu en mon ame. En ce Royaume où les Mort-Vivants et les Démons cohabitaient, je contemplais en me relevant doucement la lumière située au loin à l'Est , je me précipita alors vers cette lumière, clarté se definissant en paradoxe d'un lieu hostile tel que celui la .A quelques mètres de cette aphasique lueur, une chose m'arrêta . A mes pieds, etait plantée dans le sol une lame brisée forgée par d'Anciens Elfe Sylvains, très peu d'aventurier possède ce genre d'arme réputée pour leur robustesse et renfermant une grande puissance . J'approcha ma main, et quand je toucha la lame j'eu soudain des convulsions, des images se mirent ainsi bout a bout dans mon esprit, une vision ... on dirait une vision ...
Cette vision etait la scene d'un affrontement entre ... 3 orcs, et .. Isandora ... Mon dieu, c'etais donc la lame d'Isandora ...
Je la vis se battre avec enormement de grâce tout en y mettant toute sa rage de vaincre. Lorsque deux Orcs tentèrent de pourfendre la frêle Elfe, ils furent découpés en deux parties disctinctes, ils n'eurent meme pas le temps d'esquisser un geste qu'ils gisaient deja sur le sol tandis que le troisième paraissant véritablement plus doué que ses congénères, d'un coup de cimeterre brisa la Lame d'Isandora; Les Orcs sont connus pour leur grande brutalité. Puis dans l'elan je vis l'Orc relever son Cimeterre et ... non ! je n'ose y croire ... Je m'effondrais au sol de douleur, ma tete me tourmentant, mon mal fut au-dessus de mes forces, je ne pus continuer ma vision ... Peut etre que ce j'allais voir je n'urais pu le croire , ni .. le comprendre .
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