Publié par septimus
Le paradoxe, c'est pourquoi j'aime les premiers realms of chaos et que je reproche aux nouveaux bouquins d'être trop orienté Battle?
Vu comment les realms of chaos (il n'y en a eu que 2 a ma connaissance) sont orientés battle (et un peu warhammer 40k aussi), je trouve ca paradoxal, oui. Moi, personnelement, vu tout le bien qu'on n'en dit, j'ai été fortement décu. J'ai trouvé ca gros bill, n'évoquant nulle part la sourde corruption chaotique, les leviers politiques qu'ils sont capables de faire jouer, et des organisations chaotiques "civiles" ce qui m'est beaucoup plus utiles qu'une table de mutation.
Une bonne partie de ces ouvrages à été traduit par malpy sur son site, pour ceux que ca interessent.
Concernant les pierres du destin, je me repete. Dans le feu dans la montagne et la mort sur son rocher au moins, il y a des éléments très interessants qui sont très mal développés . Dans la mort sur son rocher, c'est l'ambiance moacale qui est tres particuliere et a mon avis interssante.
Dans le feu dans la montagne, il est certain qu'il y a quelque chose à faire avec l'accouplement entre le complexe druidique et la pierre. Sans rentrer dans le gros billisme. Ca fait quand même un sacré potentiel magique qui peut justifier pas mal de chose. Qu'est il arriver aux ames des druides massacrés par les orques ? Aux orques eux mêmes ? Le chef orque n'a-t-il pas été enfermé lui même par ce conflit magique ? Comment la pierre a-t-elle pu agir sur les lignes de ley ?
Bref, y a clairement du boulot pour récupérer un truc interessant. Mais a mon avis, c'est tres jouable. Et ca change de l'ambiance uniquement urbaine de l'excellente campagne imperiale. Qui plus est, en adaptant "crossing the border" (scenario d'introduction mis à disposition gracieusement par Hogshead), elle peut tres bien s'enchainer avec la campagne imperiale.
Par contre, je suis contre l'idée de brider les cristaux. Laisser les PJs jouer avec ... N'oubliez pas que ce sont des artefacts de Tzentch. Ils marchent quand il le veut, et ils servent d'abord sa volonté. Qu'ils s'en servent. Mais qu'ils s'attendent à être confronté à de très lourds problèmes.
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