Recherche Mëryl Désespérément

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[HRP]désolé, mais vu comme tu présentais la situation avec le nain, je pensais pas que c'était si loin. Mais en fait, la scène que tu as décrit, personne ne peut la voir ? [/HRP]
[HRP]C'est vrai, personne ne peut voir la scène du nain. C'était juste histoire de rajouter un peu d'action et de montrer aux lecteurs (et donc à vous) à quoi les héros doivent s'attendre.[/HRP]
*Lorian attendait patiemment les ennemis, ignorant ce qui ce passait au bord de la rivière... elle regardait encore et toujours ses compagnon, qui attendait toujours l'heure de la bataille a ses côtés, mais elle ignorait que c'était "de sa faute" si les Duegards les avaient retrouvés.*
Séréna était perdue dans les méandres de ses souvenirs... Elle revivait des combats avec ses amis... Sur l'île pirate, dans les Monts Flocons, dans les Tréfonds Obscurs... Pourquoi ceux-ci... elle avait souvent frôlé la mort... trop souvent à son goût ! Depuis qu'elle parcourrait Toril, elle ne comptait plus les morts qu'elle avait causé... Combien de vies avait-elle sur la conscience ? Elle entendait les hurlements de douleurs, les cris de haine et les appels à la pitié...

- - - - -

Joshua n'en pouvait plus. Il s'était assis... Il sentait une légère brume monter au niveau de ses bras, le faisant frissonner. Le sol était mou ! Pas du sable, pas de roche, une sorte de gangue de chair durcie ! Mais il n'en avait cure ! Ces cris alentours allaient le rendre fou !
Mais un éclair de lucidité les fit les écouter plus attentivement. Il connaissait certaines de ces voix !
Les Duergars arrivèrent en vue de la tour en milieu d'après-midi. L'un des gardes nain dénombra quelques 270 guerriers gris massés sous le rocher. Le temps que les viles créatures s'organisent, ralenties par le soleil de Toril, la tension était montée d'un cran chez les défenseurs.

C'est à ce moment-là que Mariko vint se placer aux côtés de ses compagnons. Blème, des gouttes de sueur perlant sur son front de nacre, quelques mèches de ses longs cheveux noirs collés sur ses tempes, la guerrière boitait légèrement mais se tenait néanmoins aussi droite que possible.

S'attendant à des regards de réprobation, elle se pencha entre deux créneaux pour observer l'ennemi. puis justifia sa présence à haute voix, ne s'adressant à personne en particulier :


- Higesori m'a réveillé. Il avait soif.

Et en effet, on pouvait entendre la lame fredonner doucement une chanson paillarde parlant de guerre, de sang, de violence et de sexe...
Sans regarder Mariko, Darcia lança :

Depuis quand une vierge de bataille se laisse-t-elle dicter sa conduite par un démon ?

Mais il n'y avait aucune méchanceté dans sa voix, on aurait même presque réussi à apercevoir un sourire qui lui creusait les fossettes. Il vînt se poster prêt de la semi-esprit et observa les Duergars.

Une bien belle bataille qui s'annonce, Mariko ôjosan. J'espère avoir l'honneur de tomber à vos côtés si jamais nous ne les repoussons pas. Ma lame est vôtre.
Félis soupira, elle détestait ce genre d'effusion d'honneur et autre même si elle avait encore un peu de fierté.

-Quoiqu'il en soit...

Elle ne finit pas sa phrase, elle ressentait un haut-le-coeur soudain. Elle sentait ses jambes flageller, sa tête lui faisait terriblement mal tandis qu'une voix lui chuchotait des visions de destruction, lui ordonnait de tuer ses compagnons. Elle plissa ses yeux turquoises, n'en démontrant rien à l'extérieur mais elle aurait voulu hurler si elle avait pu.

(Tenir, tenir, je dois tenir... ces duergars payeront, je dois... tenir)

Le combat serait long et dur, allait elle tenir le coup avec ses mutations qui l'affaiblissaient?
Mariko esquissa un sourire. L'éclat de fièvre qui éclairait ses yeux fit place à une lueur malicieuse.

- Tout démon qu'il soit, Higesori n'en est pas moins un ami pour moi. Il est dans la famille des Hanagakari depuis maintes générations. Et vous avez raison Kenseï, je n'aurais raté ce combat pour rien au monde. Je regrette juste de ne pas être à cheval.

Puis, après un instant de réflexion et après avoir écouté la remarque de la demi-démone, Mariko ajouta :

- Je serais également honorée de tomber à vos côté Darcia San. Mais si nous devons en arriver à de telles extrémités, j'espère sincèrement vous retrouver dans une prochaine vie. Elle se tourna enfin vers Darcia et lui fit un éclatant sourire que seule une pointe de douleur vint assombrir.
Darcia sourit à nouveau en retour et regarda les Duergars de son unique oeil valide.

Je suis persuadé que nous nous rencontrerons à nouveau quoiqu'il arrive.

Puis il prit un arc et encocha une flèche.

Je suis aussi doué à l'arc qu'un Nain en danses elfiques mais avec tant d'ennemis je ne risque pas de louper beaucoup de tirs.

Il éclata alors d'un rire presque chaleureux malgré la bataille qui arrivait à eux seconde après seconde.
Félis attendit que l'ennemi soit assez près pour commencer à incanter afin de pouvoir provoquer une boule de feu sur eux. Elle avait un peu de connaissance sur l'Art mais elle était plus douée en combat... toutefois elle espérait provoquer un peu de pagaille chez les duergars.
*Lorsque Lorian vit Mariko arriver elle esquissa un sourire, se disant que la jeune femme était bien plus courageuse qu'elle... puis elle rejoignit Sire Darcia et Mariko, juste au moment ou Darcia lançait sa réflexion a propos des nains et de la dans e elfique...*

- C'est dans le feu de l'action que nous faisons de grand exploits Sire Darcia...

*Alors, Lorian brandit en l'air l'épée que Sire Darcia lui avait prêtée et regarda le ciel, les larmes aux yeux car elle pensait a son père... elle espérait que celui ci guiderais son bras dans la bataille...comme elle le lui avait demandé quelques heures auparavant. Puis elle se tourna vers Aërandis, Félis et Elédor...*

- Mes compagnons... l'heure de la vengeance a sonnée !!!
Aërandis sourit en voyant Mariko arriver. Il n'avait pas douté un seul instant qu'elle participerait à la bataille, mais elle semblait encore bien faible... Le scalde quand à lui, ne bougeait pas, ses cottes n'étaient pas encore guéries, et il ne voulait pas gaspiller le baume que Lorian lui avait offert. Il était monté en haut du mur et s'était appuyé le long des créneaux, il semblait complètement perdu dans ses pensées. Quelques nains proches pouvaient l'entendre murmurer une douce mélopée, un refrain apaisant qui revenait sans cesse. Puis il s'arrêta un instant et acheva sa mélodie par quelques paroles en langages commun: "Vole le pouvoir des mots, que l'air soit le messager du pouvoir du scalde."

Mariko fut alors entourée l'espace d'un instant d'une aura bleuté assez faible. Sans pouvoir deviner d'où cela venait, il n'aimait pas faire démonstration de ses pouvoirs.




[HRP]Pour notre cher MJ: soin modéré sur Mariko.[/HRP]
[HRP] [/HRP]

Comme en réponse au geste du jeune barbare, une petite troupe supplémentaire de Duergars arriva, portant de longues échelles, et scandant un chant de guerre d'Ombreterre.

Mariko encore en train de regarder autour d'elle pour savoir qui avait eu le pouvoir de refermer en partie sa plaie ne constata l'arrivée des échelles que lorsque la première se posa contre le mur en face de sa position.

Lentenment elle dégaina Higesori qui brilla soudainement d'une maléfique aura rouge sang et attendit son premier adversaire, confiante en sa force retrouvée et en celle de ses vaillants compagnons.
Ils sont allés plus vite que je ne l'escomptais ...

Dans un geste presque désinvolte, il repoussa du mur l'échelle qui se trouvait devant lui, faisant tomber sur leurs camarades les premiers Duergars qui étaient à mi-hauteur. Puis il empoigna son hast-épée.

Mes ancêtres, apportez nous l'Honneur et le Courage.
Puissions nous trouver de l'Ombre pour nous reposer si nous atteignons la Lumière Eternelle.
*Avant que les renforts Duergars n'arrivent avec des échelles, Eleldor avait quitté ses compagnons pour se poster dans la tour naine. Armé de son arc composite et d'une vingtaine de flèches, le rôdeur tirait sur les Duergars qui osaient escalader en premier.*

- Ô Mailikki, Notre Dame de la Forêt,
Je ne te demande pas la gloire,
Ni les honneurs, ni la richesse,
Ni le bonheur, ni la santé,
Donne-moi seulement la force
Et le courage de supporter
Cette épreuve pour toi,
Reine des Forêts.
- Hum... les voila enfin ces nains gris... je vais leur montrer qu'il ne faut pas faire de mal a mes amis...

*D'un bond, Lorian grimpa sur un créneau juste au dessus d'un échelle... de la elle pouvais voir ses ennemis de haut. Lorsque le premier Duegard arriva presque au sommet de l'échelle Lorian l'appela.*

- Hé mon mignon...

*Le Duegard leva la tête, Lorian le regarda dans les yeux, et son ennemi pût voir dans ceux de la jeune femme une lueur de rage et de vengeance... puis dans un simple geste Lorian trancha la gorge du nain et avant qu'il ne lâche l'échelle elle pousse fermement celle-ci sur les nains restés en bas en criant:*

- Celui qui osera grimper a cette échelle subira le même sort que son frère...

*Puis elle partit dans un rire frénétique en retournant sur les remparts pour aider ses compagnons...*
Il y avait trop d'échelles pour qu'elles soient toutes repoussées. Les Duergars étaient tout simplement trop nombreux. Bientôt les remparts furent jonchés de corps. Les nains gris devaient passer par dessus les dépouilles de leurs propres frères pour tenter de gagner du terrain et de percer la ligne formée par les défenseurs autour de la tour de garde.

Dans un angle, les Duergars gagnèrent un accès plus dégagé et s'engouffrèrent vers la porte, prenant les compagnons à revers. Mariko vit le danger et se fraya un chemin jusqu'à ce commando gris, utilisant Higesori à deux mains, taillant et coupant sans songer à se protéger. La fièvre des vierges de bataille l'avait saisie. Après son passage, les corps restaient un instant debout avant de s'effondrer sur le sol, maintenant poisseux de sang.

Une hache dévia sa lame au moment de frapper un nain, et Mariko sauta en faisant pivoter son corps pour finalement envoyer son pied dans la mâchoire de son adversaire qui craqua d'un bruit sinistre. Finalement elle para une attaque venant de la gauche et un nouveau Duergar mourut sous son sabre.

La percée s'était désagrégée et la semi-esprit s'octroya trois secondes de repos, observant ses compagnons tenir le mur.


- Hé ho ! C'est pas fini ! Je vois plein d'autres âmes à dévorer ! A L'ATTAQUE ! Hurla Higesori.

Mariko esquissa un sourire, puis s'essuya le front, y laissant une longue traînée rouge. Sa blessure s'était rouverte et elle sentait le liquide chaud dégouliner le long de sa cuisse, imprégnant ses cuissardes de cuir.

C'est en boitant qu'elle reforma les rangs au côté du maître d'arme et de ses autres compagnons...
Aërandis n'avait pas perdu de temps à repousser les échelles vu leur nombre. Lorsque les défenseurs commencèrent à être débordés, il se jeta sauvagement dans la mêlée. Il est vrai que sa technique n'était pas des plus élégantes, mais sa force faisait le reste. Effectuant de grands mouvements de son longs cimeterre à deux mains, il arrivait à découper plusieurs gobelins d'un seul coup, et la pommade de Laurian était très efficaces, il ne sentait aucune douleur, même si nul ne pouvait savoir si le sang qui tachait ses bandages était le sien ou celui des duergars.

Mais, les hordes adverses semblaient innombrables, il avait l'impression de combattre une hydre, lorsqu'il décapitait un nain, deux autres venaient prendre sa place. Il compris que seul il n'arriverait pas à vaincre tous ces guerriers, il entreprit alors de rallier ses compagnons traçant un long sillon sanglant dans les rangs des duergars.
Darcia frappait et frappait encore. Son hast-épée tournoyait dans les airs et on aurait presque dit que le Kensaï dansait avec son arme. Une danse, silencieuse et macabre, que seul le bruit du métal s'entrechoquant et des râles d'agonies troublait.
Son ample chemise blanche, ses longs cheveux noirs et son surcot bleu nuit qui flottaient comme d'étranges spectres, donnaient un air irréel à la scène.

Son unique oeil valide brillait comme jamais et un rictus donnait à son beau visage la stature d'un loup féroce.
Il ne savait pas où il était. Il était entouré de corps et d'autres guerriers qui toujours venaient à l'assaut. Il ne voyait personne et n'entendait plus rien. Seul la bataille comptait. Son coeur battait la chamade dans ses tempes. Il ne savait pas dans combien de temps, mais il tomberait sûrement. Alors pourquoi ne pas tomber prêt de cette belle semi-esprit.
Tailladant toujours ses ennemis, il avança dans la direction où il pensait qu'elle se trouvait.
*Du côté d'Eleldor, les Duergars avaient réussi une percée, séparant les nains présents dans la tour et le rôdeur des autres défenseurs. Pour l'instant, les nains tenaient bon car les Duergars ne pouvaient attaquer que par deux et les nains étaient dans une position surélevée. Quant au rôdeur, il aidait ses compagnons tant bien que mal, son arc à la main, il tirait sur les ennemis qu'il estimait trop dangereux. Il savait qu'il devrait abandonner son arc dans quelques minutes mais pour l'instant, la survie de ses compagnons était la seule chose qui comptait.
Elle atteint la nuque d'un Duergar qui allait frapper Lorian dans le dos ...*
Deux heures sanglantes s'étaient succédées. Deux heures de tueries, de cris de guerre, d'agonies et de combats. Les guerriers duergars déferlaient en une vague incessante sur le parvis de la tour, escaladant les créneaux et se ruant à l'assaut des compagnons dont la ligne de défense tenait bon.

Au coeur de ce chaos de lames qui s'entrechoquaient, les actes d'héroïsme individuels passaient inaperçus. Mariko, qui se battait alors dos à dos avec Darcia sentait ses forces diminuer en même temps que son sang s'écoulait le long de sa cuisse ouverte ; mais elle tenait bon.

Plus d'une trentaine de nains gris jonchaient déjà le sol, et pourtant cela ne représentait pas le dixième de leurs forces. Bien que mourir au combat soit le rêve de toute vierge de bataille, Mariko espérait contre toute attente survivre à ce carnage. Elle aspirait aussi à ne plus être une vierge... de bataille.

Un moulinet, un coup d'estoc, une botte et une nouvelle gorge ouverte. Cette dernière passe d'arme lui coûta plus qu'elle ne l'aurait cru. La lance plantée dans son ventre gênait passablement ses mouvements. Peut-être aurait-il fallut l'enlever ?

Elle voulu crier à ses amis de se regrouper vers la porte de la tour afin de combattre à l'intérieur où l'escalier étroit leur offrait une chance de survie, mais les mots restèrent coincés dans sa gorge. Higesori tomba à terre, et sa diabolique lumière rouge s'éteignit.

Mariko s'appuya contre le mur de la tour et s'y laissa glisser lentement. Que la pierre était froide ! Allait-elle revoir cette elfe fantomatique ? Allait-elle mourir ?

Elle admira un instant les magnifiques traits d'argent qui déchiraient le ciel tels des éclairs divins, puis se demanda qui pouvait bien être ce drow qui venait de grimper à une échelle et qui brandissait deux grands cimeterres flamboyants...

Puis elle ferma les yeux.


[HRP] [/HRP]
*Derrière lui, les nains et leur chef tenait bon depuis deux heures. Eleldor aidait ses amis du mieux qu'il pouvait. Soudain, il vit Marko s'effondrait.*

- Mariko !

*Fou de rage, le rôdeur lâcha flèche sur flèche en se concentrant sur les Duergars qui s'approchaient trop de la Vierge des Bataille.
Un regard en coin lui permit de voir deux épées flamboyantes puis ... un Drow ! Si les Elfes noirs se joignaient à la bataille, ils n'allaient pas faire long feu !*
Aërandis avait réussi à rejoindre ses amis au coeur de la bataille. Lorsqu'il vit Mariko s'appuyer contre la pierre une lance dans le ventre, il sut qu'il ne pourrait plus y échapper, il détestait recourir à cela, mais c'était leur dernière chance, espérons seulement qu'il y survive. Déjà ses compagnons formaient un cercle étroit dos au mur, et la magicienne qui n'était plus là... Aërandis ôta la lance de son ventre, la blessure n'était pas belle, avec ses maigres pouvoir il ne pourrait pas la soigner sur le champ de bataille, seulement stabiliser son état pour qu'elle puisse tenir, mais était-ce vraiment ce qu'elle souhaitait ? Rspérons juste que nous vivions assez longtemps pour le savoir...

-"Camarades, s'il vous plaît protégez nous quelques instants." dit-il sans prendre le temps d'attendre une réponse, puis il se mit à psalmodier en prenant Mariko dans ses bras: "Les mots volent la douleur du monde et l'emporte dans les abysses, les vers savent panser les plaies au moment propice, la musique ôte la fatigue au guerrier, que la magie du scalde ainsi consacrée dans un cercle de lumière puisse nous restaurer."

A peine s'était-il tue, qu'une lumière d'un blanc pur illumina la scène, partant de la plaie de Mariko et se propageant vers ses camarade pour éclater en un cylindre de lumière dressé vers le ciel. Il sourit, c'était la première fois qu'il réussissait à invoquer ce pouvoir. Puis Il reposa Mariko contre le mur, et planta sa lame dans la terre et s'agenouilla devant elle, recommençant une de ses étranges incantations: "Par le pacte des dieux avec la légende, que s'ouvre la grande porte d'Oghma et que Tempus relâche sans attendre les âmes guerrière. Que les morts servent leurs descendant, Gratac, haut-druide des terres enneigées, entend mon appelle, Daermon "heaume d'argent", entend mon appelle, que votre sagesse et votre force soit mienne, revenez un instant dans le corps du scalde !"

Quand le jeune homme se releva, il n'était plus lui-même, bien qu'il semblait se mouvoir comme à son habitude, son regard était aussi vide que celui d'un zombi et les veines saillait sous son corps comme des fleuves gonflés par des pluies torrentielles. C'est à ce moment là que le ciel fut zébré une fois de plus par ces longs sillons argentés à une différence près, ces derniers venaient de tomber à une dizaine de pied du groupe de guerriers, carbonisant au passage une bonne vingtaine de Duergars.



[HRP]Pour le MJ: Aërandis invoque un cercle de guérison, puis une fusion héroïque (qui lui permet de rappeler un esprit défunt dans son corps), et un appel de la foudre.

PS: Drizzt à la rescousse ? [/HRP]
Félis, ne faisant plus guère attention à quiconque, se battait, se battait sans relâche, cherchant dans cette bataille ce qui lui restait d'âme mais enfin le nombre vainquit, la semi-démone s'écroula, submergée par le nombre. Un brouillard grisâtre plana devant ses yeux turquoises et d'un hurlement rageur, elle maudit les dieux avant de plonger dans les ténèbres rouges, rouges désespérément de ce rouge sang qu'elle aimait et haïssait à la fois.
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